ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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THEME : L’EAU |
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Pages d’archives connexes |
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Les affaires de la Cour de Justice Européenne en rapport avec la qualité de l’eau |
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Nouveau moteur personnalisé concernant
l'eau
http://www.google.com/coop/cse?cx=009796703470300972621:hzksce0ql6y&hl=fr
lundi 21 août 2000 20:38
* Extraits du BE Allemagne (numero 13 en date du 17 août
2000) - Ambassade de France a Berlin /
Agence pour la
Diffusion de l'Information Technologique (ADIT,
http://www.adit.fr) - Abonnement
gratuit par mel : subscribe.be.allemagne@adit.fr"
De
l'eau potable directement du sous-sol
Le Professeur Rott et son
equipe de l'Institut pour l'approvisionnement en eau des lotissements
a l'Universite de Stuttgart a developpe un nouveau procede de
traitement de l'eau directement en sous-sol
permettant ainsi de
fournir les consommateurs sans passer par une station d'epuration. Le
procede est base uniquement sur des reactions biochimiques naturelles
(oxygenations reguliere de l'eau) et filtrations. Le procede est l'un
des projets presentes a l'EXPO 2000 de
Hanovre.
Contact :
tel
: +49 711 685 37 11
Fax : +49 711 685 37
29
rott@iswa.uni-stuttgart.de
www.uni-stuttgart.de/siwa/wgw/index.html
Source
: Wissenschaft, Wirtschaft und Politik 19.07.00
Redacteur : L.
Baudon de Mony
mardi 19 septembre 2000 20:01
BE Suisse (numero 2 d'août 2000) - Ambassade de France a
Berne /
Agence pour la Diffusion de l'Information
Technologique (ADIT, http://www.adit.fr)
- Abonnement gratuit par mel : subscribe.be.suisse@adit.fr"
Environnement
-------------
- Les mesures recentes
effectuees sur les eaux du lac Leman montrent que, dans l'ensemble,
la sante du lac ne cesse de s'ameliorer, meme si la teneur en
phosphore et la quantite d'algues restent trop importantes. Les
micropolluants sont egalement toujours presents. L'etat biologique
des sediments s'est notablement ameliore dans les dix dernieres
annees, la restauration des sediments alteres prenant d'autant plus
de temps qu'ils sont situes en profondeur.
La CIPEL (Commission
Internationale pour la Protection des Eaux du Leman) a approuve les
grandes lignes d'un plan d'action 2001-2010. Parmi les nouveaux axes
d'intervention on peut citer la renaturation des rives du lac et des
cours d'eau et la preservation du patrimoine naturel. Ce plan prevoit
egalement une concertation avec les habitants concernes. Dans ses
resolutions la CIPEL recommande aux gouvernements suisse et francais,
parmi d'autres mesures, de poursuivre les efforts sur le phosphore,
de mettre en place un suivi regulier des micropolluants dans les
milieux aquatiques et de preserver les zones naturelles et celles
presentant un interet ecologique important.
Grace aux nombreux
efforts consentis, la pollution par les metaux lourds (plomb, cuivre,
cadmium, zinc) a fortement baisse. Cependant la surveillance reste de
rigueur et il convient de pouvoir reagir en cas
d'accident. A
l'Universite de Geneve une trentaine de chercheurs du Centre de
chimie analytique et biophysicochimie de l'environnement (CABE)
s'interessent a la question. Leur but est d'arriver a prevoir
les
reactions chimiques auxquelles ils participent, le processus
de sedimentation jouant un role important.
Des modeles numeriques,
associes aux mesures experimentales, permettent de decrire les
phenomenes physico-chimiques. Pour cela les chercheurs utilisent des
echantillons de plusieurs lacs suisses mais egalement, pour valider
plus largement leurs modeles, des resultats de mesures effectues dans
d'autres pays (Angleterre, Suede, Mexique).
En parallele le CABE
developpe des detecteurs automatiques permettant de mettre en
evidence la presence de traces de composes chimiques dans l'eau.
mardi 26 septembre 2000 20:50
BE Canada (numero 158 du 11 au 24 septembre 2000) - Ambassade de
France a Ottawa /Agence pour la Diffusion de l'Information
Technologique (ADIT,http://www.adit.fr) - Abonnement gratuit par mel
: subscribe.be.canada@adit.fr
TRAITEMENT
ELECTROCHIMIQUE DE L'EAU CONTAMINEE
Enpar Technologies Inc
annonce l'invention d'un procede de traitement electrochimique de
l'eau contaminee par des composes azotes. La technique consiste a
faire passer l'eau contaminee a travers une cellule electrochimique
configuree pour favoriser la formation d'azote inoffensif.
Les
composes dangereux tels que les nitrites, nitrates et l'ammoniaque
sont transformes en azote qui s'echappe ensuite dans l'atmosphere
(lui meme compose principalement d'azote). Certains contaminants
comme E.coli peuvent etre elimines par javellisation, mais les
nitrates presents dans les fertilisants des terres agricoles
requierent une autre methode de
traitement. Les fortes
concentrations de nitrates et d'autres composes azotes presents dans
l'eau potable sont sources de risques non negligeables pour la sante.
Les nitrates sont impliques dans les causes du " syndrome du
bebe bleu " et peuvent etre responsables de la formation des
nitrosamines, puissants elements carcinogenes. La technologie a
de
nombreuses applications dans le secteur industriel : Enpar est
en train de conduire deux tests pilotes temoins, le premier etant un
programme in situ sur les terres agricoles qui cible les eaux
souterraines contaminees par l'industrie de l'agriculture, le second
etant le developpement d'un reacteur electrochimique pour la
decontamination des eaux provenant des pluies, visant cette fois-ci
l'industrie chimique.
Contact :
Gene S. Shelp
Enpar
Technologies Inc.
55 Regal Road, Guelph, Ontario N1K 1B6
Tel :
(519) 836-6155
Fax : (519)
836-5683
OTTAWA(sciefran@ambafrance.org)
dimanche 19 novembre 2000 11:40
CBC NEWS 14-11 Water Filtration
Devices
http://cbc.ca/consumers/market/files/home/waterfilters/index.html
vendredi 2 mars 2001 18:03
EUREKALERT 01-03 Sequential disinfection process provides safer
drinking water
http://www.news.uiuc.edu/scitips/01/03water.html
jeudi 12 avril 2001 07:39
SCIENCES OUEST MARS 2001 Cycle de l'eau : De la terre à la mer
mercredi 18 juillet 2001 22:51
TAPWAT: Definition structure and applications for modelling drinking water treatment
http://www.rivm.nl/bibliotheek/rapporten/734301019.html
mercredi 12 décembre 2001 19:23
PLANETARK 13-12 Bangladesh capital faces acute water crisis
http://www.planetark.org/dailynewsstory.cfm/newsid/13708/story.htm
jeudi 20 décembre 2001 23:12
Nouveau site - l'Institut de l'eau
http://www.institut-eau.com/fr/b-homepage.htm
Institut-eau.com est destiné au grand public mais aussi aux
professionnels de santé. Il vise à devenir "la
référence en matière d'information, de pédagogie
et de conseil". Il propose quatre thématiques : l'eau et
la vie, l'eau et l'environnement, l'eau à travers les
civilisations et l'Institut de l'eau. Cet Institut, organisme
scientifique basé à Vittel, fait partie de Perrier
Vittel SA, division eau du groupe Nestlé.
Information de
Jean-Pierre GALLACIER
vendredi 28 décembre 2001 07:40
EPA 27-12 Proceedings from the Nov 6, 2001 Waterborne Microbial
Diseas Stakeholder
Meeting
http://www.epa.gov/ost/humanhealth/microbial/microbial.html
Developing
a Strategy for Waterborne Microbial Disease -- Draft -- (August,
2001) (PDF, 154KB)
Meeting Summary
Contacts -- (PDF,
300KB)
Presentations
Waterborne Microbial Disease Strategy
Stakeholder Meeting
Developing a Strategy for Waterborne Microbial
Disease Control
Protecting Our Nation's Drinking Water and Waste
Water Systems from Terrorism
samedi 20 avril 2002 12:35
PUBLIC CITIZEN Vol. 1 no 1 février 2002 L'eau, c'est la
vie! L'accès à de l'eau pure à un coût
abordable est un droit de la
personne!
http://www.citizen.org/documents/v1n1_frn_-_PDF.pdf
bernard blanc dimanche 26 mai 2002 19:46
The UK based National Pure Water Association has recently posted a
comprehensive, user friendly Water Research web
page.
http://www.npwa.freeserve.co.uk/H2O.html
The
purpose of this page is to provide a range of information collected
from Government, academic and other research sites to journalists and
those interested in learning more about water and its impact on
health and the environment - and to encourage further inquiry into
this fascinating subject.
samedi 1 juin 2002 09:22
POUR LA SCIENCE 31/05/02 Un minéral antiviral
La
zéolite (un silicate naturel), pourrait décontaminer
les réserves d'eau. L'équipe de Dirk Schulze-Makuch, de
l'Université du Texas, à El Paso, a montré qu'un
filtre constitué de zéolite traité avec un
produit chimique commun (on le trouve dans les bains de bouche)
retient les germes. Grâce au traitement, le minéral
acquiert une charge positive, et attire les virus et les bactéries,
qui portent généralement une charge négative
dans les eaux souterraines. La porosité du minéral lui
confère une grande surface de contact. Déposé au
fond d'un puits, il serait un moyen simple pour désinfecter
l'eau d'une partie de ses germes. L'innocuité à long
terme du produit de traitement reste à vérifier.
dimanche 7 juillet 2002 09:17
BULLETIN SCIENCE ET ENVIRONNEMENT MAI/JUIN 2001 Réduction des risques en matière de qualité de l'eau
http://www.ec.gc.ca/science/sandemay01/article3_f.html
jeudi 18 juillet 2002 17:03
INTELIHEALTH 18/07/02 Not All UV Light Effective In Treating
Drinking
Water
(American Society for Microbiology) --
Researchers from the University of Waterloo in Ontario, Canada have
determined that some types of ultra violet light are not effective in
killing harmful bacteria in drinking water. Their results
appear in the July 2002 issue of Applied and Environmental
Microbiology.
http://www.intelihealth.com/IH/ihtIH/EMIHC000/333/333/352481.html
bernard blanc berblanc@club-internet.fr mardi 6 août 2002 22:16
Un ami vient d'écrire le message suivant sur une autre
liste. Qu'en pensez-vous ? Amitiés. Bernard
Blanc.
<<From:
Livres du Téméraire <librairie.centrale@wanadoo.fr>
Pour être saine, une eau d'alimentation doit être
acide (pH < 7), réduite ( < 28), et de forte résistivité
(> 6000 ohms). Le résistivité est en rapport avec la
teneur en sels minéraux inassimilables par l'organisme
humain,
teneur traduite par la valeur "résidu sec" inscrite
en principe sur les bouteilles. Le résidu sec de Volvic est
130 mg/litre, celui de Mont-Roucous 18,1 mg/l.
Or, l'eau d'Evian
en contient autour de 500, son pH est > 7,5, voire 7,72, sa
résistivité de 29 à 29,8.
C'est donc un
poison, même pour les bébés, qui prépare
nos maladies de civilisation type calculs, thromboses et
cancers.
Entre autres sources : "L'énergie
micro-vibratoire et la Vie", par Lucien Roujon aux Editions "Le
Rocher", pages 88 etc.
