ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE

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THEME  : L’EAU

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La pollution dans l'eau

Cryptosporidium et giardia

Les eaux usées

L'eau en Australie

Cas d’intoxications à l’eau

Les résidus de pesticides dans les aliments

Les pollutions agro-environnementales 

L'eau au Canada

L'analyse de l'eau

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L'eau dans les élevages

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Le plomb dans l’eau

 

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 Les nanotechnologies et l'Eau

 

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La fluoration de l'eau

 

 

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Les études et colloques en ligne concernant l'eau

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Les tests de contamination de l’eau

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L'eau en bouteilles

Le plomb

Le rhin

 

Les affaires de la Cour de Justice Européenne en rapport avec la qualité de l’eau

La radioactivité dans l’eau

Le Danube

 

 

Influenza aviaire et eau

 

 





Nouveau moteur personnalisé concernant l'eau
http://www.google.com/coop/cse?cx=009796703470300972621:hzksce0ql6y&hl=fr



 lundi 21 août 2000 20:38

* Extraits du BE Allemagne (numero 13 en date du 17 août 2000) - Ambassade de France a Berlin /
   Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique (ADIT,  http://www.adit.fr) - Abonnement gratuit par mel :  subscribe.be.allemagne@adit.fr"


De l'eau potable directement du sous-sol
Le Professeur Rott et son equipe de l'Institut pour l'approvisionnement en eau des lotissements a l'Universite de Stuttgart a developpe un nouveau procede de traitement de l'eau directement en sous-sol
permettant ainsi de fournir les consommateurs sans passer par une station d'epuration. Le procede est base uniquement sur des reactions biochimiques naturelles (oxygenations reguliere de l'eau) et filtrations. Le procede est l'un des projets presentes a l'EXPO 2000 de
Hanovre.
Contact :
tel : +49 711 685 37 11
Fax : +49 711 685 37 29
rott@iswa.uni-stuttgart.de
www.uni-stuttgart.de/siwa/wgw/index.html
Source : Wissenschaft, Wirtschaft und Politik 19.07.00
Redacteur : L. Baudon de Mony



 mardi 19 septembre 2000 20:01

BE Suisse (numero 2 d'août 2000) - Ambassade de France a Berne /
   Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique (ADIT, http://www.adit.fr) - Abonnement gratuit par mel : subscribe.be.suisse@adit.fr"

Environnement
-------------

- Les mesures recentes effectuees sur les eaux du lac Leman montrent que, dans l'ensemble, la sante du lac ne cesse de s'ameliorer, meme si la teneur en phosphore et la quantite d'algues restent trop importantes. Les micropolluants sont egalement toujours presents. L'etat biologique des sediments s'est notablement ameliore dans les dix dernieres annees, la restauration des sediments alteres prenant d'autant plus de temps qu'ils sont situes en profondeur.
La CIPEL (Commission Internationale pour la Protection des Eaux du Leman) a approuve les grandes lignes d'un plan d'action 2001-2010. Parmi les nouveaux axes d'intervention on peut citer la renaturation des rives du lac et des cours d'eau et la preservation du patrimoine naturel. Ce plan prevoit egalement une concertation avec les habitants concernes. Dans ses resolutions la CIPEL recommande aux gouvernements suisse et francais, parmi d'autres mesures, de poursuivre les efforts sur le phosphore, de mettre en place un suivi regulier des micropolluants dans les milieux aquatiques et de preserver les zones naturelles et celles presentant un interet ecologique important.
Grace aux nombreux efforts consentis, la pollution par les metaux lourds (plomb, cuivre, cadmium, zinc) a fortement baisse. Cependant la surveillance reste de rigueur et il convient de pouvoir reagir en cas
d'accident. A l'Universite de Geneve une trentaine de chercheurs du Centre de chimie analytique et biophysicochimie de l'environnement (CABE) s'interessent a la question. Leur but est d'arriver a prevoir les
reactions chimiques auxquelles ils participent, le processus de sedimentation jouant un role important.
Des modeles numeriques, associes aux mesures experimentales, permettent de decrire les phenomenes physico-chimiques. Pour cela les chercheurs utilisent des echantillons de plusieurs lacs suisses mais egalement, pour valider plus largement leurs modeles, des resultats de mesures effectues dans d'autres pays (Angleterre, Suede, Mexique).
En parallele le CABE developpe des detecteurs automatiques permettant de mettre en evidence la presence de traces de composes chimiques dans l'eau. 

 

 mardi 26 septembre 2000 20:50

BE Canada (numero 158 du 11 au 24 septembre 2000) - Ambassade de France a Ottawa /Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique (ADIT,http://www.adit.fr) - Abonnement gratuit par mel : subscribe.be.canada@adit.fr
TRAITEMENT ELECTROCHIMIQUE DE L'EAU CONTAMINEE

Enpar Technologies Inc annonce l'invention d'un procede de traitement electrochimique de l'eau contaminee par des composes azotes. La technique consiste a faire passer l'eau contaminee a travers une cellule electrochimique configuree pour favoriser la formation d'azote inoffensif.

Les composes dangereux tels que les nitrites, nitrates et l'ammoniaque sont transformes en azote qui s'echappe ensuite dans l'atmosphere (lui meme compose principalement d'azote). Certains contaminants comme E.coli peuvent etre elimines par javellisation, mais les nitrates presents dans les fertilisants des terres agricoles requierent une autre methode de
traitement. Les fortes concentrations de nitrates et d'autres composes azotes presents dans l'eau potable sont sources de risques non negligeables pour la sante. Les nitrates sont impliques dans les causes du " syndrome du bebe bleu " et peuvent etre responsables de la formation des nitrosamines, puissants elements carcinogenes. La technologie a de
nombreuses applications dans le secteur industriel : Enpar est en train de conduire deux tests pilotes temoins, le premier etant un programme in situ sur les terres agricoles qui cible les eaux souterraines contaminees par l'industrie de l'agriculture, le second etant le developpement d'un reacteur electrochimique pour la decontamination des eaux provenant des pluies, visant cette fois-ci l'industrie chimique.
Contact :
Gene S. Shelp
Enpar Technologies Inc.
55 Regal Road, Guelph, Ontario N1K 1B6
Tel : (519) 836-6155
Fax : (519) 836-5683
OTTAWA(sciefran@ambafrance.org)

  dimanche 19 novembre 2000 11:40

CBC NEWS 14-11 Water Filtration Devices
http://cbc.ca/consumers/market/files/home/waterfilters/index.html

 vendredi 2 mars 2001 18:03

EUREKALERT 01-03 Sequential disinfection process provides safer drinking water
http://www.news.uiuc.edu/scitips/01/03water.html

 

 jeudi 12 avril 2001 07:39

SCIENCES OUEST   MARS 2001  Cycle de l'eau : De la terre à la mer

http://www.espace-sciences.org/science/10065-sciences-ouest/10137-175/10391-dossier-du-mois/13048-cycle-de-l-eau-_-de-la-terre/index.html

 

 

  mercredi 18 juillet 2001 22:51

TAPWAT: Definition structure and applications for modelling drinking water treatment

http://www.rivm.nl/bibliotheek/rapporten/734301019.html

 

 mercredi 12 décembre 2001 19:23

PLANETARK 13-12 Bangladesh capital faces acute water crisis

http://www.planetark.org/dailynewsstory.cfm/newsid/13708/story.htm

 

 jeudi 20 décembre 2001 23:12

Nouveau site - l'Institut de l'eau

http://www.institut-eau.com/fr/b-homepage.htm

Institut-eau.com est destiné au grand public mais aussi aux professionnels de santé. Il vise à devenir "la référence en matière d'information, de pédagogie et de conseil". Il propose quatre thématiques : l'eau et la vie, l'eau et l'environnement, l'eau à travers les civilisations et l'Institut de l'eau. Cet Institut, organisme scientifique basé à Vittel, fait partie de Perrier Vittel SA, division eau du groupe Nestlé.
Information de Jean-Pierre GALLACIER

 vendredi 28 décembre 2001 07:40

EPA 27-12 Proceedings from the Nov 6, 2001 Waterborne Microbial Diseas Stakeholder Meeting
http://www.epa.gov/ost/humanhealth/microbial/microbial.html
Developing a Strategy for Waterborne Microbial Disease -- Draft -- (August, 2001) (PDF, 154KB)
Meeting Summary
Contacts -- (PDF, 300KB)
Presentations
Waterborne Microbial Disease Strategy Stakeholder Meeting
Developing a Strategy for Waterborne Microbial Disease Control
Protecting Our Nation's Drinking Water and Waste Water Systems from Terrorism

 

 samedi 20 avril 2002 12:35

PUBLIC CITIZEN Vol. 1 no 1 février 2002 L'eau, c'est la vie! L'accès à de l'eau pure à un coût abordable est un droit de la personne!
http://www.citizen.org/documents/v1n1_frn_-_PDF.pdf

bernard blanc dimanche 26 mai 2002 19:46

The UK based National Pure Water Association has recently posted a comprehensive, user friendly Water Research web page.

http://www.npwa.freeserve.co.uk/H2O.html

The purpose of this page is to provide a range of information collected from Government, academic and other research sites to journalists and those interested in learning more about water and its impact on health and the environment - and to encourage further inquiry into this fascinating subject.

 samedi 1 juin 2002 09:22

POUR LA SCIENCE 31/05/02 Un minéral antiviral

La zéolite (un silicate naturel), pourrait décontaminer les réserves d'eau. L'équipe de Dirk Schulze-Makuch, de l'Université du Texas, à El Paso, a montré qu'un filtre constitué de zéolite traité avec un produit chimique commun (on le trouve dans les bains de bouche) retient les germes. Grâce au traitement, le minéral acquiert une charge positive, et attire les virus et les bactéries, qui portent généralement une charge négative dans les eaux souterraines. La porosité du minéral lui confère une grande surface de contact. Déposé au fond d'un puits, il serait un moyen simple pour désinfecter l'eau d'une partie de ses germes. L'innocuité à long terme du produit de traitement reste à vérifier.

 dimanche 7 juillet 2002 09:17

BULLETIN SCIENCE ET ENVIRONNEMENT MAI/JUIN 2001 Réduction des risques en matière de qualité de l'eau

http://www.ec.gc.ca/science/sandemay01/article3_f.html

jeudi 18 juillet 2002 17:03

INTELIHEALTH 18/07/02 Not All UV Light Effective In Treating Drinking
Water
(American Society for Microbiology) -- Researchers from the University of Waterloo in Ontario, Canada have determined that some types of ultra violet light are not effective in killing harmful bacteria in drinking water.  Their results appear in the July 2002 issue of Applied and Environmental Microbiology.
http://www.intelihealth.com/IH/ihtIH/EMIHC000/333/333/352481.html

bernard blanc berblanc@club-internet.fr mardi 6 août 2002 22:16

Un ami vient d'écrire le message suivant sur une autre liste. Qu'en pensez-vous ? Amitiés. Bernard Blanc.
<<From:
              Livres du Téméraire <librairie.centrale@wanadoo.fr>

Pour être saine, une eau d'alimentation doit être acide (pH < 7), réduite ( < 28), et de forte résistivité (> 6000 ohms). Le résistivité est en rapport avec la teneur en sels minéraux inassimilables par l'organisme
humain, teneur traduite par la valeur "résidu sec" inscrite en principe sur les bouteilles. Le résidu sec de Volvic est 130 mg/litre, celui de Mont-Roucous 18,1 mg/l.
Or, l'eau d'Evian en contient autour de 500, son pH est > 7,5, voire 7,72, sa résistivité de 29 à 29,8.
C'est donc un poison, même pour les bébés, qui prépare nos maladies de civilisation type calculs, thromboses et cancers.
Entre autres sources : "L'énergie micro-vibratoire et la Vie", par Lucien Roujon aux Editions "Le Rocher", pages 88 etc.
Pour qui se refuse à acheter une bonne eau en bouteille, les purificateurs à osmose inverse donnent de bons résultats. Michel Guérin>>

H.P.  mardi 6 août 2002 23:14

L'auteur devra expliquer comment un "résidu sec inassimilable" peut provoquer thromboses et cancers.
A moins qu'il s'agisse de la diatribe d'un taliban vert ?

Cordialement.

H.P.
(buveur d'eau d'Evian depuis un demi-siècle)

yboisard yboisard@aol.com mardi 6 août 2002 23:33

Pour les thromboses je ne sait pas mais en ce qui concerne le cancer du colon il peut peut être survenir par l'effet abrasif répété du "résidu sec inassimilable" sur la muqueuse.Ca doit finir par rayer.

