ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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THEME PRINCIPAL : Normes de sécurité sanitaire dans la distribution |
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Pages d'archives connexes |
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La fixation des Dates limites de consommation (DLC) et dates limites d'utilisation optimale (DLUO) |
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Dénonciation des graves infractions et allégations diffusées dans la presse |
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Message : Date: Thu, 16 Apr 1998 14:09:39 +-200 From: drillet bertrand
Bonjour,
je me pose souvent la question concernant la législation de l'hygiène dans les supérettes où je constate souvent des choses effroyables...
Est-ce le fait d'une législation moins contraignante ou cela peut-il s'expliquer par la taille réduite des exploitations, car il est vrai dans les hyper le niveau de propreté me semble très correct.
Merci
Bertrand DRILLET
Message : Date: Thu, 16 Apr 1998 15:04:38 -0000 From: "cvuagnat"
En tant que chargée de mission qualité pour les Comptoirs Modernes Badin Defforey, je peux vous affirmer que les réglementations en terme d'hygiène sont les mêmes pour superettes, super ou hyper. La seule différence, c'est la culture de l'entreprise plus ou moins forte dans ce domaine, la volonté de faire appliquer une politique d'hygiène, et les moyens que l'on se donne. Comme beaucoup de superettes sont franchisées, les particuliers peuvent avoir plus de mal (ou de volonté) à se conformer aux réglementations.
Nos superettes (Marchés Plus), répondent aux mêmes exigences de qualité que nos supermarchés (Stoc).
Sincères salutations
Christine Vuagnat
Message : Date: Thu, 16 Apr 1998 12:08:42 EDT From: Novorest
Merci de votre réponse,
Il serait toutefois intéressant que vous nous communiquiez les textes de référence qui régissent l'hygiène dans vos magasins. Etes vous soumis à la même réglementation que la restauration ?
Appliquez vous la démarche HACCP ?
Message : Date: Thu, 16 Apr 1998 23:27:30 +0200 From: PEIFFER Bruno
Travaillant aux services vétérinaires de Paris, mais dans la restauration collective, je peux néanmoins donner quelques indications concernant les textes réglementaires que visent mes collègues qui contrôlent les commerces alimentaires.
Le texte utilisé est le règlement sanitaire départemental. Celui de Paris est disponible à la Préfecture de Paris et à l'Hôtel de Ville. Je ne suis pas sûr qu'il le soit également aux Journaux Officiels.
Sinon, les différentes catégories de produits alimentaires trouvés dans ces magasins sont visés par les mêmes textes que ceux qui concernent la restauration.
Concernant l'HACCP, je n'ai rien entendu à ce sujet à propos du secteur des magasins.
Une différence est à remarquer concernant l'entreposage des oeufs entre les magasins où le stock se trouve à température ambiante et l'arrêté du 29/09/97 restauration de collectivité qui prévoit une réfrigération de 5°C pour les oeufs. A noter que l'arrêté du 09/05/95 n'indique pas de réfrigération pour les oeufs.
En tout cas, les oeufs frais présentent de nombreuses difficultés dans la mise en place de l'HACCP lorsque l'on tient compte de la coquille potentiellement polluante et l'intérieur de l'oeuf qui doit être extrêmement protégé. Sans parler de la cuisson très courte d'une omelette ou le refroidissement trop lent d'un oeuf dur et son écaillage qui constitue une manipulation importante.
Message : Date: Mon, 20 Apr 1998 13:12:43 -0000 From: "cvuagnat"
Bonjour,
Je complète la réponse de Bruno PEIFFER au sujet des textes réglementaires en vigueur dans les magasins.
L'arrêté de référence qui a beaucoup fait avancer l'hygiène est celui du 9 mai 1995 qui sert de base. En plus de donner le cadre de bonne manipulation des produits et entretien des locaux, il reprend les différents arrêtés concernant les catégories de produits disponibles.
De plus, la presse a déjà fait écho des Guides de Bonnes Pratiques Hygiéniques qui sont élaborés progressivement entre la FCD, la DSV et les différentes enseignes. Ils se basent sur des études HACCP.
Voilà, j'espère que ma réponse est suffisamment claire.
Je vous signale un livre qui a l'air intéressant : "Alerte produit !" quand le produit doit être retiré de la vente ou rappelé, par Jean-marc LEHU (Les éditions d'Organisation, 1 rue Thénard, 75005 PARIS).
Ce livre explique comment gérer des situations de crise et comment communiquer dans ce cas.
Si vous connaissez des sites traitant de ce sujet ou d'autres sources d'information, jcela m'intéresse de les connaître.
