ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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THEME : les méthodes de nettoyage et de désinfection |
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Pages d’archives connexes |
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Guides et références bibliographiques en matière de nettoyage |
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Les méthodes de nettoyage à la vapeur et concernant la température de l’eau |
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LIENS FONDAMENTAUX
ARCHIVES CHRONOLOGIQUES
ARCHIVES 1998-2005 – 2006 - A PARTIR DE 2007 (voir ci-dessous)
je travaille actuellement en industrie agro , en conserverie pour
^tre + précis.
J'utilise 2 désinfectant 1 à
base d'oxyde d'amine +edta +...
et un autre à base d'acide
peracetique etperoxyde d'hydro
et malgré celà j'ai
quand même des montées de flore et colli je pense que je
vais revenir aux amonium quaternaires mais sans gluta
Sachez que l’idéal pour supprimer ce risque d’évolution des bactéries pathogènes vers des niveaux de contamination est de mettre en place un biofilm afin de maîtriser l’écosystème bactérien naturellement présent dans notre environnement. Il existe notamment la technique du Cobiotex 112 Biofilm + qui est très efficace.
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr,
"Hyform" <hyform@...> a écrit :
>
>
Bonjour
>
> Pourquoi ne pas essayer l'eau de Javel ?
>
> Plusieurs de mes clients du monde de la santé
alternent
l'utilisation de
> désinfectants tels que
ceux que vous citez avec celui de l'eau de
Javel, et
> les
résultats sont très bons.
> Même le
comptable est satisfait...
>
> Cordialement
>
Pierre Falgayrac
> www.hyform.com
nous utilisons effectivement l'eau de javel comme désinfectant
et obtenons des résultats satisfaisants.
En revanche,
je sais que cette pratique n'est pas appréciée par les
services vétériniares de tous les départements.
D'autre part, nous sommes en démarche IFS et la preuve de
l'efficacité de notre plan de nettoyage/désinfection
est délicat à mettre en avant du fait qu'il n'y a pas
d'agrément pour la javel et pas d'étude d'efficacité
sur les différents germes que nous cherchons à
élimnier... sauf si vous en avez connaissance, auquel cas, je
suis preneuse!!
Agnès COCHARD
Je n'ai pas connaissance des dernières études sur
l'efficacité de l'eau de Javel (à supposer qu'il y en
ait eu) et la Chambre syndicale des fabricants d'eau de Javel ne
semble pas avoir de site Internet. Mais ses services sont aimables et
rapides et envoient toute documentation utile à qui en fait la
demande.
Chambre Syndicale Nationale de l'Eau de Javel
118
avenue Achille Peretti
92200 Neuilly sur Seine
Tél :
01.47.47.89.13
Avec un nettoyant acide conforme pour une utilisation en IAA, rapprochez vous de votre fournisseur habituel.
Tout d'abord tous mes voeux pour cette nouvelle année
2007!!!
Je suis responsable qualité au sein d'une usine de
production de pâtes éthniques et suis à la
recherche d'un produit pour supprimer la rouille sur nos sols.
Pour les traces de rouille, à supposer que les sols de
votre établissement y résistent, essayez des produits
faiblement ou moyennement acides. La "Rubigine", si vous en
trouvez, est plutôt efficace, mais certains détartrants
WC sont pas mal non plus, et les distributeurs de produits ont
généralement dans leur gamme un ou plusieurs détergents
acides.
Pour faire des test d'efficacité: humectez un
chiffon blanc et tamponnez la tache. Si le chiffon se colore en
rouille, le produit est efficace.
Et si au lieu de supprimer les symptômes, vous vous attaquiez aux causes origines?
Pour toute désinfection, le produit CT (Concentration x
Temps) définit l'efficacité, fonction de chaque
bactérie ou virus.
C'est le critère de Chick &
Watson :
http://www.swbic.org/education/env-engr/disinfection/kinetics.html
Je
n'ai pas retrouvé la source de tableaux du CT pour bactéries
courantes, sauf : http://gls.fr/memotec.htm
Je ne pense pas qu'en changeant de substance active
désinfectante, vous résolviez votre problème;
vous
utilisez déjà un désinfectant oxydant à
spectre complet (à base d'Acide Peracétique) qui, s'il
est appliqué dans un cycle de nettoyage/désinfection
adapté, selon les préconisations de votre fournisseur
de pts d'hygiène, devrait empêcher sans problème
le développement de vos bactéries.
Je pense qu'il
faut vous rapprocher de ce fournisseur afin de revoir avec lui
l'ensemble de la procédure (périodicité,
produits avec dose, temps de contact, température et mode
d'application) mais aucun germe ne résiste à l'Acide
Peracétique.......s'il est bien utilisé.
Pour connaître le contenu des normes bactéricides des
produits de nettoyage
:
³ProdHyBase répertorie les
désinfectants du domaine de la médecine humaine, les
produits pour mains et les matériels qui leur sont liés.
³
http://prodhybase.chu-lyon.fr/thesaurus.htm
puis
³Tableau des activités des normes ³
Dans l'industrie de la viande (abattage-découpe) les
alcalins-chloré s sont largement utilisés pour l'étape
de détergence.
Ces molécules sont mises sur la
sellette pour des raisons de corrosion, de dangerosité pour le
personnel et l'environnement.
Je voudrais savoir si actuellement
les industriels de ces filières viandes abandonnent réellement
ces molécules? Et si oui, au profit de quelles molécules
détergentes?
Merci de vos réponses
Ma réponse est NON, les alcalins chlorés représente actuellement le meilleur rapport qualité/prix, ils sont moins corrosif que les ammoniums quaternaires sur les aciers dits "légers" (je vais peut-être soulever un débat, mais par expérience je confirme et j'affirme la phrase précédente). Les représentants de produits chimiques disent et écrivent l'inverse. Côté dangerosité pour le personnel, il est évident que nous devons sensibiliser notre personnel et leurs fournir les EPI utiles, mais une étude scientifique menée (il me semble par la CRAM en 2004?) à conclut à aucun risque réélement identifié, par mesure de précaution on se protège. Par contre, côté environnement il y a un risque surtout concernant le risque de déversement accidentel (maitrisé par les aires de rétentions) en utilisation les produits sont dilués puis traités en station.
Alexia, vous nous faites part de votre expérience, donc je
ne mets pas en doute vos observation
Mais j¹ai besoin de
comprendre
Peut-être que les alcalins-chlorés que
vous utilisés sont associés à un anticorrosif
comme le silicate ?
Vous auriez constaté une corrosion
d¹équipement en aluminium due à des ammoniums
quaternaires ?
Voir : * http://www.edpsciences.org/articles/jcp/abs/1998/09/mohamed/mohamed.html
Mais il faut bien reconnaître que ce sont là des
conditions extrêmes.