Moralité : buvez l'eau du robinet, 

polmiller@nomade.fr polmiller@nomade.fr mercredi 7 août 2002 10:56

En tant qu'ancien Coordinateur Assurance Qualité d'un Groupe International d'Eaux Minérales et cependant
complètement concurrent à cette marque d'eau, je me permettrai de signaler que je trouve ces propos
quelque peu réducteurs (sans mauvais jeu de mots). Je ne tiens pas à soulever la moindre polémique sur cette liste aussi ceux qui souhaitent en savoir davantage peuvent me contacter personnellement

Cordialement
Paul Meunier

 mercredi 14 août 2002 08:05

AMERICAN PHYSIOLOGICAL SOCIETY 12/08/02 DRINK AT LEAST EIGHT GLASSES OF WATER A DAY FOR BETTER HEALTH

http://www.the-aps.org/press/journal/release8-13-02.htm

 

 mardi 1 octobre 2002 08:04

BE Canada (Bimensuel - numero 209 - 30 septembre 2002) - Ambassade de France a Ottawa /Agence pour la Diffusion de l'Information Technologique (ADIT,
    http://www.adit.fr) - Abonnement gratuit par email : subscribe.be.canada@adit.fr

ENVIRONNEMENT
    La qualite de l'eau surveillee depuis l'espace

La surveillance par satellite des eaux interieures et cotieres est beaucoup plus complexe que celle de la qualite des eaux medio-oceaniques.
Cela tient au fait que la couleur de l'eau -qui constitue un indicateur de sa qualite- depend par l'absorption et la diffusion de la lumiere solaire et de la lumiere du ciel par la matiere organique et inorganique dans l'eau..
Dans les eaux medio-oceaniques, le seul colorant est le phytoplancton porteur de chlorophylle et ses produits de decomposition. Il est par consequent relativement aise pour les scientifiques d'utiliser des modeles de teledetection et des algorithmes pour deduire les concentrations de chlorophylle dans l'ocean en fonction des proprietes optiques de ce colorant unique.
Dans le cas des eaux interieures, la couleur de l'eau naturelle adjacente a une masse terrestre ou entouree par celle-ci est determinee non seulement par le phytoplancton et les produits de decomposition, mais aussi par les sediments en suspension et la matiere organique dissoute provenant de la terre ferme. Tres souvent, ces colorants peuvent masquer la contribution de la chlorophylle a la couleur de l'eau telle qu'elle est enregistree a altitude satellitaire.
Les chercheurs de l'Institut national de recherche sur les eaux (INRE) du ministere de l'Environnement (Environnement Canada) ont surmonte cette difficulte en mettant au point un modele qui simule le transfert de l'energie et la diffusion des radiations du soleil et du ciel a travers le point auquel l'air et l'eau se rejoignent et au-dessous de celui-ci. A partir de ces premisses, ils ont cree un modele bio-optique et elabore des techniques d'analyse qui permettent de determiner les concentrations de chlorophylle, de sediments en suspension et de matiere organique dissoute a partir d'une seule mesure a distance de la couleur de l'eau.
Les scientifiques comparent ce procede au melange de la peinture : en connaissant les couleurs individuelles des divers elements contenus dans l'eau - par exemple, vert pour la chlorophylle, rouge pour l'argile et brun pour la matiere organique dissoute - le modele est en mesure de determiner quelle quantite de chacun de ces elements doit etre presente pour produire la couleur mesuree par le satellite.
Grace a cette technologie, les chercheurs sont desormais capables d'evaluer la qualite des eaux interieures depuis l'espace. Les scientifiques de l'INRE ont applique avec succes ce modele aux eaux du lac Ontario, modele qui, par la suite, a constitue le fondement des etudes de la qualite de l'eau du lac Ladoga, en Russie
Maintenant, les chercheurs projettent de mettre a profit l'information satellitaire passee et actuelle, ainsi que les donnees obtenues de nouveaux satellites environnementaux munis de dispositifs de resolution spatiale et spectrale perfectionnes, pour deceler et surveiller les tendances environnementales dans les lacs et les rivieres partout au Canada.. Ils pourront alors creer des "mosaiques de la qualite de l'eau" de divers endroits, afin d'evaluer les repercussions des contraintes environnementales sur les ressources hydrauliques du pays.

Contacts :
- http://www.nwri.ca/nwri-f.html

Source : Paul Hempel,  bulletin Science et Environnement

Clarisse Lamoureux
Ottawa (st-cafr@ambafrance-ca.org)

 

  mercredi 16 octobre 2002 22:33

EUREKALERT 15/10/02 New studies advance scientific knowledge of drinking water disinfection byproducts
http://www.eurekalert.org/pub_releases/2002-10/opr-nsa101502.php

 

 

 samedi 26 octobre 2002 08:52

BBC 25/10/02 Sunshine used to clean water
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/2358577.stm

 mercredi 6 novembre 2002 23:08

NUEVOS CONTAMINANTES Nov 2002 ANALISIS DEL AGUA DEL GRIFO

http://www.ocu.org/map/show/18681/src/30401.htm



 vendredi 29 novembre 2002 08:05

UNESCO - COURANTS CONTRAIRES
Faut-il privatiser l'eau, en faire une «marchandise» comme une autre? Ceux qui le pensent y voient aussi un moyen d'éviter son gaspillage. D'autres s'y opposent, avançant que les pauvres n'auront plus accès à cette ressource vitale que l'Etat doit donc continuer de gérer. Le débat ne fait que commencer. John Briscoe, de la Banque mondiale, plaide en faveur d'un élargissement du rôle du marché quand l'universitaire français Bernard Barraqué en souligne les dangers. Les questions de Colin Green, qui se définit comme «hydrologue iconoclaste et économiste», les poussent dans leurs retranchements.
http://www.unesco.org/courier/1999_02/fr/dossier/txt21.htm

COURRIER DE L'UNESCO OCT 2002 Science : Les caprices de l'eau qui dort
D'énormes quantités d'eau se cachent sous nos pieds. Coincées dans les entrailles rocheuses de la Terre depuis des millions d'années, ces eaux souterraines se moquent des frontières.   
http://portal.unesco.org/ev.php?URL_ID=6614&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201




   samedi 8 février 2003 10:19

ONU HABITAT - La crise de l'eau dans les villes africaines - Une meilleure gestion de l'eau est cruciale pour l'urbanisation et le développement durable des villes d'Afrique
http://www.unhabitat.org/whd/2002/documents/whd_feature_4_fr.doc

  lundi 10 février 2003 08:41

AP 10/02/03 Authorities probe death of 5.5 million fish in Honduran rivers
http://www.foodmarketexchange.com/datacenter/news/dc_ns_index_detail.php3?newsid=15800&newslang=7&newsdate=2003-02-10

 samedi 15 février 2003 11:50

DREE PAYS-BAS Décembre 2002 La gestion de l'eau aux Pays-Bas
http://www.dree.org/pays-bas/ns/documents.asp?Rub=3&F=PDF&Num=47063

 

  mardi 25 février 2003 23:46

BAKERY ONLINE 24/02/03 Researchers Develop More Effective, Less Costly Method Of Disinfecting Water Used In Food Processing
http://www.bakeryonline.com/content/news/article.asp?docid=%7b768a16c6-a46d-4274-abb4-c3fc3865d867%7d

mercredi 12 mars 2003 23:05

GLOBAL TECH 12/03/03 Researchers design system to improve disinfection of water used in food processing

http://www.innovations-report.com/html/reports/process_engineering/report-16766.html

 

dimanche 6 avril 2003 09:23

Compte-rendu de la réunion du 28 juin 2001 : LA QUALITE DE L'EAU DANS L'INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE
http://www.critt-iaa-idf.fr/docs/hyg_0601.pdf

jeudi 15 mai 2003 07:56

AGRISALON 14/05/03 Selon Michel Camdessus, ancien Directeur du FMI, 1,1 milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau potable
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-10198.php

samedi 17 mai 2003 11:56

BUWAL 16/05/03 Utilisation judicieuse de l'eau de pluie
http://www.umwelt-schweiz.ch/buwal/shop/files/pdf/phpqBTadX.pdf?warenkorb=ccdb568f8c857a31d825e4250b5303a7

 

mercredi 1 octobre 2003 08:16

TAIPEI TIMES 01/10/03 EPA launches public test of water quality for global program
http://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/10/01/2003069954

 

mercredi 15 octobre 2003 07:34

INSTITUT NATIONAL DE SANTE PUBLIQUE DU QUEBEC - Qualité de l'eau de laboratoire
http://www.inspq.qc.ca/pdf/publications/143_QualiteEauLaboratoire.pdf

Christine DUMONT mardi 4 novembre 2003 13:11

Je vous sollicite de nouveau pour un problème lié à l'infiltration d'eaux pluviales.

Voici mon problème :

La centrale d'achats qui m'emploie à pour projet la construction d'un bâtiment phytosanitaire aux normes.
Nous serons situés en dehors des agglomératoins donc il n'y pas de possibilité de rejet dans le réseau pluvial. Nous envisageons donc d'infiltrer ces eaux dans une zone déterminée.
Un hydrogéologue agréé est intervenu sur notre dossier et nous demande, afin de garantir un rejet des eaux pluviales (qui au préalable passeront par un bassin de rétention) de mettre en place un dispositif d'infiltration sur charbon actif.

Pouvez vous m'indiquez quel dispositif doit-on mettre en place? Connaissez vous des sociétés capables de me renseigner ? Nous sommes situés dans le Pas de Calais (62) mais toute adresse me sera utile.

Merci d'avance pour toutes les informations que vous pourrez m'apporter. La synthèse suivra.

Anne-Constance Peta mardi 4 novembre 2003 14:43

Je suppose que vous chercher une solution pour rejeter vos eaux pluviales et étre en conformité avec la réglementation environnementale (l'arrété type relatif aux dépots de produits agropharmaceutiques).

Concernant les eaux de toitures, on considére qu'elles ne sont pas polluées ; de ce fait elles peuvent étre rejétées sans traitement dans le milieu naturel.
Par contre pour les eaux pluviales en provenance des voiries et parkings, généralement on les fait transiter par un débourbeur - déshuileur avant de les rejeter dans le milieu naturel.

Pour vous apporter éventuellement plus de renseignements, il me faudrait quelques éléments complémentaires.
Votre dépot sera t-il SEVESO ?
Ou prévoyez vous d'évacuer vos eaux vannes et sanitaires et les eaux de nettoyage (si cela est prévu) du dépot.
Vous a-t-on parlé des eaux incendie ?

 

Hubert van de Werve mardi 4 novembre 2003 16:34

A propos de reconditionnement des eaux de rinçage des pulvérisateurs, une technique de filtration est actuellement en application en Champagne.

Il s'agit de nanofiltration assistée par une neutralisation de la bouillie au CO2 & aux peroxydes.
Nous nous tenons à votre disposition pour tous renseignements à ce sujet; je dispose d'un document explicatif sous pdf.



lundi 15 mars 2004 09:02

ABC 15/03/04 Recycled water could risk health
http://www.abc.net.au/science/news/health/HealthRepublish_1063922.htm

mardi 30 mars 2004 09:32

LA SCIENCE 29/03/04 Histoire d'eau au Gabon
http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/2004/cap2903042.html

 

mardi 20 juillet 2004 09:27

LE JURA AGRICOLE 19/07/04 Etudes bassins versants pour mieux connaître les pratiques
http://www.juragricole.com/news/fullstory.php/aid/3995/Etudes_bassins_versants_pour_mieux_conna%EEtre_les_pratiques.html

jeudi 22 juillet 2004 09:43

Salud pública de méxico / vol.45, no.5, septiembre-octubre de 2003 Microbiological indicators of water quality in the Xochimilco canals, Mexico City
http://www.insp.mx/salud/45/eng/i455_a_3.pdf

Gabrielle BARMA jeudi 16 septembre 2004 11:49

Je suis confrontée à un problème d'eau de forage utilisée en trempage pour "rafraichir" des salades qui est contaminée par des coliformes, des entérocoques et plus généralement des aérobies.
Il faudrait que cette eau devienne potable afin de pouvoir l'utiliser.
Je pensais qu'un traitement au chlore serait suffisant mais on me parle de filtration et de rayons UV.
Savez vous comment faire pour rendre cette eau potable avec un coût minimum??

Hugues JOURDAN jeudi 16 septembre 2004 12:15

Il existe aussi des procédé à l'ozone qui ont pour avantage d'être inodore.
Le procédé de filtration avec un seuil de coupure assez bas et interessant et les UV peuvent détruire la flore résiduelle. Mais comme tu le ds, il faut pas non plus générer une usine à gaz.
Le tout est de savoir combien de M3 sont nécessaire pour effectuer les opérations.
Autre piste à creuser est la récupération d'eau utilisé en aval du procédé. Des économies substancielles de rejet peuvent être faites.