Pour qui se refuse à acheter
une bonne eau en bouteille, les purificateurs à osmose inverse
donnent de bons résultats. Michel Guérin>>
H.P. mardi 6 août 2002 23:14
L'auteur devra expliquer comment un "résidu sec
inassimilable" peut provoquer thromboses et cancers.
A moins
qu'il s'agisse de la diatribe d'un taliban vert
?
Cordialement.
H.P.
(buveur d'eau d'Evian depuis un
demi-siècle)
yboisard yboisard@aol.com mardi 6 août 2002 23:33
Pour les thromboses je ne sait pas mais en ce qui concerne le
cancer du colon il peut peut être survenir par l'effet abrasif
répété du "résidu sec inassimilable"
sur la muqueuse.Ca doit finir par rayer.
Moralité :
buvez l'eau du robinet,
polmiller@nomade.fr polmiller@nomade.fr mercredi 7 août 2002 10:56
En tant qu'ancien Coordinateur Assurance Qualité d'un
Groupe International d'Eaux Minérales et
cependant
complètement concurrent à cette marque
d'eau, je me permettrai de signaler que je trouve ces propos
quelque
peu réducteurs (sans mauvais jeu de mots). Je ne tiens pas à
soulever la moindre polémique sur cette liste aussi ceux qui
souhaitent en savoir davantage peuvent me contacter personnellement
Cordialement
Paul Meunier
mercredi 14 août 2002 08:05
AMERICAN PHYSIOLOGICAL SOCIETY 12/08/02 DRINK AT LEAST EIGHT GLASSES OF WATER A DAY FOR BETTER HEALTH
http://www.the-aps.org/press/journal/release8-13-02.htm
mardi 1 octobre 2002 08:04
BE Canada (Bimensuel - numero 209 - 30 septembre 2002) - Ambassade
de France a Ottawa /Agence pour la Diffusion de l'Information
Technologique (ADIT,
http://www.adit.fr)
- Abonnement gratuit par email :
subscribe.be.canada@adit.fr
ENVIRONNEMENT
La qualite de l'eau surveillee depuis l'espace
La surveillance
par satellite des eaux interieures et cotieres est beaucoup plus
complexe que celle de la qualite des eaux medio-oceaniques.
Cela
tient au fait que la couleur de l'eau -qui constitue un indicateur de
sa qualite- depend par l'absorption et la diffusion de la lumiere
solaire et de la lumiere du ciel par la matiere organique et
inorganique dans l'eau..
Dans les eaux medio-oceaniques, le seul
colorant est le phytoplancton porteur de chlorophylle et ses produits
de decomposition. Il est par consequent relativement aise pour les
scientifiques d'utiliser des modeles de teledetection et des
algorithmes pour deduire les concentrations de chlorophylle dans
l'ocean en fonction des proprietes optiques de ce colorant
unique.
Dans le cas des eaux interieures, la couleur de l'eau
naturelle adjacente a une masse terrestre ou entouree par celle-ci
est determinee non seulement par le phytoplancton et les produits de
decomposition, mais aussi par les sediments en suspension et la
matiere organique dissoute provenant de la terre ferme. Tres souvent,
ces colorants peuvent masquer la contribution de la chlorophylle a la
couleur de l'eau telle qu'elle est enregistree a altitude
satellitaire.
Les chercheurs de l'Institut national de recherche
sur les eaux (INRE) du ministere de l'Environnement (Environnement
Canada) ont surmonte cette difficulte en mettant au point un modele
qui simule le transfert de l'energie et la diffusion des radiations
du soleil et du ciel a travers le point auquel l'air et l'eau se
rejoignent et au-dessous de celui-ci. A partir de ces premisses, ils
ont cree un modele bio-optique et elabore des techniques d'analyse
qui permettent de determiner les concentrations de chlorophylle, de
sediments en suspension et de matiere organique dissoute a partir
d'une seule mesure a distance de la couleur de l'eau.
Les
scientifiques comparent ce procede au melange de la peinture : en
connaissant les couleurs individuelles des divers elements contenus
dans l'eau - par exemple, vert pour la chlorophylle, rouge pour
l'argile et brun pour la matiere organique dissoute - le modele est
en mesure de determiner quelle quantite de chacun de ces elements
doit etre presente pour produire la couleur mesuree par le
satellite.
Grace a cette technologie, les chercheurs sont
desormais capables d'evaluer la qualite des eaux interieures depuis
l'espace. Les scientifiques de l'INRE ont applique avec succes ce
modele aux eaux du lac Ontario, modele qui, par la suite, a constitue
le fondement des etudes de la qualite de l'eau du lac Ladoga, en
Russie
Maintenant, les chercheurs projettent de mettre a profit
l'information satellitaire passee et actuelle, ainsi que les donnees
obtenues de nouveaux satellites environnementaux munis de dispositifs
de resolution spatiale et spectrale perfectionnes, pour deceler et
surveiller les tendances environnementales dans les lacs et les
rivieres partout au Canada.. Ils pourront alors creer des "mosaiques
de la qualite de l'eau" de divers endroits, afin d'evaluer les
repercussions des contraintes environnementales sur les ressources
hydrauliques du pays.
Contacts :
-
http://www.nwri.ca/nwri-f.html
Source
: Paul Hempel, bulletin Science et Environnement
Clarisse
Lamoureux
Ottawa (st-cafr@ambafrance-ca.org)
mercredi 16 octobre 2002 22:33
EUREKALERT 15/10/02 New studies advance scientific knowledge of
drinking water disinfection
byproducts
http://www.eurekalert.org/pub_releases/2002-10/opr-nsa101502.php
samedi 26 octobre 2002 08:52
BBC 25/10/02 Sunshine used to clean
water
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/2358577.stm
mercredi 6 novembre 2002 23:08
NUEVOS CONTAMINANTES Nov 2002 ANALISIS DEL AGUA DEL GRIFO
http://www.ocu.org/map/show/18681/src/30401.htm
vendredi 29 novembre 2002 08:05
UNESCO - COURANTS CONTRAIRES
Faut-il privatiser l'eau, en faire
une «marchandise» comme une autre? Ceux qui le pensent y
voient aussi un moyen d'éviter son gaspillage. D'autres s'y
opposent, avançant que les pauvres n'auront plus accès
à cette ressource vitale que l'Etat doit donc continuer de
gérer. Le débat ne fait que commencer. John Briscoe, de
la Banque mondiale, plaide en faveur d'un élargissement du
rôle du marché quand l'universitaire français
Bernard Barraqué en souligne les dangers. Les questions de
Colin Green, qui se définit comme «hydrologue
iconoclaste et économiste», les poussent dans leurs
retranchements.
http://www.unesco.org/courier/1999_02/fr/dossier/txt21.htm
COURRIER
DE L'UNESCO OCT 2002 Science : Les caprices de l'eau qui
dort
D'énormes quantités d'eau se cachent sous nos
pieds. Coincées dans les entrailles rocheuses de la Terre
depuis des millions d'années, ces eaux souterraines se moquent
des
frontières.
http://portal.unesco.org/ev.php?URL_ID=6614&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201
samedi 8 février 2003 10:19
ONU HABITAT - La crise de l'eau dans les villes africaines - Une
meilleure gestion de l'eau est cruciale pour l'urbanisation et le
développement durable des villes
d'Afrique
http://www.unhabitat.org/whd/2002/documents/whd_feature_4_fr.doc
lundi 10 février 2003 08:41
AP 10/02/03 Authorities probe death of 5.5 million fish in
Honduran
rivers
http://www.foodmarketexchange.com/datacenter/news/dc_ns_index_detail.php3?newsid=15800&newslang=7&newsdate=2003-02-10
samedi 15 février 2003 11:50
DREE PAYS-BAS Décembre 2002
La gestion de l'eau aux
Pays-Bas
http://www.dree.org/pays-bas/ns/documents.asp?Rub=3&F=PDF&Num=47063
mardi 25 février 2003 23:46
BAKERY ONLINE 24/02/03 Researchers Develop More Effective, Less
Costly Method Of Disinfecting Water Used In Food
Processing
http://www.bakeryonline.com/content/news/article.asp?docid=%7b768a16c6-a46d-4274-abb4-c3fc3865d867%7d
mercredi 12 mars 2003 23:05
GLOBAL TECH 12/03/03 Researchers design system to improve disinfection of water used in food processing
http://www.innovations-report.com/html/reports/process_engineering/report-16766.html
dimanche 6 avril 2003 09:23
Compte-rendu de la réunion du 28 juin 2001 : LA QUALITE DE
L'EAU DANS L'INDUSTRIE
AGRO-ALIMENTAIRE
http://www.critt-iaa-idf.fr/docs/hyg_0601.pdf
jeudi 15 mai 2003 07:56
AGRISALON 14/05/03 Selon Michel Camdessus, ancien Directeur du
FMI, 1,1 milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau
potable
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-10198.php
samedi 17 mai 2003 11:56
BUWAL 16/05/03 Utilisation judicieuse de l'eau de
pluie
http://www.umwelt-schweiz.ch/buwal/shop/files/pdf/phpqBTadX.pdf?warenkorb=ccdb568f8c857a31d825e4250b5303a7
mercredi 1 octobre 2003 08:16
TAIPEI TIMES 01/10/03 EPA launches public test of water quality
for global
program
http://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/10/01/2003069954
mercredi 15 octobre 2003 07:34
INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE DU QUEBEC - Qualité de
l'eau de
laboratoire
http://www.inspq.qc.ca/pdf/publications/143_QualiteEauLaboratoire.pdf
Christine DUMONT mardi 4 novembre 2003 13:11
Je vous sollicite de nouveau pour un problème lié à
l'infiltration d'eaux pluviales.
Voici mon problème
:
La centrale d'achats qui m'emploie à pour projet la
construction d'un bâtiment phytosanitaire aux normes.
Nous
serons situés en dehors des agglomératoins donc il n'y
pas de possibilité de rejet dans le réseau pluvial.
Nous envisageons donc d'infiltrer ces eaux dans une zone
déterminée.
Un hydrogéologue agréé
est intervenu sur notre dossier et nous demande, afin de garantir un
rejet des eaux pluviales (qui au préalable passeront par un
bassin de rétention) de mettre en place un dispositif
d'infiltration sur charbon actif.
Pouvez vous m'indiquez quel
dispositif doit-on mettre en place? Connaissez vous des sociétés
capables de me renseigner ? Nous sommes situés dans le Pas de
Calais (62) mais toute adresse me sera utile.
Merci d'avance
pour toutes les informations que vous pourrez m'apporter. La synthèse
suivra.
Anne-Constance Peta mardi 4 novembre 2003 14:43
Je suppose que vous chercher une solution pour rejeter vos eaux
pluviales et étre en conformité avec la réglementation
environnementale (l'arrété type relatif aux dépots
de produits agropharmaceutiques).
Concernant les eaux de
toitures, on considére qu'elles ne sont pas polluées ;
de ce fait elles peuvent étre rejétées sans
traitement dans le milieu naturel.
Par contre pour les eaux
pluviales en provenance des voiries et parkings, généralement
on les fait transiter par un débourbeur - déshuileur
avant de les rejeter dans le milieu naturel.
Pour vous
apporter éventuellement plus de renseignements, il me faudrait
quelques éléments complémentaires.