Plus intéressant comme
explication serait éventuellement une accumulation de résidus
plutôt que de la corrosion
(http://www.fao.org/DOCREP/004/T0587F/T0587F05.htm)
En
outre, je vous recommande la lecture suivante :
http://sci.agr.ca/crda/pubs/art6_f.htm
LUNDI
19 FEVRIER 2007
LCN 18/02/07 Test JE - Des produits
désinfectants vraiment
efficaces?
http://lcn.canoe.com/lcn/sciencesetmedecine/sciences/archives/2007/02/20070218-090822.html
Je suis actuellement en train de faire le plan de
nettoyage-désinfection d'une crêperie-bicuiterie
industrielle et un gros problème se pose : suite à la
formation hygiène délivrée à
l'ensemble
du personnel par un organisme reconnu, le directeur en a compris que
le N&D à l'eau chaude devait être proscrit, pour 2
raisons: - l'eau chaude produit de la condensation sur les murs et
plafonds, qui retombe ensuite et recontamine l'environnement. - l'eau
froide évite cette condensation et diminue la
multiplication
des micro-organismes (sauf
psychrophiles).
Cependant, nettoyer un environnement très
gras avec de l'eau froide, c'est comme faire sa vaisselle avec de
l'eau froide, on passe beaucoup de temps, on utilise beaucoup d'eau
pour un résultat imparfait.
Mon objectif est de prouver
qu'on peut trouver des solutions pour éviter la condensation
après utilisation d'eau chaude, du type combinaison d'eau
chaude (environ 50-60°C) mais pas suffisament pour induire de la
condensation et détergent-désinfectant
approprié...
Quels arguments / solutions pourrais-je
avancer à ce sujet?
Un local désinfecté tous les jours et correctement
ventilé ne permet pas l'apparition de moisissures.
Il
existe également des assécheurs d'air. Le nettoyage à
froid avec des canons à mousse est envisageable mais je reste
à la méthode de traitement par la chaleur (les
résultats sont plus rapides).
Prévoir peut-être
une étude sur le développement des micro-organismes en
fonction des méthodes envisagées.
Bon d'abord , il y a des endroits où il ne va pas y avoir
de soucis, ce sont les zones de cuisson où il va y avoir une
surchauffe.
Les seules zones de risques sont les zones de
mélange des pulvérulents et des autres ingrédients.
Les
zones de façonnage ou de dépose sur les plaques de
fabication sont les zones les plus chargées.
Comme en
plus les températures des pâtes sont importantes, le
risque existe.
Mais pourquoi ne pas nettoyer les zones sales
exclusivement en adaptant le traitement à la salisures.
Basse
pression mousse ou haute pression.
Demander aussi à votre
fournisseur de produit d'entretien pour voir s'il n'a pas un produit
adapté pour une salissure grasse et sucrée.
Néanmoins,
vu la technologie du produit l'Aw restante est très faible.
Quelques propositions de réflexion pour optimiser l'usage
de l'eau chaude et limiter la condensation :
- priviligier le
nettoyage à sec (raclette/balai)
-installer des compteurs
d'eau à chaque arrivée d'eau et informer sur les
consommations afin de responsabiliser le personnel
-installer des
mitigeurs avec régulateur automatique de la température
- former le personnel à l'utilisation raisonnée des
tuyaux d'arrosage/canons à mousse
- Faire respecter le
dosage prescrit des produits de nettoyage afin d'éviter les
surdosages entrainant un rinçage plus long
- améliorer
la ventilation des locaux lors du nettoyage
Par ailleurs et à
ma connaissance, les produits détergents ont un optimum
d'efficacité à une température donnée,
généralement chaude (40-50°C). A vérifier
sur les FT de votre fournisseur.
Les contrôles de
surface, les prélevements d'eau de rinçage sur une
période de test de quelques semaines/mois vous permettront
également de valider votre technique de nettoyage...et de
convaincre votre directeur.
Bonsoir
Deux arguments :
Il serait étonnant
qu'après un nettoyage avec une solution détergente
chaude les locaux ressemblent à un sauna...
Les faibles
quantités d'eau pouvant se retrouver sur les surfaces après
condensation de la vapeur ne doivent certainement pas modifier la
concentration de la solution désinfectante au point de la
rendre inefficace, ni influer grandement sur sa température
(l'eau se retrouvant rapidement à la température
ambiante).
La seule "contrainte" pour garantir une
réelle efficacité dans ce cas, c'est de réaliser
deux opérations: nettoyer d'abord, désinfecter
après.
Cordialement
mjourda Mercredi 25. Avril 2007 16:05
Beaucoup d'ateliers présents dans l'usine sont réfrigérés
et je rencontre un problème récurent avec le
développement de moisissures, et ce malgré la présence
de ventilations.
J'aimerai savoir si vous aviez connaissance
d'un produit de nettoyage efficace pour palier ce problème...
Laurent KRYSIAK Mercredi 25. Avril 2007 16:46
A mon sens, et avant peut-être de traiter la conséquence
de votre anomalie, attaquez-vous à son éventuelle cause
:
1. assurez-vous que la capacité du système
d'extraction soit suffisante pour permettre d'évacuer
l'humidité de vos ateliers réfrigérés
(vous parlez d'un système de ventilation, qui n'est peut-être
pas suffisant)
2. si point 1 maitrisé : vérifier que
l'étanchéité des accès et ouvertures de
vos ateliers (portes - fenêtres - sas...) permette de ne pas
réintroduire en permanence un air chargé d'humidité
Si
1 et 2 maitrisés, vérifiez que les produits lessiviels
que vous utilisez pour réaliser vos opérations de
nettoyage/désinfection soient fongicides...en plus d'être
détergents et bactéricides
A compléter
certainement par d'autres idées de
colistiers
Cordialement
Laurent KRYSIAK
mjourda Mercredi 25. Avril 2007 18:20
Le problème vient surtout des frigo de décongélation
(avec taux d'hygrométrie controlé) et notament dans la
laverie et le local matériel propre :
en effet la chaleur
présente par le lavage du matériel ainsi que le fait de
l'entreposer dégage énormément d'humidité,
d'où le développement de ces moisissures...
Je
vais effectivement m'assurer que les produits utilisés sont
bien fongicides.
moi j'aimerais savoir quels moyens existe-t-il pour s'aasurer
qu'il n'y a pas de résidus de produits de nettoyage dans les
préparations alimentaires
sachant que je tarvaille dans une
usine qui fait des plats cuisinés surgelés à
base de poisson
S'assurer que le rinçage est suffisant en quantité
d'eau
Ensuite tester le matériel ou le local avec du papier
ph ou un réactif métant en évidence le principe
actif du détergent.
Je suis d'accord avec Hugues Jourdan, je suis dans la fabrication
de produits laitiers et nous fonctionnons de cette manière
aussi ; le rinçage final a été validé au
préalable et nous prélevons un échantillon d'eau
de rinçage final pour des analyses d'ATP entre autres mais
aussi pour mesurer le pH.