Gilles TIXIER jeudi 16 septembre 2004 12:55

Le cabinet d¹Ingénierie ³AgroContractants² à Cavaillon Contacter Christian COURTONNE
04 90 76 20 21 <agrocontractants@wanadoo.fr>

a l¹expérience de mise en place de systèmes de purification d¹eau (et accessoirement de dé-salinisation)
 à l¹usage d¹indutrie Agro-alimentaire dans des régions dépourvues d¹eau potable.
Un procédé passe en effet par un filtre à sable et une désinfection aux UV.

Christian Felter jeudi 16 septembre 2004 18:00
Pour ce qui est de la filtration et de rayons UV, vous devriez vous rapprocher de la SRC Méditerranée à Mèze, qui avec le classement de l'étang de Thau en B en juillet doit avoir à ce jour reçu  tous les prix et propositions de tous les fournisseurs.

Mais je ne vois pas pourquoi le chlore ne convient pas pour des salades.

Quelle est l'objection?

Stéphane Sage jeudi 16 septembre 2004 20:59

En réponse à Gabrielle BARMA qui souhaite désinfecter de l'eau de forage avant utilisation sur légumes (salades), je déconseillerais le chlore qui est de plus en plus mal accepté par le consommateur français dans son eau du robinet mais surtout étranger (par exemple, suisse ou scandinave - la Suisse a interdit tout usage de chlore dans le traitement des fruits et légumes, du fait des sous-produits carcinogènes qu'il engendre) et que son efficacité n'est prouvée (et encore pas sur tous les micro-organismes pathogènes, il s'en faut) qu'à haute dose.

Par contre les UV peuvent s'avérer efficaces, à condition que l'eau soit parfaitement limpide ( 0,5 NTU comme le veut la norme de potabilité OMS) et qu'elle n'ait pas l'occasion de stagner (aucune rémanence des UV). Une installation vous coûtera environ 5 000 ?, avec changement de la lampe 1 fois/an.

Le dioxyde de chlore quant à lui est déjà utilisé dans le "portage" de fruits dans des unités de conditionnement, avec à la clef une chute très significative du taux de pourrissement en chambre froide. Il a aussi démontré son efficacité sur des eaux chaudes sanitaires chargées en légionelles (réseaux hospitaliers), là où le chlore rendait les armes. Par contre, l'investissement de départ est beaucoup plus élevé qu'une pompe doseuse de Javel (de l'ordre de 20 K?).

Enfin vous pouvez filtrer votre eau avec une unité d'ultrafiltration qui retiendra à la fois les particules en suspension et une bonne partie des micro-organismes. Mais l'investissement est encore plus élevé et surtout les coûts de maintenance "salés" (il faut nettoyer/changer les membranes très régulièrement).

Tout ceci dans l'absolu: pour comparer utilement les différentes solutions envisageables, il vous faudra  connaître le débit à traiter, les autres utilisations possibles de votre eau, la pérennité estimée du forage, etc...Faites également et impérativement réaliser une analyse complète de votre eau par un laboratoire agréé (certifié COFRAC) afin de vérifier que tous critères de potabilité sont satisfaits (présence de métaux lourds, de nitrates, de pesticides, etc...).

Daniel LE STER vendredi 17 septembre 2004 15:29

Il faut quand même rappeler que le chlore est préconisé pour le lavage désinfection des végétaux cru prêts à l'emploi.  ( voir guide des bonnes pratiques ). la dose maxi autorisée est de 120ppm de Chlore actif ( suivi d'un rinçage efficace à l'eau potable ) .

Jean-Noël  JOFFIN samedi 18 septembre 2004 14:25

Le dioxyde chlore a été préconisé pour désinfecter l'eau tout en précisant que l'eau de Javel devait être exclue.
Quelle différence entre ces deux produits ? Il me semble que le dioxyde de chlore possède les mêmes inconvénients que le Chlore ou les ions Hypochlorites, avec la formation de dérivés chlorés de certaines molécules organiques.
On peut trouver quelques précisions sur le site :
   de http://www.lenntech.com/français/dioxyde-de-chlore.htm

Je n'ai pas trouvé les réactions chimiques du dioxyde de chlore sur l'eau.
Par contre, les effets biocides du dixoyde de chlore et de l'eau de Javel sont identiques.

Au niveau des UV, comment peut-on stériliser de l'eau avec des UV ? Il me semble qu'une couche très mince soit nécessaire... Délicate à obtenir pour des grandes quantités de produits.

Stéphane Sage dimanche 19 septembre 2004 11:52

Je réponds à Christiane et Jean-Noel Joffin qui ne voient pas de différence entre chlore et dioxyde de chlore. Il est vrai que beaucoup de mes interlocuteurs, notamment en milieu hospitalier (Présidents de CLIN, par exemple), assimilent souvent le dioxyde de chlore à un simple dérivé du chlore et que ce désinfectant peut d'ailleurs être produit à partir de chlore gazeux.

Cependant, il a été amplement démontré que:
- le dioxyde de chlore ne produit aucun dérivé carcinogène, comme les THM ou les acides halogénés du chlore, qui sont désormais dans le collimateur de l'OMS et de l'Union Européenne
- son champ d'action biocide  est beaucoup plus large que celui de son "cousin", à des doses très nettement inférieures (4 fois moins pour éradiquer legionella, par exemple).

Je conseille de lire le numéro spécial "Dioxyde de chlore pour la maîtrise de la qualité des eaux" de la Tribune de l'Eau  n° 54 (09-10-11-12/2001), qui constitue une véritable somme sur la question (dvda@cebedeau.be)

Quant aux UV, ils ont certes leurs limites,  mais fonctionnent couramment dans de nombreuses stations d'eau potable en France et à l'étranger, cela depuis plusieurs années et pour des débits pouvant atteindre 10-20 m3/h, même s'ils sont le plus souvent couplés à des pompes doseuses au chlore pour compléter leur action.

Gilles TIXIER dimanche 19 septembre 2004 18:11

Merci de nous préciser comment est généré le dioxyde de chore ?
directement à partir de bouteille ?résultat d¹une réaction chique ? ou autre?

Fabrice Girault lundi 20 septembre 2004 16:41

Nous savons tous que la javel est employee depuis bien longtemps pour diverses desinfections, mais un autre traitement des eaux contaminees est maintenant envisageable, et ce procede revolutionnaire ne restreint d'ailleurs pas ses vertus qu'a ce seul domaine. Pour renseignements, je vous conseille de lire les informations pertinentes sur le site suivant:
www.triosyn.com

 

lundi 27 septembre 2004 10:45

CIDRAP 23/09/04 WHO stresses prevention over remediation for drinking-water safety
http://www.cidrap.umn.edu/cidrap/content/fs/food-disease/news/sep2304water.html


Christine Deraita  Tue, 23 Nov 2004 05:34:01 -0400

Pardon d'avance aux spécialistes qui trouveront ma question bête ou mon ignorance insupportable (quand je vois les échanges peu amènes qui ont lieu parfois, j'hésite !) mais j'aimerai savoir : Je suis en Guadeloupe et à la suite des inondations et séismes il nous est déconseillé d'utiliser l'eau du robinet "pour un usage alimentaire" sans autre précision (mais comme de la terre est rentrée dans les canalisations, je suppose qu'on peut craindre toutes sortes de contaminations par la terre et aussi par les animaux morts ou vivants) . Ma question est la suivante, peut-on quand même l'utiliser pour se brosser les dents par exemple, pour la cuisson des légumes ? Peut-on simplement la faire bouillir pour pouvoir la boire et si oui combien de temps, ou la "javelliser" et à quelle dose ? Je précise que son apparence est tout à fait normale ainsi que
son odeur, la non potabilité n'est pas apparente. Merci à ceux qui voudront bien me répondre . 
J'en profite pour remercier les initiateurs et promoteurs de cette liste qui m'apporte beaucoup et où, en général, les échanges sont de qualités.


Rene LAVARDE  Thu, 25 Nov 2004 13:57:27 +0100

par définition, dans ce cas-là, on ne sait pas ce qui a pu passer dans l'eau... Par conséquent, l'eau du robinet doit être considérée comme présentant les mêmes risques que l'eau de la rivière : elle doit être bouillie avant usage comme eau de boisson, le lavage de dents étant de nature comparable. Pour la cuisson, si l'eau bout un certain temps, il ne devrait pas y avoir trop de risques. La chloration est normalement applicable, mais son utilisation est délicate au niveau domestique
(problèmes de dosage, de mélange et de stockage...). En cas de doute (risque de mélange de produits chimiques indésirables avec l'eau du réseau) s'adresser à la DDASS qui doit disposer d'informations plus précises.

JEUDI 06 JANVIER 2005

MINISTERE DE L'ECOLOGIE 05/01/05 Communiqué relatif à la coordination de l’aide en matière d’eau potable en Asie du sud 
http://www1.environnement.gouv.fr/article.php3?id_article=3380

 

MERCREDI 16 FEVRIER 2005

NEWS14 15/02/05 Water treatment plants to use UV light (Caroline du Sud)
http://www.news14charlotte.com/content/local_news/?ArID=86699&SecID=2


LUNDI 21 MARS 2005

LES DOSSIERS DU NET - L'eau, l'agriculture et l'environnement - analyse introductive à une réflexion sur la contribution de la recherche agronomique
http://www.dossiersdunet.com/article.php3?id_article=464


MARDI 22 MARS 2005

TRAME - TRAVAUX ET INNOVATIONS - Au sommaire:
JANV 99 L'EAU POTABLE NE COULE PAS QUE DE SOURCE; 

http://www.ifen.fr/publications/DE/de36.htm

 


boudyach Thu, 24 Mar 2005 13:46:41 -0000

j'ai lu quelque part qu'il existe une correlation entre la présence des coliformes fécaux dans l'eau et la présences des pathogènes (ex. Salmonelles). Est ce que quelqu'un dispose de documents ou sites sur ce sujet. Merci 

 

Paul Becquart Thu, 24 Mar 2005 16:41:02 +0100

Il n'y a aucune corrélation entre présence de coliformes fécaux dans l'eau et la présence ou l'absence de particules virales infectieuses (virus). L'eau peut-être exempte de bactéries et véhiculer des virus.

Antoine Stevens Thu, 24 Mar 2005 14:48:33 -0300

D'un autre coté, les coliformes fécaux sont un marqueur de contamination fécale. Donc leur présence dans l'eau met en évidence un risque de retrouver
des germes plus dangereux (salmonelles, vibrio, entérovirus), mais il n'y a pas de corrélation.

 

Paul Becquart Fri, 25 Mar 2005 15:57:45 +0100

En effet, lorsqu'il y a détection de bactéries d'origine fécale, la probabilité de trouver des virus est significative.
Mais on ne peut pas dire que les coliformes fécaux soient un marqueur de contamination fécale.
Puisque leur absence ne démontrent pas l'absence d'un contamination d'origine fécale.
Les eaux notamment utilisées pour l"épurage des coquillages peuvent être saturées de virus entériques sans pour autant contenir une seule bactérie d'origine fécale. Les stations d'épuration relarguent plus de 10% de virus fécaux.
Pour ma part il y a un abus de langage. Car on peut manger des huîtres bactériologiquement saines (et estampillées) alors qu'elles sont (parfois) gorgées de norovirus ou autres. Mais comme la législation ne peut se passer de la technologie... et cette dernière étant trop chère... On se passera encore longtemps des analyses virales. D'où l'abus de langage.


VENDREDI 06 MAI 2005

FNDAE - DEFINITION DES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE FONCTIONNEMENT ET DOMAINE
D&#8217;EMPLOI DES APPAREILS DE DESINFECTION (concerne la désinfection de l'eau)
http://www.eau.fndae.fr/documentation/PDF/fndae02_v2.pdf





audrey_fiquet Tue, 31 May 2005 13:01:13 -0000

Lors du démontage de notre stérilisateur tubulaire, nous avons remarqué un dépot aspect rouille au niveau de la partie la plus chaude...curieux pour cette nuance d'inox (316L)...Il s'agirait d'une accumulation progressive de particules de fer due à une eau potable trop chargée en fer...Certains d'entre vous ont-ils déjà eu à faire à ce phénomène...Historiquement, nous n'avons jamais eu aucun problème sur notre produit fini lié à ce dépot mais avez vous une idée du risque potentiel? (quantité de fer dans le produit fini, donc étiquetage)..Cela peut-il être dû à un défaut de l'inox?
Est-il justifié d'exiger le remplacement de toutes les canalisations en fer en amont de notre stérilisateur? Merci beaucoup d'avance pour les éléments de réponse que vous pourrez m'apporter.

