ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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THEME : Les additifs et les auxiliaires technologiques Principales références relatives aux additifs et auxiliaires technologiques accessibles via PEARLTREES. |
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Pages d’archives connexes |
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Les additifs et les auxiliaires technologiques aux Etats-Unis |
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Principales références relatives aux additifs et auxiliaires technologiques accessibles via PEARLTREES.
Date: Sun, 16 May 1999 09:45:28 +0200 De: FELTER
C'est la Fête du Pain.
Connaissez vous l'indice glycémique de la Baguette, Campaillette et autre Banette?
Non. Ah bon c'est 135 soit presqu'aussi élevé que le glucose. C'est à dire toxique selon les chercheurs qui mettent en cause les sucre rapides avant les graisses dans les pathologie cardio-vasculaires, (voir sciences et avenir de février).
Connaissez vous le nombre d'additifs autorisés en Boulangerie?
Environ une centaine, dont certains émulsifiants qui rendent panifiables n'importe quelle céréale.
Le développement des franchises en reprise de stations services désaffectées introduit un nouvel additif intéressant : le gaz d'échappement.
Beaucoup de ces franchisés pétrissent devant le client dans un souci de transparence et d'hygiène justement.
Devant le client et sa voiture moteur allumé.
On n'arrête pas le progrès.
Christian Felter
Ingénieur Agronome Consultant
Nice -
Annette Baptiste vendredi 28 juillet 2000 12:24
At 15:19 27/07/00 +1100, you wrote:
>Bonjour,
>Je suis
à la recherce de l'arrête du 2 octobre 1997 concernant
les
adiitifs alimentaires et plus particulièrement de ses
annexes.
>
>Merci par avance
>P.GOZZI
L'annexe fait près de 400 pages et une autre annexe modificative parue en septembre 1999 en fait plus de 150 ! Même avec beaucoup de bonne volonté, vous en envoyer des photocopies, serait long. Il vaut mieux vous adresser directement au services des Journaux Officiels, 26, rue Desaix Paris 15e.
Je pense que le texte est trop ancien pour être commandé
sur Internet (Legifrance), mais il vous reste le Minitel 3616 JOEL.
Les Archives Départementales archivent également
systématiquement les JO et peuvent vous en vendre des
photocopies. En principe, tout ça n'est pas très
cher.
Sincères Salutations
A. Baptiste
J. (Jan) A.M. Verhoeven vendredi 28 juillet 2000 19:48
Ici part de l'introduction en Français de ma première
publication imprimée (il y a aussi une seconde
publication concernant les
colorants et édulcorants). Aussi
par e-mail ou disquette.
Visiter
http://www.foodfocus.nl -->
publications.
gfchomette vendredi 4 août 2000 10:21
A sujet de la demande de P GOZZI sur additifs:
Il peut
contacter le Syndicat des producteurs d'additifs
SYNPA
Cordialement
G
CHOMETTE
Christelle JOUENNE jeudi 18 janvier 2001 11:51
Je suis à la recherche de bandelettes test pour le dosage
des chlorures dans les bouillons de cuissons, afin d'avoir un taux de
salage constant (les bouillons servent pour plusieurs cuissons).
Si
quelqu'un pouvait me donner des noms de fournisseurs potentiels.
b.laulanet jeudi 18 janvier 2001 11:22
Je connais l'existance de bandelettes chez Merck : test
"Merckoquant"
Chlorures.
Toutefois, les quantités
dosables m'échappent...
Arnaud DUNAND vendredi 19 janvier 2001 11:50
Allez voir du côté de CIFEC (92200 NEUILLY)
tél
: 01 46 40 49 49
Fax : 01 46 40 00 87
Attention aux autres
ions présents dans votre bouillon. S'il y a des nitrites par
exemple, vous ne pouvez utiliser certaines méthodes de dosage,
comme celles faisant appel au thiocyanate de mercure. Evitez aussi
les méthodes colorimétriques... (votre bouillon n'est
sans doute pas limpide).
Thiault Jean-Francis lundi 19 février 2001 16:32
Je suis à la recherche d'informations sur les plaquettes de
conservateurs pour le raisin de table.
Il s'agit de feuilles
de papier dans lesquelles sont emprisonnées des cristaux de
métabisulfite " NO2 SO2 O3", après
utilisation, c'est à dire disposées sur les colis de
raisin et conservés à +2/4° C pendant quelques
semaines, ces feuilles doivent être
détruites.
Que
se passe- t-il si elles sont brûlées,( risque de
pollution atmosphérique??) ou tout simplement jettées (
risque de pollution des eaux...)
Le fabriquant n'est-il pas tenu
de donner plus d'informations concernant la destruction voir la
récupération en vue d'un retraitement comme cela
commence à se faire pour les emballages de produits
phytosanitaires??? dans l'attente, recevez mes
salutations.
Jean-francis THIAULT.
Marianne lundi 19 février 2001 17:37
Si les feuilles sont brûlées, je suppose que ça
donne du dioxide de soufre, polluant atmosphérique bien connu,
et puis de l'acide sulfurique, fonte des monuments, mort des
forêts...
Si elles sont jetées à l'eau, je ne
sais pas très bien, sans doute aussi de l'acide
sulfurique.
Pour répondre de façon précise à
ces questions, j'espère que quelqu'un de plus compétent
que moi se manifestera.
Ce qui me concerne plus, c'est le contact
de ces feuilles imprégnées de sulfites avec les
raisins, qui en seront certainement imprégnés. Les
consommateurs n'en seront certainement pas avertis. Or l'allergie aux
sulfites provoque des crises d'asthme très graves. Les
sulfites sont parfois utilisés pour conserver entre autres des
charcuteries, mais le plus souvent l'étiquette ne renseigne
que le code (e221, 222, 223, 224, 225, 226), et rares sont les
personnes qui lisent les étiquettes. Lorsque les charcuteries
sont débitées à l'étal de la boucherie,
personne ne peut savoir. Je signale que les sulfites sont interdits
aux EU et dans d'autres pays hors
UE.
Date : Wed, 21 Mar 2001 23:45:32 +0100
Je transfère un extrait de la newsletter du SERGERYDOOR concernant les additifs
http://groups.yahoo.com/group/hygiene/message/5014
Myriam BENISSAD jeudi 7 mars 2002 16:11
je ne trouve pas dans la liste des additifs, le E202 et le
E262
quelqu'un aurait il des infos dessus ?
jnigeon jeudi 7 mars 2002 17:00
Le E202 est un conservateur, il s'agit du sorbate de potassium.
Son emploi n'est autorisé que dans certaines denrées
alimentaires. La quantité maximale autorisée varie en
fonction de la denrée alimentaire. (voir l'arrêté
du 2 octobre 1997)
Le E262 est l'acétate de sodium.
il est utilisé pour réguler le pH dans les aliments de
sevrage des nourrissons (il y a peut être d'autres usages, mais
je ne les connaît pas); Il n'y a pas de quantité
maximale d'emploi autorisée (voir aussi l'arr du 2-10-97)
marcsimonbreizh mardi 21 mai 2002 16:35
Je recherche des informations sur le polyricinoléate de
glycérol (E476). Quelle est son utilité? Peut-il
remplacé les lécithines (de soja)? Si oui y a t il un
intéret à utiliser un produit chimique
comme le E476
plutot qu un produit "naturel" comme la lécithine si
cette matière est tracé correctement non OGM?
mercredi 29 mai 2002 12:57
Voici un certain nombre de liens avec le sujet :
Food and
Chemical Toxicology
Volume (issue): 36 (9-10)
1998
http://www.elsevier.com/cdweb/journals/02786915/viewer.htt?vol=36&viewtype=issue&iss=9-10#S027869159800059
Polyglycerol
polyricinoleate
http://www.bryngollie.freeserve.co.uk/E476.htm
REPORT
FROM THE COMMISSION on Dietary Food Additive Intake in the European
Union
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sfp/addit_flavor/flav15_en.pdf
EFEMA
index of food emulsifiers (150
PAGES)
http://www.cefic.be/sector/efema/9911foodemulsi.pdf
DGCCRF
- À la demande d'un professionnel confronté à
une concurrence déloyale, le laboratoire de Massy a étudié
le polyricinoléate de polyglycérol dans le chocolat.
http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/01_presentation/activites/labos/1998/additif.htm?ru=01
FDA 02/04/99 Agency Response Letter GRAS Notice No. GRN
000009
http://vm.cfsan.fda.gov/~rdb/opa-g009.html
Observations
de la Communauté européenne destinées au Comité
du Codex sur les additifs alimentaires et les contaminants, La Haye,
mars 2001 - CL 2000/33 -
FAC
http://europa.eu.int/comm/food/fs/ifsi/eupositions/ccfac/archives/ccfac_item7b_fr.html
PGPR
- Small quantities, large
effect
http://www.lci-koeln.de/98_11.htm
Page
de l'université Louis Pasteur de
Strasbourg
http://science-citoyen.u-strasbg.fr/dossiers/additifs/html/liste/e476.html
Eric Bonnaire jeudi 27 juin 2002 13:05
Réponse à
"rachel.mabire" :
> Est-ce que quelqu'un
peut m'indiquer quels sont les effets sur la santé dus à
Xant(h)omonas campestris qui est à l'origine de la gomme de
xanthane ?
>
N'étant pas compétent en la matiere, je vous livre
simplement ce que j'ai pu trouver sur le sujet dans les deux ouvrages
suivants :
1) "Toxic-bouffe - Le dico" de Lionelle
Nugon-Baudon - JC Lattes 1997 - sorti en "poche" en 2001
("j'ai lu" n°7216). Bibliographie en fin
d'ouvrage.
