ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
Page mise à jour : 27/08/11 |
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THEME : Réglementation française et européenne en matière d'étiquetage
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Pages d’archives connexes |
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La fixation des Dates limites de consommation (DLC) et dates limites d'utilisation optimale (DLUO) |
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LIENS FONDAMENTAUX
Les principaux liens en rapport avec l'étiquetage des produits alimentaires sont accessibles via PEARLTREES.
ARCHIVES CHRONOLOGIQUES
ARCHIVES 1999-2005 – A PARTIR DE 2006 (voir ci-dessous)
DIMANCHE 01 JANVIER 2006
AFP 31/12/05
Traçabilité - Le 1er janvier, l'Union Européenne
renforce sa sécurité alimentaire
http://www.terre-net.fr/Outils/Fiches/FicheDetail.asp?idRub=204&Id=27041
euqilegnal Wed, 18 Jan 2006 11:58:34 +0100
est
ce quelqu'un aurait les annexes des articles R112-1 à R112-31
du code de la consommation concernant l'étiquetage des denrées
alimentaires?
Marc Kieny Wed, 18 Jan 2006 12:54:55 +0100
Il
n'existe tout simplement pas d'annexes aux articles R.112-1 à
R.112-31 du code de la consommation.... (Vous pouvez vérifier
sur Légifrance, d'ailleurs. Regarder la partie Réglementaire
du code de la consommation, décrets en Conseil d'Etat).
En
revanche, le décret n° 2005-944 du 2 août 2005
relatif à l'étiquetage des denrées alimentaires,
modifiant les dispositions du code de la consommation et le décret
n° 64-949 du 9 septembre 1964 portant application de la loi du
1er août 1905 sur la répression des fraudes en ce qui
concerne les produits surgelés [NOR: ECOC0500063D] (JORF n°
182 du 6 août 2005, p. 12888 - texte n° 31) (Rectifié
par JORF n° 12 du 14.1.2006, p. 563 - texte n° 9), qui insère
notamment le nouvel article R.112-15-2 et qui remplace notamment
l'article R.112-16, tous deux (notamment) faisant effectivement
référence à des ingrédients "énumérés
à l'annexe IV du présent chapitre", comporte, lui,
des annexes.
Ce sont elles qui sont visées...
On est
là devant un des fréquents cas de mauvaise rédaction
du droit : aucun article du décret modificateur ne précise
que les annexes dudit décret sont à intégrer
dans le code de la consommation.
Pour être compréhensible,
il aurait fallu:
- soit, si les annexes doivent être
codifiées : qu'un article précise, par exemple, que
"les annexes du présent décret deviennent les
articles N° xxx du code de la consommation" ;
- soit, si
les annexes ne sont pas codifiées : que les articles modifiés
du code comportent des références aux annexes rédigées,
par exemple, sous la forme : "des ingrédients énumérés
à l'annexe IV du décret n° 2005-944 susvisé"...
La
confusion entre la source et la cible est décidément un
des défauts majeurs de la codification à la française
!
Amicalement,
Marc Kieny
EMCA Editions &
Conseil
http://www.emcastore.fr
euqilegnal Friday, January 20, 2006 7:34 AM
dans
notre boucherie-charcuterie (magasin de quartier), nous avons
récemment fait l'aquisition d'une vitrine réfrigérée
que nous avons placée devant le comptoir de vente afin que le
client puisse choisir lui même ses produits (il s'agit de
tourte, jambon en croûte,...)
bien sûr ces produits
sont filmées afin d'éviter toute contamination par les
mains du clients.
je voudrais savoir quelle sont nos
obligations en terme d'affichage et d'étiquetage pour ces
produits ?
devons nous appliquer les mêmes règles que
pour les produits vendus en gms
(liste des ingrédients,
poids,...) du fait que cela soit du "préemballé"
ou est ce que la législation est plus souple dans ce cas là
?
Patrick FEIDT Fri, 20 Jan 2006 09:42:57 +0100
A
partir du moment ou les produits sont conditionnes et prets a la
vente en l'etat, ils sont consideres comme pre-emballes et de ce fait
soumis aux memes regles d'etiquetage.
LUCAS Guillemette Thu, 26 Jan 2006 14:17:10 +0100
(CET)
soizic riou <> a écrit
:
Bonjour à tous,
L'un de nos produits peut être
préparé avec deux morceaux de viande
différents.
Pouvons nous au niveau de la liste d'ingrédient, de
l'étiquette
produit fini, écrire:
morceaux
n°1 ou morceaux n°2
Cela éviterait les erreurs
d'étiquetage en production.
Je voudrais une confirmation
car je ne trouve pas les textes. Pour ma part, je
pense qu'on a le
droit car on ne trompe pas le client.
Qu'en pensez vous?
Bonjour,
La dénomination spécifique de ce
morceau est-elle nécessaire? Apporte-t-elle un plus à
vos produits, est-ce lié au type de plat préparé?
Dans le cas contraire, faites dans le générique :
"Viande de XX" + éventuellement le %tage, si votre
étiquette mentionne "Plat YY à base de viande de
XX"
Concernant cette dénomination, voir l'annexe de la
directive 2001/101/CE qui s'intéresse justement aux
caractéristiques nécessaires des pièces de
viandes utilisées (teneur en lipides et en tissu conjonctif)
autorisant la désignation "viande de".
Si
vous souhaitez vraiment indiquer le nom des morceaux : je ne trouve
rien sur ce cas précis dans les directives relatives à
l'étiquetage (2000/13/CE et 2003/89/CE). La 2003/89 autorise
la désignation "et/ou" mais uniquement pour les
ingrédients intervenant pour moins de 2% dans le produit fini
(sous conditions, of course, voir l'article premier, partie 1)d) ii)
second tiret. )
Dans le doute, mieux vaut s'adresser à
votre Direction départementale des Fraudes (DDCCRF), qui a une
fonction de conseil .
En espérant avoir répondu
à votre question,
MARDI 14 FEVRIER
2006
Pôle Technologique Agro-alimentaire asbl
MARS 2005 Newsletter n°4. Au
sommaire:
Etiquetage des
denrées
alimentaires
http://www.ptaa.be/Newsletter4/Newsletter4.htm
hervegas Thu, 9 Mar 2006 16:34:28 +0100
quelle
est l'obligation des mentions d'étiquetage pour un produit
reçu du fournisseur sous forme vrac et reconditionné en
unité consommateur ou vrac moins important? quel est le numéro
d'agrément qui doit figurer sur l'étiquette du produit
reconditionné? peut on y faire figurer les deux?qu'en est-il
des erreurs? (pour des préparations à base de viande
hachées surgelées par exemple?)
dans quels textes
trouver la réponse exacte?
Frederic.Birraux Thu, 9 Mar 2006 16:59:55 +0100
A
confirmer par d'autres co listiers mais je dirais:
- comme vous
effectuez le conditionnement vous meme sur des produits a base de
viande, il faut que votre agrement apparaisse: vous devez etre agreer
pour ce type d activite
- vous prenez la responsabilite de la DLC
que vous indiquez sur le conditionnement
et vous devez vous
conformez aux prescriptions reglementaires relatives à l
etiquetage
Concernant les erreurs je ne comprend pas trop:
s'il s'agit d'une erreur d'estampille en fonction de fournisseur
differents: c est à vous et par votre systeme de tracabilite d
etre en mesure de determiner l'origine des produits dans l unite de
conditionnement.: pour le produit conditionne on remonte à
vous et pour l'origine du fournisseur, c'est à vous de la
donner en interne.
personnellement pour que vous indiquiez
l'estampille sanitaire de vos fournisseurs sur vos produits que vous
manipulez, cela sous entend que votre fournisseur accepte que vous
utilisiez son estampille avec toutes les consequences que cela peut
induire en cas de probleme
qualiseb Thu, 09 Mar 2006 19:11:11 -0000
Tout
à fait d'accord, s'il s'agit de manipulation de produits nus,
il faut étiquetter le conditionnement avec votre agrément
sanitaire du type transformation ( je ne suis pas sur qu'un agrément
entrepôt suffise ) et garder une traçabilité de
l'agrément de votre fournisseur.
En revanche, un cas de
réemballage ( changement du carton contenant les UVC ),
l'agrément sanitaire du dernier à avoir manipuler les
produits nus doit rester sur le conditionnement, et votre agrément
sanitaire doit apparaître sur le carton ( et là, un
agrément entrepôt peut suffire ).
Mais si je me
trompe, je veux bien m'améliorer.