 

Christina Tue, 31 May 2005 13:19:28 -0000

Si cela vient de l'eau, il existe des déferrisateurs. Dans un couvoir où j'ai travaillé , l'eau provenait d'un puits d'eau potable mais qui contenait trop de fer. Un déferrisateur a été installé avec un suivi par une entreprise extérieure. Je n'ai malheureusement pas de coordonnées concernant ce type de matériel.


audrey_fiquet Tue, 31 May 2005 14:28:58 -0000

Notre eau provient également d'un forage et et est déferrisée. Les quantités en sortie correspondent aux normes, mais c'est dans le circuit d'acheminement de cette eau vers l'atelier qu'une recontamination a lieu par des canalisations en ferraille...2 solutions: changer la tuyauterie ou investir dans un 2ème déferrisateur (si c'est techniquement possible !!!)...dans les 2 cas: ça coûte !
Je souhaiterai donc tout d'abord évaluer le risque pour mon produit car il s'agit de justifier ces éventuels achats...Merci beaucoup tout de même pour ces informations !

 

VENDREDI 03 JUIN 2005 

Lettre Eau n°24 - Septembre 2003 Au sommaire:
Eaux polluées et pharmacovigilance : urgence pour la médecine à soigner son environnement ! 
http://www.fne.asso.fr/PA/eau/publi/Article1_LE24.htm

 


MERCREDI 08 JUIN 2005

SWISSINFO 31/05/05 Fontaines à eau ou fontaines à bactéries? ABE a testé
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=5833318

 

MARDI 05 JUILLET 2005

INSPQ MAI/JUIN 2005 BULLETIN D'INFORMATION EN SANTE ENVIRONNEMENTALE
Au sommaire:
Evaluation des interventions de communication du risque associé à la présence de contaminants chimiques dans l'eau potable
http://www.inspq.qc.ca/pdf/bulletins/bise/BISE-16-3.pdf


JEUDI 21 JUILLET 2005


REDNOVA 19/07/05 New Shower Filter Helps Protect Against Waterborne Pathogens
http://www.rednova.com/news/health/179041/new_shower_filter_helps_protect_against_waterborne_pathogens/index.html




MERCREDI 03 AOUT 2005


OFFICE FEDERAL DE SANTE PUBLIQUE 25/07/05 Lettre d'information no 109 : Moyens et procédés autorisés pour la préparation et la désinfection de l'eau
potable

http://www.bag.admin.ch/themen/ernaehrung/00171/01708/01903/index.html?lang=fr

 


VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2005


SCIENCE DAILY 07/09/05 Contaminated Water Presents Bigger Crisis In The Gaza Strip
http://www.sciencedaily.com/releases/2005/09/050907100405.htm


MARDI 11 OCTOBRE 2005


AMI 10/10/05 Mauritanie-santé - Démarrage de l'opération de javellisation des eaux potables à Ryad, Toujoujine, Ksar et Sebkha
http://www.ami.mr/fr/Archives2005/octobre/10/15.htm




SAMEDI 21 JANVIER 2006

AGRIRESEAU 06/01/06 Étude sur la qualité de l'eau potable : Un portrait rassurant ... qui incite à la vigilance et à l'action
http://www.agrireseau.qc.ca/porc/navigation.asp?operateur=contenttype&noseq=58793



JEUDI 02 FEVRIER 2006


PARLEMENT EUROPEEN 18/11/05 QUESTION ÉCRITE E-4300/05 Objet: Aide de l'Union européenne à des projets liés à l'eau et aux systèmes sanitaires dans les pays les moins avancés
http://www.europarl.eu.int/omk/sipade3?PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2005-4300+0+DOC+XML+V0//FR&L=FR&LEVEL=2&NAV=S&LSTDOC=Y



MARDI 07 FEVRIER 2006

ENSP - Mémoires 2004 Au sommaire:

Périmètres de protection des captages d'eau potable.
http://www.bdsp.tm.fr/Base/Scripts/FT.bs?id=ensp/memoires/*%20et%20ies

 

Georges OP DE BEECK Wed, 22 Feb 2006 14:06:31 -0400

-----Message d'origine-----
De : hygiene@yahoogroupes.fr [mailto:hygiene@yahoogroupes.fr] De la part de
fr4206

Bonjour,
un peu hors sujet mais je pense que certain colistier pourrons me
renseigner...
Je voudrais savoir la température maximale d'alimentation pour l'eau
chaude en cuisine (restauration collective).
Existe t-il des textes ? Si oui Références ?

La réponse se trouve dans l'arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l'arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en eau chaude sanitaire des bâtiments d'habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public

charhe03 Thu, 02 Mar 2006 09:20:29 -0000

--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "" <p.b7@f...> a
écrit
>
> Quels sont vos besoins en eau pour préparer vos plats, exprimez les
si
> possibles en volume par heure, selon vos résusltats je connais la
solution à
> votre souci :-)


Je ne pense pas pouvoir exprimer ces besoins en volume par heure.
Ces besoins varient selon les recettes ; ils sont de x litres par charge, et l'eau n'est pas, et de loin, le composant principal.
Je suis stagiaire et je dois essayer de limiter la contamination des produits avant le traitement thermique, et je me demandais simplement si l'eau utilisée pouvait être une source de contamination.
J'en doute un peu car on utilise l'eau du réseau qui est normalement de bonne qualité, mais c'est une source à explorer !


ANONYME Thu, 2 Mar 2006 10:58:41 +0100

l'eau du réseau est hélas d'une qualité "toute" relative, notamment en raison de l'état du réseau d'approvisionnement.
Je vous confirme pour ma part que vous avez raison de vous inquiéter.

J'en veux pour preuve si vous faîtes un tour sur le site pourtant très institutionnel de:
http://www.lesagencesdeleau.fr/

rubriques: sa qualité, eau du robinet? vous découvrirez la rubrique des indésirables ( dont la liste produite n'est hélas pas du tout exhaustive), ils en arrivent quand même à donner des conseils à la population tels que:
" Pour limiter les risques.
. En début de journée, ne buvez pas la première eau tirée au robinet, elle a stagné toute la nuit dans les conduites de plomb.
. Attendez que l'eau soit plus fraîche, signe que les conduites sont purgées.
. Dans un immeuble, tirez l'eau de préférence aux heures de pointe, au moment de forte consommation, elle n'a pas le temps de stagner.
. N'utilisez pas d'eau chaude pour les besoins alimentaires. Une température élevée accentue la dissolution du plomb et donc le relargage au robinet.
. En maison individuelle, ou en immeuble collectif, laissez couler l'eau quelques minutes au robinet de la cuisine en rentrant de week-end ou de vacances. "

Sachant que, généralement à l'échelle institutionnelle on ne laisse transparaître que ce que l'on n'arrive plus à cacher, je vous laisse en tirer vos propres conclusions :-o


MERCREDI 15 MARS 2006


SWISSINFO 14/03/06 Zurich: des mini-crustacés surveillent la qualité de l'eau potable
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=6549234


JEUDI 16 MARS 2006


SWISSINFO 16/03/06 La gestion de l'eau, affaire des communautés
http://www.swissinfo.org/sfr/swissinfo.html?siteSect=105&sid=6552028


VENDREDI 17 MARS 2006


OMS 2005 HEALTH ASPECTS OF PLUMBING
http://whqlibdoc.who.int/publications/2006/9241563184_eng.pdf


JEUDI 23 MARS 2006


KUTV 22/03/06 More Bacteria In Fast Food Ice Than Toilet Water?
http://kutv.com/topstories/local_story_081150102.html

20MINUTES 23/03/06 Qualité des eaux : l'huître donne le ton
http://www.20minutes.fr/articles/2006/03/23/Bordeaux_Qualite_des_eaux_l_huitre_donne_le_ton.php



UNIVERSITE BRETAGNE SUD - Ressources et concepts en écologie et sciences de l'environnement
http://www.univ-ubs.fr/ecologie/aatheme.html

Au sommaire:
L'eau sur la Terre

VENDREDI 31 MARS 2006


USINFO 30/03/06 Le contenu d'un petit sachet sert à purifier l'eau - Une société américaine ’¼uvre en collaboration avec le CDC afin de sauver de nombreuses vies.
http://usinfo.state.gov/fr/Archive/2006/Mar/30-438091.html

INDUSTRIE TECHNOLOGIES 30/03/06 Un désinfectant sans chlore pour piscines
http://www.industrie-technologies.com/article/page_article.cfm?nrub=1073&idoc=69647&navartrech=1




VENDREDI 07 AVRIL 2006


AFSSA 06/04/06 Avis du 23 janvier 2006 relatif à l'interprétation des résultats d'analyses relatif à la présence de particules virales dans un réseau de distribution d'eau
http://www.afssa.fr/Object.asp?IdObj=34641&Pge=0&CCH=060407101222:26:4&cwSID=65A04BE13BC2405885A29DE5EEA0DE51&AID=0



JEUDI 13 AVRIL 2006

OCDE L'OBSERVATEUR AVRIL 2006 L’eau en agriculture : de l’abus à une utilisation durable
http://www.observateurocde.org/news/fullstory.php/aid/1498/L%92eau_en_agriculture_:_de_l%92abus_%E0_une_utilisation_durable.html




LUNDI 12 JUIN 2006


ACTUALITES NEWS 12/06/06 La pureté de l'eau -
http://www.actualites-news-environnement.com/20060612-purete-eau.php




MARDI 27 JUIN 2006


FSAI JUIN 2006 Safety of Potable Water in Ireland
http://www.fsai.ie/publications/other/water_report.pdf




JEUDI 05 JUILLET 2006


ACTU ENVIRONNEMENT 04/07/06 Techniques de l'Ingénieur présente sa nouvelle base documentaire entièrement consacrée aux Technologies de l'eau
http://www.actu-environnement.com/ae/pdt/techniques_de_l_ingenieur_presente_sa_nouvelle_base_documentaire_entierement_consacree_aux_technologies_de_l_eau_27.php4



JEUDI 10 AOUT 2006


REUTERS 09/08/06 Rapper Jay-Z helps UN focus on world water crisis

http://www.turkwater.com/haberler/Jay_Z.htm

(source Bernard - atelierduvieuxpuits)
>


MARDI 22 AOUT 2006


Site ECO INFIRMIER
http://www.eco-infirmier.fr/Textes.html

(source atelierduvieuxpuits)


VENDREDI 06 OCTOBRE 2006


ENVIRONMENTAL SCIENCE 05/10/06 Plastic pipes could contaminate water
http://pubs.acs.org/subscribe/journals/esthag-w/2006/oct/science/pp_pipes.html

BBC 04/10/06 Cancer risk of 'fake' holy water
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/england/london/5405348.stm




MARDI 12 DECEMBRE 2006


JOUE 08/12/06 QUESTIONS ÉCRITES

E-0271/05 Qualité des eaux de la source «El Güe» (Asturies &#8212; Espagne) destinées à la consommation humaine
http://www.europarl.europa.eu/omk/sipade3?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2005-0271+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=0&NAV=S

 

Isabelle Damour Vendredi 22. Décembre 2006  16:04

--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, eric bonnaire <eric.bonnaire@...>
a écrit :
>
> Bonsoir,
>
> Je souhaiterais savoir si je peux utiliser l'eau déminéralisée du
> commerce (pour fers à repasser, batteries...) pour laver des
> échantillons destinés à l'analyse (de métaux lourds en
l'occurrence).
> S'agit-il bien d'eau déminéralisée ou d'eau adoucie (par échange
d'ions
> par exemple), ou ? En un mot, est-ce que ça risque de fausser le
> résultat de mes analyses ?
> Sur le bidon que j'ai acheté, il est écrit :
> "Eau déminéralisée - évite la formation du tartre"
> Mais il est indiqué :
> "produit non-alimentaire - ne convient pas pour le remplissage des
> appareils respiratoires"
> avec le numéro du centre anti-poison en prime !
> La mention "biodégradable" figure également sur l'étiquette.
> Merci pour vos réponses
> Amicalement
> Eric Bonnaire

Je ne saurais que vous conseillez d'éviter ce type d'eau. Auparavant j'ai tenté de l'utiliser mais j'avais des biais sur mes analyses (qui ne sont neanmoins pas les memes que les votres).Je vous
recommande de vous fournir chez un fournisseur pour laboratoire.

Pour nos analyses HPLC et spectro U.V. c'est le seul moyen d'etre sûr de la qualite. Et encore nous la passons dans un purificateur d'eau pour obtenir une eau demineralisee a 18.2ohms.
Bien sûr je ne peux parler que de ma propre expérience, tout dépend de votre application et de votre matrice.