Rien dans ce dico à gommes, xanthane,
épaississant... mais un article est consacré aux
carraghénanes, extraits d'algues rouges (rhodophycées)
qui ont "pas mal de points communs avec d'autres additifs de
même emploi, comme les gommes extraites de la graine de
caroube, les pectines végétales ou la gomme
arabique".
En résumé :
Molécules non
attaquées par nos enzymes digestives, auraient un rôle
favorable sur le transit. Utilisés dans le traitement
symptomatique de la constipation, pour la mucoprotection, comme
adjuvant de satiété dans les régimes
amigrissants.
A forte dose (15% dans le régime du rat)
:"effet potentialisateur sur l'apparition de tumeurs du côlon.
D'autres études plus récentes soupçonnent les
carraghénanes d'une action cocancérogène,
toujours chez l'animal. Enfin, et ceci même à doses
relativement plus faibles, l'ingestion de carraghénanes
s'était révélée ulcérante pour la
paroi digestive chez plusieurs espèces animales (rongeur,
porc, singe)". Mais chez l'homme ?
Cet ouvrage fait suite
à "Toxic-bouffe - Enquête sur les aliments
d'aujourd'hui" que je n'ai pas mais qui contient peut-être
d'autres informations sur ce sujet.
2) "Des poubelles
dans nos assiettes" de Fabien Perucca et Gérard Pouradier
(Lafon, 1996)
Les auteurs citent des expérience menées
sous Mao en Chine pendant la grande famine. Des brioches composées
de farines et de gommes auraient provoqué une véritable
hécatombe.
L'expérience sur les rats est à
nouveau citée ici avec les problèmes déjà
évoqués à partir d'une proportion de 15%. Les
gommes sont d'après les auteurs présentes dans un
nombre assez considérable de produits (certains yaourts,
jambons reconstitués, crèmes desserts, sauces, pizzas
surgelées... "En conséquence, il ne s'écoule
pas un jour sans qu'un individu "normal" franchisse la
barre des 15% de gommes." affirment même les auteurs,
évoquant un
lien possible avec les fréquentes
consultations à l'hôpital "pour des problèmes
de tuyauterie digestive encombrée".
Ca reste peut-être
à vérifier. (L'ouvrage est très virulent, et, à
mon sens, l'argumentation pas toujours très solidement
étayée).
mardi 9 juillet 2002 20:54
JOURNAL OF HEALTH SCIENCE Août 2001 Skin Reaction Induced by
Aldehydes for Food Flavoring
Agents
http://jhs.pharm.or.jp/47(3)/47(3).htm
polyconcept mardi 23 juillet 2002 18:33
Inscrite depuis peu sur cette liste, j'ai omis de me
présenter.
Je suis consultante dans un organisme de
conseil et de formation: je réalise des actions de formation
en hygiène alimentaire et accompagne des PME-PMI de différents
secteurs agroalimentaires dans la mise en place de la méthode
HACCP.
J'espère pouvoir apporter et trouver des réponses
dans ce forum.
Je vous soumets ma première
interrogation:
J'accompagne actuellement une confiserie dans la
mise en place de la méthode HACCP. Récemment un de
leurs clients leur a retourné tout un lot de bonbons vernis
pure gomme à la réglisse: certains sachets présentaient
une odeur de rance et/ou de savon et un goût d'ammoniaque et
/ou de savon.
Aucun défaut n'a été relevé
en cours de fabrication, l'huile utilisée pour vernir les
bonbons était conforme, de plus seuls certains sachets et non
pas tout le lot présentaient ce défaut.
Quelqu'un
pourrait-il m'éclairer?
brestovansky brigitte samedi 27 juillet 2002 20:43
bonjour Sandrine,
On se connait depuis un moment...,quand
je faisais l'étude de marché pour monter l'entreprise,
il se trouve que j'ai été RAQ d'une confiserie, il y a
parfois des problèmes dus à la mauvaise qualité
de la gomme arabique, il est souhaitable de prendre de la gomme
traitée plutôt que du vrac, éventuellement
demander les références à Gérard Magot,
dragées Pécou à Montauban.
Font ils des
contrôles de leurs matières premières ?
ont
ils un système d'acceptation des MP ?
Un audit serait
souhaitable, celà peut être rapide, en général
c'est un cumul de pbs : MP, organisation du travail, respect des
procédures et hygiène.
céline chollet mardi 30 juillet 2002 14:12
Je recherche des informations sur la procedure à suivre pour demander une autorisation d'utilisation pour un nouveau additif alimentaire. Cette procedure peut elle se faire uniquement en France? La fixation de la DJA est française ou Européenne?
Bernard Tailliez lundi 5 août 2002 05:56
En réponse à la question posée récemment
sur la liste Hygiene-L portant sur la procédure administrative
à satisfaire pour les
additifs alimentaires
:
Administrative guidance for the request of authorisation of
a food
additive(21KB)
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sfp/addit_flavor/flav16_en.pdf
Guidance
on submission for food additive evaluations by the Scientific
Committee on
Food(123KB)
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sc/scf/out98_en.pdf
bernard blanc samedi 28 décembre 2002 23:27
Je reçois cette question. Quelqu'un
peut-il répondre directement, avec copie à mon
intention ? Amitiés. Bernard Blanc.
Je suis une élève
de terminale S et je dois présenter pour le bac un exposé
dans le cadre des TPE (Travaux Personnels Encadrés). Le sujet
que mon groupe a choisi porte sur les conservateurs alimentaires et
plus précisément sur l'acide benzoïque. La tâche
qui ma été attribuée est d'expliquer les risques
sur
la santé que présentent de tels produits. Si
vous possédez des renseignements sur le sujet, vous serez-il
possible de me les faire parvenir à ElodieConvergne ?
dimanche 29 décembre 2002 20:04
Vous trouverez ci-dessous une sélection
de liens concernant l'acide benzoïque en tant qu'additif dans
les produits alimentaires.
AVIS SCIENTIFIQUES
OFFICIELS
_____________________________
DG SANCO -
Opinion of the Scientific Committee on Food on Benzoic acid and its
salts (expressed on 24 September
2002)
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sc/scf/out137_en.pdf
DG
SANCO - Opinion of the Scientific Committee on Food on Benzyl alcohol
(expressed on 24 September
2002)
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sc/scf/out138_en.pdf
OMS
- Benzoic acid and sodium benzoate (No. 26) (texte en
français)
http://www.who.int/pcs/cicad/summaries/cicad_26.htm#french
ARTICLES
SCIENTIFIQUES
________________________
QUEBEC PHARMACIE
AVRIL 2002 L'innocuité des excipients et le nouveau
né
http://www.quebecpharmacie.org/Archives/2002/avril/QP_avr02_326_8.pdf
REGLEMENTATION
AGRO-ALIMENTAIRE INTERNATIONALE ET RESULTATS DE PLANS DE
SURVEILLANCE
______________________________________________________________________________________________
MANUEL
DES NORMES ET DES MÉTHODES DES PRODUITS DU POISSON
ANNEXE
1
GUIDE DES ADDITIFS AUTORISÉS DANS LE POISSON ET DANS LES
PRODUITS DU POISSON
http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/fispoi/product/additi/guidef.shtml
ACIA 02/11/02 Réponse à la
question : Peut-on utiliser l'acide benzoïque et/ou ses sels
dans les oeufs de poisson salés ou le caviar même si ces
produits sont
pasteurisés?
http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/fispoi/product/questions/indexadditf.shtml
FOOD
LAW IN HONG KONG - Restrictions in relation to the sale, etc. of food
containing preservative or
antioxidant
http://www.info.gov.hk/fehd/safefood/foodlaw_pf.html
NEWSFLASH
08/07/00 AUSSIE BAN ON RP SAUCES
LIFTED
http://www.newsflash.org/2000/06/be/be001239.htm
RAPPORT
DE LA COMMISSION sur la consommation des additifs alimentaires dans
l'Union
européenne
http://europa.eu.int/comm/food/fs/sfp/addit_flavor/flav15_fr.pdf
Rapport
d'activité 2000 - LABORATOIRE INTERCOMMUNAL de CHIMIE et de
BACTERIOLOGIE
(Bruxelles)
http://www.licb.irisnet.be/FR/LICB2000FR.pdf
Arrêté
du 2 février 1993 relatif aux substances autorisées
pour la préparation, la coloration et la conservation de la
présure
http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=ECOC9200162A
Laurent
Poisson lundi 3 mars 2003 11:30
serge Dalmas a écrit :
> Peut on utiliser
n'importe quelle enzyme pour fabriquer n'importe quelle
>
ingrédient alimentaire ? Ou faut il que l'utilisation de
l'enzyme soit
> déjé répertorie dans la
fabrication d'es ngrédient alimentaire ? Existe
> des
textes législatifs qui régissent l'utilsation des
enzymes ? Si oui
> merci de me les indiquer
Les enzymes
sont des auxiliaires technologiques et leur utilisation en
alimentation humaine doit être incrite sur une liste positive
publiée au journal officiel. Cette liste précise le
microorganisme producteur de l'enzyme et le domaine d'application.