Votre
dépot sera t-il SEVESO ?
Ou prévoyez vous d'évacuer
vos eaux vannes et sanitaires et les eaux de nettoyage (si cela est
prévu) du dépot.
Vous a-t-on parlé des eaux
incendie ?
Hubert van de Werve mardi 4 novembre 2003 16:34
A propos de reconditionnement des eaux de rinçage des pulvérisateurs, une technique de filtration est actuellement en application en Champagne.
Il s'agit de nanofiltration assistée par une neutralisation
de la bouillie au CO2 & aux peroxydes.
Nous nous tenons à
votre disposition pour tous renseignements à ce sujet; je
dispose d'un document explicatif sous pdf.
lundi 15 mars 2004 09:02
ABC 15/03/04 Recycled water could risk
health
http://www.abc.net.au/science/news/health/HealthRepublish_1063922.htm
mardi 30 mars 2004 09:32
LA SCIENCE 29/03/04 Histoire d'eau au
Gabon
http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/2004/cap2903042.html
mardi 20 juillet 2004 09:27
LE JURA AGRICOLE 19/07/04 Etudes bassins versants pour
mieux connaître les
pratiques
http://www.juragricole.com/news/fullstory.php/aid/3995/Etudes_bassins_versants_pour_mieux_conna%EEtre_les_pratiques.html
jeudi 22 juillet 2004 09:43
Salud pública de méxico / vol.45, no.5,
septiembre-octubre de 2003 Microbiological indicators of water
quality in the Xochimilco canals, Mexico
City
http://www.insp.mx/salud/45/eng/i455_a_3.pdf
Gabrielle BARMA jeudi 16 septembre 2004 11:49
Je suis confrontée à un problème d'eau de
forage utilisée en trempage pour "rafraichir" des
salades qui est contaminée par des coliformes, des
entérocoques et plus généralement des
aérobies.
Il faudrait que cette eau devienne potable afin
de pouvoir l'utiliser.
Je pensais qu'un traitement au chlore
serait suffisant mais on me parle de filtration et de rayons
UV.
Savez vous comment faire pour rendre cette eau potable avec un
coût minimum??
Hugues JOURDAN jeudi 16 septembre 2004 12:15
Il existe aussi des procédé à l'ozone qui ont
pour avantage d'être inodore.
Le procédé de
filtration avec un seuil de coupure assez bas et interessant et les
UV peuvent détruire la flore résiduelle. Mais comme tu
le ds, il faut pas non plus générer une usine à
gaz.
Le tout est de savoir combien de M3 sont nécessaire
pour effectuer les opérations.
Autre piste à creuser
est la récupération d'eau utilisé en aval du
procédé. Des économies substancielles de rejet
peuvent être faites.
Gilles TIXIER jeudi 16 septembre 2004 12:55
Le cabinet d¹Ingénierie ³AgroContractants² à
Cavaillon Contacter Christian COURTONNE
04 90 76 20 21
<agrocontractants@wanadoo.fr>
a
l¹expérience de mise en place de systèmes de
purification d¹eau (et accessoirement de dé-salinisation)
à
l¹usage d¹indutrie Agro-alimentaire dans des régions
dépourvues d¹eau potable.
Un procédé
passe en effet par un filtre à sable et une désinfection
aux UV.
Christian Felter jeudi 16
septembre 2004 18:00
Pour ce qui est de la
filtration et de rayons UV, vous devriez vous rapprocher de la SRC
Méditerranée à Mèze, qui avec le
classement de l'étang de Thau en B en juillet doit avoir à
ce jour reçu tous les prix et propositions de tous les
fournisseurs.
Mais je ne vois pas pourquoi le chlore ne
convient pas pour des salades.
Quelle est l'objection?
Stéphane Sage jeudi 16 septembre 2004 20:59
En réponse à Gabrielle BARMA qui souhaite
désinfecter de l'eau de forage avant utilisation sur légumes
(salades), je déconseillerais le chlore qui est de plus en
plus mal accepté par le consommateur français dans son
eau du robinet mais surtout étranger (par exemple, suisse ou
scandinave - la Suisse a interdit tout usage de chlore dans le
traitement des fruits et légumes, du fait des sous-produits
carcinogènes qu'il engendre) et que son efficacité
n'est prouvée (et encore pas sur tous les micro-organismes
pathogènes, il s'en faut) qu'à haute dose.
Par
contre les UV peuvent s'avérer efficaces, à condition
que l'eau soit parfaitement limpide ( 0,5 NTU comme le veut la norme
de potabilité OMS) et qu'elle n'ait pas l'occasion de stagner
(aucune rémanence des UV). Une installation vous coûtera
environ 5 000 ?, avec changement de la lampe 1 fois/an.
Le
dioxyde de chlore quant à lui est déjà utilisé
dans le "portage" de fruits dans des unités de
conditionnement, avec à la clef une chute très
significative du taux de pourrissement en chambre froide. Il a aussi
démontré son efficacité sur des eaux chaudes
sanitaires chargées en légionelles (réseaux
hospitaliers), là où le chlore rendait les armes. Par
contre, l'investissement de départ est beaucoup plus élevé
qu'une pompe doseuse de Javel (de l'ordre de 20 K?).
Enfin
vous pouvez filtrer votre eau avec une unité d'ultrafiltration
qui retiendra à la fois les particules en suspension et une
bonne partie des micro-organismes. Mais l'investissement est encore
plus élevé et surtout les coûts de maintenance
"salés" (il faut nettoyer/changer les membranes très
régulièrement).
Tout ceci dans l'absolu: pour
comparer utilement les différentes solutions envisageables, il
vous faudra connaître le débit à traiter,
les autres utilisations possibles de votre eau, la pérennité
estimée du forage, etc...Faites également et
impérativement réaliser une analyse complète de
votre eau par un laboratoire agréé (certifié
COFRAC) afin de vérifier que tous critères de
potabilité sont satisfaits (présence de métaux
lourds, de nitrates, de pesticides, etc...).
Daniel LE STER vendredi 17 septembre 2004 15:29
Il faut quand même rappeler que le chlore est préconisé pour le lavage désinfection des végétaux cru prêts à l'emploi. ( voir guide des bonnes pratiques ). la dose maxi autorisée est de 120ppm de Chlore actif ( suivi d'un rinçage efficace à l'eau potable ) .
Jean-Noël JOFFIN samedi 18 septembre 2004 14:25
Le dioxyde chlore a été préconisé pour
désinfecter l'eau tout en précisant que l'eau de Javel
devait être exclue.
Quelle différence entre ces deux
produits ? Il me semble que le dioxyde de chlore possède les
mêmes inconvénients que le Chlore ou les ions
Hypochlorites, avec la formation de dérivés chlorés
de certaines molécules organiques.
On peut trouver quelques
précisions sur le site :
de
http://www.lenntech.com/français/dioxyde-de-chlore.htm
Je n'ai pas trouvé les réactions chimiques du
dioxyde de chlore sur l'eau.
Par contre, les effets biocides du
dixoyde de chlore et de l'eau de Javel sont identiques.
Au
niveau des UV, comment peut-on stériliser de l'eau avec des UV
? Il me semble qu'une couche très mince soit nécessaire...
Délicate à obtenir pour des grandes quantités de
produits.
Stéphane Sage dimanche 19 septembre 2004 11:52
Je réponds à Christiane et Jean-Noel Joffin qui ne
voient pas de différence entre chlore et dioxyde de chlore. Il
est vrai que beaucoup de mes interlocuteurs, notamment en milieu
hospitalier (Présidents de CLIN, par exemple), assimilent
souvent le dioxyde de chlore à un simple dérivé
du chlore et que ce désinfectant peut d'ailleurs être
produit à partir de chlore gazeux.
Cependant, il a été
amplement démontré que:
- le dioxyde de chlore ne
produit aucun dérivé carcinogène, comme les THM
ou les acides halogénés du chlore, qui sont désormais
dans le collimateur de l'OMS et de l'Union Européenne
- son
champ d'action biocide est beaucoup plus large que celui de son
"cousin", à des doses très nettement
inférieures (4 fois moins pour éradiquer legionella,
par exemple).
Je conseille de lire le numéro spécial
"Dioxyde de chlore pour la maîtrise de la qualité
des eaux" de la Tribune de l'Eau n° 54
(09-10-11-12/2001), qui constitue une véritable somme sur la
question (dvda@cebedeau.be)
Quant
aux UV, ils ont certes leurs limites, mais fonctionnent
couramment dans de nombreuses stations d'eau potable en France et à
l'étranger, cela depuis plusieurs années et pour des
débits pouvant atteindre 10-20 m3/h, même s'ils sont le
plus souvent couplés à des pompes doseuses au chlore
pour compléter leur action.
Gilles TIXIER dimanche 19 septembre 2004 18:11
Merci de nous préciser comment est généré
le dioxyde de chore ?
directement à partir de bouteille
?résultat d¹une réaction chique ? ou autre?
Fabrice Girault lundi 20 septembre 2004 16:41
Nous savons tous que la javel est employee depuis bien longtemps
pour diverses desinfections, mais un autre traitement des eaux
contaminees est maintenant envisageable, et ce procede
revolutionnaire ne restreint d'ailleurs pas ses vertus qu'a ce seul
domaine. Pour renseignements, je vous conseille de lire les
informations pertinentes sur le site suivant:
www.triosyn.com
lundi 27 septembre 2004 10:45
CIDRAP 23/09/04 WHO stresses prevention over remediation for
drinking-water
safety
http://www.cidrap.umn.edu/cidrap/content/fs/food-disease/news/sep2304water.html
Christine Deraita Tue, 23 Nov 2004 05:34:01 -0400
Pardon d'avance aux spécialistes qui trouveront ma question
bête ou mon ignorance insupportable (quand je vois les échanges
peu amènes qui ont lieu parfois, j'hésite !) mais
j'aimerai savoir : Je suis en Guadeloupe et à la suite des
inondations et séismes il nous est déconseillé
d'utiliser l'eau du robinet "pour un usage alimentaire"
sans autre précision (mais comme de la terre est rentrée
dans les canalisations, je suppose qu'on peut craindre toutes sortes
de contaminations par la terre et aussi par les animaux morts ou
vivants) . Ma question est la suivante, peut-on quand même
l'utiliser pour se brosser les dents par exemple, pour la cuisson des
légumes ? Peut-on simplement la faire bouillir pour pouvoir la
boire et si oui combien de temps, ou la "javelliser" et à
quelle dose ? Je précise que son apparence est tout à
fait normale ainsi que
son odeur, la non potabilité n'est
pas apparente. Merci à ceux qui voudront bien me répondre
.
J'en profite pour remercier les initiateurs et promoteurs
de cette liste qui m'apporte beaucoup et où, en général,
les échanges sont de qualités.
Rene
LAVARDE Thu, 25 Nov 2004 13:57:27 +0100
par
définition, dans ce cas-là, on ne sait pas ce qui a pu
passer dans l'eau... Par conséquent, l'eau du robinet doit
être considérée comme présentant les mêmes
risques que l'eau de la rivière : elle doit être
bouillie avant usage comme eau de boisson, le lavage de dents étant
de nature comparable. Pour la cuisson, si l'eau bout un certain
temps, il ne devrait pas y avoir trop de risques. La chloration est
normalement applicable, mais son utilisation est délicate au
niveau domestique
(problèmes de dosage, de mélange
et de stockage...). En cas de doute (risque de mélange de
produits chimiques indésirables avec l'eau du réseau)
s'adresser à la DDASS qui doit disposer d'informations plus
précises.