Bertrand CARLIER Vendredi 19. Janvier 2007  16:36

bonjour,

-> ENVIRONNEMENT
Mesure en ligne de la qualite de l'eau potable
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/40902.htm

Safewat, capteur de surveillance en ligne pour l'approvisionnement en eau potable, est le resultat d'une cooperation internationale efficace. Les instituts de recherche, Kiwa et Sandia (Etats-Unis), ont partage leur savoir avec les distributeurs d'eau potable, Vitens et Mekorot (Israel) et l'entreprise neerlandaise de capteurs, OptiSense.

 

atelierduvieuxpuits Samedi 20. Janvier 2007 14:24

Quelques pistes, en anglais, sur le produit évoqué par Bertrand :

Communiqué de presse :
http://www.kiwa.nl/uploadedfiles/Nieuws/Onderzoek/pressreleaseSafeWat.English.0509.pdf

Fiche Eureka :
http://www.eureka.be/inaction/AcShowProject.do;jsessionid=7f00000122b8ba058a0f66ae445fbaf8df2b4e222b16?id=3831



Piscine & Loisirs Samedi 20. Janvier 2007  15:12

Oui, sujet très intéressant, mais peu d'informations sur le net.

Trouvé les mêmes liens, plus la présentation par Optisense :
http://www.optisense.nl/drin_proj.html
puis, sur l'onglet Optical Biosensors / Technology :


VENDREDI 02 MARS 2007


PAKISTAN

APP 01/03/07 Faisal urges quality improvement for filtration plants
http://www.app.com.pk/en/index.php?option=com_content&task=view&id=4948&Itemid=2


MERCREDI 07 MARS 2007


CONFEDERATION SUISSE 06/03/07 La séparation des urines: une chance pour l'épuration des eaux
http://www.news.admin.ch/dokumentation/00002/00015/?lang=fr&msg-id=11308



MERCREDI 21 MARS 2007

Avantage HACCP | Guide du programme (121 pages)
http://www.omafra.gov.on.ca/french/food/inspection/haccp/haccp_pdf/haccp_manual.pdf

Au sommaire:
PROGRAMMES DE CONTRÔLE
P7 Salubrité de l'eau



VENDREDI 30 MARS 2007


BBC 29/03/07 Holy water hit in Irish bug scare
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/northern_ireland/6507933.stm

LUNDI 02 AVRIL 2007

PROCESSINGTALK 30/03/07 UV disinfection systems for wastewater re-use
http://www.processingtalk.com/news/ber/ber140.html

JEUDI 12 AVRIL 2007 

GREEN GUIDE MARS/AVR 2007 Clean Water, Clear Conscience
http://www.thegreenguide.com/doc/119/healthnews



JEUDI 10 MAI 2007


IRAN

Iranian Journal of Environmental Health, Science and Engineering -
2006 - STUDY OF WATER QUALITY OF SYLHET CITY AND ITS RESTAURANTS:
HEALTH ASSOCIATED RISK ASSESSMENT
http://www.bioline.org.br/titles?id=se&year=2006&vol=3&num=01&keys=V3N1

LUNDI 30 JUILLET 2007

JORDANIE

JORDAN NEWS 27/07/07 PM government faces water problem with full transparency
http://www.petra.gov.jo/nepras/2007/Jul/27/2000.htm


MARDI 21 AOUT 2007

EURONEWS - Futuris - Videos:
Kenya : comment désinfecter l'eau en utilisant le soleil?
http://www.euronews.net/create_html.php?lng=2&page=futuris


JEUDI 23 AOUT 2007

ANGOLA
IRIN 22/08/07 ANGOLA: L'eau potable, une ressource rare malgré la manne pétrolière
http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=73874


DIMANCHE 26 AOUT 2007

CANADA

MDDEP - 2006 - Procédure d'analyse des technologies de traitement en eau potable
http://www.mddep.gouv.qc.ca/eau/potable/guide/recommandations.htm
Liste des fiches émises, à venir ou à l'étude
Fiche 1 – COT > 7 mg/l : le Comité recommande de réaliser des essais (essais en laboratoire et essais pilotes) lorsque la teneur en matière organique est élevée.
Fiche 2 - Oxydants mixtes : le Comité propose de considérer ces oxydants au même titre que l'hypochlorite de sodium.
Fiche 3 – Crédits d'enlèvement et suivi d'intégrité pour les membranes spiralées (fiche à venir) : le Comité propose une procédure pour reconnaître les crédits d'enlèvement et le suivi d'intégrité pour les systèmes qui utilise des membranes spiralées de nanofiltration.
Fiche 4 – Hypochlorite de calcium en tablettes : le Comité propose de considérer cet oxydant au même titre que l'hypochlorite de sodium.

Autres documents des années précédentes:
http://www.mddep.gouv.qc.ca/publications/rech_chrono.asp?methode=chrono


VENDREDI 14 SEPTEMBRE 2007

A BON ENTENDEUR 31/05/05 Fontaines à eau ou fontaines à bactéries? ABE a testé
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=311201&sid=5833318&cKey=1117561141000


VENDREDI 05 OCTOBRE 2007

LA VOIE AGRICOLE 03/10/07 Traitement de l'eau: quelques options
http://www.lavoieagricole.ca/content/fullnews.cfm?newsid=5639


MARDI 09 OCTOBRE 2007

NIGER

RELIEFWEB 08/10/07 Niger : un partenariat pour assurer l'accès à l'eau potable et l'assainissement
http://www.reliefweb.int/rw/RWB.NSF/db900SID/RMOI-77T25Q?OpenDocument


SAMEDI 17 NOVEMBRE 2007

AFP 17/11/07 L'eau potable plus menacée qu'on ne pensait par la montée des océans
http://www.romandie.com/ats/news/071117020612.qnpgeuyp.asp



MERCREDI 21 NOVEMBRE 2007

CANOE 20/11/07 Environnement - L'eau potable deviendra de plus en plus rare
http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2007/11/20071120-170502.html




dtommasino Jeudi 6. Décembre 2007 11:14

Bonjour, raq dans une iaa de découpe de viande, nous rencontrons un problème de contamination récurent sur notre réseau d'eau utilisé pour le nettoyage (bactérie revivifiables 36°> norme, les autres paramètres sont conformes).

Es-ce que ce type de contamamination peut-il nuire à la qualité et l'efficacité de notre nettoyage ? (recontamination des surfaces lors du rinçange?)

Comment pouvons-nous assainir notre circuit d'eau interne ?



Chrystele LELU Jeudi 6. Décembre 2007 11:56

Bonjour, il serait intéressant de savoir quel type de traitement vous appliquez actuellement sur votre circuit d’eau ? Identifier les sources de contaminations possibles de votre réseau ? votre circuit d’eau est-il en bon état ?....il faut identifier l’origine du problème avant d’envisager le remède…sinon, biologiquement, il existe aujourd’hui des méthodes qui permettent de maîtriser les écosystèmes pathogènes, voire de les supprimer….

Mais avant de vous en dire davantage il faut que vous trouviez l’origine de cette contamination. Je pense d’ailleurs que sur le forum bon nombre d’experts pourront vous aiguiller davantage…



Mickaël BONI Jeudi 6. Décembre 2007 18:12

Voici quelques points qui peuvent vous aider ?

-connaissez-vous bien votre réseau (cartographie,nature des canalisations, historique des analyse,s travaux récents...)

-avez-vous mis en place une surveillance en dehors des traditionnelles analyses (examen régulier des installations, analyse des risques de dégradation de l'eau dans votre réseau, mise en place de tests simples permettant de vérifier la qualité de l'eau)si non vous savez quoi faire désormais....acheter un chloromètre et un turbidimètre suffit bien souvent à faire la surveillance (les bras morts étant caractérisés par l'absence de chlore libre, une turbidité augmentée et une flore totale.... Vous n'êtes aussi pas obligé de réaliser l'intégralité de l'analyse D1+D2 si vous avez identifié qu'un risque de dégradation, on peut alors faire plus souvent le critère litigieux et presque jamais les critères pour lesquelles on a prouvé qu'il n'y avait pas de risque (par exemple, à quoi cela sert de doser le plomb si l'on sait que notre réseau et l'eau du réseau public n'en contient pas...) éviter les analyses inutiles pour se concentrer sur le problème.

-il faut savoir si la pollution vient de chez vous ou de l'eau distribuée par le réseau public...voir les résultats de contrôle sanitaire...

- la flore totale est le reflet d'une "stagnation de l'eau" le plus souvent en bref de l'existence de bras morts ou peu utilisés (bout de réseau). Cela est souvent du à l'absence de chlore libre en fin de réseau...

- souvent aussi, c'est que certains bras morts de nature (réseau incendie, arrosage, ) appartiennent à votre réseau sans être disconnecté (ou clapets anti-retour)

- il faut vidanger une fois par an votre réseau et le désinfecter (chasse mécanique qui chasse les biofilms)avec des concentrations importantes (dépend du temps de contact, voir le guide du CSTB sur les réseaux)

- il faut entretenir les vannes, disconnecteurs, clapets anti-retour, ventouses....de façon régulière (une à plusierus fois par an)et aussi les canalisations (présence de fer, de couleur...vous ne semblez pas en avoir donc bras mort...)

- la flore totale peut venir aussi du prélèvement fait sans avoir purgé le bras mort alimentant le robinet (qui peut être plus ou moins important...)..ou encore des mousseurs de robinet mal entretenus...

- ce problème est souvent résolu par un bouclage du réseau pour augmenter les circulations ou par des purges périodiques, les biofilms sont souvent décrochés à l'occasion des exercices incendies ou d'autres événements qui consomment beaucoup d'eau..)

Voilà quelques pistes...



Bertrand CARLIER Jeudi 6. Décembre 2007 18:23

merci,

la question comme d'autres m'ont fait penser à une réponse indirecte accessible en ce lieu

http://www.environnement.ccip.fr/sante-securite/legionellose/traitement-resau-eau-chaude.htm



MERCREDI 02 JANVIER 2008

PTAA - Newsletter n° 13 de décembre 2007 (article d'actualité – Migration, disponibilité et état de l'eau dans les systèmes alimentaires)
http://www.ptaa.be/publications.htm


JEUDI 17 JANVIER 2008

REVUE EIN 16/01/08 Un nouveau procédé pour réhabiliter les plans d'eau
http://www.revue-ein.com/les-actualites/3412/Un-nouveau-proc%C3%A9d%C3%A9-pour-r%C3%A9habiliter-les-plans-d%E2%80%99eau


dtommasino Thursday, February 14, 2008 12:21 PM
Nous devons réaliser une désinfection de notre réseau d'eau, après contact auprès de plusieurs spécialistes, on nous à conseillé de faire plutôt une désinfection à l'eau chaude (circulation dans le réseau d'une eau dont la t°>70°)....Quels sont les barèmes de temps que nous devons respecter???
Merci d'avance pour vos conseils...


Hubert BAZIN Jeudi 14. Février 2008 19:53
s'il s'agit d'un "choc thermique" pour débarasser le réseau des légionelles, on recommande 5 minutes à 70°C. deux difficultés :
1) garantir que l'on aura 70°C à chaque robinet
2) ne blesser personne pendant la durée du traitement (ni l'agent qui ouvre et ferme les robinets, ni aucune autre personne qui aurait l'idée de se laver les mains à un autre étage...)
je prolonge mon post précédent
j'ai peut-être pris mes désirs pour la réalité. Il semble bien que la durée recommandée soit de 30 minutes. Mais s'il est souvent possible de faire circuler de l'eau à 70°C pendant 30 minutes dans un circuit fermé, il est en revanche beaucoup moins commode de faire couler de l'eau chaude pendant 30 minutes à chaque point d'usage (pensez à une structure genre hôpital ou maison de retraite avec seulement 40 chambres, un lavabo + une douche = 2 points d'usage par chambre = 40 heures pour tout faire... Sauf si on peut ouvrir plusieurs points en même temps tout en conservant la température de 70°C - les systèmes de chauffage ne le permettent pas toujours)
Je me souviens de discussions à ce sujet; et je me souviens également des 5 minutes.
Je n'ai pas le temps tout de suite, mais je ferai des recherches pour retrouver d'où je tiens cette valeur. Peut-être de traitements préventifs, à faire chaque semaine ?
En tout cas, sur http://www.techmicrobio.net/html/systematique/GramNegatif/Legionella/legionella.html, on donne la valeur de DRD ppour Legionella pneumophila :
2 minutes à 60 °C;
6 minutes à 57.5°C
et 20 minutes à 55°C.
"à l'oeil sur le graphique" (ce n'est pas rigoureux) à 70°C, la DRD est inférieure à la minute. 30 minutes représenteraient donc un abattement extrèmement sévère.