GALLACIER Jean Pierre lundi 3 mars 2003 13:39
Le décret du 15 avril 1912 modifié précise à
son article 1er :
Art. 1er - *6 - Il est interdit de détenir
en vue de la vente, de mettre en vente ou de vendre toutes
marchandises et denrées destinées à alimentation
humaine lorsqu'elles ont été additionnées de
produits chimiques autres que
ceux dont l'emploi est déclaré
licite par les arrêtés pris de concert par le ministre
de l'agriculture et du développement rural, le ministre de
l'économie et des finances, le ministre du développement
industriel et
scientifique et le ministre de la santé
publique sur l'avis de l'Agence française de sécurité
sanitaire des aliments. *14
L'arrêté relatif aux
enzymes est l'arrêté du 5 septembre 1989 modifié.
Je
l'ai chargé dans l'espace fichiers, il est donc disponible.
poyer_aline mardi 18 mars 2003 09:54
j'ai l'intention de commercialisé sur
la marché français de la poudre d'insectes sechée
(larves ténébrion meunier) en tant qu'aliment pour la
consommation humaine et je suis a la recherche du type de
conservateur que l'on doit y inclure et si d'autres éléments
doivent être aussi inclus dans la poudre pour la commercialiser
?
merci vivement pour vos réponses
O. Cerf mardi 18 mars 2003 16:45
Avez-vous une autorisation pour commercialiser
ce nouvel aliment (nouveaux
aliments = "aliments et
ingrédients alimentaires pour lesquels la
consommation
humaine a été négligeable dans la Communauté
avant le 15 mai
1997"). Voir le règlement (CE) n°
258/97 du Parlement européen et du
Conseil, du 27 janvier
1997, fixe les modalités relatives à l'autorisation
des
nouveaux aliments et des nouveaux ingrédients alimentaires.
lundi 21 avril 2003 22:05
Je transfère une série de questions :
QUESTION
N°1
Je me permets de vous écrire car je recherche
quelles sont les utilisations des émulsifiants de type
Sorbitan (de E491 à
E495). Dans quels produits alimentaires
peut-on en trouver ???
Réponse :
Une page qui traite
de ces
additifs
http://science-citoyen.u-strasbg.fr/dossiers/additifs/html/liste/e491s.html
lundi 21 avril 2003 22:45
SYNPA - Intérêt des additifs en alimentation humaine
http://www.synpa.org/scripts/fr/02information/02_ah_sch_interet_additifs.asp
Thomas Guillermou mercredi 23 avril 2003 15:24
Je cherche des informations sur la declarations (ingredient,
additif?) des hydrolysats de proteines vegetales en
alimentaire.
Quelqu'un saurait-il ce qu'il en est?
Nicole Coutrelis mercredi 23 avril 2003 16:21
Au plan légal, ce sont des ingrédients
ou des additifs selon l'usage .
Les additifs sont définis
comme ayant un but purement technologique alors que les produits
ayant un but autre (nutritionnel par ex.) sont des ingrédients.
Un même produit peut être les deux (par ex. des
caroténoïdes sont souvent des colorants autorisés
comme additifs, mais on les utilise aussi dans un but
nutritionnel). Selon l'usage, le statut du produit n'est pas le même.
Les additifs autorisés figurent sur une liste dite "liste
positive" fixée au plan communautaire et reprise en droit
français dans l'arrêté du 2 octobre 1997. Hors de
cette liste, les additifs ne sont pas autorisés et il faut
entreprendre une démarche (longue) pour faire obtenir l'ajout
d'un additif sur la liste.
Si c'est un usage nutritionnel, voir si
le produit est courant ou du moins déjà employé,
ou s'il est nouveau. Dans ce dernier cas, ce peut être un
"novel food" soumis à autorisation préalable
(procédure communautaire qui implique aussi kles autorités
nationales et , en France, l'AFSSA).
Dernière précision
: une autorisation comme additif ne vaut pas comme ingrédient
(et vice versa).
A voir donc de manière plus précise
en fonction de chaque produit et de son
utilisation.
Cordialement
Nicole Coutrelis
Avocat à
la Cour
55 Avenue Marceau - 75116 PARIS
Tel : 01 53 57 47
95
Fax : 01 53 57 47 97
"Thomas Guillermou" : Thursday, April 24, 2003 10:59 AM
Merci pour votre reponse.
Savez vous s'il existe un texte
reglementant ou definissant les conditions d'hydrolyse (acide /
enzymatique ..) des HVP et leurs declaration d'etiquetage
subsequente?
Laurent Weill jeudi 24 avril 2003 17:39
J'ignore si les conditions d'hydrolyse
sont réglementées, mais ce qui l'est c'est la teneur
maximale en 3-monochloro-propane-1,2-diol ou 3-MCPD un
contaminant qui peut se former lors de l'hydrolyse acide, selon les
conditions de la réaction. L'évolution vers les
procédés enzymatiques a été accélérée
par le problème posé par le 3-MCPD. (C.F.
Règlement (CE) n° 466/2001).
(attention
le règlement 466/2001 a été abrogé et
remplacé par le règlement
1881/2006)
Sabine Hamon jeudi 2 octobre 2003 14:05
Nous sommes fabricants de couscous. Au cours du process, nous
avons une phase de cuisson de la semoule par de la vapeur d'eau.
Sur
l'une de nos usines, cette vapeur est, non pas fabriquée par
une chaudière individuelle, mais achetée directement à
un fournisseur de vapeur d'eau. Celui-ci m'a informé qu'il
souhaitait rajouter dans sa vapeur un produit anti-corrosif : la
cyclohexylamine.
Etant donné que ce produit ne figure pas
dans la liste positive des auxiliaires technologiques autorisés
par la réglementation, je lui ai demandé de suspendre
sa décision, le temps que je me renseigne auprès de
l'AFSSA.
J'aimerais cependant m'assurer du fait qu'il ne met
toujours pas ce produit dans notre vapeur en la faisant
analyser.
L'un d'entre vous peut-il me conseiller sur un
laboratoire qui pratiquerait ce type d'analyses ?
Xavier COMBEAU jeudi 2 octobre 2003 14:47
Il existe une méthode de dosage de la Cyclohexylamine (cas
: 108-91-8) sur prélèvement d'air ou vapeur par GC-FID.
Le prélèvement peut être effectué sur un
tube XAD-7 imprégné de H3PO4 ou sur une solution de
barbotage spécifique.
Nous restons à votre
disposition pour tout complément d'information.
Asmaa FIKRY jeudi 30 octobre 2003 10:39
Je recherche à savoir si l'on doit considérer un
auxiliaire technologique comme un additif.
En effet, nous
utilisons un agent gras afin d'éviter l'adhésion de nos
produits à leur conditionnement. Cet agent de démoulage
est employé en quantité nécessaire et
suffisante.
Cet auxiliaire doit -il figurer dans la liste des
ingrédients? Que dit la législation?
Sandrine SIMONPIETRI. lundi 3 novembre 2003 09:57
Non, l'agent gras que vous utilisez n'est pas un additif.
Il
n'a donc pas à être mentionné dans la liste de
vos ingrédients.
Voir en cela le décret n°2001-725
du 31 juillet 2001 qui dit que "on entend par auxiliaire
technologique toute substance non consommée comme ingrédient
alimentaire en soi ou volontairement utilisée dans la
transformation des matières premières [...] et pouvant
avoir pour résultat la présence non intentionnelle de
résidus techniquement
inévitables de cette substance
ou de ses dérivés dans le produit fini". Vous êtes
exactement dans ce cas de figure !
Cela est d'ailleurs mentionné
en toute lettre dans l'annexe de ce même décret comme
"Catégories d'auxiliaires technologiques" : les
agents de démoulage.
EMMANUEL AUDEBERT lundi 5 avril 2004 14:57
Je recherche des informations réglementaires sur le
classement ou non des amidons transformés en tant
qu'additif.
L'arrêté du 2/10/1997 considère
que ces amidons sont classés comme des ingrédients
: j'ai trouvé cela dans un article mais j'aimerais avoir la
preuve officielle.
D'autre part :
Exemple : le
E1422 est un amidon transformé par voie chimique et
c'est un additif.
Dans ces conditions, seuls les amidons
modifiés par voie chimique seraient classés comme
additif
Alors que les amidons transformés par voie
enzymatique et physique resteraient des ingrédients.
Pouvez-vous
m'éclairer sur cette question ?
Anne marie FILLOUX lundi 5
avril 2004 21:09
Les amidons natifs sont
considérés comme ingrédients , les amidons
modifiés sont considérés comme additifs, je
pourrais vous passer les différentes classifications
Martin CAMUS mardi 15 juin 2004 05:08
quelqu'un pourrait-il me dire où je peux trouver les fiches de sécurité concernant les additifs alimentaires?
Jean-Paul SERVAIS mardi 15 juin 2004 06:28
Chez les fafriquants
charlottequalite Wed, 29 Jun 2005 08:15:28 -0000
Je
recherche des infos concernant les critères de pureté
des additifs
- je ne sais pas trop de quoi il s'agit (donc si
quelqu'un pouvait éclairer ma lanterne) et d'autre part,
existe t-il une liste car j'ai une dizaine de produit (E332, E440,
E413, E414, E150d, E330...)
Merci d'avance pour votre aide
précieuse.
Ville, Patrice Wed, 29 Jun 2005 11:11:20 +0200
Vous
trouverez des éléments sur les sites suivants:
http://europa.eu.int/comm/food/food/chemicalsafety/additives/comm_legisl_en.htm
Critères de pureté spécifiques pour les
agents émulsifiants, stabilisants, épaississants et
gélifiants
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/lvb/l21077.htm
Syndicat des producteurs d'additif: SYNPA
http://www.synpa.org/
stephaniepignon Mon, 03 Oct 2005 14:09:10
-0000
Quelqu'un pourrait-il me renseigner sur ce
qu'est un additif "carry over" ?