JEUDI 06 JANVIER 2005
MINISTERE DE L'ECOLOGIE
05/01/05 Communiqué relatif à la coordination de l’aide
en matière d’eau potable en Asie du
sud
http://www1.environnement.gouv.fr/article.php3?id_article=3380
MERCREDI 16 FEVRIER 2005
NEWS14 15/02/05
Water treatment plants to use UV light (Caroline du
Sud)
http://www.news14charlotte.com/content/local_news/?ArID=86699&SecID=2
LUNDI 21 MARS 2005
LES DOSSIERS DU NET
- L'eau, l'agriculture et l'environnement - analyse introductive à
une réflexion sur la contribution de la recherche
agronomique
http://www.dossiersdunet.com/article.php3?id_article=464
MARDI 22 MARS 2005
TRAME - TRAVAUX ET
INNOVATIONS - Au sommaire:
JANV 99 L'EAU POTABLE NE COULE PAS QUE
DE SOURCE;
http://www.ifen.fr/publications/DE/de36.htm
boudyach Thu, 24 Mar 2005 13:46:41 -0000
j'ai lu
quelque part qu'il existe une correlation entre la présence
des coliformes fécaux dans l'eau et la présences des
pathogènes (ex. Salmonelles). Est ce que quelqu'un dispose de
documents ou sites sur ce sujet. Merci
Paul Becquart Thu, 24 Mar 2005 16:41:02 +0100
Il n'y
a aucune corrélation entre présence de coliformes
fécaux dans l'eau et la présence ou l'absence de
particules virales infectieuses (virus). L'eau peut-être
exempte de bactéries et véhiculer des virus.
Antoine Stevens Thu, 24 Mar 2005 14:48:33 -0300
D'un
autre coté, les coliformes fécaux sont un marqueur de
contamination fécale. Donc leur présence dans l'eau met
en évidence un risque de retrouver
des germes plus
dangereux (salmonelles, vibrio, entérovirus), mais il n'y a
pas de corrélation.
Paul Becquart Fri, 25 Mar 2005 15:57:45 +0100
En
effet, lorsqu'il y a détection de bactéries d'origine
fécale, la probabilité de trouver des virus est
significative.
Mais on ne peut pas dire que les coliformes fécaux
soient un marqueur de contamination fécale.
Puisque leur
absence ne démontrent pas l'absence d'un contamination
d'origine fécale.
Les eaux notamment utilisées pour
l"épurage des coquillages peuvent être saturées
de virus entériques sans pour autant contenir une seule
bactérie d'origine fécale. Les stations d'épuration
relarguent plus de 10% de virus fécaux.
Pour ma part il y a
un abus de langage. Car on peut manger des huîtres
bactériologiquement saines (et estampillées) alors
qu'elles sont (parfois) gorgées de norovirus ou autres. Mais
comme la législation ne peut se passer de la technologie... et
cette dernière étant trop chère... On se passera
encore longtemps des analyses virales. D'où l'abus de
langage.
VENDREDI 06 MAI 2005
FNDAE
- DEFINITION DES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE FONCTIONNEMENT ET
DOMAINE
D’EMPLOI DES APPAREILS DE DESINFECTION (concerne
la désinfection de
l'eau)
http://www.eau.fndae.fr/documentation/PDF/fndae02_v2.pdf
audrey_fiquet Tue, 31 May 2005 13:01:13 -0000
Lors
du démontage de notre stérilisateur tubulaire, nous
avons remarqué un dépot aspect rouille au niveau de la
partie la plus chaude...curieux pour cette nuance d'inox (316L)...Il
s'agirait d'une accumulation progressive de particules de fer due à
une eau potable trop chargée en fer...Certains d'entre vous
ont-ils déjà eu à faire à ce
phénomène...Historiquement, nous n'avons jamais eu
aucun problème sur notre produit fini lié à ce
dépot mais avez vous une idée du risque potentiel?
(quantité de fer dans le produit fini, donc étiquetage)..Cela
peut-il être dû à un défaut de
l'inox?
Est-il justifié d'exiger le remplacement de toutes
les canalisations en fer en amont de notre stérilisateur?
Merci beaucoup d'avance pour les éléments de réponse
que vous pourrez m'apporter.
Christina Tue, 31 May 2005 13:19:28 -0000
Si
cela vient de l'eau, il existe des déferrisateurs. Dans un
couvoir où j'ai travaillé , l'eau provenait d'un puits
d'eau potable mais qui contenait trop de fer. Un déferrisateur
a été installé avec un suivi par une entreprise
extérieure. Je n'ai malheureusement pas de coordonnées
concernant ce type de matériel.
audrey_fiquet
Tue, 31 May 2005 14:28:58 -0000
Notre eau provient
également d'un forage et et est déferrisée. Les
quantités en sortie correspondent aux normes, mais c'est dans
le circuit d'acheminement de cette eau vers l'atelier qu'une
recontamination a lieu par des canalisations en ferraille...2
solutions: changer la tuyauterie ou investir dans un 2ème
déferrisateur (si c'est techniquement possible !!!)...dans les
2 cas: ça coûte !
Je souhaiterai donc tout d'abord
évaluer le risque pour mon produit car il s'agit de justifier
ces éventuels achats...Merci beaucoup tout de même pour
ces informations !
VENDREDI 03 JUIN 2005
Lettre Eau n°24 -
Septembre 2003 Au sommaire:
Eaux polluées et
pharmacovigilance : urgence pour la médecine à soigner
son environnement
!
http://www.fne.asso.fr/PA/eau/publi/Article1_LE24.htm
MERCREDI 08 JUIN 2005
SWISSINFO
31/05/05 Fontaines à eau ou fontaines à bactéries?
ABE a
testé
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=5833318
MARDI 05 JUILLET 2005
INSPQ MAI/JUIN 2005
BULLETIN D'INFORMATION EN SANTE ENVIRONNEMENTALE
Au
sommaire:
Evaluation des interventions de communication du risque
associé à la présence de contaminants chimiques
dans l'eau
potable
http://www.inspq.qc.ca/pdf/bulletins/bise/BISE-16-3.pdf
JEUDI 21 JUILLET 2005
REDNOVA
19/07/05 New Shower Filter Helps Protect Against Waterborne
Pathogens
http://www.rednova.com/news/health/179041/new_shower_filter_helps_protect_against_waterborne_pathogens/index.html
MERCREDI 03 AOUT 2005
OFFICE
FEDERAL DE SANTE PUBLIQUE 25/07/05 Lettre d'information no 109 :
Moyens et procédés autorisés pour la préparation
et la désinfection de l'eau
potable
http://www.bag.admin.ch/themen/ernaehrung/00171/01708/01903/index.html?lang=fr
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2005
SCIENCE
DAILY 07/09/05 Contaminated Water Presents Bigger Crisis In The Gaza
Strip
http://www.sciencedaily.com/releases/2005/09/050907100405.htm
MARDI 11 OCTOBRE 2005
AMI 10/10/05
Mauritanie-santé - Démarrage de l'opération de
javellisation des eaux potables à Ryad, Toujoujine, Ksar et
Sebkha
http://www.ami.mr/fr/Archives2005/octobre/10/15.htm
SAMEDI 21 JANVIER 2006
AGRIRESEAU
06/01/06 Étude sur la qualité de l'eau potable : Un
portrait rassurant ... qui incite à la vigilance et à
l'action
http://www.agrireseau.qc.ca/porc/navigation.asp?operateur=contenttype&noseq=58793
JEUDI 02 FEVRIER 2006
PARLEMENT
EUROPEEN 18/11/05 QUESTION ÉCRITE E-4300/05 Objet: Aide de
l'Union européenne à des projets liés à
l'eau et aux systèmes sanitaires dans les pays les moins
avancés
http://www.europarl.eu.int/omk/sipade3?PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2005-4300+0+DOC+XML+V0//FR&L=FR&LEVEL=2&NAV=S&LSTDOC=Y
MARDI 07 FEVRIER 2006
ENSP -
Mémoires 2004 Au sommaire:
Périmètres de
protection des captages d'eau
potable.
http://www.bdsp.tm.fr/Base/Scripts/FT.bs?id=ensp/memoires/*%20et%20ies
Georges OP DE BEECK Wed, 22 Feb 2006 14:06:31
-0400
-----Message d'origine-----
De :
hygiene@yahoogroupes.fr [mailto:hygiene@yahoogroupes.fr] De la part
de
fr4206
Bonjour,
un peu hors sujet mais je pense que
certain colistier pourrons me
renseigner...
Je voudrais savoir
la température maximale d'alimentation pour l'eau
chaude
en cuisine (restauration collective).
Existe t-il des textes ? Si
oui Références ?
La réponse se trouve dans l'arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l'arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en eau chaude sanitaire des bâtiments d'habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public
charhe03 Thu, 02 Mar 2006 09:20:29 -0000
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "" <p.b7@f...>
a
écrit
>
> Quels sont vos besoins en eau pour
préparer vos plats, exprimez les
si
> possibles en
volume par heure, selon vos résusltats je connais la
solution
à
> votre souci :-)
Je ne pense pas pouvoir exprimer ces besoins en volume par
heure.
Ces besoins varient selon les recettes ; ils sont de x
litres par charge, et l'eau n'est pas, et de loin, le composant
principal.
Je suis stagiaire et je dois essayer de limiter la
contamination des produits avant le traitement thermique, et je me
demandais simplement si l'eau utilisée pouvait être une
source de contamination.
J'en doute un peu car on utilise l'eau du
réseau qui est normalement de bonne qualité, mais c'est
une source à explorer !
ANONYME Thu, 2 Mar
2006 10:58:41 +0100
l'eau du réseau est hélas
d'une qualité "toute" relative, notamment en raison
de l'état du réseau d'approvisionnement.
Je vous
confirme pour ma part que vous avez raison de vous inquiéter.
J'en
veux pour preuve si vous faîtes un tour sur le site pourtant
très institutionnel de:
http://www.lesagencesdeleau.fr/
rubriques: sa qualité, eau du robinet? vous découvrirez
la rubrique des indésirables ( dont la liste produite n'est
hélas pas du tout exhaustive), ils en arrivent quand même
à donner des conseils à la population tels que:
"
Pour limiter les risques.
. En début de journée, ne
buvez pas la première eau tirée au robinet, elle a
stagné toute la nuit dans les conduites de plomb.
.
Attendez que l'eau soit plus fraîche, signe que les conduites
sont purgées.
. Dans un immeuble, tirez l'eau de préférence
aux heures de pointe, au moment de forte consommation, elle n'a pas
le temps de stagner.
. N'utilisez pas d'eau chaude pour les
besoins alimentaires. Une température élevée
accentue la dissolution du plomb et donc le relargage au robinet.
.