Nous contrôlons (1 fois/jour)
aussi la concentration de nos produits de nettoyage de notre NEP
(NaOH et HNO3 dans notre cas) ; cela nous permet de savoir s'il n'y a
pas eu de sur dosage et donc risque de résidus en fin de
nettoyage.
Sonia
DIMANCHE 20 MAI 2007
Le
Lait Vol. 74 No. 1 (1994) Méthode de mesure de l'efficacité
des procédés de nettoyage et de désinfection des
surfaces
ouvertes
http://www.lelait-journal.org/index.php?option=toc&url=/articles/lait/abs/1994/01/contents/contents.html
P. BéAUR Mercredi 3. Octobre 2007 12:32
Il est heureux de voir que certains vont au fond des choses quand il s’agit de donner des conseils (c’est un métier).
Ce n’est pas le cas de tout le monde. En effet au cours de mes visites, de mes formations je suis souvent confronté à des professionnels qui « déformés » par quelques intervenants commerciaux, techniciens vétérinaires, formateurs, consultants … qui ne se donnent pas la peine de lire les textes.
Espérons qu’ils sont rares.
Merci Monsieur Texier de rétablir la vérité, vos interventions ont toujours été de qualité.
Monsieur Bruno (voir message précédent) Re-voyez vos textes.
Obs : si votre publicité apparaît avant le message c’est que peut être vous considérez que c’est le plus important que le contenu.
« Les produits doivent faire l’objet d’une homologation par le ministère de l’agriculture »
Quand on dit il « doivent » cela doit s’appuyer sur une référence réglementaire et il me semble impératif de la citer.
(il existait d’ailleurs une note de service –qui n’a pas de valeur églementaire- qui parlait de l’utilisation des biocides et de l’homologation)
L’erreur est humaine… mais pas la négligence dans notre métier.
Eric Kalinowski Mercredi 3. Octobre 2007 12:53
A la vue de la note de service (voir paragraphe 3.1.3 du Plan de Maîtrise Sanitaire) de la DGAL / SDSSA / N°2007-8013 du 11 Janvier 07: comment faites-vous pour accompagner l'entreprises POA-DOA (en agrément pour l'élaboration du nouveau PMS par exemple) si la note de service n'a pas de valeur? Si la DDSV refuse le PMS pour défaut des pré-requis signalés, vous dîtes quoi à l'entreprise concernée?
Je veux bien lire
PS la question initiale était "Les services vétérinaires m'ont affirmé que les désinfectants ne sont pas obligatoire dans les milieux alimentaires comme les cantines, restaurant, collectivités et autres".
L'observation de la DSV n'a-t-elle pas aussi été mal interprétée ou mal comprise (désinfectants / homologation et AMM)?
hblmgfrance Mercredi 3. Octobre 2007 16:12
Relisez mon message j’ai indiqué que le terme de désinfection était présent pas celui de désinfectant
Concernant l’homologation des produits je suis bien placé pour en parler puisqu’il nous était demandé pour les produits en laiterie
Concernant noter cabinet je n’an ai pas honte et cela me chagrine d’autant plus de la part d’un gersois et ex voisin
P. BéAUR Mercredi 3. Octobre 2007 17:54
Je donne une précision concernant ma remarque sur les notes de services.
Mea culpa : J’ai voulu dire… Elles n’ont pas de «valeur juridique » et non pas « valeur réglementaire », Mais comme je ne suis pas juriste, je veux bien lire à ce sujet.
Concernant la polémique sur les « on dit » ou « on m’a dit que c’était obligatoire », je persiste à dire que tout se dit et parfois n’importe quoi sur le thème de l’hygiène et de la réglementation.
Je ne doute pas que les différents intervenants du forum sont sérieux… sinon ils n’y viendraient pas. J’arrête là la polémique.
Question : Sur quelles bases réglementaires les « demandeurs » exigeaient que les produits soient homologués ?
Bonne veille réglementaire à tous.
P.S : Je demande systématiquement en début de formation à mes stagiaires de ne pas me croire sur parole.
Du Doute naît la Vérité.
hblmgfrance Mercredi 3. Octobre 2007 18:18
ci-joint un exemple d’homolgation de produits agréé pour le contact alimentaire
http://e-phy.agriculture.gouv.fr/spe/9100400-14053.htm
Gilles TIXIER Mercredi 3. Octobre 2007 23:03
Pour un désinfectant, l¹aptitude au contact alimentaire est à dissocier de son autorisation de mise sur le marché (homologation).
Les textes réglementaires sont différents.
À trois co-listiers, nous avons amorcé un travail collaboratif sur le thème de la normalisation et de la réglementation des produits de nettoyage et de désinfection et qui devrait répondre aux questions soulevées
Ce document a été récemment mis à jour. Ce fichier Powerpoint est à :
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/documents_contributifs/
Les liens sont actifs en mode diaporama.
La prochaine version intègrera une correction apportée par Guillaume BONFILS
<">http://www.gb-consultants.fr>
et un tableau récapitulatif des normes d¹activité des désinfectants par
Philippe STROHL <http://www.irm.fr>
LUNDI 05 NOVEMBRE 2007
CCLINOUEST - Hygiène et
prévention du risque infectieux dans les établissements
d'hébergement pour personnes
âgées
http://www.cclinouest.com/pages/maisons_retraite.htm
Au
sommaire:
Hygiène des locaux
Hygiène de
l'environnement
COMMERCIQUIZ - présentation concernant la tenue des
locaux
http://www.commerciquiz.com/images/tenuelocaux.ppt
MARDI 25 MARS 2008
WATT MARCH 2008 "Boom in
clean-room slicing"
:
http://www.wattpoultryusa-digital.com/wattpoultryusa/200803/?folio=22
(source
Bernard Pichetto)
LUNDI 21 AVRIL 2008
MARKETWIRE 21/04/08 Eco-Safe
Disinfection Systems Expanding Markets Into
Animal Care
Facilities
http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=845950
alvarezraphaelle Lundi 2. Février 2009 11:15
Ce petit message pour vous demander comment vous faites pour garder les portes à lanières propres...
Nous avons récemment installé une de ces portes pour séparer un atelier d'une zone de fabrication et le nettoyage pose problème.
Auriez vous des astuces à partager?
En vous remerciant de votre participation...
chryslelu Lundi 2. Février 2009 11:27
pour obtenir un nettoyage efficace et déterminer le protocole et type de produit idéal, pourriez-vous nous e ndire davantage sur les
salissures concernées sur ces portes: s'agit-il de matières organiques ou minérales??
landrybaechler Lundi 2. Février 2009 20:52
Je suis fromager dans le haut jura, il se trouve que ma salle de fabrication est séparé de la salle d'acidification par des portes en lanière plastique.
Certes parfois ce sont des matières organiques qui les salissent mais la plupart du temps ce sont des traces de calcaire dues à une eau
trop dure.