Bertrand CARLIER Mon, 3 Oct 2005 16:31:16 +0200
ce
lien vous convient-il:
http://www.admin.ch/ch/f/rs/817_022_31/a3.html
Ville, Patrice Mon, 3 Oct 2005 18:35:39 +0200
La
definition des additifs carry over est reprise à l'art 6-4 de
la DIRECTIVE 2000/13/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du
20 mars 2000 relative au rapprochement des législations des
États membres concernant l'étiquetage et la
présentation des denrées alimentaires ainsi que la
publicité faite à leur égardeuropéenne
sur l'étiquetage des aliments
Additifs (carry-over):
-
additifs dont la présence dans une denrée alimentaire
est uniquement due au fait qu'ils étaient contenus dans un ou
plusieurs ingrédients de cette denrée et sous réserve
qu'ils ne remplissent plus de fonction technologique dans le produit
fini,
Nicolas Rogard Mon, 03 Oct 2005 16:47:27 +0200
Les
additifs de transfert ou "carry over" sont des additifs
dont la présence dans une denrée alimentaire est
uniquement due au fait qu’ils étaient contenus dans un
ou plusieurs ingrédients de cette denrée. Ce peut être
le conservateur présent dans la sauce soja que vous utiliser à
hauteur de 2% dans votre produit fini par exemple. L'additif qui
jouait
un rôle dans la sauce soja ne joue peut être
plus de rôle dans votre produit fini._ _
_ _
Si ces
additifs ne jouent plus de rôle technologique dans le produit
fini, ils ne sont pas obligés de figurer dans la liste des
ingrédients. Directive 2000/13 sur l'étiquetage des
denrées alimentaire
LUCAS Guillemette Fri, 24 Mar 2006 12:44:54 +0100 (CET)
nanyzaza <nanyzaza> a écrit :
bonjour,
Si l'on déclare un additif en n° CE et non en
toutes lettres dans la
liste des ingrédients, doit-on le
compléter des lettres a ou ii
(exemple : E160 aii pour le
béta carotène)? Les lettres i sont elles
destinées
à l'étiquetage des produits finis ?
Bonjour,
Je serais tentée de répondre non (pas besoin de
rajouter les sous divisions du numéro CE qui n'apportent rien
en info au consommateur) mais ce n'est qu'un avis et donc ça
reste à confirmer...
Quelqu'un a-t-il une réponse
définitive ou un avis là dessus?
Dans cette
attente,
Cordialement,
Guillemette LUCAS
Hubert BAZIN Fri, 24 Mar 2006 13:16:04 +0100 (CET)
Dans
la mesure où les additifs sont différents, la lettre a,
b, etc. est importante. Le caramel E150 peut être préparé
avec de l'eau et du sucre, ou alors de l'eau, du sucre et de
l'ammoniaque, ou encore de l'eau, du sucre et des sulfites,... Il
FAUT pouvoir les différencier.
du temps où j'étais
responsable R&D, la DGCCRF nous avait obligé à
préciser les lettres.
Et tant pis si ça
n'informe pas le consommateur.
Tiens, à propos : quelqu'un
possède-t-il la réponse à une question qui me
turlupine depuis des années : pourquoi les producteurs de
dentifrice et de cosmétiques ont-ils le droit d'utiliser un
charabia latino-anglais pour donner la composition de leurs produits
? Aqua, c'est bien joli, mais est-ce "facilement compréhensible"
par le consommateur ? Et tous les produits listés avec des
lettres et des chiffres, à quoi correspondent-ils ?
Jean Claude DAUDY Thu, 18 May 2006 07:26:45
+0200
Quelques liens
additifs
http://www.homeoint.org/seror/additifs/
http://isimabomba.free.fr/additifs/additifs.htm
http://www.eufic.org/fr/food/pag/food27/food272.htm
http://ec.europa.eu/comm/food/fs/sfp/flav_index_fr.html(législation)
http://www.minefe.gouv.fr/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/fiches/c05.htm
Quelques liens étiquetage
sur
http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/04_dossiers/consommation/ficonso/alpha_e.htm
(voir en bas de la liste)
==========
Les informations
obligatoires
La dénomination de vente
Le nom ou la
raison sociale et l’adresse du fabricant
La liste des
ingrédients ou auxiliaires technologiques
Le poids net ou
volume net avec les unités de mesures légales
La
DLC ou DLUO
Les conditions particulières de conservation
Le
lieu d’origine
le mode d’emploi ou les précautions
d’emploi
Le titre alcoométrique volumique
Le
numéro du lot de fabrication
L’indication du
préemballeur ou de l’importateur en France
Les
indications exigées par le contrôle métrologique
Les informations facultatives (informations nutritionnelles -
allégations)
Et attention aux denrées destinées
à une alimentation particulière
cedric_lair Mardi, 20 Juin 2006,
J'aurais besoin de vos connaissances quant à un petit
soucis que je rencontre.
Dans le cadre de l'élaboration
de saumure pour la conservation de boyaux, je constate l'ajout de
sorbate de potassium dans la "recette".
Quid de la
nécessité de ce produit?
Celui-ci engendre un dépôt
qui m'oblige à trouver (sans succés pour l'instant) un
mélangeur tout inox. Aussi aimerais-je connaître
l'utilité du sorbate de potassium dans la préparation.
J'espère être clair puisque j'avoue aborder là
un domaine qui m'est étranger...
En attendant vos
lumières...Merci...
Sandrine Leon Wed, 21 Jun 2006 15:39:15 +0000 (GMT)
Le
sorbate de potassium pourrait etre un produit servant a améliorer
la viscosité du boyau. Celui-ci se se révèlerait
plus facile à l'utilisation pour l'embossage de certains
produits (amélioration de la "glisse"). Je connais
une boyauderie qui utilise une solution de sorbitol dans ce but, mais
leur mélangeur n'est pas en inox, et cela ne semble pas poser
de probleme particulier de dépot.
Mais n'étant pas
spécialiste non plus de cette activité, je ne suis pas
certaine que sorbate de potassium et sorbitol puissent avoir
exactement le meme role.
d'autres colistiers pourront surement
completer ma réponse.
Gilles TIXIER Wed, 21 Jun 2006 18:25:48 +0200
Je
crois savoir que le sorbate est un anti-bactérien en
alimentaire
On peut trouver du staphylocoque dans des
procédés mal maîtrisés en boyauderie : la
saumure de boyau se déconcentre par exsudation des boyaux
frais. Peut-être que le sorbate joue un rôle
d¹anti-bactérien.
J¹ai entendu parler qu¹on
en rajoute dans la farine de riz qui entoure les raviolis frais pour
neutraliser les coliformes fécaux habituellement contaminant
de cette farine. Pratique représentative ?
--
B.Pichetto Wed, 21 Jun 2006 16:28:22 -0000
Je
ne suis pas un pro des additifs, mais j'ai eu l'occasion de m'y
pencher sérieusement il y a quelques années et, dans le
cas qui nous occupe ci-dessous, il me semble qu'il y a confusion
entre E 420
Sorbitol (i) et sirop de sorbitol (ii) et E 202
Sorbate de potassium.
Si l'un et l'autre sont bien, ou étaient,
extraits des baies de sorbier, le premier est classé dans les
édulcorants, catégorie Polyols, alors que le second est
un conservateur organique, sel de l'acide sorbique, aux multiples
usages.
Pour toutes ces questions, je vous recommande la "bible"
des additifs (peut-être à remettre à jour...)
"Additifs alimentaires et auxilliaires technologiques" de
Manfred et Nicole Moll, Dunod éditions.
B.Pichetto
FNLS Wed, 05 Jul 2006 17:26:29 +0200
Michèle BOUN a écrit :
> Bonjour,
>
je fais appel à vos lumières concernant l'étiquetage
des additifs type
> sequestrant et correcteur d'acidité
dans les praparations de fruits.
> Mon fournisseur m'indique
que leur mention n'est pas olibgatoire sur
> l'emballage de
produits laitiers à base de fruits, mais qu'en-est-il
>
les produits non laitiers? et sur quel texte législatif
devons-nous
> nous baser? J'ai beau lire et relire la
directive 2000/13/CE du 20
> mars 2000 concernant l'étiquetage
et la présentation des denrées
> alimentaires
ainsi que la publicité faite à leur égard et les
actes
> modificatifs, je ne trouve pas de réponse.
>
Merci d'avance.
> Michèle
Bonjour,
Si vous consultez la fiche consommateur :
étiquetage des denrées alimentaires de la DGCCRF
http://www.minefe.gouv.fr/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/fiches/c01.htm
les additifs doivent être mentionnés, dont correcteur
d'acidité et séquestrant qui ont tous un code (E...)
Dans tous les cas vous devrez les faire figurer sur les produits
à destination du consommateur final.
Michèle BOUN Wed, 5 Jul 2006 16:47:13 +0000 (GMT)
merci pour votre réponse mais je connaissais
cette page: elle n'est pas précise, semble-til plus, ne fait
pas état par exemple des exceptions cités dans la
directive 2000/13/CE, ni des obligations des industriels. Elle semble
davantage destinée à l'usage des consommateurs.