Bonne journée
Christine VUAGNAT
c.vuagnat@hol.fr
Message : Sat, 25 Apr 1998 14:37:54 +0000 "Albert AMGAR"
Bonjour,
Il existe aussi : " L entreprise anticrises : anticipez et gérez l'imprevu. éditions d'Organisation"
Il peut aider mais je vous recommnde surtout : Crisis management in the food and drink industry. A patical approach. Chapman & Hall
PIERRE OGIER vendredi 30 juillet 1999 14:05
Je ne crois pas que les super et autres discounter cherchent délibérément à empoisonner leurs clients ils tueraient la poule aux oeuf d'or et ils ne sont pas idiots.
Toutefois à mon avis ils
sebattent trop sur le prix, car c'est facile à vendre, et
moins sur la qualité.
A ma connaissance aucune enseigne n'a
encore basé exclusivement sa publicité sur le fait
qu'ils sont ceux qui
offrent la meilleure qualité et
partant de ce souci exclusif du prix ils négligent souvent
involontairement le
critère qualité et surtout avec
leurs exigence du toujours moins cher ils poussent les producteurs à
rechercher des
solutions moins onéreuses mais parfois
discutables.
Pouvez vous trouver actuellement en super marché
du porc qui n'ai pas le gout de paier maché avec des filets de
gras
entrelardant la chaire comme il y en avait il 20 ans ?
Le
porc se vend à bas prix mais normal il est immangeable Quand
aux fonctionnaires de la répression des fraude cette
fois
je crois sincèrement que comme tous les humains ils suivent la
pente de l'action la plus facile et il est infiniment plus facile de
remplir son carnet de procès verbal chez un petit que chez
Leclerc Auchan Carrefour ou Intermarché.
Pierre OGIER
PIERRE OGIER jeudi 29 juillet 1999 14:30
Tout à fait d'accord, tant
que les bonnes ames "écolo" ne seront pas d'accord
pour avoir une approche économique du
problème on
parlera dans le désert.
Petite annecdote je viens d'avoir
pendant 3 h la répression des fraudes sur le dos parce que sur
une galerie marchande internet que je gère j'ai mis l'avis
suivant : tous les prix sont indiqués en euros m^me si parfois
le sigle F subsiste.
En effet ce site comporte près 3000
pages et une erreur est toujours possible.
Et pur cela bien qu'il
n'est rien triuvé en consultant le site de chez eux ils sont
venus à 2 !
Et pendant ce temps la le super marché
du coin vendait sans doute des tas de produits non conformes comme
les poulets à la dioxine de Leclerc.
Y BOISARD jeudi 29 juillet 1999 21:11
Bien intéressant votre message ! Notez cependant que la société qui avait acheté les poulets en Belgique pour les réétiqueter "d'origine française" a reconnu l'entière responsabilité de son geste, imputable "à une erreur interne". L'enquête effectuée dont les conclusions ne sont pas encore rendues publiques permettront de le confirmer.
Enfin, votre déclaration
sur les super du coin vendent des tas de produits non-conformes
laisserait penser que les enseignes de distribution ne se sentent pas
responsables de ce qu'elles mettent en vente et que les
administrations des Fraudes et les DSV ne font pas leur travail ! Y
croyait vous vraiment ?
Sans rancune,
YB
Christian FELTER vendredi 30 juillet 1999 23:03
Y BOISARD a écrit :
>
Bien intéressant votre message !
Quel message?
>
Notez cependant que la société qui avait
> acheté
les poulets en Belgique pour les réétiqueter "d'origine
française" a
> reconnu l'entière
responsabilité de son geste, imputable "à une
erreur
> interne". L'enquête effectuée dont
les conclusions ne sont pas encore rendues
> publiques
permettront de le confirmer.
C'est tout à fait
possible. Qu'en pense l'assurance?
>
> Enfin, votre
déclaration sur les super du coin vendent des tas de
produits
> non-conformes laisserait penser que les enseignes de
distribution ne se
> sentent pas responsables de ce qu'elles
mettent en vente et que les
> administrations des Fraudes et
les DSV ne font pas leur travail ! Y croyait
> vous vraiment
?
Le message dont vous parlez ne me concerne pas. Le personnel
des Grandes Surfaces est tenu de respecter des règlements
intérieurs très exigerants. L'hygiène et la
sécurité sont de la compétence de ces règlements
intérieurs. Les Ministères du Travail et de
l'Agriculture ont-ils adopté des propositions communes
concernant les nécessaires modifications des contrats de
travail, via la législation du travail? A mon avis non.
L'avantage de cette liste est sa spontanéité.
Vous
me donnez l'occasion de rebondir sur une proposition : pourquoi pas
des emplois jeunes dans les DSV ou les DGCCRF?
Celà
permettrait d'introduire facilement un niveau de qualification et
formation minimum dans le suivi du risque microbiologique dans cette
période de transition qui s'annonce longue. Actuellement ce
n'est pas le cas ...