Donc un détergent acide dans un premier temps à passer avec une éponge qui ne "raye pas" ou bien avec de la "mousse". Rincer puis
sécher si possible....
Albert AMGAR Lundi 2. Février 2009 21:08
L'installation de ce type de matériel n'est pas conseillé dans différents guides de BPH, y compris en industrie laitière, en raison de la quasi impossibilité de le nettoyer.
Vous pouvez toujours définir un protocole de nettoyage et de désinfection, mais il faut savoir que pour nettoyer un matériel comme celui-ci, encore faut-il qu'il soit nettoyable et hélas ce n'est pas le cas.
qualiseb Lundi 2. Février 2009 21:27
Nettoyage par trempage et brossage et remplacement régulier car une fois "rayé" il n'y a plus que cela à faire....
JEUDI 12 MARS 2009
EXARIS
FEV 2009 Concilier efficacité et réduction des coûts
de nettoyage; le
pari
possible?
http://www.exaris.fr/content/view/18/42/
em_ghita vendredi 27 mars 2009 17:13
j'aurais besoin de quelques éclairages:
Dans le cadre d'un contrôle de l'efficacité du bionettoyage dans un laboratoire d'analyse médicale et alimentaire (bactériologie), quels sont les critères à ne pas dépasser (niveau cible, niveau d'action)?
existe t il une réglementation particulière ou bien à chaque laboratoire d'instaurer ses propres critères ?
comment se procurer le "guide de bionettoyage" ?
je vous en remercie d'avance
Albert Amgar Samedi 28. Mars 2009 9:26
Vous trouverez les renseignements demandés à propos des critères microbiologiques selon les zones pour les contrôles de surfaces, page 44 de ce
guide sur le bionettoyage sur le lien suivant :
http://nosobase.chu-lyon.fr/recommandations/Environnement/environO.pdf
Merci infiniment pour ce précieux
document, donc ce que je devrais comprendre , c'est qu'il existe bel
et bien des critères pour les établissement de santé
mais pas pour les laboratoire de bactériolgie médicale
et alimentaire, dans ce cas, les laboratoires devraient
s'en inspirer pour établir leurs propres critères
(Poste de sécurité microbiologiques , paillasses,
telephone, poignée de porte, ...) ?
Envoyé par : "Amplitude" amplitude@wanadoo.fr amplitudegti
Mardi 7. Juillet 2009 17:40
Gilles TIXIER Mardi 7. Juillet 2009 17:40
Le 7/07/09 15:51, « Bruno Peiffer » <bruno.peiffer@gmail.com> a écrit :
>
>
> SANTE ET SERVICES SOCIAUX QUEBEC 02/07/09 Désinfectants et désinfection en
> hygiène et salubrité : Principes fondamentaux
> http://msssa4.msss.gouv.qc.ca/fr/document/publication.nsf/4b1768b3f849519c8525
> 68fd0061480d/ecc5fa387ee1319b852575e700462a41?OpenDocument
Bonjour,
On trouve dans ce document (page 41 du document et 43 du fichier) que les
alcools sont actifs sur les bactéries Gram+ et Gram- et agissent rapidement
(environ 30 secondes).
Je suis surpris par ce délai aussi court. je pensait que tous les
désinfectant avaaient besoin d¹au moins 10mn de contact pour désinfecter !
Merci pour vos lumières
Cordialement
--
Gilles TIXIER
Abdelaziz El Ouardani Jeudi, 30 Juillet 2009, 23h52mn 02s
Je m'adresser vers vous pour m'orienter sur les EXIGENCES à demander à mon fournisseur des produits de nettoyage et désinfection (agro alimentaire et restauration collective) vis à vis la reglementation et les services qu'il doit m'assurer; aussi quelles questions lui poser pour etre sur que son produit sois le meilleurs
Rachida Nait Boujemaa Vendredi 31. Juillet 2009 14:10
d'abord faut que vous definissiez le type d'incrustation que vous voulez éliminer
generalement en IAA, il vous faut un detergeant et un desinfectant (y'en a des produits à la fois detergeant desinfectannts mais c'est generalement moins efficace, mais vous pouvez alterner )
concernant les exigeances, tout d'abord le fournisseur doit vous fournir une fiche technique du produit (pour savoir la matiere actif, le spectre pour le desinfectant, les types de souillures et les conditions d'utilisation)
le chlore par exemple comme désinfectant doit pas utilisé en contact avec l'inox (risque de corrosion) sauf s'il y'a des anti corrosion dans la composition du produit.
le numéro d'agrement du produit, car il doit etre un prosuit autorisé à l'usage dans le secteur des IAA
et finalement vous devez d'abord essyaer des echantillons pour choisir le bon produit avant de passer commande.
Gilles TIXIER Vendredi 31. Juillet 2009 15:05
<< le numéro d'agrement du produit, car il doit être un produit autorisé à
l'usage dans le secteur des IAA >>
Ce sont deux choses séparées
Tout produit de nettoyage ou de désinfection, destiné à l´IAA et à la restauration doit être apte au contact alimentaire. Cette indication est de
la responsabilité du fabricant, sur la base de ce que l´on appelle la liste positive.
Ensuite, le fabricant peut faire la démarche de demander une autorisation de mise sur le marché pour un produit biocide, également appelée homologation (je pense que c´est à cela que vous pensiez en parlant d´agrément).
Rappel : le rinçage des surfaces pouvant être en contact avec le produit, est obligatoire, même s´il est apte au contact alimentaire, même s´il est
homologué.
Vous trouverez les références réglementaires dans un fichier :
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/documents_contributifs/
(qui nécessite d´être mis à jour concernant justement la démarche
d´autorisation de mise sur le marché, sujet de mon courriel du 26 Juillet)
Albert Amgar Vendredi 31. Juillet 2009 15:19
Attention, le chlore n'est pas corrosif à froid mais lorsque la solution est tiède ou chaude.
Des inhibiteurs de la corrosion peuvent se trouver chez d'autres oxydants comme les produits à base d'acide peracétique.
Abdelmajid BAKHTAOUI Mardi 8. Septembre 2009 17:17
----- Original Message -----
From: zmit badreddine
To: hygiene@yahoogroupes.fr
Sent: Monday, December 29, 2008 10:21 AM
Subject: [hygiene] désinfection Ligne d'Embouteillage.
Bonjour ;
Nous sommes une entreprise de production et embouteillage de boissons non alcoolisées : Boisson fruitée et plates, gazeuses et sirops.
Actuellement on fait le nettoyage (désinfection) de notre ligne de production (Cuves de préparation, Echangeur tubulaire et remplisseuse) une fois par semaine comme suit :
1- Passage de la soude (2% à 90°)
2- Puis rinçage a l'eau claire e
3- Ensuite passage à l'eau de javel (18%)
4- En fin un rinçage à l'eau claire.