En maison individuelle, ou en immeuble collectif, laissez couler
l'eau quelques minutes au robinet de la cuisine en rentrant de
week-end ou de vacances. "
Sachant que, généralement
à l'échelle institutionnelle on ne laisse transparaître
que ce que l'on n'arrive plus à cacher, je vous laisse en
tirer vos propres conclusions :-o
MERCREDI 15 MARS
2006
SWISSINFO 14/03/06 Zurich: des mini-crustacés
surveillent la qualité de l'eau
potable
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=6549234
JEUDI 16 MARS 2006
SWISSINFO 16/03/06
La gestion de l'eau, affaire des
communautés
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=6552028
VENDREDI 17 MARS 2006
OMS 2005 HEALTH
ASPECTS OF
PLUMBING
http://whqlibdoc.who.int/publications/2006/9241563184_eng.pdf
JEUDI
23 MARS 2006
KUTV 22/03/06 More Bacteria In Fast
Food Ice Than Toilet
Water?
http://kutv.com/topstories/local_story_081150102.html
20MINUTES 23/03/06 Qualité des eaux : l'huître donne
le
ton
http://www.20minutes.fr/articles/2006/03/23/Bordeaux_Qualite_des_eaux_l_huitre_donne_le_ton.php
UNIVERSITE BRETAGNE SUD - Ressources et concepts en
écologie et sciences de
l'environnement
http://www.univ-ubs.fr/ecologie/aatheme.html
Au sommaire:
L'eau sur la Terre
VENDREDI 31 MARS
2006
USINFO 30/03/06 Le contenu d'un petit sachet
sert à purifier l'eau - Une société américaine
’¼uvre en collaboration avec le CDC afin de sauver de
nombreuses
vies.
http://usinfo.state.gov/fr/Archive/2006/Mar/30-438091.html
INDUSTRIE TECHNOLOGIES 30/03/06 Un désinfectant sans chlore
pour piscines
http://www.industrie-technologies.com/article/page_article.cfm?nrub=1073&idoc=69647&navartrech=1
VENDREDI 07 AVRIL 2006
AFSSA
06/04/06 Avis du 23 janvier 2006 relatif à l'interprétation
des résultats d'analyses relatif à la présence
de particules virales dans un réseau de distribution d'eau
http://www.afssa.fr/Object.asp?IdObj=34641&Pge=0&CCH=060407101222:26:4&cwSID=65A04BE13BC2405885A29DE5EEA0DE51&AID=0
JEUDI 13 AVRIL 2006
OCDE
L'OBSERVATEUR AVRIL 2006 L’eau en agriculture : de l’abus
à une utilisation
durable
http://www.observateurocde.org/news/fullstory.php/aid/1498/L%92eau_en_agriculture_:_de_l%92abus_%E0_une_utilisation_durable.html
LUNDI 12 JUIN 2006
ACTUALITES
NEWS 12/06/06 La pureté de l'eau -
http://www.actualites-news-environnement.com/20060612-purete-eau.php
MARDI 27 JUIN 2006
FSAI JUIN 2006
Safety of Potable Water in Ireland
http://www.fsai.ie/publications/other/water_report.pdf
JEUDI 05 JUILLET 2006
ACTU
ENVIRONNEMENT 04/07/06 Techniques de l'Ingénieur présente
sa nouvelle base documentaire entièrement consacrée aux
Technologies de l'eau
http://www.actu-environnement.com/ae/pdt/techniques_de_l_ingenieur_presente_sa_nouvelle_base_documentaire_entierement_consacree_aux_technologies_de_l_eau_27.php4
JEUDI 10 AOUT 2006
REUTERS
09/08/06 Rapper Jay-Z helps UN focus on world water crisis
http://www.turkwater.com/haberler/Jay_Z.htm
(source Bernard - atelierduvieuxpuits)
>
MARDI
22 AOUT 2006
Site ECO INFIRMIER
http://www.eco-infirmier.fr/Textes.html
(source atelierduvieuxpuits)
VENDREDI 06
OCTOBRE 2006
ENVIRONMENTAL SCIENCE 05/10/06 Plastic
pipes could contaminate water
http://pubs.acs.org/subscribe/journals/esthag-w/2006/oct/science/pp_pipes.html
BBC 04/10/06 Cancer risk of 'fake' holy water
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/england/london/5405348.stm
MARDI 12 DECEMBRE 2006
JOUE
08/12/06 QUESTIONS ÉCRITES
E-0271/05 Qualité des
eaux de la source «El Güe» (Asturies —
Espagne) destinées à la consommation
humaine
http://www.europarl.europa.eu/omk/sipade3?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2005-0271+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=0&NAV=S
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr,
eric bonnaire <eric.bonnaire@...>
a écrit :
>
>
Bonsoir,
>
> Je souhaiterais savoir si je peux utiliser
l'eau déminéralisée du
> commerce (pour
fers à repasser, batteries...) pour laver des
>
échantillons destinés à l'analyse (de métaux
lourds en
l'occurrence).
> S'agit-il bien d'eau
déminéralisée ou d'eau adoucie (par échange
d'ions
> par exemple), ou ? En un mot, est-ce que ça
risque de fausser le
> résultat de mes analyses ?
>
Sur le bidon que j'ai acheté, il est écrit :
>
"Eau déminéralisée - évite la
formation du tartre"
> Mais il est indiqué :
>
"produit non-alimentaire - ne convient pas pour le remplissage
des
> appareils respiratoires"
> avec le numéro
du centre anti-poison en prime !
> La mention "biodégradable"
figure également sur l'étiquette.
> Merci pour
vos réponses
> Amicalement
> Eric Bonnaire
Je ne saurais que vous conseillez d'éviter ce type d'eau.
Auparavant j'ai tenté de l'utiliser mais j'avais des biais sur
mes analyses (qui ne sont neanmoins pas les memes que les votres).Je
vous
recommande de vous fournir chez un fournisseur pour
laboratoire.
Pour nos analyses HPLC et spectro U.V. c'est le seul moyen d'etre
sûr de la qualite. Et encore nous la passons dans un
purificateur d'eau pour obtenir une eau demineralisee a
18.2ohms.
Bien sûr je ne peux parler que de ma propre
expérience, tout dépend de votre application et de
votre matrice.
bonjour,
-> ENVIRONNEMENT
Mesure en ligne de la
qualite de l'eau
potable
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/40902.htm
Safewat,
capteur de surveillance en ligne pour l'approvisionnement en eau
potable, est le resultat d'une cooperation internationale efficace.
Les instituts de recherche, Kiwa et Sandia (Etats-Unis), ont partage
leur savoir avec les distributeurs d'eau potable, Vitens et Mekorot
(Israel) et l'entreprise neerlandaise de capteurs, OptiSense.
Quelques pistes, en anglais, sur le produit évoqué
par Bertrand :
Communiqué de presse
:
http://www.kiwa.nl/uploadedfiles/Nieuws/Onderzoek/pressreleaseSafeWat.English.0509.pdf
Fiche Eureka
:
http://www.eureka.be/inaction/AcShowProject.do;jsessionid=7f00000122b8ba058a0f66ae445fbaf8df2b4e222b16?id=3831
Oui, sujet très intéressant, mais peu d'informations sur le net.
Trouvé les mêmes liens, plus la présentation
par Optisense :
http://www.optisense.nl/drin_proj.html
puis,
sur l'onglet Optical Biosensors / Technology :
VENDREDI 02 MARS 2007
PAKISTAN
APP
01/03/07 Faisal urges quality improvement for filtration
plants
http://www.app.com.pk/en/index.php?option=com_content&task=view&id=4948&Itemid=2
MERCREDI 07 MARS 2007
CONFEDERATION
SUISSE 06/03/07 La séparation des urines: une chance pour
l'épuration des
eaux
http://www.news.admin.ch/dokumentation/00002/00015/?lang=fr&msg-id=11308
MERCREDI 21 MARS 2007
Avantage HACCP |
Guide du programme (121
pages)
http://www.omafra.gov.on.ca/french/food/inspection/haccp/haccp_pdf/haccp_manual.pdf
Au sommaire:
PROGRAMMES DE CONTRÔLE
P7 Salubrité
de l'eau
VENDREDI 30 MARS 2007
BBC
29/03/07 Holy water hit in Irish bug
scare
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/northern_ireland/6507933.stm
LUNDI
02 AVRIL 2007
PROCESSINGTALK 30/03/07 UV
disinfection systems for wastewater
re-use
http://www.processingtalk.com/news/ber/ber140.html
JEUDI 12 AVRIL 2007
GREEN GUIDE MARS/AVR 2007
Clean Water, Clear
Conscience
http://www.thegreenguide.com/doc/119/healthnews
JEUDI 10 MAI 2007
IRAN
Iranian
Journal of Environmental Health, Science and Engineering -
2006 -
STUDY OF WATER QUALITY OF SYLHET CITY AND ITS RESTAURANTS:
HEALTH
ASSOCIATED RISK
ASSESSMENT
http://www.bioline.org.br/titles?id=se&year=2006&vol=3&num=01&keys=V3N1
JEUDI 23 AOUT 2007
SAMEDI 17 NOVEMBRE 2007
AFP 17/11/07 L'eau potable plus
menacée qu'on ne pensait par la montée des
océans
http://www.romandie.com/ats/news/071117020612.qnpgeuyp.asp
MERCREDI 21 NOVEMBRE 2007
CANOE 20/11/07
Environnement - L'eau potable deviendra de plus en plus
rare
http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2007/11/20071120-170502.html
dtommasino Jeudi 6. Décembre 2007 11:14
Bonjour, raq dans une iaa de découpe de viande, nous rencontrons un problème de contamination récurent sur notre réseau d'eau utilisé pour le nettoyage (bactérie revivifiables 36°> norme, les autres paramètres sont conformes).
Es-ce que ce type de contamamination peut-il nuire à la qualité et l'efficacité de notre nettoyage ? (recontamination des surfaces lors du rinçange?)
Comment pouvons-nous assainir notre circuit d'eau interne ?
Chrystele LELU Jeudi 6. Décembre 2007 11:56
Bonjour, il serait intéressant de savoir quel type de traitement vous appliquez actuellement sur votre circuit d’eau ? Identifier les sources de contaminations possibles de votre réseau ? votre circuit d’eau est-il en bon état ?....il faut identifier l’origine du problème avant d’envisager le remède…sinon, biologiquement, il existe aujourd’hui des méthodes qui permettent de maîtriser les écosystèmes pathogènes, voire de les supprimer….
Mais avant de vous en dire davantage il faut que vous trouviez l’origine de cette contamination. Je pense d’ailleurs que sur le forum bon nombre d’experts pourront vous aiguiller davantage…
Mickaël BONI Jeudi 6. Décembre 2007 18:12
Voici quelques points qui peuvent vous aider ?
-connaissez-vous bien votre réseau (cartographie,nature des canalisations, historique des analyse,s travaux récents...)
-avez-vous mis en place une surveillance en dehors des traditionnelles analyses (examen régulier des installations, analyse des risques de dégradation de l'eau dans votre réseau, mise en place de tests simples permettant de vérifier la qualité de l'eau)si non vous savez quoi faire désormais....acheter un chloromètre et un turbidimètre suffit bien souvent à faire la surveillance (les bras morts étant caractérisés par l'absence de chlore libre, une turbidité augmentée et une flore totale.... Vous n'êtes aussi pas obligé de réaliser l'intégralité de l'analyse D1+D2 si vous avez identifié qu'un risque de dégradation, on peut alors faire plus souvent le critère litigieux et presque jamais les critères pour lesquelles on a prouvé qu'il n'y avait pas de risque (par exemple, à quoi cela sert de doser le plomb si l'on sait que notre réseau et l'eau du réseau public n'en contient pas...) éviter les analyses inutiles pour se concentrer sur le problème.
