ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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THEME : réglementation des marchés de plein air et des produits traditionnels |
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Pages d’archives connexes |
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La fixation des Dates limites de consommation (DLC) et dates limites d'utilisation optimale (DLUO) |
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LIENS FONDAMENTAUX
PREFECTURE INDRE - POLE SECURITE ALIMENTAIRE - Juin 2004 -
Conditions de vente sur les
marchés
http://www.indre.pref.gouv.fr/prefecture/vss/sante/alimentaire/Metier_de_bouche/plaquette_marche.pdf
Réponse à une
question au Sénat le 08/06 au sujet des marchés et de
l'arrêté du
09/05/95
http://www.senat.fr/seances/s200006/s20000608/sc20000608021.html
La DGCCRF a mis en ligne sur son site des fiches relatives à l'hygiène sur les marchés
http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/securite/produits_alimentaires/hygiene_marches/index.htm
PREFECTURE DE DORDOGNE - Au sommaire:
La sécurité
alimentaire sur les marchés - 1.67 M
La restauration
ambulante et de plein air.pdf - 161 K
http://www.dordogne.pref.gouv.fr/sections/les_actions_de_l_eta/securite/securite_des_aliment/la_securite_sanitair/view
JO ASSEMBLEE NATIONALE 18/04/06 Au sommaire:
QE N°
84094;ventes et échanges - marchés - normes sanitaires.
petits
producteurs
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-84094QE.htm
JO ASSEMBLEE NATIONALE 30/05/06 Au sommaire:
QE N°
91657;ventes et échanges - marchés - normes sanitaires
petits producteurs
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-91657QE.htm
OIE - Revue scientifique et technique , Volume 25 (2),
Août 2006 Sécurité sanitaire des aliments issus
de la production animale et commerce mondial
(Résumés
en français en ligne)
http://www.oie.int/fr/publicat/RT/F_RT25_2.htm
Au sommaire:
Les enjeux et les réponses : régions
et Pays Membres de l'OIE
Répondre aux exigences des
pays importateurs : pratiques et politiques pour assurer la sécurité
sanitaire des aliments au niveau de la ferme (1)
PARLEMENT EUROPEEN - Sélection de
questions/réponses 2007 :
E-0711/07 Petits fabricants
d'aliments et mesure du respect des
normes
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+E-2007-0711+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR
PREFECTURE
DE L'ORNE - Direction des Services
Vétérinaires
http://www.orne.pref.gouv.fr/sections/pubsite/actions_de_letat4086/les_collectivites/fiches_techniques_a/
Fiche
n°19 : Les Marchés
ARCHIVES CHRONOLOGIQUES
Message : Date: Fri, 20 Mar 1998 23:37:17 +0100 From:
Bonjour,
Je vous propose de prendre contact avec votre Chambre de Commerce et d'Industrie, ou par défaut d'informations avec la CCI de PARIS.
Un rapport mentionné sur le site de la CCI de Paris dit que :
"La transposition de la directive " hygiène " dans les secteurs de la distribution et de la restauration ainsi que du commerce non sédentaire ou occasionnel, entraîne, cependant, des contraintes importantes qui nécessitent, pour les commerces alimentaires, un accompagnement financier et fiscal et, plus particulièrement pour les commerces ambulants, une implication plus forte des collectivités locales dans la réalisation d'équipements collectifs, qui pourraient être aidées, à ce titre, par des crédits du FISAC."
Pour plus de détails voir le lien suivant
http://www.ccip.fr/etudes/martin.htm
Date: Tue, 09 Mar 1999 09:58:12 +0100 De: Dominique CARTON
Pour répondre à la question de Bruneau BAILLAUD en matière d'aide financière, prendre contact avec votre Chambre de Métiers. En région Centre, il existe une aide FRAEMA (Fond REgional de Modernisation de l'Artisanat : Aide au conseil et à l'investissement pour les travaux de mise aux normes d'hygiène et de qualité dans les laboratoires. Montant éligibles de 70 à 400 KF.
Voir si cela existe dans votre
région
Bien cordialement
Dominique Carton
HYGINOV
PII, 37 380 NOUZILLY, France
Tel
: 02 47 42 78 60
Fax : 02 47 42 76 38
E-mail :
carton@tours.inra.fr
FELTER mercredi 14 juillet 1999 09:03
Les agriculteurs aimeraient un allègement de leurs
obligations en matière d'hygiène et notamment revenir
vers des "ateliers fermiers".
Pour les artisans il n'en
est bien évidemment pas question et celà a été
un point d'achoppement important dans la préparation de
l'actuelle Loi d'Orientation Agricole.