L'analyse microbiologique après cette opération est satisfaisante (absence de germes pathogènes). Le problème réside dans l'oxydation du matériel (contacte avec l'eau de javel) quelle est la meilleur méthode de nettoyage et avec quels produits .
Bonjour
Cher Monsieur
Vous pouvez remplacer l'eau de javel par l'acide peracétique 5 % en faisant une dilution de ( 0,30% ).
Abdelmajid BAKHTAOUI
Albert Amgar Mardi 8. Septembre 2009 17:46
L'acide peracétique est aussi un oxydant !
Un NEP serait ce que vous avez listé mais je remplacerais le passage à l'eau de Javel par de l'acide nitrique. Faites d'abord un NEP puis
selon nécessité une désinfection l'eau chaude à 85°C c'est aussi pas mal. A vous de voir.
Par ailleurs avec ce type de produits, vous avez le plus souvent des germes d'altération et rarement des pathogènes (B. cereus). Ne pas
oublier de valider votre NEP !
elodie1915 mercredi 23 septembre 2009 14:43
Je vous sollicite car nous souhaitons réaliser des fiches de poste pour le nettoyage à destination du personnel permanent et des saisonniers.Quels sont selon vous les points incontournables qu'une fiche de poste pour le nettoyage doit comporter?
J'ai pensé :
- à faire référence à l'existence des plans de nettoyage qui permettent de savoir ce qu'il faut nettoyer, à quelle fréquence, comment le nettoyer, avec quel produit, quel matériel et quel EPI
- A faire référence aux FDS disponibles au local de nettoyage
- A faire référence au fait d'utiliser des produits aptes au contact alimentaire pour tout ce concerne le nettoyage du matériel en contact avec
le produit + rinçage obligatoire à l'eau claire
- Au fait d'identifier les vaporisateurs à chaque usage
- Au fait de réaliser des dilutions systématiquement et de ne pas utiliser le produit pur
- A faire référence à la conduite à tenir lors d'un accident de type projection d'un produit dans les yeux, demangeaison, toux, ....
Merci d'avance pour vos remarques. ED
Pierre Falgayrac Mercredi 23. Septembre 2009 17:30
A priori les éléments indiqués sont pertinents mais il y en a peut-être un peu trop, et pas assez...
Des items tels que « comment le nettoyer », « d'utiliser des produits aptes au contact alimentaire pour tout ce concerne le nettoyage du matériel en contact avec le produit + rinçage obligatoire à l'eau claire», « réaliser des dilutions»… relèvent plutôt d’une « fiche méthode », à laquelle doit faire référence la fiche de poste.
Une fiche de poste de poste doit plutôt répondre aux questions « Quoi faire, où, quand?», davantage qu’à « Comment faire?».
De mon expérience, les fiches de poste trop « denses » ne sont pas plus utiles, ou meilleures, que des « toutes simples » qui renvoient à des fiches méthode et fiches sécurité.
Pascal Rudeaux Mercredi 23. Septembre 2009 22:31
Une idée en passant.
Nous parlons de fiches de poste:
Demandez aux operateurs quels sont leurs besoins. A cela :ajouter les votres (nécésités de résultat) et une pincée de Sécurité si nécéssaire.
cloclott Mardi 13. Octobre 2009 11:06
Nous sommes une entreprise agroalimentaire.
Nous avons des bidons de produits de nettoyage en cours d'utilisation dans nos ateliers (produits corrosifs et irritant).
D'un point de vue sécurité, je pense que ces produits devraient être sur bacs de rétention.
Comment avez-vous géré ce problème dans vos entreprises: avez-vous pris de simples bacs de retention?
Avez-vous achetez des armoires spéciales "produits dangereux" avec bac de rétention intégré? mais comment gérez la diversité de nature de produits (acides/bases)
Connaissez-vous des armoires pour ce type d'application? et comment gérez-vous le rangement des EPI?
Idéalement, il faudrait une armoire où l'on puisse ranger séparément les acides et les bases + un rangement pour y mettre gant, tablier, lunetttes...
Merci pour vos réponses.
Constant Depièreux Mardi 13. Octobre 2009 11:27
Une question intéressante à laquelle je voudrais ajouter la suivante :
Ces mêmes produits en vente dans le commerce devraient-ils être également stockés dans des rayons spéciaux munis eux-aussi de bacs à
rétention?
En cas de réponse positive, en avez-vous jamais vu en grande distribution?
D'avance merci de vos réponses.
Constant Depièreux Mardi 13. Octobre 2009 12:54
En creusant la question, j'ai consulté le site des accidents du travail et des maladies professionnelles qui publie le
* Guide pratique dans les "hypermarchés et supermarchés"
http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/atmp_media/SOMMAIRE.pdf
ainsi qu'une série de fiches, dont par exemple :
http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/atmp_media/FICHE7%20LIQUIDE.pdf
http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/atmp_media/FICHEA%20NETTOYAGE.pdf
, cette dernière stipulant
* Stocker les produits chimiques dans un local de rangement à accès
contrôlé avec au moins une ventilation naturelle haute et basse et à
l'abri de la chaleur ;
* Equiper le local de rayonnages avec bac de rétention dont la hauteur
et la profondeur sont adaptées aux volumes stockés;
* Organiser le stockage :
- --- - disposer les produits dangereux au sol ;
isoler les produits dangereux ou incompatibles ;
Limiter le nombre de références de produits chimiques (évacuer les
produits non utilisés en particulier) ;
La fiche http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/atmp_media/FICHE9%20RAYON%20PGC.pdf
vous fourni les recommandations applicables aux produits chimiques
mais pas la réponse à la question : est-ce effectivement appliqué?
Pascal Rudeaux Mardi 13. Octobre 2009 15:50
Votre BPM devrait répondre a vos questions.
Les solutions dépendent des volumes nécessaires de produit chimique durant la journée de travail, de leur raison d’être dans l’atelier, des risques de contact avec le produit aliment etc...
Vous n’avez pas eu de réponses à vos questions car formulée de façon trop vague.
1) Eviter la présence de produits chimiques dans les ateliers de process
2) Eviter accumuler les produits chimiques dans les ateliers de process
3) Utiliser des contenants bien identifies et correspondant aux quantités requises pour l’activité.