Laniece Annabelle Fri, 10 Mar 2006 13:13:51 +0100
(CET)
ATTENTION A LA DLC
vous ne pouvez pas
rajouter une dlc étant supérieure à la 1ère.
je suis RQSE dans un atelier de découpe et la dsv nous interdit lors d'un reconditionnement de dépasser la 1ère dlc; un peu logique toutefois car il suffirait en fin de vie d'un produit de le déconditionner et le reconditionner avec une nouvelle date : on pourrait alors garder le produit longtemps!!!!!
annabelle
v.over.ip.seb Fri, 10 Mar 2006 13:37:24 +0100 (CET)
oui
d'ailleurs dans le cadre de mes activités, j'ai deja vu une
entreprise sur des lots de figues seches casser le conditionnement et
les reconditionner pour les envoyer à l'export avec une
nouvelle DLC
Frederic.Birraux Fri, 10 Mar 2006 14:25:52 +0100
je
suis d'accord avec vous. d'apres ce que j'avais compris la personne
recevait la viande en vrac et la conditionnait (j ai imagine sous
vide) : dans ces conditions; sous reserve d'une procédure
etablie (ne pas conditionner les produits le dernier jour de la duree
de vie vrac... mais des reception sans rupture de froid) elle peut
faire valider une nouvelle
DLC. sinon il n'y aurait aucun interet
à conditionner sous vide.
Par contre s'il s'agit de
deconditionner du vrac pour refaire des conditionnement identiques
(vrac) mais plus petit il est evident que la DLC ne peut etre plus
longue: en theorie, en augmentant les manipulations et les
transformations sans traitement d'assainissement, elle est meme un
peu plus courte mais cela est valide au cas par cas
hervegas Fri, 10 Mar 2006 16:25:58 +0100
Cette
réponse comporte les éléments que j'attendais
est ce qu'un texte ou quelqu'un peut confirmer? Merci
Bonsoir,
Tout
à fait d'accord, s'il s'agit de manipulation de produits nus,
il faut étiquetter le conditionnement avec votre agrément
sanitaire du type transformation ( je ne suis pas sur qu'un agrément
entrepôt
suffise ) et garder une traçabilité
de l'agrément de votre fournisseur.
En revanche, un cas de
réemballage ( changement du carton contenant les UVC ),
l'agrément sanitaire du dernier à avoir manipuler les
produits nus doit rester sur le conditionnement, et votre agrément
sanitaire doit apparaître sur le carton ( et là, un
agrément entrepôt peut suffire ).
Mais si je me
trompe, je veux bien m'améliorer.
qualiseb Fri, 10 Mar 2006 22:57:37 -0000
Excusez
moi, mais faut lire, il s'agit de produits surgelés. Il reste
de la marge de manoeuvre.
Quoi qu'il en soit, chaque
transformateur est responsable de sa DLC ou DLUO.
Pascal Cahen Tue, 25 Apr 2006 22:24:40 +0200
Le 20/04/06 11:02, « hygiene@yahoogroupes.fr »
<hygiene@yahoogroupes.fr> a
écrit :
> Date
: Wed, 19 Apr 2006 09:04:09 +0200
> Objet : abréviation
dénomination de vente
>
>> Bonjour
>
>
>
> Au niveau de l'étiquetage des produits, il
est interdit d'utiliser des
> abréviations.
>
>
je voudrais savoir si il en est de même sur la dénomination
de vente qui
> apparait sur le bon de livraison ?
>
La réglementation vise les produits pour protéger le
consommateur, pas les documents entre professionnels. Faites comme
vous voulez
Pascal Cahen
LUNDI 17 JUILLET 2006
DHNET 13/07/06
Étiquetage : infos simplifiées !
Le Bureau européen
des unions de consommateurs (Beuc) exige plus de lisibilité
des étiquettes
http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=152296
Laurie Lerda Mardi, 18 Juillet 2006, 5h20mn 49s
Quelles sont les conditions pour faire figurer sur
une étiquette « fabriqué selon des méthodes
traditionnelles » dans le cas de produits ultra-frais ?
Michèle BOUN Wed, 19 Jul 2006 07:33:32 +0000 (GMT)
je n'ai pas le texte législatif sous la main
mais un courrier de la DGCCRF qui date de juin 2000, cela vous donne
déjà une idée: "l'utilisation du
qualificatif "traditionnel" ou d'une référence
au fait que le produit est fabriqué dans la tradition est sous
réserve que ce produit ne renferme pas d'additifs et
qu'il
soit fabriqué "selon des recettes respectueuses de la
tradition sur le plan des dénominations et de la composition
notamment".
JEUDI 14 SEPTEMBRE 2006
L'USINE
NOUVELLE 14/09/06 Le gouvernement élargit la plage de
fréquence des étiquettes
RFID
http://www.usinenouvelle.com/article/page_article.cfm?nrub=1220&idoc=80411
Chantal Jaouen Vendredi, 13. Octobre 2006 12:41
---
Estelle PAVY a écrit :
> Bonjour,
>
>
Je souhaite avoir votre avis sur le point suivant
> (j'ai déjà
l'avis de la DGCCRF mais il me laisse
> perplexe) :
>
nous vendons à nos clients (restaurateurs) de la
>
viande découpée et conditionnée par nos soins,
ou
> bien des produits de négoce (charcuterie par
>
exemple),
> chaque pièce est étiquetée
conformément à la
> réglementation en
vigueur (en interne ou chez nos
> fournisseurs),
> afin
de faciliter la logistique (manutention,
> transport et
livraison de nos clients), nous
> regroupons les pièces
commandées par un client dans
> un ou plusieurs cartons
que nous fermons par du
> scotch,
> sur ces cartons,
qui contiennent différents
> articles, nous n'apposons
aucune étiquette mais nous
> écrivons le nom du
client au marqueur.
> Qu'en pensez-vous ? Si ce n'est pas
suffisant, que
> devrions-nous indiquer de plus sur les
cartons ?
> Merci d'avance pour votre aide. Bonne journée
à
> toutes et à tous.
Je crains
que cela suffise pas.
Le code de la consommation (article
R112-11)précise que devrait apparaitre sur l'extérieur
de carton de livraison la dénominaton de vente et le N°de
lot(qui peut etre la date de durabilité).
La DGCCFR peut
aussi vous demander d avoir votre identification conditionneur.
Dans votre cas cela peut etre compliqué car il y a
différents prdts par carton.
Ne serait il pas possible
d'apposer sur votre étiquette la référence de
votre bon de livraison qui lui (à priori )comporte les infos
sur les produits contenus?
Je suis interessée de
connaitre la conclusion.
Bonne chance.
Chantal Jaouen
Hugues JOURDAN Vendredi, 13. Octobre 2006 12:53
Ce
n'est qu'un pbs de gestion de base de données.
Sur votre
système (celui qui édite le BL) vous avez toutes les
infos.
Rien ne vous empèche de créer une étiquette
qui reprend les infos des marchandises et qui serait collé sur
le carton. Avec tout ce qu'il faut comme info.
Estelle PAVY Lundi, 16. Octobre 2006 10:40
Pour
compléter mon 1er message :
nous écrivons
UNIQUEMENT le nom du client sur le carton qui contient les produits
conditionnés et étiquetés qu'il a commandés,
la DGCCRF nous a transmis le message suivant : "l'emballage
doit, au minimum, comporter les informations suivantes : n° de
lot, date limite de consommation, dénomination de vente, nom
et adresse du fabricant ou du conditionneur ou d'un vendeur établi
à l'intérieur du territoire de la Communauté
Européenne",
effectivement, plusieurs produits
différents se trouvent dans chaque carton
Voilà !
Je ne sais pas trop quoi faire à l'heure actuelle, car nous ne
sommes pas (encore) capables de détailler le contenu de chaque
carton sur une étiquette.
Merci et bonne journée.
Hubert BAZIN Lundi, 16. Octobre 2006 13:48
il
me semble que l'on est ici dans le cas du SURemballage. L'ouverture
de vos cartons permet de connaître avec précision le
numéro de lot de chacun des emballages, et ne remet pas en
cause leur aptitude à être commercialisés
?
La DDépartementaleCCRF (plutôt que la
DGénéraleCCRF) devrait pouvoir accepter une proposition
du genre :
étiquette de chaque emballage : complète,
avec tous les éléments; étiquette du colis :
votre nom et adresse, une dénomination de vente "générale"
(ex "Viande découpée et produits à base de
viande" ou "produits de boucherie et de charcuterie":
il faut que cette dénomination EXPLICITE BIEN CLAIREMENT le
contenu du colis), la mention "n° de lots et DLC : voir sur
chacun des emballages contenus dans ce colis", une mention du
mode de conservation et une zone dans laquelle vous noterez les nom
et adresse de
votre client.
Bien entendu, ça vous
oblige à scotcher en plus une étiquette sur vos colis.
Mais comme elle est générique, vous pouvez l'imprimer
sur une feuille A5, ça ne vous coûtera pas bien cher...