Cordialement.
Christian Felter
Olivier Sauer jeudi 16 novembre 2000 13:59
Suite à la supression du boeuf à la cantine du
collège de mes enfants, j'ai, au nom de l'association des
parents d'élèves, convié les parents à
une réunion sur ce thème.
Deux parents-éleveurs
étaient présents, ainsi que le gestionnaire du collège.
Voici les conclusions de cette réunion :
Peu de parents
sont venus, (nous étions 10 en tout sur 300 élèves),
ce sujet ne les a apparemment pas passionnés .
Les éleveurs
nous ont surtout parlé de la pression de la grande
distribution qui tire tellement les prix vers le bas qu'ils doivent
eux aussi, pour pouvoir gagner un peu d'argent, sacrifier la qualité
pour pouvoir toujours satisfaire "les consommateurs".
Car
c'est cet argument que les grandes surfaces avancent, il faut
satisfaire les consommateurs.
Beaucoup de viande vient d'autres
pays (où l'on ne pratique pas de tests) pour être
travaillée en France (grosse différence)
Carrefour,
qui est à l'origine de cette psychose, vient de passer un
accord d'achat de viande en Espagne pour un montant énorme (je
ne me souvient plus du montant, peut-être 6 millions d'euros,
pourriez vous le confirmer?)
Donc si un éleveur choisit de
dépenser plus pour de meilleurs aliments pour ses bêtes,
ses prix de revient ne seront plus alignés sur les autres et
il ne pourra plus vendre.
Alors comment font les éleveurs
bio ?
Lors d'une promo, c'est le groupement de producteurs qui
doit baisser ses prix et non les grandes surfaces qui réduisent
leurs marges.
Bien sûr, tout le monde était d'accord
sur l'incertitude des connaissances concernant cette
maladie.
Beaucoup d'entre nous continuent à manger de la
viande de boeuf. (mais se méfient de ce qu'on trouve dans les
raviolis !)
L'un d'entre nous pense que de toutes façons,
le mal est fait, et vu la durée de l'incubation et l'age de
cette maladie, l'esb a frappé beaucoup plus qu'elle ne
frappera demain.
Personnellement, je pense que la grande
distribution, sous le slogan de la vie moins chère, ne fait
que contribuer au chomage en "saignant" ses
fournisseurs.
C'était très instructif.....
Olivier
Sauer, consommateur.
Philippe GOULOIS jeudi 16 novembre 2000 21:19
Il est certains que les grandes surfaces sont à l'origine
de "la faillite de petits producteurs". Mais ne croyez vous
pas que la réforme des marchés publiques va accentuer
le phénomène.
Les établissements scolaires
vont devoir acheter l'ensemble de leurs produits via un marché.
Le travail de plus en plus important des gestionnaires des EPLE ne
leur laissera que peu de temps pour la passation de ces délégations.
Alors vont naitre de plus en plus de groupement d'achat, et donc de
moins en mois de fournisseurs pourront répondre aux appels
d'offre au vu des quantités demandés. Aujourd'hui les
coordinateurs de groupement ne se donnent pas les moyens
d'appronfondir les propositions. Les décideurs achètent
avant tout un PRIX, la qualité n'est pas un argument de
premier examen. Peut être que cette psychose de la vache folle
fera avancer les choses. Affaire à suivre !
Patrick BEAUR vendredi 17 novembre 2000 07:42
Il me semble que le principe de réponse à un appel
d'offre est le "MIEUX disant" et non le "MOINS
disant".
Rappelons le à tous les décisionnaires.
Si
l'on veut être pondéré sur cette fameuse affaire,
peut-être pouvons nous convenir :
Les produits de viande
"noble" ne sont pas (ou pas trop) risqués (au vu des
connaissances actuelles)
Les autres produits qui doivent leur
existence que par la revalorisation de certaines parties animales
(ex. : VSM : Viandes séparées mécaniquement ou
la mécanique s'approche vraiment des os et carcasses- preuve
un taux de collagène réglementé. Ces produits
:raviolis, panettes.... exigent la plus grande prudence.
Emmanuel
Gougeon mercredi 15 janvier 2003 17:22
Pourriez vous me communiquer la liste des principaux
textes de lois relatifs à la grande distribution (Qualité,
traçabilité, mise aux normes HACCP...).