Hubert BAZIN Wed, 5 Jul 2006 22:29:49 +0200
Je
croyais que c'était justement la règle de base : tout
dire au consommateur, afin qu'il choisisse ses produits avec les
informations utiles et claires. Donc on déclare TOUS les
ingrédients et TOUS les additifs; sur les produits laitiers
comme sur les autres. Pour les additifs, on peut choisir le code (par
exemple colorant: E150) ou sa désignation (toujours par
exemple colorant: caramel). Il y a un problème lorsque les
additifs des additifs doivent être indiqués : jusqu'à
quelle quantité doit -on descendre ? Mais examinez donc les
listes d'ingrédients des glaces genre cônes. Vous y
verrez beaucoup d'informations.
Les seules ingrédients
(qui justement n'ont pas cette appellation) "limite" sont
les auxiliaires technologiques. Les archives de la liste en
parlent.Si il fallait tout dire des "choses" qui entrent
par exemple dans la composition de la bière, on serait parfois
loin du "eau, malt, houblon !"
Michèle
BOUN Thu, 6 Jul 2006 09:07:13 +0000 (GMT)
je me
reprends : sequestrants et correcteurs d'acidité sont bien
utilisés en tant qu'auxilliaires technologiques et non comme
additifs pour la préparation de fruit en question (oups,
désolée, j'avais mal posé ma question). D'après
la directive 2000/13/CE, le correcteur d'acidité doit
obligatoirement être désigné sous le nom de la
catégorie suivi du n°CE mais pas le sequestrant. Outre la
définition, je ne trouve pas les obligations d'étiquetage.
Je voulais vérifier s'il existait une différenciation
préparations de fruits pour produits laitiers et produits non
laitiers.
Corinne Holley Thu, 6 Jul 2006 09:55:30 +0200
Ces
additifs sont ce qu'on appelle des "carry over". Ils n'ont
pas à figurer sur l'étiquetage car ils n'ont plus
aucune action dans le produit fini (ce qui doit être
démontrable).
Hubert BAZIN Thu, 6 Jul 2006 13:40:56 +0200
le
Carry over est encore différent de l'auxiliaire technologique.
Et on doit étiqueter les sulfites dans le produit fini, même
si ils sont entrés via cette règle du carry over, dès
lors que l'on dépasse 10 mg/kg. Ou bien si un des ingrédients
ou additifs a été traité par ionisation : il
existe 6 ou 7 sites d'ionisation en France, qui travaillent, et on ne
voit pas souvent le
petit logo indiquant le produit irradié.
Tout serait-il donc destiné à l'exportation ?
Michèle BOUN Thu, 6 Jul 2006 12:22:33 +0000 (GMT)
Mme Holley, auriez-vous une référence
législative correspondant aux "carry-over"?
M.
Bazin, dans le cas des sulfites, l'étiquetage est précisé
dans la Directive 2003/89/CE du 10 novembre 2003 (modifiant la
directive 200/13/CE) relative à lŽindication des ingrédients
présents dans les denrées alimentaires et la directive
2005/26/CE du 21 mars 2005 établissant une liste de substances
ou ingrédients provisoirement exclus de lŽannexe III bis de la
directive 2000/13/CE; et dans le cas de l'irradiation, aussi, dans la
Directive 200/13/CE du 20 mars.
Hubert BAZIN Thu, 6
Jul 2006 15:25:00 +0200
C'est exact.
Corinne HOLLEY Thu, 6 Jul 2006 15:44:53 +0200
Mme
Boun,
Il n'y a pas de référence réglementaire
qui définisse l'additif "carry over". La réflexion
doit se faire dans l'autre sens : en fait cet additif ne correspond
plus à la définition de l'additif (Décret 89-674
relatif aux additifs), il a juste été entrainé
dans le produit final alors qu'il n'avait une action que dans
l'ingrédient (à prouver).
Vous pouvez néanmoins
trouver quelques infos dans les documents de l'ANIA.
En ce qui concerne les auxiliaires technologiques, je suis
d'accord c'est
encore autre chose!
Guy Coudert Thu, 06 Jul 2006 18:00:23 +0200
Je
reviens sur la notion de catégorie d'additifs que donne la
2000/13 : catégories d'ingrédients qui sont
obligatoirement désignés sous le nom de leur catégorie
suivi de leur nom spécifique ou du n° CE.
Lorsque
vous consultez le Lamy il donne ceci :Définitions des
catégories d'additifs alimentaires
Au sens des
présentes dispositions, on entend par :
a) «
conservateurs », les substances qui prolongent la durée
de conservation des denrées alimentaires en les protégeant
des altérations dues aux micro-organismes ;
b) «
antioxygènes », les substances qui prolongent la durée
de conservation des denrées alimentaires en les protégeant
des altérations provoquées par l'oxydation, telles que
le rancissement des matières grasses et les modifications de
la couleur ;
c) « supports », y compris les
solvants porteurs, les substances utilisées pour dissoudre,
diluer, disperser ou modifier physiquement de toute autre manière
un additif alimentaire sans modifier sa fonction technologique (et
sans avoir elles-mêmes de rôle technologique) afin de
faciliter son maniement, son application ou son utilisation ;
d)
« acidifiants », les substances qui augmentent l'acidité
d'une denrée alimentaire et/ou lui donnent un goût acide
;
e) « correcteurs d'acidité », les
substances qui modifient ou limitent l'acidité ou l'alcalinité
d'une denrée alimentaire ;
f) «
anti-agglomérants », les substances qui, dans une denrée
alimentaire, limitent l'agglutination des particules ;
g) «
antimoussants », les substances qui empêchent ou limitent
la formation de mousse ;
h) « agents de charge »,
les substances qui accroissent le volume d'une denrée
alimentaire, sans pour autant augmenter de manière
significative sa valeur énergétique ;
i) «
émulsifiants », les substances qui, ajoutées à
une denrée alimentaire, permettent de réaliser ou de
maintenir le mélange homogène de deux ou plusieurs
phases non miscibles telles que l'huile et l'eau ;
j) «
sels de fonte », les substances qui dispersent les protéines
contenues dans le fromage, entraînant ainsi une répartition
homogène des matières grasses et des autres composants
;
k) « affermissants », les substances qui
permettent de rendre ou de garder les tissus des fruits et des
légumes fermes ou croquants, ou qui, en interaction avec des
gélifiants, forment ou raffermissent un gel ;
l) «
exhausteurs de goût », les substances qui renforcent le
goût et/ou l'odeur d'une denrée alimentaire ;
m)
« agents moussants », les substances qui permettent de
réaliser la dispersion homogène d'une phase gazeuse
dans une denrée alimentaire liquide ou solide ;
n) «
gélifiants », les substances qui, ajoutées à
une denrée alimentaire, lui confèrent de la consistance
par la formation d'un gel ;
o) « agents d'enrobage »
(y compris les agents de glisse), les substances qui, appliquées
à la surface d'une denrée alimentaire, lui confèrent
un aspect brillant ou constituent une couche protectrice ;
p)
« humectants », les substances qui empêchent le
dessèchement des denrées alimentaires en compensant les
effets d'une faible humidité atmosphérique ou qui
favorisent la dissolution d'une poudre en milieu aqueux ;
q)
« amidons modifiés », les substances obtenues au
moyen d'un ou plusieurs traitements chimiques d'amidons alimentaires,
qui peuvent avoir été soumis à un traitement
physique ou enzymatique, et peuvent être fluidifiés par
traitement acide ou alcalin ou blanchis ;
r) « gaz
d'emballage », les gaz autres que l'air, placés dans un
contenant avant, pendant ou après l'introduction d'une denrée
alimentaire dans ce contenant ;
s) « propulseurs »,
les gaz autres que l'air qui ont pour effet d'expulser une denrée
alimentaire d'un contenant ;
t) « poudres à
lever », les substances ou combinaisons de substances qui
libèrent des gaz et, de ce fait, accroissent le volume d'une
pâte ;
u) « séquestrants », les
substances qui forment des complexes chimiques avec les ions
métalliques ;
v) « stabilisants », les
substances qui, ajoutées à une denrée
alimentaire, permettent de maintenir son état
physico-chimique. Les stabilisants comprennent les substances qui
permettent de maintenir la dispersion homogène de deux ou
plusieurs substances non miscibles dans une denrée
alimentaire, les substances qui stabilisent, conservent ou
intensifient la couleur d'une denrée alimentaire ainsi que
les substances qui augmentent la capacité de liaison des
denrées alimentaires, y compris la réticulation entre
protéines permettant la liaison de morceaux d'aliments dans
les aliments reconstitués ;
w) « épaississants
», les substances qui, ajoutées à une denrée
alimentaire, en augmentent la viscosité.
x) «
agents de traitement de la farine », les substances qui,
ajoutées à la farine ou à la pâte,
améliorent sa qualité boulangère (Arr. 2 oct.
1997, art. 9, JO 8 nov., p. 16265 modifié par Arr. 21 juill.
2004, JO 15 août, p. 14502).
Les définitions
ci-dessus ont une grande importance. En effet, sauf exception de
certains conservateurs et anti-oxygènes, la catégorie
de l'additif n'est pas précisée dans les annexes de la
directive. Or, les dispositions relatives à l'étiquetage
des denrées alimentaires prévoient la mention de la
catégorie de l'additif en complément de son nom (ou de
son numéro).
J'en conclus que si les séquestrants
ne figurent pas sur la liste de la directive, l'interprétation
qu'en donnent les pouvoirs publics français c'est qu'ils
forment bien une catégorie et qu'à ce titre ils doivent
figurer sur l'étiquette. Quand aux mentions qui doivent
figurer sur l'étiquettage des produits intermédiaires
il doit pouvoir renseigner l'industriel qui mettra le produit final
sur le marché. En ce qui concerne votre question entre
produits laitiers et non laitiers, avez-vous le texte consolidé
de la 2000/13? Car il me semble suffisamment explicite.