Dans ce genre d'affaires (merci de me corriger si je
m'abuse),
l'Administration recherche à ce que le consommateur (ou le
client) soit clairement informé, que l'étiquetage ne
soit pas de nature à induire qui que ce soit en erreur, et que
tous les acteurs de la chaîne soient avertis des précautions
de manipulation et de conservation.
Faites une maquette, un
courrier qui présente la maquette, et ça devrait bien
se passer.
veill_alim Lundi, 16. Octobre 2006 19:35
Vous
posez une question bigrement intéressante. Comme vous le
savez, les régles générales d'étiquetage
sont définies par la directive 2000/13, elle-même
transposée en droit français par décret dans le
Code de la Consommation.
Cette réglementation définit
l'étiquetage des denrées alimentaires préemballées.
En premier lieu, il faut se référer à la
définition des denrées alimentaires préemballées
: "l'unité de vente constituée par une denrée
alimentaire et l'emballage dans lequel elle a été
conditionnée avant sa présentation à la vente,
que cet emballage la recouvre entièrement ou partiellement
mais de telle façon que le contenu ne puisse être
modifié sans que l'emballage subisse une ouverture ou une
modification".
Donc la première question est
"qu'elle est votre unité de vente ?", le carton ?
les produits emballés individuellement ? Si le carton n'est
pas votre unité de vente, vous n'avez théoriquement pas
d'obligation d'étiquetage. Sinon, pourquoi ne pas étiqueter
des palettes, des containers cargo... ? Par contre, si votre unité
de vente est le carton, vous n'échapperez pas à la
globalité des règles d'étiquetage.
Par
expérience, sans vouloir contredire la position de la DGCCRF
qui vous fournit un avis en connaissant votre activité et vos
produits (ce qui n'est pas mon cas), les agents aiment pouvoir
effectuer leurs contrôles "étiquetage", sans
avoir à ouvrir les emballages, ce qui peut expliquer leur
volonté de faire changer vos pratiques.
Il ne faut non
plus perdre de vue la qualité de vos relations avec
l'administration. Donc vous devriez avoir une approche de compromis.
Tout en défendant votre avis sur des arguments réglementaires,
vous pouvez indiquer la dénomination de vente, l'adresse du
client, votre adresse et votre marque d'identification. De cette
façon, vous
fournissez un minimum d'informations, qui ne
sont pas des données quotidiennes comme la DLC, facilitant les
contrôles de l'administration, DGCCRF, DSV voire Douanes lors
d'un contrôle routier pas exemple. Il est vrai que l'absence
totale d'informations liées au produit peut susciter les
doutes d'un contrôleur.
Dans tous les cas, dialoguez
avec votre DGCCRF et défendez le plus cordialement possible
votre position.
Sofica Crochet mardi 17 octobre 2006 14:27
Nous
fabriquons des sandwiches à la base de « filet de
dindonneau ». Est que nous pouvons marquer sur nos étiquettes
« Sandwiche blanc de dinde » ou nous sommes obligé
de marquer la dénomination exacte de notre ingrédient.
Nous sommes aussi à la recherche sur la dénomination de
nos tartelettes aux fruits. En effet sont des tartelettes avec un
seul fruit (ex : poire), mais nous fabriquons aussi des tartelettes
aux cerises ou aux abricots. Pouvons-nous marquer sur l'étiquette
« tartelette aux fruits » et dans les ingrédients
énumérés les fruits que nous sommes amené
d'utiliser. Ex : cerises 5% ou poire 15%, ou abricot 12%. Je précise
bien ce n'est pas un mélange de fruits. A chaque fabrication
nous utilisons un fruit différent. Quelqu'un peu m'aider, nous
devons changer nos étiquettes rapidement.
Delphine FRANCESCHINIS Mardi, 17. Octobre 2006 17:40
Pour le sandwich, je ne sais pas.
Pour les
tartelettes, vous ne pouvez pas ainsi regrouper.
L'appellation
commerciale et juridique doit correspondre exactement au produit. Le
consommateur ne doit pas avoir de doute. Par contre dans la liste des
ingrédients, vous pouvez noter par exemple si tarte aux
cerises : cerises 5%, si tartelette abricot : abricot 12%... sans
oublier si vous utiliser des fruits au sirop de préciser la
liste des ingrédients de chaque fruits.
Hugues
JOURDAN Mardi, 17. Octobre 2006 17:42
Pour les sandwich, attention car il est possible de faire du filet
avec autre chose que du blanc de dinde. Si vous êtes sur de
n'employer que du blanc ok sinon méfiance.
Pour les
tartelettes, il vous faut prendre en compte vos différentes
mises en oeuvre et calculer le % mini que vous avez et ensuite le
mettre sur la composition.
Sinon vous créer une étiquette
pour chaque type en fct du fruit qui est mis en oeuvre. Voir comment
vous aller éditer les étiquettes et le budget
disponible pour une étiquette. Faire attention aussi sur
l'origine du fruits : frais, au sirop etc etc...
MERCREDI 25 OCTOBRE 2006
FOOD
PRODUCTION 19/10/06 Packaging traceability law comes into force
http://www.foodproductiondaily.com/news/ng.asp?n=71417&m=1FPDO19&c=jigpxskoboeomgo
MERCREDI 17 JANVIER 2007
JOURNAL DU NET 26/06/06 Covi dématérialise son
processus de
traçabilité
http://solutions.journaldunet.com/0606/060626-enquete-agro/covi.shtml
(source Constant Depièreux)
VENDREDI
26 JANVIER 2007
EURACTIV 26/01/07 De nouvelles
règles d'étiquetage dans l'alimentation prévues
pour courant
2007[
http://www.euractiv.com/fr/alimentation/nouvelles-regles-etiquetage-alimentation-prevues-courant-2007/article-161188
JEUDI 05 AVRIL 2007
FOOD PRODUCTION
05/04/07 Clean labels: A growing but not yet global trend
The
trend for 'clean label' foods containing few E-numbers is emanating
from the UK market but it is not yet a keen priority for consumers,
retailers and manufacturers in every country, says GC
Hahn
http://www.newsfood.com/International/2007/04_Aprile/05/Clean_labels.asp
VENDREDI 13 AVRIL 2007
ACTA - Réseau
Thématique
Traçabilité
http://www.acta-informatique.fr/apps/accesbase/dbsommaire.asp?d=6154&t=0&identObj=GwLiEZHy&uid=57305290&sid=57305290&idk=1
Au sommaire:
Résumé du rapport final du projet
"Réseau Thématique Traçabilité"
Rapport
final du projet "Réseau Thématique
Traçabilité"
Analyse comparée des
systèmes de traçabilité en France et au Québec
en vue d'améliorer la mise en place de la traçabilité
au niveau de l'amont agricole
Diagnostic des systèmes et
outils traçabilité dans les filières céréales,
oléoprotéagineux et plantes aromatiques
Etude de la
traçabilité dans la filière Miel
Etude de la
traçabilité de la filière Viti-vinicole
Ahmed KECHAD Jeudi 19. Avril 2007 10:09
Je suis à la rechreche de la réglementation
concernant les mentions obligatoires sur l'étiquetage des
viandes de boucherie en "PAD" mis sous vide.
La
mention "conditionné le" est elle obligatoire sur
l'étiquette?
Jean Claude DAUDY Jeudi 19. Avril 2007 14:30
Archives de la liste concernant la réglementation en
matière
d'étiquetage
http://www.liste-hygiene.org/arcetiquetfrance.htm
-
Code de la consommation: Livre Ier - Information des consommateurs et
formation des contrats - Titre Ier - Information des consommateurs -
Chapitre II
- Modes de présentation et inscriptions
Articles R112-1 à R112-33 Quelques textes relatifs à
celà :
- Arrêté du 2 août 2005 abrogeant
les arrêtés du 7 décembre 1984 relatifs à
l'étiquetage des denrées alimentaires préemballées.
-
décret nº 2005-944 du 2 août 2005 relatif à
l'étiquetage des denrées alimentaires
- Arrêté
du 30 septembre 2003 modifiant l'arrêté du 7 décembre
1984 relatif à l'indication de la quantité dans
l'étiquetage des denrées alimentaires préemballées
et aux produits qui en sont dispensés.
- Décret n°
2003-907 du 22 septembre 2003 modifiant les dispositions du code de
la consommation relatives à l'étiquetage des denrées
alimentaires.
- Arrêté du 22 septembre 2003 modifiant
l'arrêté du 7 décembre 1984 relatif aux modalités
d'expression des ingrédients dans l'étiquetage des
denrées alimentaires préemballées.
- Décret
n° 2002-1025 du 1er août 2002 modifiant les dispositions du
code de la consommation relatives à l'étiquetage des
denrées alimentaires.