Bruno
PEIFFER samedi 18 janvier 2003 12:02
Pour répondre à la
question sur l'application de la réglementation en grande
surface, on peut conseiller les guides de bonnes pratiques validés
disponibles aux journaux officiels
Guide des bonnes pratiques
hygiéniques Charcuterie à la coupe en grandes et
moyennes surfaces (359260000 - Prix : 3,40 )
Guide des bonnes
pratiques hygiéniques Fromage à la coupe en grandes et
moyennes surfaces (359240000 - Prix : 3,20 )
Guide des bonnes
pratiques hygiéniques Pâtisserie et viennoiserie en
grandes et moyennes surfaces (359250000 - Prix : 3,80 )
Guide des
bonnes pratiques hygiéniques Rayon marée en grandes et
moyennes surfaces (359270000 - Prix : 4,50 )
Guide des bonnes
pratiques hygiéniques Rayon viandes en grandes et moyennes
surfaces (359280000 - Prix : 4,00 >>)
Pour
commander s'adresser à : Direction des Journaux Officiels 26
rue Desaix
75015 PARIS - Tél 01.40.58.79.79 - Site
http://www.journal-officiel.gouv.fr
julie guicheney lundi 23 juin 2003 12:53
Actuellement à la recherche de la reglementation en matière d'étiquetage (pic prix) dans les rayons traditionnels de la grande distribution et les commerces de proximité (boucherie, charcuterie...) je ne trouve personne pour me dire si il est autorisé de piquer les étiquettes dans les aliments ou non. Les professionnels eux-mêmes ont des avis très partagés.
Loïc Meunier lundi 23 juin 2003 13:44
Pour avoir bien connu l'hygiène en GMS il
y a qqls années, sachez que la position des enseignes était
très clairement portée sur l'usage de support de pique
prix, eux même soumis à un plan de nettoyage.
Quant à
l'application de ces consignes, elles variaient de 0% au rayon
boucherie à 50% au fromage coupe, en passant par charcuterie
poisson...
Seul les fruits et légumes s'en tiraient
honorablement avec 98% des prix non piqués dans les dits
F&L...
Souvent une simple raison budgétaire empêchait
l'acquisition de PP ...!
jguicheney mercredi 25 juin 2003 09:59
Merci de ces précisions, mais savez-vous ce que dit la loi sur le "piquage" des produits en rayon? Y a-t-il interdiction stricte ou tolérance?
jppieroni mercredi 25 juin 2003 14:21
Toujours les fabuleuses phrase du type "en se
basant sur les principes du HACCP".
Déjà,
si vous piquez un produit toujours emballé (ça se voit
assez souvent...), il sera considéré comme déballé.
La DLC figurant sur l'étiquette n'est alors plus valide. Même
si dans l'arrêté du 09/05/95 on nous dit que l'on peut
conserver la marchandise jusqu'à cette date pour peu qu'elle
ait été "conservée dans des conditions
similaires" (allez retrouver les conditions similaires pour un
produit qui a été dessouvidé...).
Si vous
piquez directement les produits, il faudra que ceux-ci soient
parfaitement propres.
Ceci implique leur intégration dans
le plan de nettoyage du rayon.
Ca veut donc dire que tous les
jours il faudra les enlever tous, les laisser tremper dans une
solution désinfectante toute la nuit, les rincer le matin et
les remettre avant l'ouverture...
Si vous avez, comme dans
certains rayons 300 références ou même plus, ça
va pas être évident à faire respecter.
De
plus, si on suit la logique de prévention, à chaque
fois qu'un produit est fini et qu'il va être remplacé
par un "neuf", il faudra nettoyer et désinfecter le
pic...
Vu le prix des supports et le gain de temps que vous
pouvez avoir, n'hésitez plus!
Rappel: les supports ne
doivent jamais être en contact avec des produits nus (ça
aussi ça se voit), sinon ça n'aura rien changé.
Dans ces conditions, vous pourrez revoir les fréquences de
nettoyage pour revenir à quelque chose de plus "raisonnable".
samedi 27 septembre 2003 14:59
IFPRI Septembre 2003 Au sommaire
:
http://www.ifpri.org/2020/focus/focus10/focus10.pdf
Case
Study: Supermarkets and Quality and Safety Standards for Produce in
Latin America
PIERONI JEAN-PAUL mercredi 1 octobre 2003 13:28
Suite à la visite de la DSV dans un supermarché
que je suis, le directeur de l'établissement a reçu un
courrier lui demandant de transmettre les plans de nettoyage et les
procédures en place, ainsi qu'une déclaration
d'identification
(référence au décret n°71-636 du 21/07/71;
arrêté du 10/08/71...
Etant donné que
cette activité relève de l'arrêté du
09/05/95, je ne comprend pas bien ces demandes. L'article 17 de cet
arrêté dit que l'établissement doit porter à
la connaissance de l'administration (et pas transmettre) les
résultats des contrôles. Dans cet arrêté,
il n'est jamais question de "dossiers"...