-il faut savoir si la pollution vient de chez vous ou de l'eau distribuée par le réseau public...voir les résultats de contrôle sanitaire...
- la flore totale est le reflet d'une "stagnation de l'eau" le plus souvent en bref de l'existence de bras morts ou peu utilisés (bout de réseau). Cela est souvent du à l'absence de chlore libre en fin de réseau...
- souvent aussi, c'est que certains bras morts de nature (réseau incendie, arrosage, ) appartiennent à votre réseau sans être disconnecté (ou clapets anti-retour)
- il faut vidanger une fois par an votre réseau et le désinfecter (chasse mécanique qui chasse les biofilms)avec des concentrations importantes (dépend du temps de contact, voir le guide du CSTB sur les réseaux)
- il faut entretenir les vannes, disconnecteurs, clapets anti-retour, ventouses....de façon régulière (une à plusierus fois par an)et aussi les canalisations (présence de fer, de couleur...vous ne semblez pas en avoir donc bras mort...)
- la flore totale peut venir aussi du prélèvement fait sans avoir purgé le bras mort alimentant le robinet (qui peut être plus ou moins important...)..ou encore des mousseurs de robinet mal entretenus...
- ce problème est souvent résolu par un bouclage du réseau pour augmenter les circulations ou par des purges périodiques, les biofilms sont souvent décrochés à l'occasion des exercices incendies ou d'autres événements qui consomment beaucoup d'eau..)
Voilà quelques pistes...
Bertrand CARLIER Jeudi 6. Décembre 2007 18:23
merci,
la question comme d'autres m'ont fait penser à une réponse indirecte accessible en ce lieu
http://www.environnement.ccip.fr/sante-securite/legionellose/traitement-resau-eau-chaude.htm
MERCREDI 20 FEVRIER 2008
PARLEMENT
EUROPEEN - Sélection de questions/réponses 2007
:
H-0134/07 Accès à une eau propre dans les pays
en
développement
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+QT+H-2007-0134+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR
DIMANCHE 02 MARS 2008
Sélection d'articles issus
du Brazilian Journal of Microbiology (année
2006-2007)
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issues&pid=1517-8382&lng=en&nrm=iso
Brazilian
Journal of Microbiology
Braz. J. Microbiol. vol.38 no.3 São
Paulo July/Sept.
2007
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issuetoc&pid=1517-838220070003&lng=en&nrm=iso
Aeromonas
spp. and microbial indicators in raw drinking water source
JEUDI 06 MARS 2008
TELEGRAPH
05/03/08 Whisky by-product cleans contaminated
water
http://www.telegraph.co.uk/earth/main.jhtml?xml=/earth/2008/03/05/eawhisky105.xml
MERCREDI 12 MARS 2008
BE Turquie 7 > 2008/03/11 >
Chimie : des hydrogels pour la décontamination des eaux
polluées
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/053/53461.htm
Richard Letand Lundi 19. Mai 2008 17:25
Le traitement de l'eau par osmose inverse permet en théorie (et bien evidemment en fonction des caractéristiques de l'installation utilisée) de réduire considérablement voir totalement bon nombre de polluants indésirables de l'eau (réduction de plus de 90% en général). Parmis les molécules éliminées sont citées : les pesticides, les métaux lourds, les dioxines, les nitrates, les hydrocarbures...
Quels sont les molécules susceptibles de n'être pas ou peu éliminées par ce traitement?
La littérature fait état de "composés organiques de faible poids moléculaire" comme étant possiblement retrouvé dans les filtrats, quels sont ils?
Mickaël BONI Lundi 19. Mai 2008 17:50
effectivement bien penser que l'osmose inverse élimine en général 90 % d'une substance...
Je vous donne les substances pour lesquelles le taux d'abattement peut être plus faible :
- arsenic (de 50 à 100 %) dépend de la qualité d'eau (pH, potentiel redox)
- bore (15 à 20 %), problème de l'eau de mer qui nécessite un double passage
- mercure : 75 à 95%
- bromures et bromates : 60 % environ
- quelquefois les cyanures passent entièrement....(utilisation d'une résine nécessaire)
Tout ceci est général et dépend en fait de la qualité de membrane et aussi de la valeur du critère...l'abattement de 20 % pouvant alors suffire si la quantité initiale est faible...
Olivier RONDOUIN Lundi 19. Mai 2008 19:21
Pour alimenter le débat sur l’osmose inverse :
L’osmose inverse est effectivement une technique intéressante pour le traitement de l’eau.
Néanmoins, une petite précision vis-à-vis de l’efficacité de certains dispositifs d’OI.
Lors d’un récent diagnostic d’une installation, j’ai pu vérifier que face à une eau brute fortement chargée en nitrates le dispositif ne faisait pas de miracle vis-à-vis de ce polluant.
Les performances de certaines membranes d’OI peuvent être altérées par la qualité de l’eau à filtrer (chlore par exemple).
De plus, il n’est pas rare que l’eau osmosée se pollue en raison de réseaux de distribution ou de stockage mal conçus après l’osmoseur. Les règles de conception hygiénique doivent être appliquées.
J’invite donc tous les utilisateurs d’OI à valider leur installation.
Olivier RONDOUIN
jnjoffin Lundi 19. Mai 2008 19:23
Il y a certainement différentes techniques d'osmose inverse.
De très nombreuses installations de dessalement d'eau de mer utilisent ce procédé. Sont retenus évidemment les ions Na et Cl au moins en grande partie et donc les molécules de taille équivalente : on peut donc penser que des ions plus gros (comme les ions Br, Hg...) sont arrêtés et que la plupart des molécules organiques le sont aussi.
On utilise aussi l'osmose inverse pour la production d'eau potable : l'usine d'Auvers sur Oise le réalise, pour la région parisienne, depuis déjà quelques années. Je n'ai pas eu l'occasion malheureusement de la visiter pour connaître les procédés réellement utilisés.
Espérons qu'un spécialiste pourra nous éclairer sur le sujet.
VENDREDI 11 JUILLET 2008
LA
DEPECHE 25/06/08 Portet-sur-Garonne. Avec EcoSystème Garonne,
on peut
boire l'eau du
canal
http://www.ladepeche.fr/article/2008/06/25/461267-Portet-sur-Garonne-Avec-EcoSysteme-Garonne-on-peut-boire-l-eau-du-canal.html
JEUDI 24 JUILLET 2008
ACTUALITES
NEWS 18/07/08 OMS/UNICEF : L'accès à l'eau potable
s'améliore
mais trop peu bénéficient de
l'assainissement
amélioré
http://www.actualites-news-environnement.com/17161-OMS-UNICEF-eau-potable-assainissement-ameliore.html
DIMANCHE 27 JUILLET 2008
ACHATS
INDUSTRIELS 27/07/08 Utilisation de l'oxygène singulet pour
la
désinfection de l'eau
potable
http://www.achats-industriels.com/dossiers/578.asp
VENDREDI 22 AOUT 2008
AFP
18/08/08 Assainissement et hygiène au centre d'une conférence
sur l'eau à
Stockholm
http://auvergnesciences.com/spip.php?article8847
JEUDI 04 SEPTEMBRE
2008
ALLEMAGNE
2008/09/03 > BE Allemagne 401 >
Des poissons contrôlent la qualité de l'eau
potable
berlinoise
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/055/55819.htm
rosa lentiscus Mercredi 17. Septembre 2008 22:31
après des prélèvement d'échantillon à différents points de la station de traitement de l'eau nous avons constater que l'eau est contaminé au niveau de la conduite entre l'UV et production .Je vaut avoir la methode detaillée pour la desinfection de cette condiute sachant que la contamination est due essentiellement aux coliformes.
Albert AMGAR Jeudi 18. Septembre 2008 8:23
Plusieurs raisons peuvent expliquer cela : pêle-mêle, la conception hygiénique de la tuyauterie (bras morts), la distance entre le traitement et UV et le pont d'utilisation, des raccords douteux, des porosités, etc.
Olivier RONDOUIN Vendredi 19. Septembre 2008 9:31
Vous trouverez à travers les guides EHEDG des éléments de réponse à votre problématique de traitement d’eau (Doc 27 - Stockage et distribution sécurisés d’eau dans les usines alimentaires & Doc 28 - Traitement sûr et hygiénique de l'eau dans l'industrie alimentaire). Ces documents sont disponibles auprès de l’association EHEDG France (http://www.ehedg.fr/guides.php?id=59).
Pour information, nous organisons également les 8 et 9 octobre prochains une formation à la conception hygiénique des équipements
wolfgang zabel 02/10/2008 20:48
je recherche les normes ou les textes normatifs relatifs à la production de vapeur d'eau dans les IAA sachant que les contacts peuvent être fortuits (dysfonctionnement) ou volontaires (poussée de reste du pdt ou en cours).
Lors d'un audit (client secteur pharma) on nous avait demandé d'être aux normes "zero ou A"
quelqu'un connaît il ces exigences
Albert AMGAR Jeudi 2. Octobre 2008 23:30
Il existe un avis de l'Afssa sur la vapeur entrant en contact avec les surfaces alimentaires avec une analyse des risques de certaiins produits chimiques.
Cordialement
eric ruellet Vendredi 3. Octobre 2008 6:42
Prenez en compte, dans votre analyse des risques, les résidus et réactions chimiques (dans le réseau), liés au traitement d’eau de votre chaudière
Vous devez solliciter le fournisseur de produits de traitement sur le sujet…
SAMEDI 08 NOVEMBRE 2008
(WO/2008/134654) NOUVEAU
SUBSTRAT DE BIODÉPOLLUTION POUR LA RESTAURATION DES
MASSES
D'EAU POLLUÉES PAR DES MINES ET PROCÉDÉS
D'UTILISATION
http://www.wipo.int/pctdb/fr/fetch.jsp?LANG=ENG&DBSELECT=PCT&SERVER_TYPE=19-10&SORT=41249117-KEY&TYPE_FIELD=256&IDB=0&IDOC=1652523&C=10&ELEMENT_SET=B&RESULT=2&TOTAL=36&START=1&DISP=25&FORM=SEP-0/HITNUM,B-ENG,DP,MC,AN,PA,ABSUM-ENG&SEARCH_IA=US2008061808&QUERY=(salmonella)+AND+(DP%2f06.11.2008)+
JEUDI 27 NOVEMBRE 2008
INVS
26/11/08 Journées de veille sanitaire 26, 27 et 28 novembre
2008
Résumés des
communications
http://www.invs.sante.fr/display/?doc=publications/2008/jvs_2008/index.html
Détection
des mycobactéries non tuberculeuses dans l'eau
VENDREDI 06 FEVRIER 2009
EURACTIV
05/02/09 Le monde va vers une « banqueroute de
l’eau
http://www.euractiv.com/fr/environnement/monde-banqueroute-eau/article-179205
etudiantveterinaire Mercredi 22. Avril 2009 12:24
Le traitement enzymatique pour les canalisations, est-il efficace? Merci de vos informations;
Par ailleurs, j'aurai une question concernant les boites de contact pour surfaces ( gélose VRBG). Si la date de péremption est dépassée, bien que la
gélose soit intacte, pensez-vous que les résultats de la lecture après incubation soient probants?
Pascal Rudeaux Jeudi 23. Avril 2009 0:19
Boite de petri vendue avec DLC. DLC dépassée donc poubelle.