4) Définir sa mise en process
5) Calculer le volume que peut accepter vos eaux usées en produit chimique pur (traitement des eaux, etc)
6) Etc, etc etc,,,,,,
VENDREDI
23 OCTOBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Les risques en matière de santé dans l’industrie
du nettoyage,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=2745
Gilles TIXIER Mardi 27. Octobre 2009 18:25
Le tableau des normes françaises et européennes de désinfection, générérales, et en milieux industriel, domestique et collectif a été mis à jour avec l’aide des co-listiers Lucie PALMA et Éric KALINOWSKI
Il se trouve parmi les fichiers disponibles à partir de la page d’accueil de la Liste Hygiène :
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files
son nom est : normesdesinf5.pdf
MERCREDI
18 NOVEMBRE 2009
PROCESS
16/11/09 Qualité - Samsic Propreté et GSF innovent dans
la formation
Samsic Propreté a ouvert une école de
formation au nettoyage et à la
désinfection dédiée
à l’agroalimentaire. Son concurrent GSF développe
quant
à lui l’auto-formation sur
site.
http://www.processalimentaire.com/Qualite/Samsic-Proprete-et-GSF-innovent-dans-la-formation
(source
Gilles TIXIER)
DIMANCHE
20 DECEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
À propos des
désinfectants,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=4525
MARDI
05 JANVIER 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Améliorer le nettoyage des
équipements,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=4920
yahaa5543 Vendredi 8. Janvier 2010 11:04
nous sommes confronté à un problème de sécurité pour lequel nous n'avons pas trouvé de solution.
Nous recevons les produits de nettoyage en container de 1000 litres. Ils sont stockés en extérieur. Les opérateurs de nettoyage sont donc amenés à aller chercher ces produits avec un seau de 20l sans couvercle. En effet, s'il mette un couvercle, il y a des risque important d'éclaboussures lorsqu'il l'enlève.
Je suis donc à la recherche d'une solution pour le transport de ces produits. Avez-vous ce problème dans vos entreprises?
O. Cerf Vendredi 8. Janvier 2010 11:20
On trouve dans le commerce toutes sortes de bidons, par exemple des jerrycans (ou jerricans) neufs ou d'occasion, en m€ étal ou en plastique.
Virginie Taglione Vendredi 8. Janvier 2010 11:21
je pense que d'un point de vue sécurité et fiabilité, il faudrait vous orienter vers une centrale de dilution, même extérieure. Ceci permettrait à votre personnel de nettoyage de rechargé en produit dilué, ce qui est moins risqué. Si ce n'est pas possible, pourquoi ne pas transporter en bidon dédiés?
Pierre Falgayrac Vendredi 8. Janvier 2010 11:26
Un système de pompage avec doseur et des bidons « normaux » de 5 litres, étiquetés selon la règlementation, devraient faire l’²affaire.
Ceci a bien évidemment un coût, grevé par le temps passé par les agents de nettoyage à faire les transvasements (sans parler des questions de sécurité), coûts que l’²on pourra comparer avec « l’²économie » réalisée en achetant en gros conditionnement.
Qui est généralement un choix peu pertinent.
Hugues JOURDAN Vendredi 8. Janvier 2010 11:58
tu achete des bidons de 20 litres en plastique
Tu fait effectuer le remplissage des bidons en dehors des périodes de nettoyages et ça évite que le salarié aille se balader dehors
Chrystele LELU Vendredi 8. Janvier 2010 12:10
La question qui peut aussi se poser est la suivante : chercher à changer de produit et utiliser un produit non dangereux……. A votre réflexion…
larbi chouguer Vendredi 8. Janvier 2010 12:15
Est ce qu'il y a des critères chimiques et microbiologiques pour dire si un produit de nettoyage est utilisable dans l'industrie alimentaire?
Est ce qu'il y a des reglements ou des COP dans ce sens?
Gilles TIXIER Vendredi 8. Janvier 2010 12:44
Associé à des co-listiers , j’avais produit un diaporama sur les produits de nettoyage et désinfection mis à disposition à :
Page d'accueil sur Yahoo :
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/
Fichiers > documents_contributifs
Chrystele LELU Vendredi 8. Janvier 2010 14:14
Pour tout produit utilisé en industrie, je conseille de toute façon de réclamer la fiche de sécurité correspondante au produit auprès du
fournisseur…
Par ailleurs, rapprochez vous de votre Responsable qualité environnement qui doit se tenir au fait des différents textes…
Hugues JOURDAN Vendredi 8. Janvier 2010 14:46
C'est une obligation pour le forunisseur de fournir la FDS
Hugues JOURDAN Vendredi 8. Janvier 2010 14:58
et de plus le chef d'entreprise doit les fournir au médecin du travail
"L'employeur transmet notamment au médecin du travail les fiches de données de sécurité fournies par le fournisseur de ces produits ; "
Article R4624-4
JEUDI
18 FEVRIER 2010
2010/02/15
> BE Autriche 129 > Du projet européen BIOSURF : des
outils pour
renforcer la propreté dans l'industrie
agroalimentaire
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/062/62299.htm
JEUDI 18 MARS 2010
UNIVERSITE
DE LAVAL (Canada) 18/03/10 Des germes par millions - Tous les
désinfectants ne sont pas d'égale efficacité
pour détruire les virus qui causent les
gastroentérites
http://www.aufil.ulaval.ca/articles/des-germes-par-millions-24251.html
VENDREDI 26 MARS 2010
PROCESS
- MARS 2010 - Au
sommaire:
http://www.processalimentaire.com/Sommaires/Sommaire-de-mars-2010-n-1268
Nettoyage-désinfection - Le contrôle des surfaces en question
Albert AMGAR Mercredi 19. Mai 2010 10:46
Le 19 mai 10 à 04:06, helene.legrain a écrit :
>
> Bonjour,
>
> Quels types de solutions ou techniques utilisez-vous pour assurer la désinfection des équipements de nettoyage (brosse, lavette, raclette) ?
>
> Quelle est la durée de vie des équipements de types éponges et lavettes ?
En général un nettoyage suffit avec un détergent adapté puis après rinçage, laissez sécher ! Ne pas tremper en permanence ces ustensiles dans du désinfectant. Procéder comme avec votre brosse à dents, laisser sécher ...
Au sujet des raclettes, préférer des raclettes mono lame sans vis, ni boulon car très facile à nettoyer !
Pour les éponges et lavettes, c'est à vous de définir leur état limite d'utilisation. D’une façon générale, les éponges ne sont pas recommandées en hygiène alimentaire en raison du risque de contamination croisée liée à la survie de micro-organismes d’altération et/ou pathogènes et du risque de corps étranger. Une gestion rigoureuse s’impose donc lors de l’utilisation des éponges en hygiène alimentaire.
Cela étant une technique de désinfection des éponges est proposée sur ce lien, Best ways to clean kitchen sponges, http://www.ars.usda.gov/is/pr/2007/070423.htm
Hugues JOURDAN Mercredi 19. Mai 2010 12:07
Penser aussi à utiliser les lavettes de couleur qui permettent de séparer en fct des zones ou en fct des utilisation
http://www.chicopee-europe.com/FR/foodservice.php?ProdId=102
en plus elle se lave à la machine.