D'autre
part, la "déclaration obligatoire en vertu des articles 7
et 25 du décret n°71-636 du 21/07/71 me fait quand même
penser au début d'une demande d'agrément... Je n'y
comprend plus rien.
Laurent KRYSIAK mercredi 1 octobre 2003 13:57
Pour ma part, je ne peux vous répondre
concernant la déclaration d'identification (peut-être
est-ce simplement une déclaration d'activité
?);
toujours est-il que le décret du 21/07/71 est cité
comme texte de référence dans l'arrêté du
9 mai 1995, et qu'il faut donc s'y référer.
Concernant
l'obligation de porter à la connaissance de l'administration
les résultats des contrôles, je pense que si le
directeur transmet les éléments concernés, cela
pourra lui éviter une seconde visite au sein de son
magasin!
Plus sérieusement (quoique), je ne vois pas de
différence fondamentale entre envoyer et montrer sur place les
documents, sachant que les officiels peuvent en faire des photocopies
sur site.
Sylvie Pierrard mercredi 1 octobre 2003 14:35
Cette déclaration est obligatoire dans le mois
qui suit l'ouverture d'un établissement qui commercialise des
denrées alimentaires d'origine animale.
Elle permet
notamment de définir le responsable juridique de
l'établissement.Elle n'est aucunement liée à une
procédure d'agrément.
Christel Daloz mercredi 1 octobre 2003 14:27
Tous les établissement travaillant des DAOA
doivent se déclarer à leurs DSV.
Ce n'est pas dans
le but d'un agrément mais pour un recensement.
Concernant
les plans de nettoyage et les procédures, vous devez disposer
de ces éléments: fréquence de nettoyage,
produits, concentration, méthodes d'application, fiches
techniques et sécurité des produits...
La DSV vous
les demande sûrement afin de juger de leur pertinence. C'est
vrai que cela ressemble à un dossier, mais rassurez vous, un
vrai dossier d'agrément est beaucoup plus consistant.
Le
plan de nettoyage fait partie de l'analyse des risques puisque c'est
un des moyens de prévention. Vous remarquerez qu'il est évoqué
dans tous les guides de bonnes pratiques.
Jean-Philippe CLAUDE mercredi 1 octobre 2003 14:55
Les GMS sont soumises à l'AM du 9 mai 1995...
comme vous l'avez signalé.
L'article 17 de cet AM
précise l'obligation de définir, mettre en oeuvre etc.
des contrôles réguliers "à tout point
déterminant pour la sécurité des produits"...
selon les principes de la démarche HACCP.
L'article 27
précise que vous pouvez vous référer à un
Guide de bonnes pratiques d'hygiène validé.
Sans
exiger un plan HACCP équivalent à celui des
établissements sous agrément CE, l'AM de remise directe
aux consommateurs va donc au delà des plans de
nettoyage...
L'article 7 précise même que le
personnel a "reçu des instructions précises pour
appliquer l'AM et dispose d'une formation renouvelée en
hygiène".
Philippe GOULOIS mercredi 1 octobre 2003 15:20
Pouvez me précisez si la déclaration d'activité fait partie des éléments constitutifs du permis de construire d'une cuisine centrale.
Sylvie Pierrard mercredi 1 octobre 2003 15:47
Non ça n'a rien à voir avec le permis de construire
Daniel Willkomm mercredi 1 octobre 2003 20:02
Non, la déclaration d'activité ne fait pas partie du dossier permis de construire ; elle doit se faire une fois que la cuisine est construite, mais comme le précise l'arrêté ministériel du 29/09/97, elle doit être préalable à l'ouverture / le fonctionnement de la cuisine.
euqilegnal Tue, 17 May 2005 08:26:07
+0200
actuellement RQ dans une charcuterie, je suis
tentée de répondre à une offre d'emploi : RQ
dans un hypermarché.
je souhaiterai avoir l'avis des
co-listiers sur ce domaine d'activité.
en effet, la
description du poste me convient totalement (répondre à
la réglementation en terme d'hygiène et de traçabilité,
gestion et rédaction de procédure dans l'objectif d'une
certification,...).
mais j'ai souvent entendu dire que la grande
surface n'était pas le paradis pour les salariés : bas
salaire, mauvaise ambiance,...
Pourriez vous me faire partager
vos éventuelles expériences dans le domaine ?
iufm_charcuterie Tue, 17 May 2005 07:57:02
-0000
Pour avoir travaillé 11 ans en grande
surface, je peux vous dire qu'effectivement les salaires ne sont pas
très élevés, mais ne sont pas pour autant dans
les plus bas, il faut savoir que vous aurez très certainement
le 13eme mois, la participation et l'intéressement ce qui
devrait vous faire dans les 14 mois de salaire.