Enzymes: il en existe de toutes sortes. si vous utilisez une enzyme proteolytique pour éliminer une couche lipidique . Bonne chance.
De même si vous utilisez une enzyme qui fonctionne en ambiance basique dans une ambiance neutre. Bonne chance.
Rq Carné Jeudi 23. Avril 2009 14:31
Utilisatrice d'enzymes pour les canalisations : ca marche bien. Il faut bien évidemment les utiliser aprés le nettoyage pour leur laisser le temps de
"grignoter" surtout que de toutes façons elles ont une action rémanente. Le résultat n'est donc pas instantané.
Par contre, pour le nettoyage des tables et autres, je n'ai pas été satisfaite, mais c'est certainement que l'enzyme proposée n'était pas adapter à mon substrat : donc pas d'action.
loujak2000 Jeudi 23. Avril 2009 18:26
Pour les lames de surfaces nous, on utilise des lames périmées depuis quelques mois elles marchent bien. Il faut juste faire attention à ce que la gélose n'ai pas fondue et qu'elle ne se décolle pas.
Chrystele LELU Vendredi 24. Avril 2009 9:18
En ce qui concerne le traitement enzymatique des canalisations, je vous confirme que c’est très efficace. Si vous le souhaitez je pourrai vous faire
parvenir des photos de résultats de traitement de canalisations notamment en industrie agro-alimentaire où les résultats sont bleuffants.... l’avantage
des enzymes c’est qu’elles ont une capacité à décrocher le biofilm installé dans les canalisations et les parois deviennent propres en quelques jours.
GAULT Gilbert Mercredi 29. Juillet 2009 14:31
P 20 392 DU DECRET 2001-1220 DANS L ANNEXE 1 2 VERSION PAPIER
Gilles TIXIER Mercredi 29. Juillet 2009 15:07
On trouve sur GalactéePro, le Décret n° 2001-1220 du 20 décembre 2001 relatif aux eaux destinées à la consommation humaine,
à l'exclusion des eaux minérales naturelles
(JORF du 22/12/2001)
modifié par :
*1* Décret 2003-461 du 21 mai 2003 (JORF du 27/05/2003)
*2* Décret 2003-462 du 21 mai 2003 (JORF du 27/05/2003)
mais en annexe I-2. : Références de qualité des eaux destinées à la
consommation humaine
je ne trouve pas d'indications relatives à la non-potabilité de l'eau chaude
d'un établissement, si ce n'est la valeur limite max de 25°C (à l¹exception
des eaux ayant subi un traitement thermique pour la production d¹eau
chaude).
Merci pour vos lumières
Cordialement
--
Gilles TIXIER
Etienne Pierron Mercredi 29. Juillet 2009 15:11
A propos de l'eau potable :
Il me semble que ce critère de 25°C est valable uniquement comme critère de qualité à la production et non comme une limite pour la potabilité.
Cette valeur est citée comme une référence de qualité pour les eaux destinées à la consommation humaine (annexe I -II-B de l' AM du 11 janvier 2007) et non pas comme une limite de qualité pour les eaux destinées à la consommation humaine (annexe 1 -I de l' AM du 11 janvier 2007)
L'annexe I - II - B de l'AM du 11 janvier 2007 précise également en note associée à ce critère :
"A l’exception des eaux ayant subi un traitement thermique pour la production d’eau chaude."
Autrement dit une température inférieure à 25°C n'est pas un critère de qualité pour de l'eau qui a été chauffée.
Que les industriels se rassurent donc : l'eau potable chauffée à plus de 25°C continue d'être de l'eau potable et peut donc donc être utilisée pour les usages industriels qui nécessitent de l'eau potable.
source :
Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la consommation humaine mentionnées aux articles R.
1321-2, R. 1321-3,
R. 1321-7 et R. 1321-38 du code de la santé publique
NOR : SANP0720201A
JO du 6 février 2007
O. Cerf Mercredi 29. Juillet 2009 15:15
> Maintenant question potabilité (micro organisme et métaux lourd) est ce
> que d'autres colistiers pourrait trancher ?
>
"Dura lex, sed lex" (la loi est dure, mais c'est la loi). En l'occurence,
cette loi est justifiée.
>
> si l'eau chaude décolle effectivement le biofilm des conduite et solubilise
> les métaux lourd, cela signifie donc qu'aprés avoir fait couler de l'eau
> chaude, il faudrait laisser couler l'eau froide quelques instants avant de
> s'en servir pour éliminer les "résidus" encore présent dans la conduite ?
>
C'est un fait que l'eau chaude décolle le biofilm des conduites et
solubilise les métaux lourd. Donc laisser couler l'eau froide quelques
secondes (en fonction de la longueur de la canalisation commune aux eaux
chaudes et froides) est vivement recommandé, en effet.
Rachida Nait Boujemaa Mercredi 29. Juillet 2009 15:36
ca depend de la composition de la masse prete a l'emploi, elle peut contenir des proteines par exemple et peuvent se coaguler a température chaude avant d'etre dessoutes faut voir les ingredient de cette masse ( je pense bien )
qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 16:06
Il me semble que le nettoyage en IAA se fait à l'eau chaude...elle serait non potable, ou "moins" potable que j'eau froide...Il serait donc judicieux de préconiser un rinçage final à l'eau froide ? D'autant plus que cela pourrait représenter des économies d'énergies...
julien.nattier Mercredi 29. Juillet 2009 18:29
L'analyse de la potabilité de l'eau de réseau est définie dans ce même decret 2001 1220 comme une analyse de type D1 comportant une partie microbio (pathogenes habituels, enteroB, revivifiables à 22 et 37°, etc.) et une partie physico-chimique (ne comprend pas l'analyse de plomb). Cette analyse ne semble pas être réservée à l'eau froide ou chaude.
Un résultat favorable à cette analyse fournie une couverture confortable au professionnel mais ne satisfera pas les personnes soucieuse de la sécurité des consommateurs et préfèreront se baser sur une analyse des risques personnalisée. celle-ci incluerait l'analyse de l'état du réseau avec remise aux normes si nécessaire (il me semble que le plomb n'est plus utilisé depuis de nombreuses années - il existe d'ailleur des tuyaux PVC haute température de bonne qualité pour ce type de réseau mais ils sont favorables à l'apparition des biofilms - et il me semble aussi que les tuyaux de cuivre tendraient à réduire la formation de biofilms. voir http://www.cuivre.org/media/pdf_2008/fichier_152.pdf
une étude réaliser pour luter contre la légionnelle dans les réseuax ECS )
Bertrand CARLIER Mercredi 29. Juillet 2009 20:59
il serait judicieux de savoir lire ce que les colistiers écrivent...
qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 23:18
"Eau chaude supérieure à 25°C réputée non potable Art L1321-10 et suivant du CSP recodifié annexes au décret 2001-1220 du 20 décembre 2001
Augmentation dvp bactérien et du biofilm et solubilisation des métaux dont le Pb + potentialisateur de bactéries inactives aux températures réglementaires et potentiellement gazogènes
L'utilisation d'eau chaude rend la préparation impropre à la consommation humaine
Ilane SIMON Mercredi 29. Juillet 2009 17:47
À mon avis il ne faut pas confondre lors de nos échanges réseau d'eau chaude et eau chaude (eau à température >25°C)
Je m'explique :
L'eau est effectivement la même initialement donc l'eau chaude a la même potabilité que l'eau froide
Mais le réseau d'eau chaude lui (tuyauterie) favorise l'impotabilité de l'eau pour les différentes raisons citées (favorisation du dév microbien, mise en solution des métaux...)
ilane
jnjoffin Mercredi 29. Juillet 2009 18:20
Il parait difficile de dire que le développement microbien sera favorisé par le chauffage de l'eau.
Une eau conservée à 60-65°C a toutes chances d'être quasiment stérile.
Les endospores bactériennes ont toutes chances de résister mais leur germination peu probable dans un contexte d'eau ne contenant pas de nutriments. De plus, les espèces sporulées ne cultivent pas à ces températures sauf cas particuliers (comme Geobacillus stearothermophilus)
H.HICHRI Mercredi 29. Juillet 2009 18:59
La potabilité d’une eau est liée à l’ensemble des caractéristiques organoleptiques, à l’équilibre des paramètres physico-chimiques, à la maîtrise du risque sanitaire du au développement microbien (bactériologique, virologique, parasitologique et fongique) par un traitement chimique (produit chloré) et /ou complémentaire physique (U.V).
Le chauffage de l’eau modifie les caractéristiques de cette eau (saveur, couleur, température), favorise le développement microbien par destruction
du stabilisant chimique « par exemple chloré », précipite certains composants chimiques (complexe carbonato-calcique et magnésien ...). Elle
est succeptible de véhiculer des corps étrangers dus à l’interaction entre l’eau chaude et le réseau porteur. Certains professionnels mettent des
protecteurs anticorrosion du réseau (filmogènes….) que l’on trouve dans l’eau chaude par dissolution.
Ce qui nous amène à différencier une eau potable pouvant être désaltérante et ingérable en toute sécurité pour le consommateur (humain ou animal) d’une eau « technique.
Seule l’eau potable peut servir comme matière première et/ou d’ingrédient dans le process d’une production agroalimentaire pour une consommation
humaine et/ou animale.
P.S : Il est de même d’une eau à la sortie d’un adoucisseur ! A la sortie d’un adoucisseur l’eau n’est plus potable. C’est une eau technique.
Hubert BAZIN Mercredi 29. Juillet 2009 23:31
"Mais si la potabilité de l'eau chaude est remise en cause...il serait bon de le savoir...non???"
Oui, parce que dans ce cas, moi, j'arrête le thé, le café, et la soupe (sauf le gaspacho) ! Et je verrai s'il faut que je remplace tout ceci par du Cognac...
qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 23:37
Personnellement je chauffe de l'eau froide pour mon thé...
Ne serait'ce pas une histoire de "longueur de rèseau" ?
JEUDI
06 AOUT 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Comment économisez de l’eau selon des écologistes
brésiliens ?,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=734
DIMANCHE
01 NOVEMBRE 2009
Nouveautés
dans la rubrique
Alimentation
http://www.biotechno.fr/spip.php?page=plan&tri=par_rubrique
[30-10-2009]
Poste d’eau réglementaire
LUNDI
16 NOVEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Un objet luxueux ? WaterAid vous propose la vidéo du World
Toilet Day,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=3362
zabelwzabel Mercredi 18. Novembre 2009 21:17
depuis certains mois ns suivons la qualité microbio de l'eau osmosée.Il s'avère qu'elle est tjrs contaminée.(flore banale-colforme-srepto fécaux)
Le responsable de la chaufferie m'affirme que les catouches de filtration sont changees r"égulerement et que la conductivité sur l'eau osmosée qui est de l'ordre du µSiemens prouve que l'installation fonctionne correctement.
Pour ma part je pencherai vers de pbs de fuite ou autres chose.
Y a t il des personnes qui surveillent ces installations qui peuvent me conseiller sur ces types de contamination après une nanofiltration?
Dans la serie des "biarreries" ns trouvons des strepto fécaux dans l'eau décabonatée chlorée qui a des teneurs de chlore libre résiduelle de l'ordre d 0.5 mg/L.J'ai vérifié la qualité des milieux de culture-le systeme de filtration (stérilisation du frité)-le prelevement-la manière dont le chlore est dosé.Tout semble correct pourtant avec un tel niveau de chlore je ne devrais rien trouver sur les boîtes?