J'ai été très
surpris d'entendre l'un des directeurs de l'APCA me dire que
l'artisanat était un concurrent objectif en terme d'activité,
et que la spécificité française des trois
chambres consulaires : Chambres d'Agriculture, Chambres des Métiers,
et Chambres de Commerce avait encore de beaux jours devant elle
malgré l'U.E.
Le Terroir ce serait
surtout les agriculteurs, et très peu les artisans ou les
restaurateurs...
Ca ne tient pas.
Dans ce cas il faut bien
évidemment que les règles de concurrence soient les
mêmes pour tous.
P BOUTET jeudi 15 juillet 1999 10:23
Les réactions des agriculteurs aux contraintes induites par
les réglementations relatives à l'hygiène sont
très contrastées. Les néo-ruraux, lorsqu'ils ne
sont pas d'origine paysanne et sont souvent qualifiés (niveau
bac ou technique) s'adaptent assez bien car ils raisonnent leur
installations en fonction de sa pérennité à
moyen terme et donc intègrent d'emblée ces données.
Les
agriculteurs plus traditionnels, soit qu'ils exercent l'activité
de transformation depuis longtemps, soit qu'il en ont hérité,
sont bien souvent manipulés par les chambre d'agriculture qui
ne répugnent pas à utiliser ces bataillons pour
affirmer leur pouvoir dans les zones rurales. Bien souvent le
discours développé est alors un discours d'inspiration
poujadiste, où l'argument avancé est celui des intérêts
des "gros" seuls pris en compte par l'europe, au détriment
des petits. L'article 260 du code rural a précisément
pour objet de permettre une adaptation progressive des petits
ateliers aux règles d'hygiène. (toutefois la France est
mise en cause par la commission qui n'admet pas cette aménagement
des règles communautaires). Il est difficile d'aller plus loin
dans la prise en compte des difficultés des petites
exploitations fermières. La protection de la santé
publique et le respect des règles de la concurrence limitent
objectivement les dispositions dérogataires.
LEGOY Maurice jeudi 18 mai 2000 03:50
Je trouve qu'il n'est pas utile
d'appliquer les nouvelles normes aux producteurs qui vendent leur
production sur les marchés.
Il est idiot d'interdire
aux épouses des pêcheurs de Port-en Bessin de vendre le
poisson, que leur mari a pris au cours de la nuit précédente,parce
qu'il ne serait pas sur un lit de glace, alors que les supermarchés
du dehors du port peuvent vendre comme poisson "frais", les
filets de je ne sais quelle espèce pêchée au
Spitzberg ou aux Orcades et qui a passé 3 semaines dans la
cale! Quelles transfomations affectent les composants d'un filet de
poisson maintenu à 0° AUSSI LONGTEMPS?
Il est
ridicule d'obliger une fermière qui fabrique son beurre ou sa
crême, à s'équiper d'une vitrine réfrigérée
sous prétexte que ces produits doivent être maintenus à
8°. S'il fait un peu chaud, le beurre devint mou et est
invendable. Mais à 15 °, c'est la température
idéale pour le bien tartiner et c'est excellent pour la ligne
(on n'est pas tenté d'en mettre trop!).
La loi ne
devrait ps être applicable aux producteurs individuels, qui
commercialisent exclusivement leur production.
Et n'en
déplaise aux commerçants qui ont les moyens de se
mettre aux normes pas toujours justifiées qu'on veut nous
imposer sous couvert d'hygiène et de précaution, la
présence des producteurs sur le marché, c'est un
ingrédient irremplaçable de la couleur de ce
"marché";
Il faudra descendre les Champs
Elysées un de ces quatre, en compagnie de quelques centaines
de milliers de gens qui ont encore un peu bon sens!
Comme dit
mon copain Mimile, "là où il y a trop d'
l'hygiène, y'a plus d' plaisir!"
gilles tixier samedi 20 mai 2000 05:56
Les réactions au sondage
proposé sur la mise en application (après un délai
de cinq ans) de l'AM du 5/5/95 aux vendeurs sur les marchés,
sont en résonance avec celles auxquelles je m'affronte en ce
moment avec les Chefs de deux cuisines collectives. Voici la
situation :
o D'un côté, les décideurs
(intendant d'une institution dans un cas et élus locaux, dans
l'autre) ont fait le choix de ne pas sous-traiter ce service et de
conserver leur cuisine traditionnelle. Et ce n'est pourtant pas
confortable : coûts de réfections des locaux, de
rénovation des équipements, travail pour la gestion des
produits, l'organisation du Personnel et la gestion de l'absentéisme,
etc. .
o De l'autre côté, les deux Chefs de
cuisine résistent tout ce qu'ils peuvent à des mesures
simples d'Hygiène comme le lavage des mains " qui ne sert
à rien car ils ne l'ont jamais fait jusque-là et qu'ils
n'ont tué personne ", et comme jusque-là les
prélèvements bactériens n'ont jamais rien révélé
(évidemment, jusqu'à présent, la plupart
concernaient des plats chauds, prêts à servir, à
80°C !), alors pourquoi changer ?