Pour ce qui est de
l'ambiance, effectivement c'est assez déplorable, beaucoup de
stress et de pression sur les employés.
J'étais quant à moi responsable du rayon
charcuterie et j'ai connu l'arrivée des RQ.
Le plus gros
problème que vous aurez à régler sera les moyens
mis à votre disposition, en effet, établir un plan de
nettoyage et le faire appliquer dans un labo où les employés
sont en sous effectif et n'ont déjà pas les moyens de
faire leur travail n'est pas simple.
Vous risquez d'être un
outil de répression suplémentaire pour la
direction.
J'ai bien connu le problème et c'est une des
raisons qui m'ont fait quitter ce secteur.
Tout dépend
aussi de l'enseigne où vous pratiquerez, le travail étant
plus facile je pense dans les succursales multiples que chez les
indépendants.
Anne BUFFARD Tue, 17 May 2005 18:27:54
-0000
Je suis actuellement responsable hygiène
et qualité en hypermarché. En poste depuis six mois,
j'ai la chance d'être dans un hyper où il y avait un RQ
avant moi, donc une habitude des reglès d'hygiène. A
savoir là ou tu vas.
Côté ambiance, je
pense que cela est du principalement aux membres de l'encadrement.
Côté salaire, je ne peux pas vaiement répondre
car c'est mon premier job.
Selon la taille de l'hyper et la
taille de l'entreprise de laquelle tu viens, il faut savoir que l'on
peut comparer un grand hyper à une dizaine d'entreprises
travaillant côte à côte aves les mêmes
services support. Pour avoir vécu la fin de la démarche
de certification dans l'hyper ou je travaille, je pense que ce peux
être un réel défi (notamment à uniformiser
les façons de travailler)
N'hésite pas à
me contacter si tu as besoin de plus d'infos
jack.pascal2 Tue, 17 May 2005 22:35:35
+0200
Je confirme ces propos. J'ai moi aussi
expérimenté ce secteur et j'en ai gardé mes plus
mauvais souvenirs professionnels. Par ailleurs, je valide également
le manque encore courant de moyens, et l'ambiance souvent limite:
pressions multiples, objectifs délirants, disponibilité
éxigée et extravagante, bref, quoi que l'on puisse en
dire, la Gde Distri aura du mal à se défaire de ses
tares ( même si certaines ont été soignées),
vis à vis de ceux qui ont eu à les subir...
RQ
ailleurs, c'est mieux...
VENDREDI 20 MAI 2005
POLE
TECHNOLOGIQUE AGRO-ALIMENTAIRE Septembre 2003 Au
sommaire:
Compte-rendu de l'atelier de travail " Coffee
Quality Control " organisé conjointement par l'Union
royale des torréfacteurs de café et le Professeur
Meurens (UCL)
http://www.ptaa.be/newsletter1et2/Newsletter1.htm
Audrey SIEUR Wed, 9 Nov 2005 00:13:08 +0100 (CET)
> Message du 08/11/05 17:44
> De :
"matthieu_vanuxeem"
> A : hygiene@yahoogroupes.fr
>
Copie à :
> Objet : [hygiene] Analyses microbio en
supermarchés
>
> Bonjour à toutes et à
tous,
>
> Je me tourne vers les colistiers
s'intéresssant à la distribution:
> quelles sont
les pratiques usuelles en matière d'analyses microbio
>
réalisées en distribution: type d'échantillons
(produits finis,
> surface..) paramètres étudiés,
zones de prélèvement, fréquence...
>
>
Merci d'avance pour vos réponses.
cela dépend des enseignes : certaines font
des analyses des produits dans tous les rayons avec des plans
d'échantillonnage sur l'année, d'autres cibles
spécifiquement les rayons type patisserie, charcuterie,
fromage à la coupe, en fait ceux ou il y a des manipulations
des produits non emballés voir m^me fabriqués dans des
petits labo des supermarchés en faisant des analyses microbio
des produits et également des surfaces.
stephane cailbourdin Fri, 27 Jan 2006
19:35:24 -0000
Est-il exact qu'un centre de vacances
et/ou un restaurant collectif n'a pas le droit d'acheter des produits
alimentaires dans une grande surface ?
Si oui pourquoi et à
quelle réglementation fait-elle référence ?
Il
me semble l'avoir lu dans un article sur la restauration mais je
n'arrive plus à savoir où.
Christel
Daloz Sat, 28 Jan 2006 09:05:27 -0000
les
restaurants collectifs comme les restaurants commerciaux doivent
s'approvisionner auprès d'établissements agréés
Ils peuvent donc achetés des produits en grandes surfaces,
seulement si ce sont des produits en libre service sortant d'un
établissement agréé (donc portant une
estampille) et que la grande surface n'a pas manipulé (juste
mis en rayon).