VENDREDI 21 MAI 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
De la conception hygiénique et la nettoyabilité des
équipements, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=8745
O. Cerf Mercredi 2. Juin 2010 11:36
Le 2 juin 2010 16:25, Fatnassi Khemais <fatnassikhemais@yahoo.fr> a écrit :
bonjour , svp je cherche une norme ou une methode validée pour la désinfection par immersion dans l'eau bouillante des ustensiles en inox qui entre dans le contacte d'un produit fortement sucré commercialisé , de ph légèrement acides et d'AW faible (<6.8)
Je doute qu'une telle norme existe. Si les ustensiles sont d'abord nettoyés puis si la température atteint 100°C en tous points, il ne restera plus que des spores bactériennes. Il vous appartient donc de vérifier que cette température est atteinte, ce qui peut prendre plusieurs minutes pour des ustensiles massifs. Si la souillure est soluble, le nettoyage préalable n'est sans doute pas indispensable, mais l'eau du bain sera rapidement polluée.
Fatnassi Khemais Mercredi 2. Juin 2010 18:14
bonjour merci pour votre attenetion , noté bien svp que la désinfection ne donne pas des ustensiles steriles , l'objectif de la desinfection est de diminuer la charge bacetrienne jusqu'a 10exp5, je pense que le reste de qlq spores ne gene pas la qualité salubre du produit ( produit non perissable ) votre commentaire svp merci
SAMEDI 10 JUILLET 2010
FOOD
CONTROL 03/07/10 Comparative
Efficacies Of Various Chemical Sanitizers For Warewashing Operations
In Restaurants
a Department
of Food Science and Technology, Ohio State University, 2015 Fyffe
Road, Columbus, OH 43210-1007. USA
b Hobart Corporation 701 S. Ridge Ave.Troy, OH 45374. USA
VENDREDI
16 JUILLET 2010
NOSOTHEME -
Chaque trimestre, NosoThème fait le point sur un sujet
d'actualité. Cette revue de la littérature est
également publiée dans la revue Hygienes.
Au
sommaire:
NosoThème n°12 - Désinfection des locaux - mars 2010
MARDI
20 JUILLET 2010
PROCESS 20/07/10 Procédés
- La chasse aux poussières est ouverte
PROCESS 20/07/10 Le nettoyage sur courant alternatif
MARDI
10 AOUT 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Les joies du nettoyage,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=10971
Robert FENAUTRIGUES Jeudi 8. Septembre 2011 16:26
Auriez vous des informations récentes (>2004) pour l'homologation "contact alimentaire" des désinfectants?
Gilles TIXIER Jeudi 8. Septembre 2011 16:58
Merci pour cette question, car à plusieurs reprises j’avais posé la question, restée sans réponse, quant à la distinction entre :
. l’homologation des désinfectant (ou Autorisation de Mise sur le Marché) décernée par le Minstère de l’Agriculture suite à des essais d’efficacité (et autres ?) dans son labo de Fougéres, (quels sont les textes à la base de cette AMM
? AMM non obligatoire, mais qui permet une TVA à 5,5%
. l’homologation décernée par le ministère de l’Écologie, plus récente, et en relation avec REACH ? ou l’application de la Directive Biocides ?
La seconde homologation va-t-elle faire disparaître la première ?
Merci pour vos lumières. Elles permettrait de remettre à jour le document collaboratif mis en ligne sur le site de la Liste Hygiène : “ NormalNettoyageD-V8.ppt “ accessible à
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/documents_contributifs/
Robert FENAUTRIGUES Jeudi 8. Septembre 2011 17:31
Il y a 2 ans j'avais contacté le ministère de l'agriculture. Ils m'avaient indiqué qu'il fallait systématiquement rincer après désinfection sur les surfaces en contact alimentaire. Dans ce cas la notion de contact alimentaire pour un
désinfectant parait inappropriée. D'où ma recherche suite à une demande client....
Gilles TIXIER Jeudi 8. Septembre 2011 17:37
Apte au contact alimentaire (implicitement fortuit) ne signifie pas que c’est un produit comestible, il reste nocif à quelque part. Voir aussi le terme abusif d'alimentarité d’un matériaux ou d’un lubrifiant
Quelles sont les caractéristiques qui font qu’un détergent ou un désinfectant est “apte au contact alimentaire” et est incrit dans al liste posutive et qu’une autre mollécule ne l’est pas ?
ERIC KALINOWSKI Jeudi 8. Septembre 2011 18:53
Une piste sur la liste des usages des produits biocides, classés par types de produits:
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/liste-usages-biocides-04112010.pdf
Durant la période transitoire de mise en Å“uvre de la Directive "Biocide" 98/8/CE, la plupart des produits biocides ne nécessitent pas, préalablement à leur vente, d’autorisation de mise sur le marché (AMM).
Une fois que les substances actives qui composent les produits seront inscrites à l'Annexe de cette Directive "Biocide", ils seront soumis à l'autorisation du Ministère en charge de l'environnement: les stés devront soumettre des dossiers dont les données requises sont prévues dans l'Arrêté du 19 Mai 2004.
En attendant, pour certains produits, l’obtention d’une AMM transitoire délivrée par les Autorités administratives françaises compétentes, est un préalable nécessaire et suffisant à la mise sur le marché du produit
biocide en France.
Références donc:
-Loi n°2008-757 du 1er Août 2008 (article 9)
-Décret n°2009-1685 (autorisation transitoire)
-Arrêté du 13 Juillet 2010 (dossier AMM transitoire)
-Déclaration après lobtention de l'AMM:
https://www.declaration-synapse.fr/synapse/jsp/index.jsp
Florence Bertrand Vendredi 9. Septembre 2011 17:26
Pour les produits biocides concernés par l'article 9 de la loi n° 2008-757 du 1er août 2008 (AMM période transitoire) indiqués sur la liste des usages,on trouve le guide pour le dépôt des dossiers, les arrêtés et le Cerfa sur le site http://www.developpement-durable.gouv.fr/L-autorisation-transitoire-de-mise.html car le MEDDTL a repris les dossiers du MAP (je ne sais pas si ça change quelque chose au niveau de la TVA réduite).
Il y a aussi la déclaration des produits à faire sur Simmbad.
Enfin, il semble d'après un avis de l'Anses (http://www.anses.fr/Documents/MCDA2011sa0081.pdf ) que la DGCCRF prévoit de réviser l'arrêté peu lisible du 08/09/1999 (quelques constituants sont autorisés sans rinçage mais dans la section Ib). Affaire à suivre.
hantz.catherine Mardi 15. Novembre 2011 13:04
Je recherche vainement hormis la réglementation française ce qui oblige comme norme ou règlement européen sur la fabrication ou l'importation de produit d'entretien à contact alimentaire à préciser qu'il est fabriqué dans les règles
de l'art et qu'il est en effet bien à contact alimentaire.
Je parle bien sûr d'éléments hormis l'inscription sur le bidon de produit alimentaire.