Albert Amgar Mercredi 18. Novembre 2009 22:17
La réponse est sans doute proche de celle d'un biofilm mixte (cela se chaque fois que des bizarreries se produisent) ou d'une contamination
croisée via des porosités ou des micro-fuites ou bien un problème de bras mort ?
La concentration en chlore ne fait rien à l'affaire lorsque vous avez affaire à un biofilm.
Si vous souhaitez que nous en discutions hors liste, n'hésitez pas à me contacter.
bahloul mariem Jeudi 19. Novembre 2009 8:59
pour le chlore libre je voudrais juste ajouter que ça ne témoigne que de l'état de l'eau au moment du prélèvement, ce n'est pas une mesure en continue! ensuite pour le biofilm, je pense que la réponse aurait était plus raisonnable si le controleur retrouve toujours le meme germe ou meme groupe de germe, un pseudomonas, un staphylocoque, qui est relargué de façon intermittente associé ou non à d'autres bactéries ou spores, donc dans ce cas je ne pense pas que c'est l'explication la plus probable!!
je pense que vous devriez faire un diagnostic rigoureux et minutieux de l'installation:
- points ave risque de stase: déformations, angles.....
-controles bactériologiques à différents endroits: avant entrée, avant filtre, après filtre......
-je pense que vous devriez consigner exactement les dates de changements des filtres, et voir s'il ya corrélation avec les contaminations
-commencer par voire la charge bactérienne de l'eau avant tout traitement, peut etre qu'elle est trop importante, dans ce cas les performances de la chloration et des filtres se voient dépassées.
bon courage je suis sure q'en suivant bien vous trouverez!!
dites vous etes le controleur?
Chantal CREUGNET Jeudi 19. Novembre 2009 23:32
Je confirme qu'il est toujours surprenant d'avoir une contamination microbiologique dans une eau filtrée (nanofiltration) ou dans une eau chlorée.
J'ai eu la même expérience sur une eau après microfiltration à 0,2 µ de contamination récurrente pas des coliformes. Au final, il s'est avéré que la contamination se produisait lors du changement des cartouches de filtration. Nous avons traité avec le fournisseur du filtre qui nous a conseillé d'augmenter la concentration de la solution désinfectante (mieux adaptée à son matériel) et d'instaurer une désinfection systématique après chaque ouverture des carters.
Nous avons également eu un problème avec des vannes de prélèvement sortie filtration,mal située (trop près du sol), sur lesquelles nous ne parvenions pas à faire des prélèvement sans les contaminer pas des coliformes. De plus, ces vannes n'étaient jamais ouvertes à part pour les prélèvements microbiologiques et représentaient un bras mort. Nous avons donc introduit l'ouverture systématique des vannes de prélèvement dans la procédure de désinfection et remplacé les vannes mal positionnées et depuis nos prélèvements sont plus fiables.
De même, nous utilisons une solution d'eau chlorée à 25 mg/l et nous nous sommes rendu compte contre toute attente que cette solution désinfectante n'était pas stérile. Après investigation, nous avons découvert que le pH de cette solution (pH=11) neutralisait les effets du chlore. Il existe des courbes sur l'activité du chlore en fonction du pH.
En espérant que ce retour d'expérience vous apporte quelques pistes.
Albert Amgar Vendredi 20. Novembre 2009 8:56
Bonnes observations d'une situation qui souligne que la conception hygiénique d'une ligne de fabrication d'eau osmosée est essentielle.
La désinfection ne peut pas tout ! Quant au chlore, souvent débattu sur la liste, son action est bien connue et reconnue à pH plutôt
acide. Voir à ce sujet les effets de l'eau éléctrolysée. A pH alcalin, c'est l'effet blanchissant qui est souvent recherché.
Olivier RONDOUIN Vendredi 20. Novembre 2009 9:11
Vous êtes confronté à un problème assez fréquent sur les installations d´osmose inverse.
Le fait que l´osmoseur fonctionne correctement (forte résistivité de l´eau) ne prouve pas grand chose en matière de maîtrise de la contamination microbienne.
Pour aller plus loin :
- Il faudrait diagnostiquer la conception hygiénique de l´installation (hydrophobicité des matériaux, maîtrise de la température, bras morts, bouclage ou non du circuit, vitesse, pompe, vanne...).
- Le type de membrane de l´osmoseur.
- Le type de filtres stérilisants et la conception des porte-cartouches.
- Les opérations de désinfection de l´installation.
- Voir comment sont gérés le rétentat et le perméat d´osmose (sur certains circuits mal conçues il est possible que le rétentat contamine le perméat !)
- Etc.
Pour la décarbonatation, il faudrait connaître la technique employée sachant qu´il est fréquent que ces dispositifs soient colonisés par des microorganismes organisés sous forme de biofilms.
Restant à votre service, cordialement,
Olivier RONDOUIN
MERCREDI
25 NOVEMBRE 2009
ANR
25/11/09 Signature d´un accord de collaboration entre l´ANR
et le
Ministère de la Science et de la Technologie de Chine
(MOST)
http://www.agence-nationale-recherche.fr/actualite/13?NodId=13&lngInfoId=330
L´ANR
et le MOST ont signé un accord de collaboration le 13 novembre
2009,
pour financer des projets de R&D sur les écotechnologies
dans le domaine de
l´eau.
palombier Lundi 22. Février 2010 21:26
> Bonjour,
>
> Connaissez vous une méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau.
> Une méthode dite de terrain sans avoir besoin d'investir dans un
> turbidimètre?
> Merci d'avance, ED
> méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau
méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau
méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau.
Le disque de Secchi porte le nom du père Pietro Secchi (1818-1878), qui était conseiller scientifique du pape. Le disque de Secchi a servi pour la première fois en mer Méditerranée, en 1865.
http://www.ene.gov.on.ca/programs/4663f03_appendix1.pdf
Le disque de Secchi que vous avez reçu (nouveaux bénévoles) nÂ’est pas complet. Il faut y fixer un boulon à œil, un poids et une corde. La longueur de la corde dépend de la clarté du lac. En Ontario, la clarté des lacs varie de quelques mètres à plus de 10 mètres. Marquez la corde à intervalle dÂ’un demi-mètre et estimez les dixièmes de mètres entre ces intervalles. Il faut un poids sous le disque pour le faire couler. Fixez un boulon à œil (pour y attacher la corde) dans le trou central et insérez des rondelles à la base. Les magasins vendent des grandes rondelles carrées qui servent de poids.
Déterminer la profondeur du disque de Secchi
1. Plongez le disque dans lÂ’eau jusquÂ’Ã ce que vous le perdiez de vue.
2. Notez la profondeur au dixième de mètre près. 3. Remontez le disque jusqu’à ce que vous le
voyiez réapparaître. 4. Notez la profondeur. 5. La profondeur du disque de Secchi est le point
médian entre ces deux profondeurs. Notez la profondeur ainsi que les autres données requises sur la fiche dÂ’observation imperméable à lÂ’eau que vous avez reçue.
NOTA : Plongez le disque du côté ombragé du bateau. Retirez vos lunettes de soleil. Si possible, mesurez vers midi (entre 10 h et 14 h) dans les mêmes conditions atmosphériques et aquatiques. Notez la profondeur en dixième de mètre (p. ex. 4,2 m).
Le disque de Secchi porte le nom du père Pietro Secchi (1818-1878), qui était conseiller scientifique du pape. Le disque de Secchi a servi pour la première fois en mer Méditerranée, en 1865.
Le 22 févr. 10 à 23:54, elodie1915 a écrit :
Elodie DECQ Mardi 23. Février 2010 8:18
OK pour le disque de Secchi mais il s’agit dans mon cas de mesurer la turbidité de l’eau en sortie d’un système de filtration donc je ne peux pas utiliser le disque. J’ai entendu parler de cette méthode : Détermination de la turbidité - Méthode d'évaluation visuelle de la turbidité (méthode utilisant le tube d'évaluation de la transparence)(NF T 90-033 – Septembre 1985).
Le problème c’est que je n’arrive pas à avoir d’autres infos sur cette méthode, la connaissez vous ?
MARDI 16 MARS 2010
OMS
15/03/10 Davantage d'efforts sont nécessaires pour un accès
universel à l'assainissement
Des progrès sont
enregistrés en matière d'accès à l'eau
potable
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2010/water_20100315/fr/index.html
MERCREDI 17 MARS 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Hygiène = eau et assainissement,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=7187
MARDI 23 MARS 2010
EUROPE
22/03/10 World Water Day 2010: A red letter day for Europe's waters
http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/10/336&format=HTML&aged=0&language=EN&guiLanguage=en
IRIN 23/03/10 MONDE: Déterminer
quand l'eau est
salubre
http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=88530
MERCREDI 24 MARS 2010
MEEDDM
19/03/10 Journée mondiale de l’eau : de l’eau
propre pour un monde
sain
http://www.developpement-durable.gouv.fr/Journee-mondiale-de-l-eau-de-l-eau.html
JEUDI 01 AVRIL 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Boire de l’eau, un geste normal ?,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=7563
aimane5 Mardi 6. Avril 2010 8:21
Notre entreprise utilise un système de refroidissement de boisson par un échangeur à plaques avec de l'eau glycolée. Je souhaite savoir si celle-ci peut poser un problème de sécurité alimentaire dans la démarche de mettre en place l'ISO 22000.
Olivier RONDOUIN Mardi 6. Avril 2010 9:51
La réponse est oui.
Il peut exister un risque de fuite d’eau glycolée vers votre produit. Je vous invite à vous renseigner sur la qualité des additifs utilisés pour l’eau, les contrôles réalisés sur l’échangeur (vérification des plaques, mise en pression…). La conception de l’échangeur a également de l’importance mais sans description technique, difficile d’apporter une réponse.
Pour information, nous traitons de cette problématique dans nos futures formations du mois mai concernant notamment l’ingénierie hygiénique des équipements et utilités.
JEUDI 10
JUIN 2010
Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le
blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Campagne de WaterAid : Don’t Let it Drop,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=9287
Scientific
Journal of King Faisal University (Basic and Applied Sciences) Vol.11
No.1 1431 (2010) Bacterial Contamination of Drinking Water in
Selected Dairy Farms in
Sudan
http://sjournal.kfu.edu.sa/eng/pdffiles/b1116.pdf
Department
of Clinical Studies, Faculty of Veterinary Medicine and
Animal
Resources, King Faisal University
Al-Hassa, Saudi Arabia
LUNDI 14
JUIN 2010
Critical Reviews in Food Science and Nutrition,
Volume 50, Issue 6 June 2010 , pages 533 - 566
EU Legislation on
Food and Potable Water Safety which could be Potentially Applied on
Board Ferries and Cruise Ships: A Comparison with US Legislation
http://www.informaworld.com/smpp/content~content=a922844919&db=all
a
Department of Agriculture Ichthyology and Aquatic Environment, School
of Agricultural Sciences, University of Thessaly,
b SHIPSAN
Project,
c Department of Hygiene and Epidemiology, Faculty of
Medicine, University of Thessaly,
d Department of Public and
Administrative Health, National School of Public Health, Athens,
Greece
e Gastrointestinal, Emerging and Zoonotic Infections
Department Health Protection Agency, Centre for Infections, London,
United Kingdom
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