J'entends même cet
argument que l'Hygiène alimentaire diminue nos
résistances.
Selon eux, l'Hygiène ne peut conduire
qu'à des aliments industriels, insipides, sans personnalité,
etc.
Notre collègue, LEGOY Maurice, 18 May 2000, ne
tient-il pas le même propos, quant à l'hygiène
sur les marchés ? J'espère ne pas trahir son intention
par cet extrait :
La loi ne devrait pas être applicable aux
producteurs individuels, qui commercialisent exclusivement leur
production.
Et n'en déplaise aux commerçants qui ont
les moyens de se mettre aux normes, pas toujours justifiées
qu'on veut nous imposer sous couvert d'hygiène et de,
précaution, la présence des producteurs sur le marché,
c'est un ingrédient, irremplaçable de la couleur de ce
"marché" ;
Comme dit mon copain Mimile, "là
où il y a trop d''hygiène, y'a plus d'plaisir!"
Je
réponds, avec un fort doute dans ma réussite à
convaincre, que :
o l'attente principale est la sécurité
alimentaire, attente émanant d'une part, des consommateurs et
de leurs familles et d'autre part, des responsables des
établissements ;
o c'est un fait acquis que
leur savoir faire culinaire garantit la qualité gustative. Il
suffirait de quelques changements de pratiques (d'autant plus que les
investissements coûteux ont été faits ou sont en
cours) pour atteindre la qualité hygiénique assurée
par les sociétés extérieures de restauration
;
(Je ne suis pourtant pas un intégriste de Hygiène
et n'impose pas des " usines à gaz " sous prétexte
d'HACCP)
o On annule tous les bénéfices des
lourds investissements en locaux, équipement et . en
formation, avec des gestes graves en termes d'Hygiène,
délibérés (par manque de conviction de leur
utilité) et pourtant facilement évitables (comme ne pas
déposer le siphon de sol sur les tables qui viennent d'être
désinfectées).
Dans ce sens, je retiens
l'article du MONDE de François Grosrichard, signalé par
Bruno PEIFFER, dans les infos du 20 Mai :
La réglementation
européenne influe déjà largement sur le contenu
de nos assiettes
Vue par les producteurs et les
consommateurs français qui, peut-être plus que d'autres,
apprécient autant la typicité de terroir que l'hygiène
a tout crin, la réglementation européenne n'a pas été
toujours lourde et pénalisante. Ainsi pour le foie gras, les
dispositifs communautaires du 14 juillet 1992 sur les indications
géographiques de provenance (IGP) et appellations d'origine
protégée (AOP) progressivement introduits dans le droit
interne, sont plutôt protecteurs et ont placé des
gardes-fous aux contrefaçons. L'arsenal national des signes de
qualité et d'origine garantie (labels, certification, AOC,
agriculture biologique) est en effet très élaboré
et jalousement vérifié avec des cahiers des charges
régulièrement mis à jour.
Avez-vous des
idées d'autres arguments, pour m'aider à convaincre ?
samedi 20 mai 2000 09:11
Les articles du MONDE Cités ci-dessous ne sont plus disponibles librement sur Internet
Les nouvelles normes pour
les marchés de plein vent inspirées par la NASA
La
réglementation européenne influe déjà
largement sur le contenu de nos assiettes
La Commission
de Bruxelles estime qu'on lui fait un faux procès
Quand
la grande distribution explore le « concept terroir »
samedi 20 mai 2000 12:45
Apparemment le grand public va
enfin découvrir le terme HACCP à travers ces derniers
soubresauts médiatiques. Mais en ce qui concerne l'esprit que
nous défendons pour son application, je crains que ce ne ne
soit pas encore gagné.
J'ai de mon côté
régulièrement entendu les remarques citées par
Gilles TIXIER au sujet de "l'excès d'hygiène".
Ces remarques mettent d'ailleurs souvent en opposition la
restauration de collectivités, où les responsables se
sentent plus contrôlés, par rapport à la
restauration commerciale et aux marchés.
Cette dernière
critique ne me semblait pas totalement injustifiée au regard
de ce que je peux voir en tant que citoyen qui se promène à
certains endroits.
Ce que les gens ne comprennent pas, c'est
qu'en appliquant à la lettre l'ancienne réglementation
(Arrêté du 26/09/80), on aurait pu fermer la
plupart des établissements, non pas du fait que la situation
était catastrophique, mais que ce texte imposait des
obligations de moyens idéaux que personne ne pouvait suivre.