Hubert BAZIN Samedi 16. Février 2008 10:34
j'ai retrouvé au moins une référence à une durée de 4 minutes à 70°C, dans un document émanent du Conseil Supérieur d'Hygiène belge
RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES INFECTIONS A LEGIONELLA DANS LES ETABLISSEMENTS DE SOINS
http://www.md.ucl.ac.be/didac/hosp//cours/LEGIONELLA.pdf
pages 11 et 12 :
"Pour le traitement de choc thermique, on produira de l'eau chaude à une température suffisamment élevée de manière à obtenir, aux points les plus éloignés, de l'eau à une température d'au moins 60°C. La décontamination consiste alors à faire couler l'eau chaude à chaque point d'eau pendant un temps suffisamment long : 30 minutes si la température de l'eau au robinet est de 60°C, 4 minutes si l'on atteint 70°C. Lors des travaux préparatoires, un entretien des appareils de production d'eau chaude sera également prévu."
ce doc est daté de 2002.
Mais il n'en reste pas moins qu'en France, c'est 70°C, 30 minutes - donc en pratique quasiment impossible à réaliser dans des conditions normales d'exploitation.


MERCREDI 20 FEVRIER 2008

PARLEMENT EUROPEEN - Sélection de questions/réponses 2007 :

H-0134/07 Accès à une eau propre dans les pays en développement
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+QT+H-2007-0134+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR



DIMANCHE 02 MARS 2008

Sélection d'articles issus du Brazilian Journal of Microbiology (année 2006-2007)
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issues&pid=1517-8382&lng=en&nrm=iso

Brazilian Journal of Microbiology
Braz. J. Microbiol. vol.38 no.3 São Paulo July/Sept. 2007
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issuetoc&pid=1517-838220070003&lng=en&nrm=iso

Aeromonas spp. and microbial indicators in raw drinking water source



JEUDI 06 MARS 2008

TELEGRAPH 05/03/08 Whisky by-product cleans contaminated water
http://www.telegraph.co.uk/earth/main.jhtml?xml=/earth/2008/03/05/eawhisky105.xml



MERCREDI 12 MARS 2008

BE Turquie 7 > 2008/03/11 > Chimie : des hydrogels pour la décontamination des eaux polluées
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/053/53461.htm



MERCREDI 30 AVRIL 2008

TOOGEZER 29/04/08 Épurer les eaux sans déchets : les lombrics, c'est fantastique...
http://www.toogezer.com/content/view/541


Richard Letand Lundi 19. Mai 2008 17:25


Le traitement de l'eau par osmose inverse permet en théorie (et bien evidemment en fonction des caractéristiques de l'installation utilisée) de réduire considérablement voir totalement bon nombre de polluants indésirables de l'eau (réduction de plus de 90% en général). Parmis les molécules éliminées sont citées : les pesticides, les métaux lourds, les dioxines, les nitrates, les hydrocarbures...

Quels sont les molécules susceptibles de n'être pas ou peu éliminées par ce traitement?

La littérature fait état de "composés organiques de faible poids moléculaire" comme étant possiblement retrouvé dans les filtrats, quels sont ils?



Mickaël BONI Lundi 19. Mai 2008 17:50


effectivement bien penser que l'osmose inverse élimine en général 90 % d'une substance...

Je vous donne les substances pour lesquelles le taux d'abattement peut être plus faible :


- arsenic (de 50 à 100 %) dépend de la qualité d'eau (pH, potentiel redox)

- bore (15 à 20 %), problème de l'eau de mer qui nécessite un double passage

- mercure : 75 à 95%

- bromures et bromates : 60 % environ

- quelquefois les cyanures passent entièrement....(utilisation d'une résine nécessaire)


Tout ceci est général et dépend en fait de la qualité de membrane et aussi de la valeur du critère...l'abattement de 20 % pouvant alors suffire si la quantité initiale est faible...



Olivier RONDOUIN Lundi 19. Mai 2008 19:21


Pour alimenter le débat sur l’osmose inverse :


L’osmose inverse est effectivement une technique intéressante pour le traitement de l’eau.


Néanmoins, une petite précision vis-à-vis de l’efficacité de certains dispositifs d’OI.


Lors d’un récent diagnostic d’une installation, j’ai pu vérifier que face à une eau brute fortement chargée en nitrates le dispositif ne faisait pas de miracle vis-à-vis de ce polluant.


Les performances de certaines membranes d’OI peuvent être altérées par la qualité de l’eau à filtrer (chlore par exemple).


De plus, il n’est pas rare que l’eau osmosée se pollue en raison de réseaux de distribution ou de stockage mal conçus après l’osmoseur. Les règles de conception hygiénique doivent être appliquées.


J’invite donc tous les utilisateurs d’OI à valider leur installation.


Olivier RONDOUIN



jnjoffin Lundi 19. Mai 2008 19:23


Il y a certainement différentes techniques d'osmose inverse.

De très nombreuses installations de dessalement d'eau de mer utilisent ce procédé. Sont retenus évidemment les ions Na et Cl au moins en grande partie et donc les molécules de taille équivalente : on peut donc penser que des ions plus gros (comme les ions Br, Hg...) sont arrêtés et que la plupart des molécules organiques le sont aussi.

On utilise aussi l'osmose inverse pour la production d'eau potable : l'usine d'Auvers sur Oise le réalise, pour la région parisienne, depuis déjà quelques années. Je n'ai pas eu l'occasion malheureusement de la visiter pour connaître les procédés réellement utilisés.

Espérons qu'un spécialiste pourra nous éclairer sur le sujet.


SAMEDI 07 JUIN 2008

INFOS INDUSTRIELLES 06/06/08 Évaluer la contamination pour une eau plus sûre

http://www.infos-industrielles.com/dossiers/1544.asp


MARDI 17 JUIN 2008

OCDE 16/06/08 Dans de nombreuses régions agricoles de l'OCDE, les niveaux de
pollution dépassent les normes de qualité de l'eau potable
http://www.oecd.org/document/36/0,3343,fr_2649_34487_40846244_1_1_1_1,00.html


VENDREDI 20 JUIN 2008

LE NOUVELLISTE 19/06/08 Purifier l'eau en titillant ses molécules
http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/economie/purifier-l-eau-en-titillant-ses-molecules_15-91703
A Sierre, Planet Horizons Technologies allie la physique quantique à
l'épuration de l'eau. Elle vient de purifier le lac de La Moubra à
Crans-Montana.


VENDREDI 11 JUILLET 2008

LA DEPECHE 25/06/08 Portet-sur-Garonne. Avec EcoSystème Garonne, on peut
boire l'eau du canal
http://www.ladepeche.fr/article/2008/06/25/461267-Portet-sur-Garonne-Avec-EcoSysteme-Garonne-on-peut-boire-l-eau-du-canal.html


JEUDI 24 JUILLET 2008

ACTUALITES NEWS 18/07/08 OMS/UNICEF : L'accès à l'eau potable s'améliore
mais trop peu bénéficient de l'assainissement amélioré
http://www.actualites-news-environnement.com/17161-OMS-UNICEF-eau-potable-assainissement-ameliore.html



DIMANCHE 27 JUILLET 2008

ACHATS INDUSTRIELS 27/07/08 Utilisation de l'oxygène singulet pour la
désinfection de l'eau potable
http://www.achats-industriels.com/dossiers/578.asp



VENDREDI 22 AOUT 2008

AFP 18/08/08 Assainissement et hygiène au centre d'une conférence sur l'eau à Stockholm
http://auvergnesciences.com/spip.php?article8847


JEUDI 04 SEPTEMBRE 2008

ALLEMAGNE

2008/09/03 > BE Allemagne 401 > Des poissons contrôlent la qualité de l'eau
potable berlinoise
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/055/55819.htm


rosa lentiscus Mercredi 17. Septembre 2008 22:31


après des prélèvement d'échantillon à différents points de la station de traitement de l'eau nous avons constater que l'eau est contaminé au niveau de la conduite entre l'UV et production .Je vaut avoir la methode detaillée pour la desinfection de cette condiute sachant que la contamination est due essentiellement aux coliformes.



Albert AMGAR Jeudi 18. Septembre 2008 8:23


Plusieurs raisons peuvent expliquer cela : pêle-mêle, la conception hygiénique de la tuyauterie (bras morts), la distance entre le traitement et UV et le pont d'utilisation, des raccords douteux, des porosités, etc.



Olivier RONDOUIN Vendredi 19. Septembre 2008 9:31


Vous trouverez à travers les guides EHEDG des éléments de réponse à votre problématique de traitement d’eau (Doc 27 - Stockage et distribution sécurisés d’eau dans les usines alimentaires & Doc 28 - Traitement sûr et hygiénique de l'eau dans l'industrie alimentaire). Ces documents sont disponibles auprès de l’association EHEDG France (http://www.ehedg.fr/guides.php?id=59).


Pour information, nous organisons également les 8 et 9 octobre prochains une formation à la conception hygiénique des équipements

(http://www.exaris.fr/templates/Exaris/docs/bulletin_formation_exaris_2008-03_conception_hygienique.pdf).




wolfgang zabel 02/10/2008 20:48


je recherche les normes ou les textes normatifs relatifs à la production de vapeur d'eau dans les IAA sachant que les contacts peuvent être fortuits (dysfonctionnement) ou volontaires (poussée de reste du pdt ou en cours).

Lors d'un audit (client secteur pharma) on nous avait demandé d'être aux normes "zero ou A"

quelqu'un connaît il ces exigences



Albert AMGAR Jeudi 2. Octobre 2008 23:30


Il existe un avis de l'Afssa sur la vapeur entrant en contact avec les surfaces alimentaires avec une analyse des risques de certaiins produits chimiques.

Cordialement



eric ruellet Vendredi 3. Octobre 2008 6:42


Prenez en compte, dans votre analyse des risques, les résidus et réactions chimiques (dans le réseau), liés au traitement d’eau de votre chaudière


Vous devez solliciter le fournisseur de produits de traitement sur le sujet…



SAMEDI 08 NOVEMBRE 2008

(WO/2008/134654) NOUVEAU SUBSTRAT DE BIODÉPOLLUTION POUR LA RESTAURATION DES
MASSES D'EAU POLLUÉES PAR DES MINES ET PROCÉDÉS D'UTILISATION
http://www.wipo.int/pctdb/fr/fetch.jsp?LANG=ENG&DBSELECT=PCT&SERVER_TYPE=19-10&SORT=41249117-KEY&TYPE_FIELD=256&IDB=0&IDOC=1652523&C=10&ELEMENT_SET=B&RESULT=2&TOTAL=36&START=1&DISP=25&FORM=SEP-0/HITNUM,B-ENG,DP,MC,AN,PA,ABSUM-ENG&SEARCH_IA=US2008061808&QUERY=(salmonella)+AND+(DP%2f06.11.2008)+


JEUDI 27 NOVEMBRE 2008

INVS 26/11/08 Journées de veille sanitaire 26, 27 et 28 novembre 2008
Résumés des communications
http://www.invs.sante.fr/display/?doc=publications/2008/jvs_2008/index.html
Détection des mycobactéries non tuberculeuses dans l'eau


VENDREDI 06 FEVRIER 2009

EURACTIV 05/02/09 Le monde va vers une « banqueroute de l’eau
http://www.euractiv.com/fr/environnement/monde-banqueroute-eau/article-179205




etudiantveterinaire Mercredi 22. Avril 2009 12:24


Le traitement enzymatique pour les canalisations, est-il efficace? Merci de vos informations;


Par ailleurs, j'aurai une question concernant les boites de contact pour surfaces ( gélose VRBG). Si la date de péremption est dépassée, bien que la

gélose soit intacte, pensez-vous que les résultats de la lecture après incubation soient probants?




Pascal Rudeaux Jeudi 23. Avril 2009 0:19


Boite de petri vendue avec DLC. DLC dépassée donc poubelle.


Enzymes: il en existe de toutes sortes. si vous utilisez une enzyme proteolytique pour éliminer une couche lipidique . Bonne chance.


De même si vous utilisez une enzyme qui fonctionne en ambiance basique dans une ambiance neutre. Bonne chance.



Rq Carné Jeudi 23. Avril 2009 14:31


Utilisatrice d'enzymes pour les canalisations : ca marche bien. Il faut bien évidemment les utiliser aprés le nettoyage pour leur laisser le temps de

"grignoter" surtout que de toutes façons elles ont une action rémanente. Le résultat n'est donc pas instantané.