- Directive 2001/101/CE de la
Commission du 26 novembre 2001 modifiant la directive 2000/13/CE du
Parlement européen et du Conseil relative au rapprochement des
législations des États membres concernant l'étiquetage
et la présentation des denrées alimentaires ainsi que
la publicité faite à leur égard.
- DIRECTIVE
2000/13/CE relative au rapprochement des législations des
États membres concernant l'étiquetage et la
présentation des denrées alimentaires ainsi que la
publicité faite à leur égard
- règlement CE n°1760/2000
- Décret n°
2000-705 du 20 juillet 2000 modifiant les dispositions réglementaires
du code de la consommation relatives à l’étiquetage
des denrées alimentaires.
- Règlement (CE) n°
2772/1999 du Conseil du 21 décembre 1999 prévoyant les
règles générales d'un système
d'étiquetage obligatoire de la viande bovine.
==
Article
112-9 du code de la consommation :
Sans préjudice des
dispositions relatives au contrôle métrologique,
l'étiquetage des denrées alimentaires préemballées
comporte, dans les conditions et sous réserve des dérogations
prévues au présent chapitre, les mentions obligatoires
suivantes :
1° La dénomination de vente ;
2° La
liste des ingrédients ;
3° La quantité de
certains ingrédients ou catégories d'ingrédients,
dans les conditions prévues aux articles R 112-17 et R
112-17-1 ;
4° La quantité nette ;
5° La date
jusqu'à laquelle la denrée conserve ses propriétés
spécifiques ainsi que l'indication des conditions
particulières de conservation ;
6° Le nom ou la raison
sociale et l'adresse du fabricant ou du conditionneur ou d'un vendeur
établi à l'intérieur du territoire de la
Communauté européenne ;
7° L'indication du lot
de fabrication ;
8° Le lieu d'origine ou de provenance chaque
fois que l'omission de cette mention est de nature à créer
une confusion dans l'esprit de l'acheteur sur l'origine ou la
provenance réelle de la denrée alimentaire ;
9°
Le mode d'emploi chaque fois que sa mention est nécessaire à
un usage approprié de la denrée alimentaire ainsi que,
le cas échéant, les conditions particulières
d'utilisation, notamment les précautions d'emploi.
==
Donc
à priori non cette mention n'est pas obligatoire.
==
Mais
assurez vous de ..
Bonne lecture!
Cordialement,
Jean Claude
DAUDY
Claudie Devaux Jeudi 19. Avril 2007 19:02
C'est le décret 99-260 du 02.04.1999 relatif à
l'étquetage et à la traçabilité des
viandes bovines
et le décret N° 201-927 du 9 octobre
2001 portant application du code de la consommation en ce qui
concerne l'étiquetage et la traçabilité des
viandes bovines
Mardi 5. Juin 2007 17:58
Meat
Guidance
http://www.food.gov.uk/foodindustry/guidancenotes/meatregsguid/
Labelling and Composition of Meat Products Guidance
Notes
Commission Directive 2001/101/EC amends the Food Labelling
Directive (2000/13/EC), and introduces a European generic definition
of meat for the purposes of labelling. The definition puts meat
ingredient declarations in meat products on the same basis throughout
the European Union, providing consumers with consistent and more
transparent information.
Reponse a
> > Bonjour à tous,
> >
> > Je
suis la liste depuis quelques années maintenant et j'apprécie
> beaucoup tous les échanges qui y ont lieu.
> >
Je n'ai pas souvent de questions, mais là j'en ai une à
laquelle je
> n'ai pas pu répondre par mes recherches
personnelles :
> > dans le cadre de développement de
nouveau produit mes collègues
> m'ont demandé
s'il existait une réglementation ou des recommandations
>
quant à la taille minimale pour le conditionnement de produits
> alimentaires généralement conditionnés
au kilo.
> > Pour prendre un exemple extrême, est-ce
qu'un texte empêcherait une
> société de
vendre des morceaux d'escalope de poulet conditionnés par
>
10g ?
> >
Bonjour,
Je ne pense pas qu'il y ait un texte concernant la
taille minimum de l'emballage, par contre il en existe concernant
l'étiquetage.
L'ensemble des mentions obligatoires doivent être présentes
et LISIBLES. Sur ce point, une escaloppe de 10g, avec une étiquette
de 5x5 pourrait paraître étrange!!!
Cédric
FRUCHART
Bonjour, je complète cet échange déjà
ancien,
La minimisation de l'emballage est imposée par la
directive 94/62/CE dans un souci environnemental (encombrement des
poubelles par les déchets). Les dimensions de l'emballage
ainsi que sa teneur en métaux lourds ou autres substances
dangereuses pour l'environnement doivent être réduites
au strict nécessaire (les limites sont la protection du
contenu, les
possibilités technologiques, les contraintes
logistiques, etc.). Ceci concerne tous les emballages, alimentaires
ou autres.
Suite à l'exemple donné par un
colistier, concernant l'emballage individuel d'une friandise, il doit
y avoir une subtilité réglementaire car il ne s'agit
pas d'un emballage de vente. Elle est servie avec le café en
restauration. Si l'on demande à voir le colis de livraison de
ces produits, on trouverait toute l'information voulue. Vous n'avez
pas non plus dans votre assiette l'estampille de votre
escalope.
Dans l'absolu, il semble donc possible de
conditionner des escalopes de 10g :
soit dans un emballage
individuel assez grand pour que son étiquetage soit possible.
Le facteur limitant la réduction selon la 94/62 est alors la
lisibilité.
soit dans un emballage pas plus grand que
l'escalope mais conditionnés par 10 ou 100 dans un colis
étiqueté.
Benoît CATTEAU
LINPAC
Plastics Pontivy
Films plastiques pour l'emballage alimentaire
maellegau Jeudi 26. Juillet 2007 15:03
Est ce que vous savez si la reglementation autorise les mentions sur les étiquette du type :
- "controle qualité nom de la société " en forme de tampon sur les étiquettes ?
Merci pour vos réponses, je n'ai rien trouvé a ce sujet
Constant Depièreux Jeudi 26. Juillet 2007 16:16
Votre question a-t-elle pour objet de savoir s'il est possible :
1. De déléguer son assurance/contrôle de qualité à une tierce partie
2. De le mentionner sur l'étiquette et donc (d'essayer) de transférer
la responsabilité sur cette tierce partie en cas de problème qualitatif?
D'avance merci de vos éclaircissements
maellegau Jeudi 26. Juillet 2007 19:17
Désolé si je n'ai pas été claire.
En fait je travail ds la société XY, ils veulent mettre sur les etiquette des produits que nous commercialisons une mention : "controle qualité XY"
En gros pour montrer que nous controlons la qualité des produits que nous vendons sous notre marque.
C'est plus claire ?
Constant Depièreux Jeudi 26. Juillet 2007 20:16
Oui, mais je n'en perçois que des désavantages.
La loi et les attentes du client vous obligent à contrôler la qualité de vos produits.
Donc mettre en évidence que vous les contrôlez caractérise l'existence de risques de non qualité de ceux-ci.
Pour des personnes aussi suspicieuses que je le suis (par déformation professionnelle), c'est un peu tendre la joue pour recevoir des coups.
Il serait plus judicieux à mon sens soit
* de faire référence à une certification externe (ISO 9001, ...) avec toutes les réserves que j'ai émises dans de précédents messages
* de publier vos standards de qualité en libre accès sur le net
* mieux encore, de publier sur le net vos performances qualité (mais là, je rêve éveillé).
Dans l'attente de lire les réactions des autres membres RQ de la liste.
helenevanhauwaert Mercredi 8. Août 2007 9:38
Quelqu'un connait il les modalités permettant d'utiliser la mention "origine : France " ?
Y a t-il un texte réglementaire?
GAULT Gilbert Mercredi 8. Août 2007 9:57
Décret 2002 1465 2001 du 17/12/2002
helenevanhauwaert Jeudi 9. Août 2007 10:35
Quelqu'un connait il les modalités permettant d'utiliser la mention "origine : France " ?
Y a t-il un texte réglementaire?
Je précise un peu ma question ou plutot le domaine d'application: activité traiteur.
GAULT Gilbert Jeudi 9. Août 2007 10:45
Pas d'obligation pour les traiteurs
Si affichage origine France, il faut être capable de démontrer que les produits sont intégralement issus de viandes bovines (boeuf et veau) d'animaux nés élevés et abattus en France.
Sinon publicité mensongère
helenevanhauwaert Jeudi 9. Août 2007 12:31
Ceci est également extensible aux produits qui ne contiendraient pas de MP d'origine animale?
Cette mention renvoye bien à l'origine géographique des matières matières, et non au lieu de transformation.
Y'a pas de texte réglementaire?