Or aujourd'hui où une réglementation applicable se met
concrètement en place, on aurait l'impression du contraire.
De plus, il faut savoir que des subventions sont possibles
pour la mise aux normes des marchés :
- Fonds
d'intervention pour la sauvegarde de l'artisanat et du commerce
(FISAC)
- Fonds européen de développement régional
(FEDER)
Des prêts bonifiés sont également
disponibles auprès du CNAQ. Ce dernier a d'ailleurs élaboré
un dossier relatif à la mise en conformité des marchés
aux règles d'hygiène (fiches techniques).
Celà
étant, la partie n'est pas encore gagnée car nous
devons nous servir de l'expérience des Américains pour
prendre ce qu'il y a de bon et laisser le reste.
Il y a un
travail de sensibilisation à la nouvelle approche à
poursuivre, tant auprès des acteurs de la veille sanitaire. La
souplesse réglementaire de l'obligation de résultat ne
doit pas profiter à ceux qui veulent faire n'importe quoi ;
d'ailleurs ces derniers devraient se sentir les premiers visés
par cette échéance. Elle ne doit pas non plus pénaliser
les gens qui maîtrisent les risques grâce à cet
outil (ex. freins dans l'obtention d'autorisations).
Pour ce
faire il sera important d'orienter la vision sur une approche
scientifique, évoluant continuellement et dont l'information
puisse être rapidement partagée pour l'ensemble des
acteurs de la veille sanitaire. Avec les nouvelles technologies et
une démarche qualité de l'information cet idée
n'est plus une utopie.
P.BéAUR lundi 22 mai 2000 07:55
Merci de commencer à
remettre un peu de clarté (pour les utilisateurs) dans la
nouvelle approche et dans la façon de considérer
l'hygiène.
Les services officiels ne sont vraiment pas tous
"nouvelle approche" et définissent encore les moyens
à la place des professionnels.
Gilles Tixier a raison
sur les torchons, je vous avez envoyé il y a quelques semaines
un message similaire.
Venons en a une "Hygiène
Raisonnée".
Les producteurs Fermiers connaissent bien
le terme puisque l'on parle désormais "d'Agriculture
Raisonnée". Ne faisons pas n'importe quoi dans l'excès
sous réserve de se couvrir. Nais adaptons les mesures
d'hygiène nécessaires à maîtriser ses
propres risques.
Autre solution qui marche bien. Ne parlons
plus d'HACCP... mais remplaçons le par sa traduction, Analyse
des risques... et nous verrons que ce terme sera plus clair et pas
employé n'importe comment.
Par exemple il n'y a pas de
"norme Analyse des Risques" alors que l'on entend parler de
tous les jours abusivement de "norme HACCP". C'est une
méthode et pas une norme.
Remarque pour BP . Prenons
vraiment que le bon des américains et sachons faire le
tri.
P BOUTET vendredi 26 mai 2000 14:40
Les nombreuses réactions
d'humeur enregistrées ces derniers temps sur la liste, en écho
aux dispositions réglementaires relatives à la
restauration ou aux marchés sont elles révélatrices
d'un découragement qui se cacherait derrière une
défense acharnée d'un traditionnel plein de saveur face
à un moderne insipide ? Faut-il se laisser aller à des
discours qui frisent
parfois la démagogie (attention il
n'est pas interdit d'être passionné!) parce que c'est
difficile ? Faut-il rappeler que l'hygiène ce n'est pas un
comportement spontané de l'individu ?
Ces discours on les a
déjà entendus lors de la modernisation de la filière
viandes, lors de celle plus récente de la filière
conchylicole, lors de la mise aux normes des fromageries fermières
etc... et pourtant en dépit des difficultés objectives
réelles, des tâtonnements successifs pour parvenir à
un équilibre satisfaisant, qui reviendrait aujourd'hui en
arrière ?
Autant il est nécessaire de prendre en
compte les inévitables affres d'une adaptation aux
contraintes, autant il convient de ne pas céder sur
l'essentiel, la qualité sanitaire.
En l'absence d'une
maîtrise des fabrications tout acheteur de fromages
traditionnels fermiers sait que le sublime peut y côtoyer
l'épouvantable. Que l'on démontre d'abord que la
qualité hygiénique est incompatible avec la qualité
organoleptique, gustative notamment. Mais qui sait actuellement
maîtriser l'affinage compte tenu des modes de
commercialisation? Ce sont plus ces derniers qui sont en cause, et
notamment l'évolution des comportements de consommation liés
aux nouveaux modes de vie, davantage que les technologies qui
supportent, permettent et accompagnent ces évolutions.