Gilles TIXIER Thu, 06 Jul 2006 19:41:33 +0200
Concernant les ³carry-over²,
J¹avais
conservé un message, probablement de la liste, mais dont je
n¹ai pas l¹origine,
Sans garantie de fiabilité,
je vous le transmets :
carry-over
La definition des
additifs carry over est reprise à l'art 6-4 de la
DIRECTIVE
2000/13/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 20 mars 2000
relative au rapprochement des législations des États
membres concernant l'étiquetage et la présentation des
denrées alimentaires ainsi que la publicité faite à
leur égardeuropéenne sur l'étiquetage des
aliments Additifs (carry-over) :
- additifs dont la présence
dans une denrée alimentaire est uniquement due au fait qu'ils
étaient contenus dans un ou plusieurs ingrédients de
cette denrée et sous réserve qu'ils ne remplissent plus
de fonction technologique dans le produit fini,
Les additifs
de transfert ou "carry over" sont des additifs dont la
présence dans une denrée alimentaire est uniquement due
au fait qu?ils étaient contenus dans un ou plusieurs
ingrédients de cette denrée. Ce peut être le
conservateur présent dans la sauce soja que vous utiliser à
hauteur de 2% dans votre produit fini par exemple. L'additif qui
jouait un rôle dans la sauce soja ne joue peut être plus
de rôle dans votre produit fini._ _
_ _
Si ces additifs
ne jouent plus de rôle technologique dans le produit fini, ils
ne sont pas obligés de figurer dans la liste des ingrédients.
Directive 2000/13 sur l'étiquetage des denrées
alimentaire
Michèle BOUN Fri, 7 Jul 2006 14:35:23 +0000 (GMT)
merci à tous ceux qui m'ont aidé. Je
pense avoir trouvé la réponse dans la directive 2000/13
(à force d'avoir le nez dessus, on lit sans lire et on s'y
perd!): article 6, alinéa 4 paragraphe c): "Ne sont pas
considérés comme ingrédients: (...) ii) les
additifs qui sont utilisés en tant qu'auxiliaires
technologiques." Ainsi, j'en conclus, peut-être me
trompe-je, le correcteur d'acidité et le sequestrant utilisés
en tant qu'auxiliaires technologiques n'ont pas obligation à
être énumérés dans la liste des
ingrédients quelque soit la nature du produit dans lequel ils
sont mis en oeuvre.
Cordialement, (bon we, bon match),
Je veux savoir est ce que le sorbate de potassium ( E202 ) est
autorisé pour l'utiliser comme agent conservateur dans les
pâtisseries et les biscuits?
Si c'est oui, avec quelle dose
( mg/kg )? Et quelle est la durée de conservation pour la
denrée ensuite?
Pouvez vous me donner la référence?
CàD LA NORME selon le codex alimentarius et les sites internet
nécessaires, et je serai
Un oeil sur les archives
?
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/msearch?query=sorbate&pos=20&cnt=10
suite sujet: additif abordé, il y a peu ,
sur cette liste, il me semble important de visiter cette
page
http://www.foodstandards.gov.au/thecode/assistanceforindustry/userguides/index.cfm
donc
User Guide - Ingredient
Labelling
http://www.foodstandards.gov.au/thecode/assistanceforindustry/userguides/ingredientlabelling.cfm
User Guide - Food Additives
http://www.foodstandards.gov.au/thecode/assistanceforindustry/userguides/foodadditives.cfm
Josiane Thomazi Mercredi 28. Mars 2007 12:59
Je me présente, je m'appelle Josiane Thomazi et je suis
responsable qualité dans une usine des gâteaux au
chocolat.
J'ai un doute par rapport la liste d'ingrédients
de l'une de nos références : il s'agit d'un gâteux
au chocolat avec une inclusion de compotée de framboise.
Dans
la compotée, on n'ajoute pas des additifs, les ingrédients
de la compotée sont des fruits surgelés et une espèce
de sirop à base de framboise qui contient des additifs.
Selon
la législation :
Ne sont toutefois pas considérés
comme ingrédients:
ii) les additifs:
— dont la
présence dans une denrée alimentaire est uniquement due
au fait qu'ils étaient contenus dans un ou plusieurs
ingrédients de cette denrée et sous réserve
qu'ils ne remplissent plus de
fonction technologique dans le
produit fini,
Donc je doute vraiment si je dois ajouter dans
la liste d'ingrédients les additifs contenu dans le sirop de
framboise, vu que dans notre compotée l'arôme, la
couleur et la texture de framboise sont apportes en grand partie par
les fruits surgelés ajoutés.
Merci d'avance.
Antoine Vinot Mercredi 28. Mars 2007 14:05
une des questions à poser est la présence d'un
additif considéré comme allergène (annexe 3,
directive 2000/13 CE) dans le sirop de framboise.
Dans ce cas la
mention est obligatoire.
Pour le reste, tout dépend de
l'interprétation à donner à votre "apporté
en grande partie par les fruits" : ce rôle est il
mesurable et vérifiable ? quel est le pourcentage de sirop
?
Cela reste à mon avis à votre interprétation...
Isabelle Damour Jeudi 29. Mars 2007 13:08
Je suis d'accord c'est le pourcentage du sirop et par la meme,
celui de l'additif dans le produit fini qui est a prendre en compte.
Votre fournisseur de sirop de framboise doit normalement pouvoir vous
indiquer quel etiquetage est necessaire ( par exemple via la Fiche
Technique).
chanson eau Vendredi 13. Avril 2007 11:02
Je travail dans une biscuiterie, on utilise un certains nombre d'additifs, je cherche à stocker ces additifs dans des citernes.
Je veux savoir la nature des materiaux (aluminium ...) utilisées pour le stockage des additifs alimentaires de telle façon qu'il n y'aura aucune réaction chimique entre ces additifs et les constituants des citernes (corrosion...).
jean sawadogo Vendredi 13. Avril 2007 13:08
bonjour.si je comprend ta question il faudra nous preciser la composition de tes additifs?
ghizlane Vendredi 13. Avril 2007 14:07
L'aluminium est l'un des métaux les plus utilisés et
aussi l'un des composés les plus fréquemment trouvés
dans l'écorce terrestre. De ce fait, l'aluminium est
communément utilisé comme un composé innocent.
Pourtant lorsqu'on est exposé à de fortes
concentrations, il peut engendrer des problèmes sur la santé.
La forme soluble dans l'eau de l'aluminium, c'est-à-dire les
ions, est la plus nocive. En général, on trouve ces
ions aluminiums en combinaison avec d'autres ions, par exemple sous
forme de chlorure d'aluminium. L'aluminium est quasiment insoluble
dans l'eau à des pH supérieurs à 6. En revanche
sa solubilité croît rapidement en milieu acide.
On
peut absorber l'aluminium par l'intermédiaire de la
nourriture, en respirant ou par contact avec la peau. Une absorption
pendant une longue période peut entraîner de sérieux
problèmes sur la santé, tels que:
- Dommages au
niveau du système nerveux central
- Démence
-
Perte de mémoire
- Apathie
- Tremblement
En général
l’aluminium est combiné avec d’autres matériaux,
voir les alliages cités au-dessous :
Groupe
Aluminium ou
alliage
1
Aluminium pur ( teneur en aluminium supérieure
à 99,00 %
2
Alliages Aluminium – Cuivre
3
Alliages
Aluminium – Manganèse
4
Alliages Aluminium –
Silicium
5
Alliages Aluminium – Magnésium
6
Alliages
Aluminium – Magnésium – Silicium
7
Alliages
Aluminium – Zinc
8
Autres alliages d’aluminium
En
bref, je trouve qu’il est déconseillé d’utiliser
ce métal, Mais il faut voir s’il est combiné ou
non et aussi sa portion (voir les normes). Actuellement toutes les
industries agroalimentaires qui cherchent la qualité,
utilisent l’acier inoxydable (et s’il n’est pas en
contact avec le chlore bien sur).
merci superghizlane, pouvez vous m'indiquez ou je peux trouver les normes sur les materiaux en aluminium.
bernard borde Vendredi 13. Avril 2007 18:15
Je crois qu'il faut faire attention a tout ce qu'il se dit et
s'ecrit sur l'aluminium
Bien entendu, le principe de precaution
doit s'appliquer dans tout les cas
Le fait de ne pas utiliser
d'aluminium en IAA est surtout du au pb de corrosion. POINT
Au
niveau transformation, en IAA, on n'utilisera pas d'aluminium pour
les raisons précitées
Les produits de nettoyages
sont de plus en plus corrosifs, il suffit de voir les inox !!!
Ils
souffrent
Je souhaite aussi souligner que de nombreuses études
de tox ont été effectuées. ne pas confondre,
alun, aluminium et alumine. Les toxicités sont totalement
différentes
rictetegan Vendredi 13. Avril 2007 19:16
Je vous recommande d'utiliser du matériel innox
palombier Vendredi 13. Avril 2007 22:40
Pouvez-vous nous renseigner sur les réactions possibles de "l'inox" (Nickel, chrome) avec certains éléments chimiques présents en cuisine ( chlore, ammoniaque ... soufre...)