Par contre, pour le nettoyage des tables et autres, je n'ai pas été satisfaite, mais c'est certainement que l'enzyme proposée n'était pas adapter à mon substrat : donc pas d'action.




loujak2000 Jeudi 23. Avril 2009 18:26


Pour les lames de surfaces nous, on utilise des lames périmées depuis quelques mois elles marchent bien. Il faut juste faire attention à ce que la gélose n'ai pas fondue et qu'elle ne se décolle pas.




Chrystele LELU Vendredi 24. Avril 2009 9:18


En ce qui concerne le traitement enzymatique des canalisations, je vous confirme que c’est très efficace. Si vous le souhaitez je pourrai vous faire

parvenir des photos de résultats de traitement de canalisations notamment en industrie agro-alimentaire où les résultats sont bleuffants.... l’avantage

des enzymes c’est qu’elles ont une capacité à décrocher le biofilm installé dans les canalisations et les parois deviennent propres en quelques jours.


Assistante Qualité Mardi 28. Juillet 2009 16:18
Un de nos pâtissiers vient de me poser une question à laquelle j'ai répondu trop vaguement à mon goût !
Lors de la préparation d'une mousse, il doit mélanger de l'eau froide avec une masse prête à l'emploi puis faire chauffer le tout à 60 et quelques degrés.
Il voudrait savoir pourquoi il ne peut pas directement prendre l'eau du robinet à cette température et faire le mélange par la suite ce qui lui permettrait de gagner du temps.
Pourrais je avoir votre avis sur le sujet ?


moi161272 Mardi 28. Juillet 2009 16:55
Je pense que c'est lié au fait que l'eau chaude provenant du réseau peut être porteuse de plomb


GAULT Gilbert Mardi 28. Juillet 2009 17:35
Eau chaude supérieure à 25°C réputée non potable Art L1321-10 et suivant du CSP recodifié annexes au décret 2001-1220 du 20 décembre 2001
Augmentation dvp bactérien et du biofilm et solubilisation des métaux dont le Pb + potentialisateur de bactéries inactives aux températures réglementaires et potentiellement gazogènes
L'utilisation d'eau chaude rend la préparation impropre à la consommation humaine


julien.nattier Mardi 28. Juillet 2009 19:48
l'eau de réseau devant faire l'objet d'une surveillance au moins annuelle en restauration, je ne pense pas que celle-ci puisse présenter un risque de contamination (même au plomb)surtout si les résultats d'analyse sont favorables et d'autant plus si la température de l'eau utilisée dépasse 63°C.
Par-contre, l'incorporation d'une eau à cette température peut induire une cuisson ou coagulation partielle de la base provoquant l'apparition de grumeaux (domage pour une mousse). Ce qui a moins de chance de se produire en chauffant un mélange homogène en agitation.
Par-ailleur, le mélange d'une eau à 63°C avec une masse à 20°C environ (température ambiante) donne une température forcément inférieure qui peut être insuffisante pour ce procédé (voir mode d'emploi du fabricant).


Assistante Qualité Mercredi 29. Juillet 2009 9:16
Merci pour les réponses déjà obtenues. cela dit il ya contradiction entre les 3.
J'ai effectivement pensé à un problème technologique et au fait que le mélange des 2 ne soit plus à 63°c. Il semble donc qu'on soit d'accord sur le sujet.
Maintenant question potabilité (micro organisme et métaux lourd) est ce que d'autres colistiers pourrait trancher ?
si l'eau chaude décolle effectivement le biofilm des conduite et solubilise les métaux lourd, cela signifie donc qu'aprés avoir fait couler de l'eau chaude, il faudrait laisser couler l'eau froide quelques instants avant de s'en servir pour éliminer les "résidus" encore présent dans la conduite ?
Merci d'éclairer ma lanterne car j'aimerais pouvoir donner une réponse claire à cet ouvrier
PS : j'ai essayer de trouver l'article qui mentionne que l'eau chaude sanitaire n'est pas potable dans le CSP et dans le décret (cf mail de G GAULT) mais je ne suis pas arrivée à mes fins !


GAULT Gilbert Mercredi 29. Juillet 2009 14:31


P 20 392 DU DECRET 2001-1220 DANS L ANNEXE 1 2 VERSION PAPIER



Gilles TIXIER Mercredi 29. Juillet 2009 15:07


On trouve sur GalactéePro, le Décret n° 2001-1220 du 20 décembre 2001 relatif aux eaux destinées à la consommation humaine,

à l'exclusion des eaux minérales naturelles

(JORF du 22/12/2001)

modifié par :

*1* Décret 2003-461 du 21 mai 2003 (JORF du 27/05/2003)

*2* Décret 2003-462 du 21 mai 2003 (JORF du 27/05/2003)

http://galateepro.agriculture.gouv.fr/modules/sdwportal/search.php?op=affichage&idsearch=57457&idnotice=14581


mais en annexe I-2. : Références de qualité des eaux destinées à la

consommation humaine

je ne trouve pas d'indications relatives à la non-potabilité de l'eau chaude

d'un établissement, si ce n'est la valeur limite max de 25°C (à l¹exception

des eaux ayant subi un traitement thermique pour la production d¹eau

chaude).


Merci pour vos lumières


Cordialement

--

Gilles TIXIER




Etienne Pierron Mercredi 29. Juillet 2009 15:11


A propos de l'eau potable :


Il me semble que ce critère de 25°C est valable uniquement comme critère de qualité à la production et non comme une limite pour la potabilité.

Cette valeur est citée comme une référence de qualité pour les eaux destinées à la consommation humaine (annexe I -II-B de l' AM du 11 janvier 2007) et non pas comme une limite de qualité pour les eaux destinées à la consommation humaine (annexe 1 -I de l' AM du 11 janvier 2007)


L'annexe I - II - B de l'AM du 11 janvier 2007 précise également en note associée à ce critère :

"A l’exception des eaux ayant subi un traitement thermique pour la production d’eau chaude."


Autrement dit une température inférieure à 25°C n'est pas un critère de qualité pour de l'eau qui a été chauffée.

Que les industriels se rassurent donc : l'eau potable chauffée à plus de 25°C continue d'être de l'eau potable et peut donc donc être utilisée pour les usages industriels qui nécessitent de l'eau potable.


source :

Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la consommation humaine mentionnées aux articles R.

1321-2, R. 1321-3,

R. 1321-7 et R. 1321-38 du code de la santé publique

NOR : SANP0720201A

JO du 6 février 2007



O. Cerf Mercredi 29. Juillet 2009 15:15


> Maintenant question potabilité (micro organisme et métaux lourd) est ce

> que d'autres colistiers pourrait trancher ?

>


"Dura lex, sed lex" (la loi est dure, mais c'est la loi). En l'occurence,

cette loi est justifiée.


>

> si l'eau chaude décolle effectivement le biofilm des conduite et solubilise

> les métaux lourd, cela signifie donc qu'aprés avoir fait couler de l'eau

> chaude, il faudrait laisser couler l'eau froide quelques instants avant de

> s'en servir pour éliminer les "résidus" encore présent dans la conduite ?

>


C'est un fait que l'eau chaude décolle le biofilm des conduites et

solubilise les métaux lourd. Donc laisser couler l'eau froide quelques

secondes (en fonction de la longueur de la canalisation commune aux eaux

chaudes et froides) est vivement recommandé, en effet.



Rachida Nait Boujemaa Mercredi 29. Juillet 2009 15:36


ca depend de la composition de la masse prete a l'emploi, elle peut contenir des proteines par exemple et peuvent se coaguler a température chaude avant d'etre dessoutes faut voir les ingredient de cette masse ( je pense bien )



qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 16:06


Il me semble que le nettoyage en IAA se fait à l'eau chaude...elle serait non potable, ou "moins" potable que j'eau froide...Il serait donc judicieux de préconiser un rinçage final à l'eau froide ? D'autant plus que cela pourrait représenter des économies d'énergies...



julien.nattier Mercredi 29. Juillet 2009 18:29


L'analyse de la potabilité de l'eau de réseau est définie dans ce même decret 2001 1220 comme une analyse de type D1 comportant une partie microbio (pathogenes habituels, enteroB, revivifiables à 22 et 37°, etc.) et une partie physico-chimique (ne comprend pas l'analyse de plomb). Cette analyse ne semble pas être réservée à l'eau froide ou chaude.


Un résultat favorable à cette analyse fournie une couverture confortable au professionnel mais ne satisfera pas les personnes soucieuse de la sécurité des consommateurs et préfèreront se baser sur une analyse des risques personnalisée. celle-ci incluerait l'analyse de l'état du réseau avec remise aux normes si nécessaire (il me semble que le plomb n'est plus utilisé depuis de nombreuses années - il existe d'ailleur des tuyaux PVC haute température de bonne qualité pour ce type de réseau mais ils sont favorables à l'apparition des biofilms - et il me semble aussi que les tuyaux de cuivre tendraient à réduire la formation de biofilms. voir http://www.cuivre.org/media/pdf_2008/fichier_152.pdf

une étude réaliser pour luter contre la légionnelle dans les réseuax ECS )



Bertrand CARLIER Mercredi 29. Juillet 2009 20:59


il serait judicieux de savoir lire ce que les colistiers écrivent...




qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 23:18


"Eau chaude supérieure à 25°C réputée non potable Art L1321-10 et suivant du CSP recodifié annexes au décret 2001-1220 du 20 décembre 2001


Augmentation dvp bactérien et du biofilm et solubilisation des métaux dont le Pb + potentialisateur de bactéries inactives aux températures réglementaires et potentiellement gazogènes


L'utilisation d'eau chaude rend la préparation impropre à la consommation humaine



Ilane SIMON Mercredi 29. Juillet 2009 17:47


À mon avis il ne faut pas confondre lors de nos échanges réseau d'eau chaude et eau chaude (eau à température >25°C)

Je m'explique :

L'eau est effectivement la même initialement donc l'eau chaude a la même potabilité que l'eau froide

Mais le réseau d'eau chaude lui (tuyauterie) favorise l'impotabilité de l'eau pour les différentes raisons citées (favorisation du dév microbien, mise en solution des métaux...)

ilane



jnjoffin Mercredi 29. Juillet 2009 18:20


Il parait difficile de dire que le développement microbien sera favorisé par le chauffage de l'eau.

Une eau conservée à 60-65°C a toutes chances d'être quasiment stérile.

Les endospores bactériennes ont toutes chances de résister mais leur germination peu probable dans un contexte d'eau ne contenant pas de nutriments. De plus, les espèces sporulées ne cultivent pas à ces températures sauf cas particuliers (comme Geobacillus stearothermophilus)



H.HICHRI Mercredi 29. Juillet 2009 18:59


La potabilité d’une eau est liée à l’ensemble des caractéristiques organoleptiques, à l’équilibre des paramètres physico-chimiques, à la maîtrise du risque sanitaire du au développement microbien (bactériologique, virologique, parasitologique et fongique) par un traitement chimique (produit chloré) et /ou complémentaire physique (U.V).


Le chauffage de l’eau modifie les caractéristiques de cette eau (saveur, couleur, température), favorise le développement microbien par destruction

du stabilisant chimique « par exemple chloré », précipite certains composants chimiques (complexe carbonato-calcique et magnésien ...). Elle

est succeptible de véhiculer des corps étrangers dus à l’interaction entre l’eau chaude et le réseau porteur. Certains professionnels mettent des

protecteurs anticorrosion du réseau (filmogènes….) que l’on trouve dans l’eau chaude par dissolution.


Ce qui nous amène à différencier une eau potable pouvant être désaltérante et ingérable en toute sécurité pour le consommateur (humain ou animal) d’une eau « technique.


Seule l’eau potable peut servir comme matière première et/ou d’ingrédient dans le process d’une production agroalimentaire pour une consommation

humaine et/ou animale.


P.S : Il est de même d’une eau à la sortie d’un adoucisseur ! A la sortie d’un adoucisseur l’eau n’est plus potable. C’est une eau technique.




Hubert BAZIN Mercredi 29. Juillet 2009 23:31


"Mais si la potabilité de l'eau chaude est remise en cause...il serait bon de le savoir...non???"


Oui, parce que dans ce cas, moi, j'arrête le thé, le café, et la soupe (sauf le gaspacho) ! Et je verrai s'il faut que je remplace tout ceci par du Cognac...



qualiseb Mercredi 29. Juillet 2009 23:37


Personnellement je chauffe de l'eau froide pour mon thé...


Ne serait'ce pas une histoire de "longueur de rèseau" ?