Alors
nostalgie, quand tu nous tiens !
De deux choses l'une, ou les
règles d'hygiène reposent sur des connaissances
scientifiques précises et le microbe se contrefiche de qui
vend le produit dans lequel il prolifère, à conditions
équivalentes, ou alors elles reposent sur une approche
socio-politique du problème, mais alors comment justifier aux
yeux du consommateur deux poids, deux mesures. (autorise-t-on les
voitures suréquipées à rouler plus vite que les
voitures bas de gamme sous prétexte qu'elles tiennent mieux la
route ?) Ce n'est donc pas dans la multiplication des dérogations
qui ne peuvent qu'ajouter à la confusion et compromettre la
lisibilité du message qu'est l'issue la plus utile, elle est
sans doute dans une application raisonnable, raisonnée et
progressive d'une
réglementation volontariste et
nécessaire. Les services de contrôle sont bien placés
pour enregistrer sur ces questions des attitudes très
contradictoire de consommateurs qui un jour défendent
l'alimentation de grand maman et se plaignent le lendemain des
conditions de distribution précaire de certains commerçants
non sédentaires ou de restaurateurs saisonniers ou non.
Les normes de températures
prévus pour les produits commercialisés sur les marchés
de plein vent sont réalistes, l'application de ces
dispositions est empreinte de pragmatisme, en témoigne le
travail réalisé par le CNAQ, en témoigne aussi
la très intelligente étude sur ce sujet de la FRECAP
(fédération des éleveurs caprins) qui démontre
que tout producteur peut
s'adapter sans trop de mal à ces
contraintes, avec de l'organisation, une gestion rationnelle du froid
et des investissements limités. De la volonté et du bon
sens c'est un alliage qui a fait ses preuves.
tenez-bon !
pauleneyrat vendredi 26 mai 2000 16:18
Ces discussions me font penser à
un remarquable papier qui est paru dans Libé (page Rebonds),
il y a plusieurs mois, sur ce sujet et dont le titre était
"C'est Mozzarella qu'on assasine" de Jacques Gaillard.
Il
y a fort longtemps, le même débat avait lieu sur la
diététique et la gastronomie, ennemies jurées.
Les choses se sont quand même un peu arrangées !
felter mardi 30 mai 2000 08:43
En tout début d'année
nous avons catactérisé avec Gaston Chardebas, célèbre
fromager à Toulon le contenu pédagogique d'un stage à
destination des professionnels de l'alimentation travaillant des
produits vivants ou très typés.
En y associant un
médecin nutritionniste réputé, et un expert en
analyse sensorielle.
Son déroulement est prévu pour
Septembre, lieu : Toulon .
Son recrutement est bouclé, si
des informations en sortent susceptibles d'intéresser cette
liste je les communiquerai en relais.
Le but est effectivement de
trouver les termes, et les procédures simples, permettant
d'exprimer le respect du souci de la qualité gustative du
produit et les principes retenus dans les GBPH.
J'ai été
témoin il y a une dizaine d'années des progrès
en hygiène dans la filière Coquillage en
Méditerrannée.
Sur Mèze par exemple les
techniciens de la DSV 34 ont obtenu davantage de résultats en
5 ans que l'ISTPM en 50.
Comme le chantier était neuf celà
s'est d'emblée fait fans l'esprit Nouvelle
Approche, ce qui
explique la rapidité de progression selon moi.
Jean Claude
Archimbeau, Président de la SRC Méditerranée
et Restaurateur célèbre à Bouzigues pourrait en
témoigner.
mercredi 31 mai 2000 18:45
PHYTONET 31/05/00 : UE: Mme
Fontaine annonce une révision de la directive des petits
marchés
http://www.terre-net.fr/actus/actus_detail.asp?id=5527
mardi 13 juin 2000 20:12
Pour ceux qui souhaitent obtenir les fiches techniques conçues par le CNAQ pour concrétiser la mise aux normes des marchés de plein air, il est possible de les obtenir en contactant le CNAQ : 15 rue de Rome - 75008 Paris Tél. : 01 44 90 88 44 Fax : 01 45 22 64 12. D'autre part ces fiches précisent les conditions de financements (subvenbtions, prêts bonifiés).
dimanche 22 octobre 2000 10:08
L'ALSACE 22-10 « La vente
directe est l'avenir »
http://www.alsapresse.com/jdj/00/10/22/PO/article_15.html
mardi 21 août 2001 22:05
JOCE 21-08 Question P-0724/01
posée par Luciana Sbarbati à la Commission - Objet:
Protection alimentaire et produits
typiques
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+P-2001-0724+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3
Thierry JACCAUD mercredi 5 septembre 2001 15:26
L'Ecologiste est l'édition
française de The Ecologist, revue de référence
fondée en 1969 par Teddy Goldsmith. "Enfin l'édition
française de The
Ecologist
!" (Le Monde)
Bonjour,
L'Ecologiste
n°4 vient de paraître dans les principaux kiosques. 84
pages en quadrichromie.