Antoine Vinot Vendredi 13. Avril 2007 13:51
vous devriez vous tourner vers vos fournisseurs d'additifs qui
devraient pouvoir
vous répondre et éventuellement
croisez leurs réponses avec les fournisseurs de cuve.
en
complement, il y a eu il y a quelques jours l'adresse du syndicat des
additifs communiquée sur le forum. regardez dans les archives
delphinecesard Lundi 25. Février 2008 12:35
qq'1 aurait il la liste des additifs autorisés au Japon?
et cette même liste pour les USA?
epicurien.com Lundi 25. Février 2008 12:43
Bonjour,
pour le Japon voir le lien suivant :
http://www.ffcr.or.jp/zaidan/FFCRHOME.nsf/pages/e-foodadditives
Nadege Grosjean Lundi 25. Février 2008 13:49
Pour les USA, vous trouverez des informations sur le site de la FDA :
http://www.accessdata.fda.gov/scripts/cdrh/cfdocs/cfcfr/cfrsearch.cfm
Julien NATTIER Mercredi 25. Février 2009 14:00
Voir la norme du codex suivant catégorie d’aliments
Page 148 du lien ci-dessous
http://www.codexalimentarius.net/gsfaonline/CXS_192f.pdf
Julien NATTIER
Service Qualité - Approvisionnement
DYNAMIQUE PROVENCALE
Tel : 04.42.29.64.63
<mailto:julien.nattier@dynamique-provencale.fr>
julien.nattier@dynamique-provencale.fr
Complément de BP:
Quelques références dans le moteur INSTITUTIONNELS:
Ainsi que dans Galateepro:
Arrêté du 15 mars 1988 relatif à l'emploi des sorbates de calcium et de potassium sur les papiers d'emballages de certains fromages frais
http://galateepro.agriculture.gouv.fr/docs/textes/1769.doc
Arrêté du 13 février 1992 fixant la liste et les conditions d'incorporation des additifs aux aliments pour animaux.
http://galateepro.agriculture.gouv.fr/docs/textes/3355.doc
Arrêté du 9 novembre 1994 relatif aux matériaux et objets en caoutchouc au contact des denrées, produits et boissons alimentaires.
http://galateepro.agriculture.gouv.fr/docs/gal/6560.doc
Solene FRANCOIS Vendredi 27. Février 2009 11:23
Je vous remercie pour le lien vers le Codex.
En le consultant, je remarque que le sorbate de potassium n'est pas mentionné pour l'utilisation sur légumes. Cela signifie t-il qu'il soit interdit? (dans le sens s'agit-il d'une liste exhaustive de catégories d'aliments?)
Apres plusieurs recherches, j'ai noté que ce produit était utilisé par beaucoup de grands industriels des crudités, mais j'ai l'impression que cette utilisation est liée à l'ajout de sauce. Dans notre cas, il s'agit de carottes sans assaisonnement.
Savez ou je pourrais me renseigner sur l'autorisation (ou non) de ce produit sur du légume seul?
louisiane.raymond Mercredi 15. Juillet 2009 11:50
Nous sommes actuellement en étude pour des carpaccios de viandes provenant de Hollande et contenant dans leur liste d'ingrédients des transglutaminases.
Pour savoir si cette enzyme alimentaire était autorisée en France, je me suis basée sur l'Arrêté du 19 Octobre 2006 (relatif à l'emploi d'auxiliaires
technologiques dans la fabrication de certaines denrées alimentaires).
Cet arrêté, dans son annexe IC, m'énonce que "l'autorisation [de la transglutaminase] est limitée à la fabrication de produits vendus à l'état cuit,
le traitement thermique appliquée sous la responsabilité du fabricant devant assurer l'inactivité de l'enzyme"
Mais qu'en est-il si la fabrication est réalisée en Hollande, où cette enzyme est autorisée ?
Est-ce uniquement la fabrication qui est concernée par cet arrêté ?
J'ai déjà mon opinion sur la question, étant donné que ces carpaccios sont vendus crus, l'enzyme n'est pas inactivée...
Je cherche donc votre support dans ma réflexion, votre expérience, votre expertise.
Merci d'avance.
Louisiane R.
Hubert BAZIN Mercredi 15. Juillet 2009 13:34
je n'ai pas la réponse à la question, mais un petit test simple devrait permettre de valider l'activité de l'enzyme : comme les tranches de carpaccio
sont très fines, et qu'elles sont posées les unes sur les autres, la transglutaminase http://en.wikipedia.org/wiki/Transglutaminase devrait les coller les unes aux autres ? Si on peut les détacher facilement : l'enzyme n'est plus active...
Ceci dit, je comprends peut-être mieux des phénomènes de tranches collées (sur du jambon cru notamment) que j'ai pu observer ...
christian villaume Mercredi 15. Juillet 2009 16:36
Contactez la DGCCRF qui est gestionnaire du risque.
Bernard PICHETTO Mercredi 15. Juillet 2009 18:26
Sans vouloir polémiquer, il ne semble pas que la dgccrf soit "gestionnaire de risque"...
Concernant l'enzyme elle-même, vous parlez "d'auxiliaire de technologie" et en même temps d'une indication dans la "liste d'ingrédients", ce qui me semble incompatible...
Soit elle sert d'auxiliaire technologique et, dans ce cas, on ne doit pas en retrouver trace, ou quasiment pas, dans le produit fini, soit c'est un additif
ou autre ingrédient et vous ne pouvez pas vous appuyer sur la législation des auxiliaires.
louisiane.raymond Jeudi 16. Juillet 2009 9:08
A vrai dire, c'est mon avis aussi. La présence de cette transglutaminase dans la liste d'ingrédient me faisait tiquer.
En fait d'après les informations de mon fournisseur (soit sa liste d'ingrédients), cela serait un additif.
Mais suite à mes recherches dans la législation/règlementation, je me suis plus approchée de la définition: enzymes alimentaires soit auxiliaire technologique.
Serais-je dans le faux ?
En fait comment cette enzyme pourrait être considérée comme additif d'un côté, ou auxiliaire technologique de l'autre ?
Serais-ce juste sa présence/absence ou activité/inactivité dans le produit final qui détermineraient son statut ?
Bon un éclaircissement de mon fournisseur semble aussi indispensable à ce stade.
Enfin il me reste toujours une interrogation sur cet Arrêté du 19 Octobre 2006, il ne parle que d'autorisation pour la fabrication, mais comme je le disais auparavant, le fournisseur est hollandais.
Par logique je dirais bien que ces autorisations/interdictions pour la fabrication de denrées alimentaires s'étant à la commercialisation en France.
Qu'en pensez-vous?
Ibti Azeba Jeudi 20. Août 2009 15:03
La question des conservateurs ajoutés aux aliments me préocupe depuis qu'un dermatologue m'a recommandé d'éviter cette sorte d'aliments; cela doit signifier sans doute que ces conservateurs sont en cause de quelques problèmes de santé, devenant graves à long terme,
Etant consommateurs, que devons nous savoir sur les additifs aromatisés, les conservateurs et tous ces formules inconnues qu'on nous ajoute à nos produits alimentaires.
Merci!
Complément de BP:
EUFIC - Les additifs alimentaires (EUFIC)
http://www.eufic.org/article/fr/page/BARCHIVE/expid/basics-additifs-alimentaires/
Autres références dans le moteur CONSERVATION DES ALIMENTS
jnjoffin Vendredi 21. Août 2009 9:41
Ibti Azeba a écrit :
>
>
> Bonjour à tous,
> La question des conservateurs ajoutés aux aliments me préocupe depuis
> qu'un dermatologue m'a recommandé d'éviter cette sorte d'aliments;
> cela doit signifier sans doute que ces conservateurs sont en cause de
> quelques problèmes de santé, devenant graves à long terme,
> Etant consommateurs, que devons nous savoir sur les additifs
> aromatisés, les conservateurs et tous ces formules inconnues qu'on
> nous ajoute à nos produits alimentaires.
> Merci!
>
> Complément de BP:
> EUFIC - Les additifs alimentaires (EUFIC)
> http://www.eufic.org/article/fr/page/BARCHIVE/expid/basics-additifs-alimentaires/
>
> Autres références dans le moteur CONSERVATION DES ALIMENTS
Lier systématiquement conservateur ou plus généralement additifs à allergène ou poison n'a aucun sens.
Il faut arrêter de délirer sur la dangerosité de produits anodins et colporter des informations non scientifiques sur des additifs utilisés depuis longtemps et très utiles à la sécurité alimentaire et ne pas oublier que la dose (ou la concentration) a une certaine importance pour déterminer le risque éventuel pris par le consommateur.
Un exemple parmi d'autres : l'addition des nitrites dans les jambons permet de réduire le risque botulisme, mais induit un risque cancer. Le choix réalisé pour ces raisons sanitaires (mais aussi de coloration) est de limiter à certaines doses la teneur en nitrites des jambons. On voit ainsi combien le problème des additifs est complexe et nécessite un équilibre subtil entre différents risques.
N'oublions pas non plus que tous les médicaments contiennent des additifs (et en particulier des colorants).
Il est bien évident qu'éviter l'utilisation d'additifs inutiles est tout à fait légitime et nécessaire. Mais de grâce, conservons ceux qui sont utiles et évitent des intoxications alimentaires...
Cordialement,
jnj jofin
iufm_charcuterie Vendredi 21. Août 2009 12:31
Bonjour M. Joffin,
Peut-être ne faut-il pas jeter aux orties tous les additifs alimentaires, mais la justification selon laquelle les additifs servent à la sécurité alimentaire me semble un peu rapide et exagérée. Vous prenez l'exemple du nitrite et du botulisme et je ne peux dans ce cas qu'aller dans votre sens.
Mais vous dites que c'est un exemple parmi d'autres, et bien moi j'aimerais connaitre les autres. Moi je n'en vois pas, mais je ne suis pas un spécialiste.