GAULT Gilbert Jeudi 9. Août 2007 13:12
L'affichage dans le cas présent ne répond plus à une obligation réglementaire mais à une démarche du professionnel
J'aurai tendance à vous renvoyer sur votre DDCCRF départementale pour leur demander leur appréciation
Pour ma part, je statuerai sur l'origine des matières premières sinon j'indiquerai transformé en France en cas de doute sur l'un des ingrédients
atelierduvieuxpuits Jeudi 9. Août 2007 15:53
Petite piste...
http://www.minefi.gouv.fr/dgccrf/02_actualite/breves/brv0605e.htm?ru=02
JEUDI 31 JANVIER 2008
CUISINE COLLECTIVE FEV 2008 Le
forum de
l'HACCP
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=147
Au
sommaire:
Etiquettes des produits.
JEUDI 31 JANVIER 2008
EURACTIV 31/01/08 Le secteur
alimentaire critique les règles sur l'étiquetage de la
Commission
http://www.euractiv.com/fr/sante/secteur-alimentaire-critique-regles-etiquetage-commission/article-169994
VENDREDI 14 MARS 2008
SNIV 13/03/08 L'actualité
du SNIV n°2008-10/11
Règlement européen sur
l'étiquetage : une volonté d'aller vite
/
http://www.sniv.fr/sniv/homepage.nsf/caba072bdc935faec125707e003326cb/79bdb0d6726c5eebc125740b004aece3?OpenDocument
Lacombe céline Monday, May 26, 2008 3:49 PM
lors de la conception ou de la revue de l'étiquetage d'un produit alimentaire, doit-on le soumettre à la DGCCRF pour le valider?
eric ruellet Lundi 26. Mai 2008 15:01
Non, vous n'êtes pas obligé de le faire valider par la DDCCRF
Vous pouvez cependant la consulter sur des points précis, losque vous n'êtes pas totalement sûr de faire une bonne interprétation de la réglementation.
Ce type de démarche est en général perçu positivement par l'administration...
LUNDI 21 AVRIL 2008
LUXEMBOURG
CHAMBRE DES
METIERS 18/04/08 Proposition européenne sur l'étiquetage:
la
Chambre des Métiers s'oppose aux nouvelles exigences
envisagées
http://www.paperjam.lu/presse/2008/04/1804_M__tiers/
MERCREDI 30 AVRIL 2008
BOUCHERIE FRANCE - Documents
techniques
http://www.boucherie-france.org/technique/parutions.html
La
Lettre de novembre 2006, avec, en dossier : "L'étiquetage
dans tous ses états" et aussi :
le salon international de l'alimentation 2007.
VENDREDI 16 MAI 2008
FRANCE
EUROPE1
14/05/08 Un site internet pour découvrir l'envers des
étiquettes
http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Societe/Un-site-internet-pour-decouvrir-l-envers-des-etiquettes/(gid)/134329
Le site concerné:
http://www.lepointsurlatable.fr/
n.rouiller Vendredi 3. Octobre 2008 10:58
Travaillant dans une cuisine centrale, la DSV nous a également demandé cette traçabilité (sur nos barquettes). Traçabilité simple a mettre en place en théorie mais assez difficile en pratique.
Pascal Rudeaux Vendredi 3. Octobre 2008 15:48
La traçabilité est une exigence de moyens.
Moyens de prévenir , de coopération, de transparence (communication).
C’est la responsabilité de l’entreprise pour assurer une sécurité en cas de crise.
Si vous le prenez comme une exigence Légale, attention aux moyens mis en œuvre.
Chaque responsable doit assurer grâce a la traçabilité (entre autre), la survie de son entreprise en cas de crise.
Definir:
1) Mon entreprise a les reins suffisamment solide pour assumer une perte de xxx Euros, sans faire faillite.
2) Quels sont mes risques produit
3) Ces xxx Euros, comment vont-ils être distribués (retrait, destruction, arrêt production, communication, etc…..) en fonction de cette analyse va ressortir un chiffre yyy Euros de perte produit
La trazabilité et le plan qualité mis en place dans l’entreprise doit assurer un perte maxi de yyy Euros.
Toutes nos entreprises ont-elles les reins assez solide pour perdre U$ 40 000 000 comme la perte estimé par MapplelLeafFood
En fonction de cela ou vous investirez dans un crayon papier et un classeur, ou dans une machine impression jet d’encre.
qualiseb Vendredi 3. Octobre 2008 20:25
"Si vous le prenez comme une exigence Légale, attention aux moyens mis en œuvre."
Cela va être difficile de faire autrement:
Article 17
Traçabilité
1. La traçabilité des matériaux et objets est assurée à tous les stades afin de faciliter les contrôles, le retrait des produits défectueux, l'information des consommateurs ainsi que la détermination des responsabilités.
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2004:338:0004:0017:FR:PDF
Pascal Rudeaux Vendredi 3. Octobre 2008 20:38
Tout a fait.
Légal : Protection du consommateur mais pas de l’entreprise
Marie LE GUENNEC Lundi 6. Octobre 2008 16:45
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "Pauline BRIANCEAU"
<p.brianceau@...> a écrit :
> Bonjour,
> Nous commercialisation des coupelles de salades de fruits pour la restauration.
> La composition et la dénomination de vente ne figurent pas sur les coupelles, mais uniquement sur le carton contenant ces coupelles (ce qui
> correspond à notre unité de vente). Suis-je dans la légalité ou toutes les mentions légales doivent apparaître sur chacune des coupelles ?
Bonjour,
Nous étions dans le même cas que vous : des sachets de biscuits (à destination de la RHF) avec juste le n° de lot et la DLUO inscrite dessus, la désignation et la liste des ingrédients étaient apposées sur le carton, notre unité de vente.
qualiseb Mardi 7. Octobre 2008 20:29
Il me semble que cela dépend de la voie de distribution, si c'est des collectivités, les infos sur le carton me paraissaient suffisantes...si chaque coupelle est vendue séparément aux utilisateurs...cela me parait indispensable qu'ils aient toutes les infos...
Constant Depièreux Mardi 7. Octobre 2008 20:41
J'aurais personnellement une position intermédiaire:
Si vous commercialisez à la pièce (ou vos clients ...) , chaque produit doit être identifié conformément aux exigences légales.
Si vous commercialisez en vrac, l'unité de vente doit satisfaire toutes les exigences légales. pour des raisons de traçabilité cependant, je marquerai chaque coupelle avec un code produit et un numéro de lot (embossage, jet d'encre ou étiquette+impression classique). Dans tous les cas de figures, faire attention aux migrations éventuelles dans le produit de colles ou pigments.
isa.poilly Mercredi 8. Octobre 2008 11:44
Je vais donner l'avis de l'Inspecteur de Salubrité, amenée à contrôler les commerces de bouches (dont restaurants de ville).
Comme le stockage des emballages est strictement interdit dans les chambres froides, je vous recommande fortement un étiquetage individuel.
Personnellement devant une situation douteuse, nous demandons destruction. Il serait dommage de perdre des clients pour un tel détail.
Pauline BRIANCEAU Mercredi 8. Octobre 2008 17:45
A notre niveau, le carton est notre unité de vente, c’est pourquoi les mentions légales n’apparaissaient qu’à ce niveau. Cependant nos clients peuvent le redistribuer, par exemple dans des plateaux repas, des ventes à emporter…
A leur niveau, le consommateur final, ne possède alors qu’une dlc.
Est-ce suffisant ?
Merci beaucoup pour votre aide
qualiseb Jeudi 9. Octobre 2008 21:23
"Comme le stockage des emballages est strictement interdit dans les chambres froides"
J'aimerais bien voir çà...si tous les produits sont protégés...rien de l'empêche...
qualiseb Jeudi 9. Octobre 2008 21:29
Soit votre client est le consommateur et vous lui devez des infos, soit votre client est un professionnel et c'est à lui d'informer le maillon suivant...
isa.poilly Jeudi 9. Octobre 2008 21:49
J'aurais en effet du préciser "les boites en cartons et les cagettes en bois" en application du Chapitre X de l'Annexe II du règlement CE N°852/2004.
J'ai tendance à rester à l'échelle des petits commerces de bouches qui se fournissent sur les marchés et que ne disposent d'aucune études des CCP.
isa.poilly Jeudi 9. Octobre 2008 22:02
Pour compléter je citerais constant Depiéreux sur le sujet "Traçabilité emballage" : "L'état du conteneur est un danger majeur pour l'intégrité du produit"
lefebvrelaur Lundi 17. Novembre 2008 11:45
j'ai besoin d'un éclaircissement sur uner phrase de la directive 2000/13/CE du 20 mars 2000 concernant l'étiquetage des denrées alimentaires
"les ingrédients intervenant pour moins de 2 % dans le produit fini peuvent être énumérés dans un ordre différent à la suite des autres ingrédients"
=> il s'agit de l'ensemble des ingrédients qui représentent au total 2 % max du produit fini
ou
=> il s'agit de CHAQUE ingrédient représentant individuellement moins de 2 % du produit fini ?