Son
dossier central (48 pages) est consacré à
l'alimentation et plus précisément aux conséquences
des nouvelles réglementations sur l'hygiène sur la
santé et les petits producteurs.
Egalement
dans ce numéro : Des éditoriaux (TGV Méditerranée,
OMC, René Dumont, le nickel en Nouvelle-Calédonie…),
des articles sur les agences de
crédit
à l’exportation, les Indiens Huichols au Mexique, l’art
contemporain, l’agriculture aux Etats-Unis ainsi que des
recensions de livres et revues
En
exclusivité : Une réponse de Pascal Lamy, commissaire
européen au commerce (page 79)
Après
le sommet de Gênes (Italie) en juillet et à quelques
semaines de la conférence ministérielle de Doha (Qatar)
de l’Organisation mondiale du
commerce,
le commissaire européen répond de façon
détaillée au dossier critique sur la mondialisation de
L’Ecologiste n°3.
A
noter également, une réponse de Philippe Rabit,
conseiller du président de Carrefour (page 78), à
l’article consacré au bilan de la grande
distribution
dans
L’Ecologiste n°3.
En
vous remerciant de votre attention,
Thierry
JACCAUD
Rédacteur
en
chef
****************************************************
L'Ecologiste
Edition
française de The Ecologist
25,
rue de Fécamp
75012
PARIS
Tel
01 46 28 70 32
Fax
01 43 47 03 38
www.ecologiste.org
ecologiste@worldnet.fr
Le
n°: 40 FF (port offert)
Abonnement
1 an quatre n°: 150 FF
Abonnement
1 an quatre n° + le livre Le défi du XXIème siècle
de Teddy
Goldsmith
("lisez ce livre, vous ne verrez plus le monde de la même
façon"
selon
Jean-Marie Pelt): 220
FF
****************************************************
N.B.
Si votre kiosque habituel n'a pas (ou plus) L'Ecologiste, il
peut
toujours
le commander : codification NMPP de L'Ecologiste: 1848.
mardi 27 novembre 2001 22:52
QUESTION ÉCRITE
E-2801/01 posée par Gian Gobbo (NI) à la Commission
(26 septembre 2001) Objet: Protection des produits alimentaires
typiques et sauvegarde de l'agriculture européenne
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2001-2801+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3
mardi 15 janvier 2002 22:13
TRANSRURAL 15-01
La production
fermière, une réponse aux attentes du consommateur
Les
règlements sanitaires sont-ils un frein à la production
fermière ?
S'engager auprès des consommateurs -
L'expérience des cahiers de transparence en Rhône-Alpes
Un
Contrat territorial d'exploitation « agriculture fermière
» en Haute
Provence
http://www.globenet.org/tri/numero-204/tri204doss.pdf
jeudi 18 avril 2002 18:33
Pour
répondre à une question posée par rapport à
la réglementation applicable aux produits vendus directement à
la ferme, j'ai mis dans
l'espace fichiers la note de service
DGAL/SDHA/N2002-8053 du 05 AVRIL 2002 - Conditions sanitaires de
fonctionnement des tueries
particulières - devenir et
commercialisation des
produits.
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/DGALN20028053.PDF
Attention, la note de service N2002-8053 a été abrogée et remplacée par la : Note de service DGAL/SDSSA/N2008-8282 du 12/11/2008 (52 K) Dispositions relatives aux établissements d'abattage de volailles et de lagomorphes non agréés (" tueries particulières ") prises en application du décret 2008-1054 du 10 octobre 2008.
vendredi 28 juin 2002 00:19
AGRISALON 27/06/02 Accord sur une
plus grande flexibilité des règles d'hygiène
pour les produits traditionnels
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-6970.php
EUROPE
27/06/02 David Byrne se félicite de l'accord du Conseil sur
une plus grande flexibilité des règles d'hygiène,
en particulier pour les produits
traditionnels
http://www.europa.eu.int/rapid/start/cgi/guesten.ksh?p_action.gettxt=gt&doc=IP/02/948|0|RAPID&lg=FR&display=
"Anne BRUGIER"
Monday, May 12, 2003 4:27 PM
J'ai
actuellement un étudiant en stage chez un
agriculteur-transformateur dans le domaine du canard gras. Cet
agriculteur-transformateur demande à l'étudiant de
l'aider à mettre en place un HACCP dans son atelier
de
transformation. La queston est la suivante: Existe-t-il
des guides pour la mise en place d'un HACCP "simplifié"
pour ce genre de structure ?