Et pour ce que j'en sais, ces produits servent principalement à l'IAA et très peu à l'artisanat. Ils ont fait leur apparition en même temps que ces industries se développaient. Il a d'ailleurs fallu légiférer car celles-ci en usaient et en abusaient.
Pour rester dans le jambon, les Polyphosphates ont quelle utilité ?
Je ne pense pas que la raison première des additifs soit la sécurité alimentaire, les principales raisons sont économiques (produire à moindre cout) et technologiques (réaliser un produit qui voyage facilement, se conserve longtemps, présente bien, etc.)
Sinon comment expliquer que j'arrive à faire du jambon cuit avec pour seul additif du salpêtre alors que l'IAA doit y ajouter tant de produits. Pensez vous que mon jambon vous rendra malade plus facilement que l'industriel ?
jnjoffin Vendredi 21. Août 2009 13:41
Nous sommes tout à fait d'accord sur le fait que les additifs doivent être contrôlés et éliminés s'ils ne sont pas utiles. Ils ne servent évidemment pas qu'à limiter le risque sanitaire.
Dans les différents produits ajoutés aux produits alimentaires lors de la fabrication on distingue :
* des auxiliaires technologiques normalement absents du produits final (comme des enzymes, des antiadhérents, des solvants)
* des additifs (colorants, édulcorants, conservateurs,...)
* des arômes
* des produits autres que les trois catégories précédentes (gélatine, produits de carbonisation du bois, protéines végétales)
Tous ces produits ont un intérêt, parfois économique. On ne peut faire du café décaféiné sans solvant (on peut discuter de l'intérêt du déca...). Pour conditionner le sel il faut des antiagglomérants etc...
Rejeter tout produit d'addition n'est pas possible, même si certains d'entre eux, en particulier les arômes ajoutés, sont particulièrement contestables. Dans le cas des colorants, n'oublions pas les échecs des sirops vert pâle.
Pour revenir aux additifs conservateurs, ils ont pour effet de prolonger la vie des produits (peut-on s'en plaindre ?) donc de limiter les pertes ou de permettre un stockage prolongé des produits. Ils peuvent aussi éviter de graves TIAC. Leur utilisation poursuit donc plusieurs buts.
Dans le cas des polyphosphates, je ne sais leur rôle technologique mais ils semblent utile pour capter de l'eau vendue au prix du jambon... Je
ne doute pas qu'un colistier puisse nous dire le rôle de ce produit.
Quant au jambon... il est souvent reconstitué ce qui explique peut être l'utilisation de produits particuliers.
Ibti Azeba Samedi 22. Août 2009 18:00
En réponse à toutes les interventions faites au sujet des conservateurs je vous ajoute une petite remarque que j'ai faite et qui pousse mes interrogations encore plus loin; pendant un voyage que j'ai effectué cette semaine, j'ai pris sur la route un coca pour me rafraîchir, en lisant les composants j'ai trouvé une note écrite en gras et carractère plus lisible que le reste ( UNE BOISSON SANS CONSERVATEURS NI AUCUNS D'AUTRES ADDITIFS)!
Quoi donc?! On peut prendre nos produits sans conservateurs? où est alors l'utilité de ceux-ci s'il est possible de ne pas les ajouter? et si c'est une autre façon de jouer avec choix des consommateurs? il faut que ça s'arrête! je sens que la même manière dont on nous a introduit dans nos cuisines du lait ecrémé puis du yaourt 0% et récemment des plats bio, c'est le tour des produits sans additifs avec biensûr un prix plus cher que celui du produit avec additifs "devenant normal"!
Bernard PICHETTO Monday, June 14, 2010 10:41 AM
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, <zabelwzabel@...> a écrit :
>
> bonjour,
>
> Existe t il un seuil limite à ne pas dépasser pour les anti mousses et les enzymes utilisés dans les process alimentaires ?
> ou
> Faut il que les certificats alimentaires des auxiliaires techno stipulent clairement les concentrations maximum à ne pas dépasser dans les matrices alimentaires?
>
> Merci de vos réponses
>
> sincères slts
>
> Zabel Wolfgang
>
Bonjour,
Le principe des auxiliaires technologiques est de ne pas les retrouver en fin de process, si ce n'est à l'état d'infimes traces techniquement inévitables :
Cordialement,
Bernard.
Hubert BAZIN Lundi 14. Juin 2010 19:24
c'est absolument vrai ... sur le papier. Pour les anti-mousses, il n'est pas prévu de les retirer du produit, et on retrouve la totalité de l'antimousse dans le produit fini, et il continue bien entendu à faire effet. Exemple : antimousses ajoutés lors de la concentration des jus d'ananas ou de cassis, qui sont indispensables à ce stade (ou alors, on ne fait plus de concentrés sous pression réduite) : ils se retrouvent dans le jus final (pour peu que l'on souhaite les retrouver)...
Bernard PICHETTO Mardi 15. Juin 2010 10:34
Et dans ce cas, il est indiqué dans la liste des ingrédients ?
Hubert BAZIN Mardi 15. Juin 2010 10:48
Tout dépend de l'éthique du dirigeant !
Quand on achète le jus concentré, il est dénommé "jus concentré de..." . L'antimousse n'est pas un ingrédient, on sait qu'il y en eu de mis en oeuvre si on le demande au fournisseur. Mais l'antimousse est un auxiliaire technologique autorisé, qui ne change pas la dénomination du jus. Donc on peut fort bien utiliser le concentré en tant que "jus concentré". Et donc oublier ce qu'on veut oublier.
Je ne me souviens pas avoir jamais vu déclarer la présence d'antimousse dans aucun jus d'ananas à base de concentré. Et pourtant...
yahaa5543 Mercredi 10. Novembre 2010 16:16
je me suis en cours de relecture du règlement 1333/2008 sur les additifs mais je renconre 2 difficultés:
- où peut-on trouver l'annexe II qui liste les additifs autorisés
- je ne vois pas quelles sont les incidences de ce texte pour les industries agroalimentaires utlisants quelques additifs. En efet, le texte semble essentiellement imposer de nouvelles conditions d'étiquetage pour les fabriquants d'additifs.
Merci par avance pour votre aide
A l’article 32 du règlement dont vous faites mention (n°1333/2008) il est prévu une réévaluation de l’ensemble des additifs alimentaires autorisés (réévaluation effectuée par l’EFSA), or il a été établi un calendrier pour cette réévaluation, calendrier qui figure dans le règlement n°257/2010 (de la commission du 25/03/10 établissant un programme pour la réévaluation des additifs alimentaires autorisés, conformément au règlement (CE) n o 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil sur les additifs alimentaires).
Si vous parcourez ce programme, l’article 3 peut vous renseigner sur les textes qui permettent de retrouver ces listes – oui, il y en a plusieurs :
- Directive 94/36/CE pour les colorants alimentaires
- Directive 95/2/CE pour les additifs alimentaires autres que les colorants et édulcorants
- Directive 94/35/CE pour les édulcorants
Citation du règlement 257/2010:
Article 3
Priorités pour la réévaluation des additifs alimentaires autorisés
1. Les additifs alimentaires autorisés sont réévalués dans l’ordre et les délais suivants:
a) la réévaluation de tous les colorants alimentaires autorisés répertoriés dans la directive 94/36/CE est achevée pour le 31 décembre 2015;
b) la réévaluation de tous les additifs alimentaires autorisés autres que les colorants et les édulcorants répertoriés dans la directive 95/2/CE est achevée pour le 31 décembre 2018;
c) la réévaluation de tous les édulcorants autorisés répertoriés dans la directive 94/35/CE est achevée pour le 31 décembre 2020.
A date de publication de ce règlement 257/2010, seules 17 additifs étaient déjà réévalués.
Espérant avoir répondu à votre attente au moins pour votre première question.
Vincent Lebegge Mercredi 10. Novembre 2010 17:33
A l’article 32 du règlement dont vous faites mention (n°1333/2008) il est prévu une réévaluation de l’ensemble des additifs alimentaires autorisés (réévaluation effectuée par l’EFSA), or il a été établi un calendrier pour cette réévaluation, calendrier qui figure dans le règlement n°257/2010 (de la commission du 25/03/10 établissant un programme pour la réévaluation des additifs alimentaires autorisés, conformément au règlement (CE) n o 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil sur les additifs alimentaires).
Si vous parcourez ce programme, l’article 3 peut vous renseigner sur les textes qui permettent de retrouver ces listes – oui, il y en a plusieurs :
- Directive 94/36/CE pour les colorants alimentaires
- Directive 95/2/CE pour les additifs alimentaires autres que les colorants et édulcorants
- Directive 94/35/CE pour les édulcorants
Citation du règlement 257/2010:
Article 3
Priorités pour la réévaluation des additifs alimentaires autorisés
1. Les additifs alimentaires autorisés sont réévalués dans l’ordre et les délais suivants:
a) la réévaluation de tous les colorants alimentaires autorisés répertoriés dans la directive 94/36/CE est achevée pour le 31 décembre 2015;
b) la réévaluation de tous les additifs alimentaires autorisés autres que les colorants et les édulcorants répertoriés dans la directive 95/2/CE est achevée pour le 31 décembre 2018;
c) la réévaluation de tous les édulcorants autorisés répertoriés dans la directive 94/35/CE est achevée pour le 31 décembre 2020.
A date de publication de ce règlement 257/2010, seules 17 additifs étaient déjà réévalués.
Espérant avoir répondu à votre attente au moins pour votre première question.
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