Par conséquence, en règle
générale, les restaurants ne peuvent pas achéter
de la viande découpé par le magazin, ni se servir au
rayons traditionnels (charcuterie, fromagerie et poissons).La seule
possibilité est que le magazin dispose d'une dispense
d'agrément attribuée par les services vétérinaires
Yves Boisard Sat, 28 Jan 2006 09:09:20 EST
La
vente de produits alimentaires aux collectivités est tout à
fait autorisée à un magasin de la GMS, comme d'ailleurs
à l'ensemble du commerce de détail. Le cas est prévu
dans le paquet hygiène, RE 853/2004 (cas particulier vente de
professionnels à professionnels) et les arrêtés
d'application qui en découlent. Il est même prévu
un système de dérogation en fonction des
quantités
hebdomadaires vendues en ce qui concerne la
viande de boucherie (hors steak haché) , les autres viandes,
les produits laitiers, les produits de la mer et les repas. Ce n'est
pas nouveau, c'était déjà dans les textes en
application depuis 1994 si ma mémoire est bonne.
La
traçabilité des produits doit bien entendu être
assurée. Il est évident que le professionnel qui ne se
présente pas comme tel et achète en GMS, paie et
emporte la marchandise comme un client anonyme échappe à
toute identification ultérieure en cas de demande de retrait,
mais dès lors qu'ildemande une facture et donc qu'il
s'identifie comme professionnel, il doit pouvoir être prévenu
lors d'une alerte. C'est bien entendu à lui de s'organiser
pour assurer sa propre traçabilité en interne.
Marc Kieny Sat, 28 Jan 2006 16:41:58
+0100
Vous citez dans votre intéressante
réponse "le paquet hygiène, RE 853/2004 [...] et
les arrêtés d'application qui en découlent".
Ces arrêtés d'application m'auront sans doute échappé : pour faire une veille assidue et quotidienne sur les journaux officiels, je n'ai vu encore aucun arrêté d'application du règlement (CE) n° 853/2004 du 29 avril 2004.
Pourriez-vous communiquer les références
de tels arrêtés ?
Si l'on s'en tient à la
réglementation française (à laquelle semble se
reférer votre réponse), j'ai juste vu passer un décret
n° 2005-1781 du 30 décembre 2005 pris pour l'application
de l'article L. 231-6 du code rural [NOR: AGRG0502701D, J.O n°
304 du 31 décembre 2005 page 20916, texte n° 164]
<http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=AGRG0502701D>
qui dit en substance, s'agissant notamment de ce règlement
853/2004, que
celui-ci (ainsi que les autres du paquet hygiène)
constitue ... "des mesures d'exécution" de certains
articles et chapitres du code rural français !
S'agissant tout de même de règlements adoptés par le Parlement européen et le Conseil, j'avoue avoir été étonné de constater l'incroyable pertinence du travail des parlementaires et des ministres des différents Etats membres qui sont arrivés à adopter des mesures d'exécution de notre code rural.... :-)))
cailbourdin.stephane Sun, 29 Jan 2006 16:52:11
-0000
Contrairement à une directive CE un
règlement CE n'a pas besoin d'arrêté
d'application. Un règlement CE s'applique dés la date
de mise en application.
Donc pour le RE 852/2004.............au
01/01/2006.>>
A bientôt et merci de vos
éclaircissements >>
Marc Kieny Sun,
29 Jan 2006 18:23:19 +0100
C'est bien la raison pour
laquelle je demandais les références de tels arrêtés
!
Cela dit, plutôt que de "faire l'âne pour
avoir du son" :-))), je préfère rappeller que :
-
les règlements et directives communautaires, en tant qu'actes
de droit dérivé des traités, sont supérieurs
aux textes réglementaires nationaux, dans la hiérarchie
des normes juridiques;
- si une directive - qui s'adresse aux
Etats membres - doit être transposée dans le droit
national pour être applicable, ce n'est pas le cas des
règlements qui sont, eux, directement applicables dans tous
les Etats membres. Pour autant, il arrive (de plus en plus
fréquemment, ceci est une autre histoire...) que des
règlements communautaires prévoient des
dispositions
optionnelles, supposant une décision d'application locale par
chaque Etat membre ; de même, au nom du principe de
subsidiarité, diverses mesures ne sont pas définies en
détail par le règlement communautaire, et impliquent
donc, éventuellement, un texte national pour pouvoir être
effectivement mises en oeuvre.