aarmail
samedi 12 avril 2003 19:02
Du temps où j'y enseignais , le lycée agricole
de Périgueux travaillait sur élévage abattage et
transfo de canard. Esssayer de les contacter.J'ai vu l'adresse sur ce
forum y'a pas longtemps.
sinon vous pouvez avoir les coordonées
sur le site educagri.
mercredi 11 juin 2003 00:34
JURA AGRICOLE 10/06/03 Abattage familial et
autoconsommation
Manger, en famille, les produits de son
exploitation est une tradition ancestrale chez les paysans. Durant de
longs siècles, ce principe fut même le pilier de
l'agriculture dite vivrière. Puis sont venus le progrès
et son cortège de normes et
d'interdictions.
http://www.juragricole.com/story.php/eid/167/aid/3018
Conserver
qualité et hygiène
Beaucoup d'éleveurs
pratiquent l'abattage familial. Les méthodes employées,
qui se transmettent la plupart du temps de génération
en génération, évoluent peu. Quelques
précautions relativement simples peuvent permettre de
préserver la qualité sanitaire des viandes préparées
à la
ferme.
http://www.juragricole.com/story.php/eid/167/aid/3020
Produire,
abattre, consommer à la ferme
Traditionnellement, un bon
nombre d'éleveurs ovins pratiquent l'abattage familial qui est
autorisé exclusivement pour la consommation familiale de
viande. Témoignage de Nicolas Fanjat, un jeune agriculteur
installé dans le nord de
l'Isère.
http://www.juragricole.com/story.php/eid/167/aid/3019
Viande
ni vendue ni donnée
L'accord signé en janvier par
l'Interprofession des viandes (Interbev) vise à «maintenir
les règles d'une concurrence loyale entre tous les opérateurs
de la filière viande», c'est-à-dire surtout entre
les bouchers et les agriculteurs qui pratiquent l'abattage familial
et la vente
directe.
http://www.juragricole.com/story.php/eid/167/aid/3022
samedi 14 juin 2003 21:25
Abattages familiaux et vente de viande en direct par les
éleveurs
http://www.interbev.asso.fr/interbev/homepage.nsf/wPJ/B860D76FFCC8ABB8C1256CD30068099F/$File/11_abattages_familiaux_150103.pdf
mardi 26 août 2003 08:06
JO SENAT 21/08/03 Au sommaire
:
http://www.senat.fr/quesdom.html
Question
écrite Nº 08533 du 17/07/2003 - Protection des
consommateurs sur les foires et marchés
Question écrite
Nº 08417 du 10/07/2003 - Protection des consommateurs sur les
foires et marchés
dimanche 23 novembre 2003 00:49
JOCE 21/11/03 QUESTION ÉCRITE E-1489/03 posée par
Reinhold Messner (Verts/ALE) à la Commission (16 avril 2003)
Objet: Dispositions en matière d'hygiène applicables à
l'abattage et à la transformation à la
ferme
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2003-1489+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3
samedi 17 janvier 2004 11:27
JO ASSEMBLEE NATIONALE 13/01/04 Sélection de réponses
aux questions écrites
QE N° 21366; élevage -
éleveurs - abattages familiaux. lutte et
prévention
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-21366QE.htm
Nathalie mercredi 21 janvier 2004 14:42
Je vous écris aujourd'hui car je voudrais connaître
les
règlementations concernant le fromage autoproduit et
autoconsommé.
Je m'explique : j'ai un troupeau d'une
trentaine de chèvres ce qui me permet de fabriquer mon rpopre
fromage. Celui-ci est destiné UNIQUEMENT à ma
consommation, je ne le vends en aucun cas.
Je traite manuellement
mes chèvres. et Je me suis fabriquer une petite fromagerie,
certes qui n'a rien à voir avec les normes européenes.
Je
voudrais savoir, si j'ai le droit de faire cela ? Est-ce que je dois
le déclarer, à qui ? est-ce que je dois faire un
contrôle sanitaire ? aurpès de uiq puis-je me renseigner
?
Jean-Philippe CLAUDE mercredi 21 janvier 2004 17:41
Pas de problème, pas de réglement pour l'auto
consommation... de fromages.
Mais attention, la consommation
par des membres de votre association correspond à de la remise
directe aux consommateurs et là C réglementé.
De
mes souvenirs de mon lointain exercice vétérinaire
rural, je vous recommande la recherche de "Brucellose" par
prise de sang sur chacune de vos bêtes, mais normalement C
obligatoire, donc certainement fait... à moins que la prophylo
ait fortement évolué depuis... 15 ans.