Merci pour votre aide
Corinne Holley Lundi 17. Novembre 2008 11:51
Il s'agit de chacun des ingrédients.
nesrine tahari Mardi 18. Novembre 2008 14:42
Il s'agit d'un ingrédient représentant moin de 2 % du produit fini et non de le'nsemble des ingrédients
Bernard PICHETTO Samedi 29. Novembre 2008 20:16
Il semble acquis, si j'ai bien compris, qu'il existe deux grands modes opératoires en matière d'étiquetage, l'absence ou la présence d'une étiquette sur le produit.
Si le produit est pré-emballé, il y a une étiquette dont l'intitulé correspond à un corpus juridique relativement clair ; les débats, ici, le montrent.
Si le produit n'est pas emballé, ce que l'on appelle communément la remise directe, le consommateur doit pouvoir demander à l'opérateur qui lui vend le produit ce que ce dernier contient. Si je n'ai pas bien compris, corrigez-moi !
Sur quel texte légal donc, le consommateur peut-il s'appuyer pour demander à un restaurateur, à un boulanger ou à tout autre acteur de la remise directe de lui communiquer la composition, ingrédient par ingrédient, de son produit ?
iufm_charcuterie Samedi 29. Novembre 2008 23:02
En préambule je dirais que je n'ai pas la réponse à votre question quant à la législation.
Il est vrai que j'ai moi aussi toujours entendu dire que l'opérateur se devait de fournir la composition d'un article en cas de demande du client.
Pour un artisan cela devrait être assez aisé s'il fabrique tous ces produits, ce qui dans la réalité n'est pas toujours vrai, sans compter de l'utilisation des PAI.
Par contre dans la grande distribution où peu de produits sont fabriqués sur place, les vendeurs peuvent/doivent se référer à l'étiquette du produit.
Dans la réalité, je n'ai jamais connu ce genre de demande.
La question généralement posée par le client est de savoir si le produit contient ou pas un ingrédient particulier.
Pour ce qui est de vouloir "obliger" un commerçant à vous fournir la composition, il s'agit d'une relation commerciale dans laquelle le professionnel aura intérêt à renseigner son client.
Mais il reste le problème de la confiance, il peut très bien donner une composition "farfelue" pour se débarrasser du problème sans perdre trop de temps.
Il est d'autre part impossible de demander à un vendeur de connaître la composition exacte et par ordre d'importance de toutes les références d'un rayon.
Bernard PICHETTO Dimanche 30. Novembre 2008 7:31
Merci Bruno,
La remarque concernant le personnel est importante :
"Il est d'autre part impossible de demander à un vendeur de connaître la composition exacte et par ordre d'importance de toutes les références d'un rayon."
- L'artisan, ou une personne connaissant les fabrications, doit donc être là en permanence pour pouvoir renseigner une éventuelle demande.
Si ce n'est pas le cas, il y a nécessité à ce que des fiches produit soient formalisées et disponibles afin que les vendeurs puissent répondre.
Je veux bien lire...
Hubert BAZIN Dimanche 30. Novembre 2008 10:04
Cette intéressante discussion me rappelle la situation que l'on peut avoir dans une pharmacie. La théorie voudrait que seul un pharmacien diplômé remette les médicaments. Or dans une officine, on a souvent affaire à des préparateurs en pharmacie.
Idem pour ce qui est, à l'hôpital, de la délivrance des médicaments. Cela rentre dans le cadre de la fonction infirmière. Les aides-soignants peuvent aider à la prise, sous la responsabilité de l'infirmière diplômée. Mais en pratique, là encore, on assiste à des dérives (ce n'est pas moi qui le dit, ce sont des rapports très officiels de l'ANAES, puis de la HAS).
Pour en revenir à l'alimentaire, peut-on aussi exiger d'un agriculteur (bio ou pas) qu'il connaisse la composition des aliments (dits "aliments composés") qu'il donne à ses animaux d'élevage ? Par définition, les aliments composés sont formulés lot par lot pour apporter tant de calcium, tant de protéines, tant d'unités fourragères, etc. A la limite, le contenu de la ration importe peu - voir pas du tout ! Il suffit d'avoir l'assurance que le complément de la ration d'ensilage (par exemple) permettra la prise de poids retenue dans le calcul d'amortissement des installations (eh oui, il y a aussi du business là dedans). J'ai bien peur qu'aujourd'hui, ce soit difficile. Il faudrait, comme dans certaines filières "label", limiter les aliments à ceux d'une liste positive.
Quant à diffuser cette information auprès des vendeurs du rayon charcuterie-traiteur de l'hyper du coin, c'est mission impossible.
Serions-nous tout doucement en train d'imaginer un monde archaïque dans lequel nous irions acheter à la boucherie du coin, en confiance, une pièce de boeuf que le boucher aura lui-même été acheter sur pieds à un éleveur du département ? retour vers les années 60 en quelque sorte ? Tout ça pour retrouver la *confiance* ?
Ehhhhhh ben !
qualiseb Dimanche 30. Novembre 2008 17:49
Ont peut encore revenir plus loin en arrière, quelques volailles, canards, lapins, un cochon, voir un veau dans le jardin...
Quoique: la grand mère que j'ai connu il y a quelques années venait seulement d'arrêter le cochon et le veau...mais les volailles sont toujours là, avec les canards et les lapins, oies, pintade, dinde, poules, poulets....
C'est aussi avec les œufs mimosa de cette même grande mère qu'un de ces petits enfants (d'une vingtaine d'année) s'est retrouvé à l'hôpital pour salmonellose...mais c'était du style, week end chez grand mère, on ramène les restes et on les consomme le week end d'après...
Depuis que j'ai gouté un tel poulet...je vais en acheter à la ferme du coin et n'en consomme plus d'autres...d'autant que le prix d'un label rouge en GMS est quasi identique…mais c'est vrai qu'il n'y a pas d'étiquettes…mais il y a un minimum, les bêtes sont abattues dans un abattoir agréé…
Bernard PICHETTO Dimanche 30. Novembre 2008 18:47
Merci, mes chers amis, pour ces digressions de bon sens, mais cela ne me donne pas de références légales pour savoir ce que mon charcutier préféré a mis dans sa langue à la catalane...
Frédéric MARRE Mardi 24. Mars 2009 16:07
après recherche dans la réglementation étiquetage, je ne trouve pas avec certitude une réponse et je me permet donc de faire appel à vos connaissance.
Je dois réaliser des produits dans des conditionnements en verre très petits, pots ronds de 25g.
Pour de tel conditionnement, est-ce que l'étiquette doit comporter toutes les mentions obligatoires (chap 280-70 du lamy) ou n'y-a-t-il pas possibilité de réduire le nombre de ces mentions (surface étiquetable réduite, lisibilité ??).
Si vous trouver des liens réglementaires, je vous à remercie d'avance.
Hubert BAZIN Mercredi 25. Mars 2009 1:53
j'ai fait récemment l'acquisition d'un flacon en verre contenant ... 0,5 grammes (500 milligrammes) de "safran de Bourgogne" (si, ça existe. Le producteur en a royalement préparé 48 pots en 2008 !)
L'étiquette comporte :
la dénomination de vente
le nom et l'adresse du producteur
(pas la composition = c'est la même chose que la dénomination de vente)
le poids net
un numéro de lot
une DLUO
et en prime, un joli blason bourguignon et une fleur de crocus bien ouverte.
Alors pour un pot de 25 grammes, cinquante fois plus lourd, vous devriez trouver de la place ?
la seule exception à la règle me semble-t-il était à une époque les mentions d'étiquetage d'une célèbre marque de boisson gazeuse au cola avec une étiquette rouge, qui avait réussi à passer outre un certain nombre d'exigences sur sa bouteille (consignée) vendue en cafés-hôtels-restaurants. La forme était tellement connue qu'elle rendait inutile l'apposition d'une marque, pas plus que d'une adresse. Exit donc l'étiquette. Ne restait donc plus que la capsule pour faire tenir les ingrédients. Pas facile, donc dérogation sur la taille minimum, puis arrangement amiable sur l'exhaustivité des mentions. Par exemple, ce soda est un des rares à ne pas indiquer d'arômes (seulement des "extraits végétaux").
Toujours de mémoire, une célèbre marque de boisson gazeuse à l'orange vendue en bouteilles rondes avait également demandé à bénéficier du même traitement pour les bouteilles consignées en CHR...
Il existe en effet une tolérance
sur la surface pour les petits emballages.