Et pour en revenir à la
question posée au départ (quels sont les "arrêtés
d'application" du règlement 853/2004 - paquet hygiène),
il me semble plus vraisemblable que les mesures d'application en
droit français seront constituées, en tant que de
besoin et selon le cas, de décrets venant modifier tel ou tel
article du code rural (ou du code de la consommation, ou de la santé
publique, ou de l'environnement, ou d'autres encore), puis,
fatalement, d'arrêtés, ministériels ou
interministériels, d'application de ces décrets (ou de
ces articles de codes)... On peut même prévoir, sans
grand risque de se tromper, que ces arrêtés renverront
pour partie à des arrêtés préfectoraux.
Bref,
cette liste de discussion n'a pas fini d'être utile !
Patrick FEIDT Sun, 29 Jan 2006 20:06:10
+0100
Je reviens sur la question de depart et je me
demande vu, l'application extremement large du 852, si les Annexes ne
sont pas applicables a la restauration traditionelle? On vois et
entend des "on dit" tellement contradictoires...
Quels
sont vos points de vue?
Nicole COUTRELIS Mon, 30 Jan 2006 08:48:44
+0100
Petit point juridique (qui ne prétend
pas à l'exhaustivité à ce jour) sur la relation
entre textes communautaires et droit français.
1/ Je crois
que certains textes modificatifs du droit français, pour le
mettre pleinement en conformité avec le "paquet hygiène"
sont encore "dans les tuyaux"
2/ Sur le fait que des
règlements communautaires soient qualifiés de "textes
d'application" de textes français, même si la
formulation peut surprendre, le fond est très classique et se
trouve aussi dans le Code de la Consommation: cela signifie que, pour
l'application des mesures qui relèvent du droit national,
notamment les sanctions et mesures de contrôle, il faut une
base juridique française. En effet, pour les sanctions
d'infractions constituant des délits (ou des contraventions),
il n'y a pas d'applicabilité directe du droit
communautaire
(pas encore d'"Europe judiciaire"). Et en
France, comme dans toute démocratie, on ne peut constituer des
infractions sans fondement dans la Loi (depuis la Déclaration
des Droits de l'Homme de 1789). Il faut donc un "pont"
entre textes communautaires dont la non observation constitue une
infraction, et Loi française. C'est la raison pour laquelle
les règlements communautaires sont qualifiés de "mesure
d'application" du Code Rural : on a ainsi la chaîne Loi
(Code Rural) - Textes réglementaires d'application (Rts.
communautaires).
Ainsi, à la différence de
directives qui demandent d'être transposées, les
règlements communautaires sont simplement "reconnus"
et assimilés à des textes réglementaires
français dans notre ordre juridique national - précisément
sans autre transposition car ils sont d'effet direct.
Bien à
vous
Nicole COUTRELIS, Avocat
COUTRELIS & ASSOCIES
MARDI 14 FEVRIER 2006
Pôle
Technologique Agro-alimentaire asbl OCT 2004 Newsletter n°3.
Au
sommaire:
Compte-rendu de l'après-midi d'étude
« Grande distribution : les exigences fixées aux
fournisseurs sont-elles vraiment différentes d'une enseigne à
l'autre ? » organisée le 21 avril 2004 par le Pôle
Technologique
Agro-alimentaire
http://www.ptaa.be/Newsletter3/Newsletter3.htm
Olivier CERF Tue, 6 Jun 2006 18:18:12 +0200
_____
From: hygiene@yahoogroupes.fr
[mailto:hygiene@yahoogroupes.fr] On Behalf Of
scantelobre
Sent:
Saturday, June 03, 2006 3:59 PM
To: hygiene@yahoogroupes.fr
Subject: [hygiene] obligations fabrication saucisse fraiche en
GMS
une question règlementation,
quelles sont
les obligations à laquelle doit répondre une grande
surface en vue de la fabrication dans son laboratoire de
boucherie de
saucisse fraîche destinée à être
vendue dans le magasin au rayon
traditionnel ? et en frais
emballé ?
merci d'avance et bon week end
sophie
Les mêmes obligations qu’un boucher
ordinaire, me semble-t-il ? De toute façon, respecter la
nouvelle réglementation du paquet hygiène
jourdan.hugues Wed, 7 Jun 2006 00:58:54 +0200
Beaucoup de GMS ne fabriquent pas leur saucisse mais
se font ravitailler par des sociétés de fabrication de
produits
Le tout est emballé en vrac ou directement en
Barquette marquetté avec des poids pric en direct
MARDI 25 NOVEMBRE 2008
LUNDI
09 NOVEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Les chariots de supermarché, un vecteur de contamination
?
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=3146
LUNDI 21 JUIN
2010
Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog
d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Manger discount versus manger classique,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=9641
VENDREDI 23 JUILLET 2010
Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog
d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Conseils d'hygiène pour les sacs réutilisables,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=10454
MARDI
10 AOUT 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
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-
Les sacs réutilisables pour les courses ne sont pas un facteur
majeur de Tiac, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=10992
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