NB:
Mon équipe se porte volontaire pour des analyses gustatives
gracieuses de vos fabrications (Attention: seul ce prétexte,
(l'analyse), vous autorise une distribution sans tomber sous le coup
des réglements (même à titre
gracieux))
Faites
quand même la recherche de Brucella AVANT.
La première
source de contamination des "urbains" par la Brucellose
était à l'époque la "vente de fromages
fermiers" au bord des routes...
Meilleures salutations...
urbaines.
H.HICHRI mercredi 21 janvier 2004 18:17
Les services vétérinaires (DSV) de votre département sont les personnes les plus habilitées à vous donner une réponse la plus appropriée du point de vue réglementaire et sanitaire.
euqilegnal lundi 13 septembre 2004 09:13
je travaille depuis peu dans une charcuteire qui exerce 2 types
d'activité :
- remise directe au consommateur (magasin +
marché)
- livraison à des GMS
chargée
de la mise en place de l'Haccp dans cette entreprise, j'ai du mal à
comprendre le décalage qu'il existe au niveau des exigences
relatives à ces 2 types d'activité notamment au niveau
de l'hygiène.
en effet, je suis allée une matinée
sur le marché avec mes collègue pour voir comment ça
se passait et j'ai été étonnée du manque
d'hygiène générale.
Alors qu'on nous impose
l'installation de lave main à commande non manuelle+papier à
usage unique+savon dans nos locaux, il n'y même pas de quoi se
rincer les mains sur la place du marché .
les vendeurs
servent la viande et rendent la monnaie avec les mêmes mains!
les contaminations croisées sont inévitables : tous les
produits sont en contact les uns avec les autres et pour couronner le
tout la chaîne du froid n'est pas vraiment respectée :
même dans des comptoirs réfrigérés, je
doute que la t°c soit à 4°c en plein été
(sans parler de la mémé qui fait le tour du marché
pendant une heure avec son panier non réfrigéré
lui !).
il est vrai que les produits vendus sur les marchés
sont voués à une consommation quasi imédiate
dans la pluspart des cas mais on ne sais jamais si le consommateur ne
va pas laisser trainer sa charcuterie quelques jours dans leur frigo
(à 8°c) avant de la manger.
et puis les clients des
marchés sont pour moi une clientèle sensible (personnes
agées,...) sujette au intoxications alimentaires
merci de
me dire ce que vous pensez de ce constat
Eric KALINOWSKI lundi 13 septembre 2004 09:33
Suite à vos remarques, sachez que les municipalités
devaient en effet mettre en conformité leurs "marchés"
(point d'eau, bornes électriques, ...) avec la sortie de l'AM
du 9 Mai 1995 modifié: vous avez raison il y encore du
travail.
Sachez que les GBPH Boucherie Charcuterie ou Traiteur
consacrent des fiches spécifiques "Opération:
Marchés".
LUNDI 04 AVRIL 2005
TERRE-NET
03/04/05 Vient de paraître - Transformation carnée à
la ferme, connaître la législation et organiser son
atelier
http://www.terre-net.fr/Outils/Fiches/FicheDetail.asp?idRub=225&Id=19465
SAMEDI 14 MAI 2005
QUESTION ÉCRITE
E-2535/04 posée par Roberta Angelilli (UEN) à la
Commission (11 octobre 2004) Objet: Réglementation européenne
concernant les marchés de
quartiers
http://www2.europarl.eu.int/omk/sipade2?PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2004-2535+0+DOC+XML+V0//FR&L=FR&LEVEL=3&NAV=S&LSTDOC=Y
VENDREDI 05 AOUT 2005
EU RAIN
DECEMBER 2004 Guidelines for Food Safety Management on
Farms
http://www.eu-rain.com/publications/docs/FinalFarmEurop.pdf
VENDREDI 01 JUIN 2007
20MINUTES
29/05/07 Une filière Potjevleesch
démantelée
http://www.20minutes.fr/article/160708/20070529-Lille-Une-filiere-Potjevleesch-demantelee.php
MARDI 16 OCTOBRE 2007
LA DEPECHE 01/10/07
Hautes-Pyrénées - Le marché va-t-il fermer
?
http://www.ladepeche.fr/article/2007/10/01/24978-Le-marche-va-t-il-fermer.html
LA DEPECHE 05/10/07 Réglementation. Sécurité
et hygiène. Quelle place pour les chiens sur le marché
?
http://www.ladepeche.fr/article/2007/10/05/26034-Quelle-place-pour-les-chiens-sur-le-marche.html
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