Christophe LENTILLON Mardi 15. Novembre 2011 13:20
Pour qu'un produit de nettoyage et/ou de désinfection puisse être mis au contact d'une surface pouvant se trouver au contact de denrées alimentaires, il faut que l'ensemble des molécules entrant dans la composition du dit-produit soit repris sur une liste positive (parfois différente d'un pays à l'autre)...
Le fabriquant le mentionne sur l'étiquette sous sa responsabilité mais il y a très très peu de contrôle sur ce point (de mon retour d'expérience). Cette démarche s'apparente à une "auto certification".
hantz.catherine Mardi 15. Novembre 2011 13:39
Merci de votre réponse, c'est ce qu'il me semblait pour mes premières recherches. Coté France, j'ai un texte de 1999 en autre mais plus rien après. Je n'ai pas trouvé de liste plus exhaustive et plus actuel, ni de norme, permettant
de certifier les méthodes utilisées ni de garantir que les produits mis sur le marché respecte en autre l'évolution des subtances utilisées dans leur risque CMR.
Quelqu'un a t'il réussi à trouver quelque chose, méthode ou norme qui soit un passage obligé avant de pouvoir mettre sur le marché un produit d'entretien à contact alimentaire.
Jean Claude DAUDY Mardi 15. Novembre 2011 15:08
Les normes, tant francaises qu'europeennes existent pour les produits de désinfection
En voici la liste :
http://prodhybase.chu-lyon.fr/activites.asp
(on est bien d'accord qu'un produit de nettoyage ne peut y prétendre ?)
La liste de 1999 est me semble t'il la dernière à être parue (sans verifier)
Par ailleurs, il me semble être de la plus minime honnêteté qu'un fabricant indiquant sur son produit que son produit est conforme à la norme XXX, d'avoir fait les analyses correspondantes.
Il y a d'ailleurs des laboratoires spécifiquement accrédités pour cela : programme cofrac N°6 - (lab gta 19)
lieste des domaines d'activité du cofrac :
http://cofrac.fr/documentation/lab-inf-99
Gilles TIXIER Mardi 15. Novembre 2011 15:20
Je pense que deux thèmes sont abordés dans ces propos :
. l'aptitude au contact alimentaire d'un produit de nettoyage ou de désinfection (Liste positive de 1999, dernière version)
. la performance du désinfectant évalués selon des normes, par un laboratoire compétent
Un travail collaboratif avait été réalisé sur ce sujet, mais qui n'a pas été mis à jour entre temps,
>> mis en ligne sur le site de la Liste Hygiène :
>> “ NormalNettoyageD-V8.ppt “ accessible à
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/documents_contributifs/
Florence Bertrand Mercredi 16. Novembre 2011 0:22
Pour la partie biocide, pour le moment pour les substances actives des désinfectants pour les surfaces en contact avec les denrées alimentaires et les aliments pour animaux, on est en période transitoire. Donc chaque pays applique la réglementation qui lui est propre et il faut se renseigner pays par pays. Mais il faut vérifier tout d'abord que les substances actives sont listées à l'annexe II du règlement CE 1451/2007 pour le bon type de produit (TP 4) et qu'elles n'ont pas fait l'objet de décisions de non-inscription.
Pour la France, beaucoup d'usages désinfectants pour les surfaces en contact avec les denrées alimentaires et les aliments pour animaux nécessitent de constituer un dossier de demande d'autorisation préalable à la mise sur le marché désormais géré par le Ministère de l'environnement
Mathieu Colmant Mardi 15. Novembre 2011 14:02
Toute la gestion des produits chimiques au sein de l'Union Européenne se déroule maintenant dans le cadre du règlement REACH. J'admets volontiers que je ne suis pas un expert là-dedans et que tout n'est peut-être pas encore complètement en fonction dans le cadre de ce règlement, mais il remplacera tous les textes nationaux à brève échéance si ce n'est pas encore le cas.
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:32006R1907:FR:NOT
Gilles TIXIER Lundi 22. Octobre 2012 17:47
Dans le cadre de bionettoyage et désinfection, il est souvent entendu qu'il faut changer régulièrement de nature de désinfectant pour éviter de génétrer une acoutumance des microorganisme à un désinfectant. Cette préconisation est-elle fondée ?
Si c'est le cas, quels serait la ou les familles de désinfectants concernées et idem pour les microorganismes capable de s'acoutumer à un désinfectant ?
Merci pour vos lumières
Gilles TIXIER
O. Cerf Lundi 22. Octobre 2012 19:13
En effet on entend souvent dire cela.
Il y a dans les ateliers des endroits où les bactéries se réfugient et où l'eau s'accumule. Elles peuvent s'y développer tranquillement, car ces endroits ne sont pas atteints par les opérations mécaniques accompagnant l'application de produits de nettoyage, et les détergents et désinfectants y arrivent dilués. Donc les bactéries peuvent s'y adapter à des concentrations croissantes de désinfectant. Et leur descendance recontamine en permanence l'environnement de l'endroit où elles se réfugient.
Quand on change de désinfectant, on améliore momentanément la situation. Mais momentanément car la même séquence d'événements se reproduit.
Actuellement, certains utilisent la désinfection par voir aérienne, au moyen de gaz à forte activité désinfectante. Le gaz va partout, y compris dans les refuges à bactéries. Mais il faut arrêter la production et prendre des précautions pour la santé du personnel. Plus classiquement, on recommande que, dans les ateliers où on utilise en routine un désinfectant à spectre moyennement large, de faire à intervalle régulier une désinfection avec un produit à large spectre. L'acide peracétique est particulièrement approprié pour cela.
Dans des locaux sans recoins où les bactéries peuvent se réfugier, avec des équipements conçus en respectant les règles d'hygiène, et avec un désinfectant à spectre large utilisé à la bonne concentration, il n'y a pas de raison d'en changer. Cela fait beaucoup de conditions pas toujours réunies ...
William Hamiot Lundi 22. Octobre
2012 19:46
En complément à la réponse précédente
qui rappel avec justesse l'importance de la conception des locaux ainsi qu'il y a des facteurs d'efficacité à un bon nettoyage/désinfection (voir le cercle de Sinner), ce n'est pas tant les micro-organismes qui s'habituent aux désinfectants ou y résistent mais plutôt le spectre d'action du désinfectant utilisé qui, s'il n'est pas assez large, permettra à des souches non visées de se multiplier...
Il est donc conseillé pour éviter qu'un biofilm ne se forme, d'alterner entre des désinfectants à spectre différent (sinon l'alternance ne servirait à rien !)
Albert Amgar Lundi 22. Octobre 2012 21:16
Voir aussi ces éléments :
- Les désinfectants pourraient favoriser l’apparition de bactéries résistantes
- Persistance de Listeria monocytogenes dans les équipements et les locaux des entreprises alimentaires
- Does microbial resistance to biocides create a hazard to food hygiene? International Journal of Food Microbiology Volume 112, Issue 3 , 1 December 2006, Pages 275-279. http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0168160506002285
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