Le code de la
consommation (article R112-10-1) indique que pour les préemballages
qui ont une surface inférieure à 10 cm², sur leur
plus grande face (donc dans le cas d'un pot rond... il n'y a qu'une
seule face, et un couvercle, non ? )(et comem l'a souligné
Hubert bazin, la même dérogation s'applqiue aux
bouteilles en verre consignées marquées de façon
idélébiles)
Dans ce cas les mentions
obligatoires sont :
- la dénomination du produit
-
la quantité nette
- la DLC ou DLUO
- Les
allergènes.
bref le code est consultable sur légifrance
:
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=AE2B39928AD8FB4F9E8B9297FCAADC07.tpdjo05v_1?idSectionTA=LEGISCTA000006146604&cidTexte=LEGITEXT000006069565&dateTexte=20090325
(j'ai
peur que les lien ne soit un peu longs pour ne pas être
tronqué)
J'ai encore besoin de vous !
Nous
allons fabriquer des produits pour un client, qui lui-même va
les vendre à d'autres clients ; Notre client ne veut donc pas
que notre nom apparaisse sur les emballages et nous demande de nous
identifier par un numéro d'emballeur : comment avoir ce numéro
d'emballeur ?
Merci d'avance pour vos conseils si utiles
!
A priori c'est par
ici...
http://www.alimentaire-pro.com/dossiers/etiquetage/code_emballeur.php
Nous sommes une industrie
agroalimentaire, nous avons cetains clients qui nous envoient leurs
matières premières et nous fabiquons pour
eux.
Concernant l'étiquettage du produit, est ce que nous
sommes obligés d'indiquer sur l'étiquette que le
produit est fabriqué par notre société ?
Sur
l'étiquette nous indiquons l'adresse de notre client, si nous
mettons "fabriqué et emballé en France" est
ce suffisant ?
souhila ama Jeudi 9. Avril 2009 15:38
le code de la consommation précise:
le nom ou la raison social et l'adresse du fabricant ou du
conditionneur ou d'un vendeur établi à l'intérieur
de la communauté CE ( art R. 112-9)
c'est une mention
obligatoire
Bernard PICHETTO Jeudi 16. Avril 2009 18:01
Actualisation de la fiche Étiquetage des denrées alimentaires :
http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/documentation/fiches_pratiques/fiches/etiquetage_alimentaire.htm
EMCA Listes Jeudi 16. Avril 2009 19:37
Merci, ça c'est de la veille... :-)
J'ai toutefois été surpris de ne voir dans cette fiche aucune indication qui concernerait les mentions visant d'éventuels allergènes.
Mais ce n'est peut-être pas le lieu d'y faire référence ?
De même, des allégations (de santé...) peuvent être présentes sur l'étiquetage : elles sont pourtant loin d'aller de soi.
Bref : la DGCCRF n'a peut-être pas à en connaître ?
Pourtant, tout ça fait bien partie des "mentions réglementées".
Eric KALINOWSKI Vendredi 17. Avril 2009 8:16
Pour suivre les remarques ci-dessous sur les mentions annoncées obligatoires au niveau de l'Etiquetage, Il en est de même de "Traditionnel" et le "sans additifs", de l'identification des lots avec un "N° de Lot", etc ...
Fab Hygiene Lundi 25 Mai 2009, 16h11
suite à une erreur dans le choix du programme d'étiquetage, des produits congelés ont été étiquetés avec une DLC de 21 jours (au lieu d'une DLUO de 18 mois).
Maintenant, nous cherchons de quelle manière rectifier l'erreur.
A-t-on le droit de coller une nouvelle étiquette avec les mentions correctes sur l'étiquette erronée ?
Mathieu Giboulot Lundi 25. Mai 2009 22:58
Je pense que vous pouvez vous permettre de reprendre l'étiquetage en prenant de reprendre les dates d'emballages et informations de traçabilité initiales.Il faudra également conserver les étiquettes erronées et faire une fiche de non conformité afin de pouvoir justifier les quantités de produits réétiquetés et de ne pas avoir de trou de votre comptabilité matière.
Mathieu Giboulot Lundi 25. Mai 2009 23:37
En tant que transformateur vous étes obligé de vous identifier sur l'emballages, en revanvhe il est possible de n'indiquer que votre code emballeur ou votre N° d'agrément sanitaire, à partir du moment où l'étiquette fait apparaitre les coordonnées du service consomateur de votre client
VENDREDI
24 JUILLET 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Etiquetage, jusqu'où faut-il aller
?
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=293
Laurie Picaud Mercredi 9. Septembre 2009 22:55
J'ai 2 questions concernant l'étiquetage de légumes 4e gamme
1. Si il y a une DLC est-ce obligatoire d'avoir la date de conditionnement?
Est ce que la date de conditionnement peut être le numéro de lot étiqueté si le nom du produit, le nom du client et la date de conditionnement permettent d'identifier le lot?
dtommasino Jeudi 10. Septembre 2009 7:27
Si on se réfère au seul code de la consommation, les mentions obligatoires concernant la durabilité pour les denrées alimentaires sont :
« La date de durabilité minimale ou, dans le cas de denrées alimentaires très périssables microbiologiquement, la date limite de consommation ainsi que l'indication des conditions particulières de conservation »
voir « code de la consommation » sur www.legifrance.gouv.fr
Lacombe céline Mercredi 30. Décembre 2009 10:25
Bonjour, je ne connais pas bien le domaine de la distribution. Une question se pose à moi: nous vendons des chocolats à des pro (pâtissiers, épiciers...), qui revendent ensuite aux particuliers (consommateur final).
peut-on considérer ces revendeurs comme distributeurs? Je m'explique: est-ce que sur les étiquettes des produits qu'ils vendent (provenant de notre fabrication) ils peuvent mentionner: distribué par "le nom de leur société....". Car nous ne souhaitons plus indiquer le nom et l'adresse de notre société.
abdel LAM Mercredi 30. Décembre 2009 11:20
il me semble que la mention du fabricant est obligatoire, ensuite peut apparaitre les distributeurs quelqu'il soit régional, national...etc
Par contre si vous fabriquez un produit pour telle société, vous pouvez mentionnez "fabriquez pour le compte de ...societe.."
LUNDI
11 JANVIER 2010
FRANCE
FCD
08/01/10 Etiquetage de l'origine des produits alimentaires - Position
de
la FCD - 8 janvier 2010 [32.78
Ko]
http://www.fcd.asso.fr/index.php?page=197
Laurianne Dinam Mardi 26. Janvier 2010 11:27
J'aimerais savoir à partir de quelles sources il est possible de trouver les dénominations légales de vente des produits et ce que ça implique sur le produits (par exemple : quel produit peut porter le nom commercial de yaourt )
Je recherche plus précisément ces informations pour les crêpes de froment. Il y a-t-il des exigences par rapport à la recette? au conservateur? etc.
Merci par avance de votre aide,
Benedicte LARINIER Mardi 26. Janvier 2010 12:38
Il existe des codes d'usage pour un certains nombre de produits qui définissent les dénominations et les caractéristiques des produits.. La dénomination crêpe dentelle est ainsi définire dans le répertoire des dénominations de biscuits. Le terme yaourt est également définit. Il faut se reporter à la réglementaiton ou aux structure collectives qui sont chargées de diffuser ces codes (syndicats, centre techniques, ...). En l'abscence de codification, c'est la réglementation générale qui s'applique : dénomination descriptive et liberté de formulation avec liste des ingrédients dans la limite des recettes traditionnelles (Cf Larousse Gastronomique), de façon à ne pas tromper le conommateur).
contact_tfisl Enviado el: viernes, 19 de febrero de 2010 11:00
Je travaille dans une entreprise ou nous emballons des fruits surgelés en doses individuelles dans des sacs plastique. Notre client nous demande que chaque sac ait une traçabilité individuelle.... comment pouvons-nous faire?
Connaissez-vous des machine simples qui puissent remplir cette fonction?
Benoit Catteau Lundi 22. Février 2010 18:58
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "Pascal Rudeaux" <prudeaux@...> a écrit :
> Vous avez l'impression encre ou la pause d'étiquettes, et cela avant ou après remplissage selon le cas.
En jet d'encre, les références sont Domino et Imaje, ensuite tout bon moteur de recherche et au plus tard le salon CFIA à Rennes du 9 au 11 mars voir www.cfiaexpo.com<http://www.cfiaexpo.com/>
Pour compléter cet échange, voila l'occasion de rappeler, pour l'Europe, que non seulement le contenu doit être tracé (Pack Hygiène) mais aussi l'emballage (règlement 1935/2004). Il appartient au conditionneur d'établir le lien entre son dispositif de traçabilité et celui du fournisseur d'emballage, au même titre que pour tout ingrédient.