JEUDI 06 AOUT 2009

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Comment économisez de l’eau selon des écologistes brésiliens ?,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=734


DIMANCHE 01 NOVEMBRE 2009

Nouveautés dans la rubrique Alimentation
http://www.biotechno.fr/spip.php?page=plan&tri=par_rubrique
[30-10-2009] Poste d’eau réglementaire



LUNDI 16 NOVEMBRE 2009

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/

- Un objet luxueux ? WaterAid vous propose la vidéo du World Toilet Day,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=3362



zabelwzabel Mercredi 18. Novembre 2009 21:17


depuis certains mois ns suivons la qualité microbio de l'eau osmosée.Il s'avère qu'elle est tjrs contaminée.(flore banale-colforme-srepto fécaux)

Le responsable de la chaufferie m'affirme que les catouches de filtration sont changees r"égulerement et que la conductivité sur l'eau osmosée qui est de l'ordre du µSiemens prouve que l'installation fonctionne correctement.

Pour ma part je pencherai vers de pbs de fuite ou autres chose.

Y a t il des personnes qui surveillent ces installations qui peuvent me conseiller sur ces types de contamination après une nanofiltration?


Dans la serie des "biarreries" ns trouvons des strepto fécaux dans l'eau décabonatée chlorée qui a des teneurs de chlore libre résiduelle de l'ordre d 0.5 mg/L.J'ai vérifié la qualité des milieux de culture-le systeme de filtration (stérilisation du frité)-le prelevement-la manière dont le chlore est dosé.Tout semble correct pourtant avec un tel niveau de chlore je ne devrais rien trouver sur les boîtes?



Albert Amgar Mercredi 18. Novembre 2009 22:17


La réponse est sans doute proche de celle d'un biofilm mixte (cela se chaque fois que des bizarreries se produisent) ou d'une contamination

croisée via des porosités ou des micro-fuites ou bien un problème de bras mort ?

La concentration en chlore ne fait rien à l'affaire lorsque vous avez affaire à un biofilm.

Si vous souhaitez que nous en discutions hors liste, n'hésitez pas à me contacter.




bahloul mariem Jeudi 19. Novembre 2009 8:59


pour le chlore libre je voudrais juste ajouter que ça ne témoigne que de l'état de l'eau au moment du prélèvement, ce n'est pas une mesure en continue! ensuite pour le biofilm, je pense que la réponse aurait était plus raisonnable si le controleur retrouve toujours le meme germe ou meme groupe de germe, un pseudomonas, un staphylocoque, qui est relargué de façon intermittente associé ou non à d'autres bactéries ou spores, donc dans ce cas je ne pense pas que c'est l'explication la plus probable!!

je pense que vous devriez faire un diagnostic rigoureux et minutieux de l'installation:

- points ave risque de stase: déformations, angles.....

-controles bactériologiques à différents endroits: avant entrée, avant filtre, après filtre......

-je pense que vous devriez consigner exactement les dates de changements des filtres, et voir s'il ya corrélation avec les contaminations

-commencer par voire la charge bactérienne de l'eau avant tout traitement, peut etre qu'elle est trop importante, dans ce cas les performances de la chloration et des filtres se voient dépassées.

bon courage je suis sure q'en suivant bien vous trouverez!!

dites vous etes le controleur?



Chantal CREUGNET Jeudi 19. Novembre 2009 23:32


Je confirme qu'il est toujours surprenant d'avoir une contamination microbiologique dans une eau filtrée (nanofiltration) ou dans une eau chlorée.

J'ai eu la même expérience sur une eau après microfiltration à 0,2 µ de contamination récurrente pas des coliformes. Au final, il s'est avéré que la contamination se produisait lors du changement des cartouches de filtration. Nous avons traité avec le fournisseur du filtre qui nous a conseillé d'augmenter la concentration de la solution désinfectante (mieux adaptée à son matériel) et d'instaurer une désinfection systématique après chaque ouverture des carters.

Nous avons également eu un problème avec des vannes de prélèvement sortie filtration,mal située (trop près du sol), sur lesquelles nous ne parvenions pas à faire des prélèvement sans les contaminer pas des coliformes. De plus, ces vannes n'étaient jamais ouvertes à part pour les prélèvements microbiologiques et représentaient un bras mort. Nous avons donc introduit l'ouverture systématique des vannes de prélèvement dans la procédure de désinfection et remplacé les vannes mal positionnées et depuis nos prélèvements sont plus fiables.

De même, nous utilisons une solution d'eau chlorée à 25 mg/l et nous nous sommes rendu compte contre toute attente que cette solution désinfectante n'était pas stérile. Après investigation, nous avons découvert que le pH de cette solution (pH=11) neutralisait les effets du chlore. Il existe des courbes sur l'activité du chlore en fonction du pH.

En espérant que ce retour d'expérience vous apporte quelques pistes.



Albert Amgar Vendredi 20. Novembre 2009 8:56


Bonnes observations d'une situation qui souligne que la conception hygiénique d'une ligne de fabrication d'eau osmosée est essentielle.

La désinfection ne peut pas tout ! Quant au chlore, souvent débattu sur la liste, son action est bien connue et reconnue à pH plutôt

acide. Voir à ce sujet les effets de l'eau éléctrolysée. A pH alcalin, c'est l'effet blanchissant qui est souvent recherché.



Olivier RONDOUIN Vendredi 20. Novembre 2009 9:11


Vous êtes confronté à un problème assez fréquent sur les installations d´osmose inverse.


Le fait que l´osmoseur fonctionne correctement (forte résistivité de l´eau) ne prouve pas grand chose en matière de maîtrise de la contamination microbienne.


Pour aller plus loin :


- Il faudrait diagnostiquer la conception hygiénique de l´installation (hydrophobicité des matériaux, maîtrise de la température, bras morts, bouclage ou non du circuit, vitesse, pompe, vanne...).


- Le type de membrane de l´osmoseur.


- Le type de filtres stérilisants et la conception des porte-cartouches.


- Les opérations de désinfection de l´installation.


- Voir comment sont gérés le rétentat et le perméat d´osmose (sur certains circuits mal conçues il est possible que le rétentat contamine le perméat !)


- Etc.


Pour la décarbonatation, il faudrait connaître la technique employée sachant qu´il est fréquent que ces dispositifs soient colonisés par des microorganismes organisés sous forme de biofilms.


Restant à votre service, cordialement,


Olivier RONDOUIN



MERCREDI 25 NOVEMBRE 2009

ANR 25/11/09 Signature d´un accord de collaboration entre l´ANR et le
Ministère de la Science et de la Technologie de Chine (MOST)
http://www.agence-nationale-recherche.fr/actualite/13?NodId=13&lngInfoId=330
L´ANR et le MOST ont signé un accord de collaboration le 13 novembre 2009,
pour financer des projets de R&D sur les écotechnologies dans le domaine de
l´eau.




palombier Lundi 22. Février 2010 21:26


> Bonjour,

>

> Connaissez vous une méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau.

> Une méthode dite de terrain sans avoir besoin d'investir dans un

> turbidimètre?

> Merci d'avance, ED


> méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau



méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau


méthode rapide pour mesurer la turbidité de l'eau.


Le disque de Secchi porte le nom du père Pietro Secchi (1818-1878), qui était conseiller scientifique du pape. Le disque de Secchi a servi pour la première fois en mer Méditerranée, en 1865.

http://www.ene.gov.on.ca/programs/4663f03_appendix1.pdf


Le disque de Secchi que vous avez reçu (nouveaux bénévoles) nÂ’est pas complet. Il faut y fixer un boulon à œil, un poids et une corde. La longueur de la corde dépend de la clarté du lac. En Ontario, la clarté des lacs varie de quelques mètres à plus de 10 mètres. Marquez la corde à intervalle dÂ’un demi-mètre et estimez les dixièmes de mètres entre ces intervalles. Il faut un poids sous le disque pour le faire couler. Fixez un boulon à œil (pour y attacher la corde) dans le trou central et insérez des rondelles à la base. Les magasins vendent des grandes rondelles carrées qui servent de poids.

Déterminer la profondeur du disque de Secchi

1. Plongez le disque dans lÂ’eau jusquÂ’Ã ce que vous le perdiez de vue.

2. Notez la profondeur au dixième de mètre près. 3. Remontez le disque jusqu’à ce que vous le

voyiez réapparaître. 4. Notez la profondeur. 5. La profondeur du disque de Secchi est le point

médian entre ces deux profondeurs. Notez la profondeur ainsi que les autres données requises sur la fiche dÂ’observation imperméable à lÂ’eau que vous avez reçue.

NOTA : Plongez le disque du côté ombragé du bateau. Retirez vos lunettes de soleil. Si possible, mesurez vers midi (entre 10 h et 14 h) dans les mêmes conditions atmosphériques et aquatiques. Notez la profondeur en dixième de mètre (p. ex. 4,2 m).


Le disque de Secchi porte le nom du père Pietro Secchi (1818-1878), qui était conseiller scientifique du pape. Le disque de Secchi a servi pour la première fois en mer Méditerranée, en 1865.

Le 22 févr. 10 à 23:54, elodie1915 a écrit :



Elodie DECQ Mardi 23. Février 2010 8:18


OK pour le disque de Secchi mais il s’agit dans mon cas de mesurer la turbidité de l’eau en sortie d’un système de filtration donc je ne peux pas utiliser le disque. J’ai entendu parler de cette méthode : Détermination de la turbidité - Méthode d'évaluation visuelle de la turbidité (méthode utilisant le tube d'évaluation de la transparence)(NF T 90-033 – Septembre 1985).


Le problème c’est que je n’arrive pas à avoir d’autres infos sur cette méthode, la connaissez vous ?


MARDI 16 MARS 2010

OMS 15/03/10 Davantage d'efforts sont nécessaires pour un accès universel à l'assainissement
Des progrès sont enregistrés en matière d'accès à l'eau potable
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2010/water_20100315/fr/index.html


MERCREDI 17 MARS 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Hygiène = eau et assainissement, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=7187


MARDI 23 MARS 2010

EUROPE 22/03/10 World Water Day 2010: A red letter day for Europe's waters
http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/10/336&format=HTML&aged=0&language=EN&guiLanguage=en


IRIN 23/03/10 MONDE: Déterminer quand l'eau est salubre
http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=88530


MERCREDI 24 MARS 2010

MEEDDM 19/03/10 Journée mondiale de l’eau : de l’eau propre pour un monde sain
http://www.developpement-durable.gouv.fr/Journee-mondiale-de-l-eau-de-l-eau.html


JEUDI 01 AVRIL 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/

- Boire de l’eau, un geste normal ?, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=7563



aimane5 Mardi 6. Avril 2010 8:21


Notre entreprise utilise un système de refroidissement de boisson par un échangeur à plaques avec de l'eau glycolée. Je souhaite savoir si celle-ci peut poser un problème de sécurité alimentaire dans la démarche de mettre en place l'ISO 22000.



Olivier RONDOUIN Mardi 6. Avril 2010 9:51


La réponse est oui.


Il peut exister un risque de fuite d’eau glycolée vers votre produit. Je vous invite à vous renseigner sur la qualité des additifs utilisés pour l’eau, les contrôles réalisés sur l’échangeur (vérification des plaques, mise en pression…). La conception de l’échangeur a également de l’importance mais sans description technique, difficile d’apporter une réponse.


Pour information, nous traitons de cette problématique dans nos futures formations du mois mai concernant notamment l’ingénierie hygiénique des équipements et utilités.


JEUDI 10 JUIN 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/

- Campagne de WaterAid : Don’t Let it Drop, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=9287




Scientific Journal of King Faisal University (Basic and Applied Sciences) Vol.11 No.1 1431 (2010) Bacterial Contamination of Drinking Water in Selected Dairy Farms in Sudan
http://sjournal.kfu.edu.sa/eng/pdffiles/b1116.pdf
Department of Clinical Studies, Faculty of Veterinary Medicine and Animal
Resources, King Faisal University
Al-Hassa, Saudi Arabia


LUNDI 14 JUIN 2010

Critical Reviews in Food Science and Nutrition, Volume 50, Issue 6 June 2010 , pages 533 - 566
EU Legislation on Food and Potable Water Safety which could be Potentially Applied on Board Ferries and Cruise Ships: A Comparison with US Legislation 
http://www.informaworld.com/smpp/content~content=a922844919&db=all
a Department of Agriculture Ichthyology and Aquatic Environment, School of Agricultural Sciences, University of Thessaly,
b SHIPSAN Project,
c Department of Hygiene and Epidemiology, Faculty of Medicine, University of Thessaly,
d Department of Public and Administrative Health, National School of Public Health, Athens, Greece
e Gastrointestinal, Emerging and Zoonotic Infections Department Health Protection Agency, Centre for Infections, London, United Kingdom


  ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE (fin de document)

FIN DU DOCUMENT

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