Salutations,
Benoît CATTEAU
LINPAC Packaging Pontivy
JEUDI 04 MARS 2010
EURACTIV 04/03/10 Crainte d'une
surcharge d'information avant le vote sur l'étiquetage des
aliments
http://www.euractiv.com/fr/sante/crainte-dune-surcharge-dinformation-avant-le-vote-sur-letiquetage-des-aliments-news-301754
JEUDI 18 MARS 2010
PARLEMENT EUROPEEN 17/03/10
Denrées alimentaires: un étiquetage plus clair et plus
informatif
http://www.europarl.europa.eu/news/expert/infopress_page/067-70614-074-03-12-911-20100315IPR70613-15-03-2010-2010-false/default_fr.htm
EURACTIV 17/03/10 Les législateurs de l'UE rejettent le
système de code de couleurs pour les étiquettes
alimentaires
http://www.euractiv.com/fr/sante/les-legislateurs-de-lue-rejettent-le-systeme-de-code-de-couleurs-pour-les-etiquettes-alimentai
MERCREDI 31 MARS 2010
PARLEMENT EUROPEEN - MARS 2010
- Denrées alimentaires: un étiquetage plus clair et
plus
informatif
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//NONSGML+IM-PRESS+20100315IPR70613+0+DOC+PDF+V0//FR
JEUDI 01 AVRIL 2010
FNICGV
19/03/2010 - LE FLASH N° 2010.11
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=5094
Etiquetage
de l’Origine : les parlementaires européens de la
Commission environnement radicalisent leur position
MERCREDI 07 AVRIL 2010
PROCESS 06/04/10 Ingrédients
- L’ELC réagit au projet de règlement
Etiquetage
http://www.processalimentaire.com/Ingredients/L-ELC-reagit-au-projet-de-reglement-Etiquetage
(source
Gilles TIXIER)
O. Cerf Jeudi 17. Juin 2010 8:51
Le 16 juin 2010 18:29, mariarus0 a écrit :
Bonjour,
Je suis en train de me pencher sur la législation de l'étiquetage en France, et une question me vient que les messieurs de la DGCCRF m'expliquent peu. Est-il OBLIGATOIRE de mentionner le fabricant sur les étiquettes, ou est-il possible de seulement faire référence au distributeur?
Merci d'avance pour vos réponse qui me seront d'une aide précieuse,
Cordialement,
Maria-Christina Rus
Article R112-9
Sans préjudice des dispositions relatives au contrôle métrologique, l'étiquetage des denrées alimentaires préemballées comporte, dans les conditions et sous réserve des dérogations prévues au présent chapitre, les mentions obligatoires suivantes :
...
6° Le nom ou la raison sociale et l'adresse du fabricant ou du conditionneur ou d'un vendeur établi à l'intérieur du territoire de la Communauté européenne ;
O. Cerf Jeudi 17. Juin 2010 15:19
Voulez-vous indiquer le numéro de l'enregistrement sans donner le nom lui-même ? La réglementation (et non pas une norme ) dit sans ambiguïté que l'étiquette doit indiquer un nom ou une raison sociale.
mariaroumaine Jeudi 17. Juin 2010 15:44
Oui, vous avez raison. Cependant, si nous avons un distributeur en France,
est-il obligé de mettre le nom du fabricant?
Pascal Rudeaux Jeudi 17. Juin 2010 16:00
Et cela au niveau des pays de la communauté Européenne.
Importation non obligatoire.
O. Cerf Jeudi 17. Juin 2010 18:35
Le nom "d'un vendeur établi à l'intérieur du territoire de la Communauté européenne" suffit. Un distributeur est un vendeur. L'idée simple est qu'un consommateur doit savoir auprès de qui s'adresser dans le cas où il a des questions ou des réclamations relative à l'aliment.
LUNDI 21 JUIN 2010
Cahiers
de Nutrition et de Diététique, In Press, Corrected
Proof, Available online 19 June 2010
Comprendre l’étiquetage alimentaire.
Édition mars
2010
http://www.sciencedirect.com/science/science?_ob=GatewayURL&_method=citationSearch&_urlVersion=4&_origin=SDSRCHALERTHTML&_version=1&_uoikey=B8JFH-50BKNGM-1&md5=5a24516224643af319b6a6e13fc2b7e3&graphAbs=y
Association
nationale des industries alimentaires (ANIA)a, 1, E-mail The
Corresponding Author and Institut français pour la nutrition
(IFN)b, 2, Corresponding Author Contact Information, E-mail The
Corresponding Author
a 21, rue Leblanc, 75015 Paris, France
b
71, avenue Victor-Hugo, 75116 Paris, France
VENDREDI
30 JUILLET
FNICGV 30/07/10
- FLASH N° 2010.29
Etiquetage : les viandes ne seraient donc
pas des denrées pas comme les autres ?
julien.ortiz Date: Tue, 31 Aug 2010 15:28:19 +0200
une simple question pour vous, nous allons lancer un nouveau produit qui sera en barquette avec film transparent présenté de la façon suivante :
-une tranche de viande cuite sous vide (fabriquée dans nos locaux).
- un sachet dose de sauce allant avec la viande (sous traitée).
Es-que si je demande à mon sous traitant de sauce de me signaler les informations, DLUO, ingrédients, lot, sur les sachets dose. Dois-je par la suite retranscrire ces mêmes informations sur l'étiquette finale qui ira sur la barquette ?
hygienequalite Mardi 31. Août 2010 22:36
si le produit est destiné à un particulier (et non en vente entre professionnel) il est soumis aux regles d etiquetage des produits preeamballes et les informations reglementaires doivent etre visibles par le client sur le produit sans porter atteinte au conditionnement.
sauf erreur vous évoquez le cas d'une unité de vente composé de 2 sous conditionnement, il s'agit donc de la barquette qui doit etre etiquetée et prise en compte pour l etiquetage: donc composition de l'assortiment présent dans la barquette (d'un coté la viande, de l'autre la sauce avec le % de viande et % de sauce l si vous en faite réference dans la denomination de vente), poids total, conditions de conservation et dluo de la barquette totale (en prenant le cas le plus sensible: soit la viande soit le sachet dose) + toutes les info reglementaires legales.
les informations sur le sachet dose viendront en complement, une fois la barquette ouverte, si le consommateur decide de conserver le sachet.
Cgirardreydet Fri, 27 Aug 2010 05:41:09 -0700
Petite question :
Nous avons un siège social et un site de fabrication. Sur nos étiquetages de produits finis, faut-il mettre l'adresse du siège ou l'adresse du site de fabrication ?
hygiene qualite Mardi 31. Août 2010 22:16
vous devez mettre l estampille sanitaire de votre site de production (s il est soumis a estampille) et concernant l adresse elle permet, au travers des coordonnées, de definir un responsable légale en France: de cet fait c'est généralement le siege social qui est noté car c'est lui qui a une valeur juridique.
esperant vous avoir aidé,
agroactiv Mardi 12. Octobre 2010 15:19
J'ai posé une question il y a quelques jours. mais elle est restée sans
réponse...Sans doute était elle mal posée de ma part ! alors je fais plus simple
:
si on utilise un ingrédient déshydraté ( oeufs en poudre par exemple) au cours
d'une fabrication.
- doit on obligatoirement préciser que cet ingrédient est "déshydraté" dans la
liste des ingrédients ?
- doit on le positionner selon son poids sec ou son poids réhydraté dans la
liste des ingrédients ? (liste des ingrédients dans l'ordre décroissant de poids
selon la législation)
merci pour vos luimières !
Béatrice SEGUIN
Hubert BAZIN Mardi 12. Octobre 2010 16:13
comparaison n'est pas raison, mais les jus de fruits à base de concentré sont étiquetés "jus de ..." On peut même avoir "teneur en fruits 100%", alors que dans l'usine on a mélangé 1 volume de concentré pour 6 ou 7 volumes d'eau...
Et ce sont les jus de fruits reconstitués qui figurent à "leur" place dans la liste d'ingrédients. Par exemple un nectar comprenant 50% de jus, 5% de sucre et 45% d'eau sera étiqueté "jus de ... , eau, sucre". Alors qu'à l'usine on a mis dans l'ordre de l'eau, du concentré et du sucre.
voir à ce sujet http://www.unijus.org/Default.aspx?lid=1&rid=46&rvid=76
cordialement
Hubert BAZIN
Thierry Laugier Mercredi 13. Octobre 2010 14:07
Extrait du Décret no 2005-944 du 2 août 2005 relatif à l’étiquetage des denrées alimentaires, visible ici
http://www.alimentaire-pro.com/dossiers/pdf/etiquetage/joe2005080601820031.pdf
"Les ingrédients utilisés sous une forme concentrée ou déshydratée et reconstitués pendant la fabrication peuvent être indiqués dans la liste des ingrédients en fonction de leur importance pondérale avant la concentration ou la déshydratation"
Cordialement,
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