ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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Pages d’archives connexes Les allergies alimentaires (généralités) |
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La veille concernant les allergies alimentaires en France |
LIENS FONDAMENTAUX
JO ASSEMBLEE NATIONALE 27/07/04 Au sommaire:
QE N° 15154;
santé - allergies - huiles essentielles. directive européenne.
conséquences
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-15154QE.htm
Dossier très complet concernant les allergies à la
cantine. On y trouve notamment la circulaire n° 99-181 du
Ministère de l'Education
Nationale.
http://www.abcallergie.com/dossierdumoisnovembre1999.las
http://www.abcallergie.com/circulaireMinisterielle99181.pdf
Ce dossier commente notamment le protocole d'urgence en cas de
réaction allergique, disponible à l'adresse
suivante.
http://www.education.gouv.fr/bo/2000/hs1/texte.htm
Avis du 9 mars 1999 du Conseil supérieur d'hygiène
publique de France relatif à la réduction des risques
potentiellement sévères dus à l'allergie
alimentaire (section de l'alimentation et de la
nutrition)
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/1999/99-52/a0523515.htm
ABCALLERGIE 09-11 Dossier plan allergie dans les cantines
scolaires.
http://www.abcallergie.com/DOSSIERDUMOISOCTOBRE2000.las
Pour retrouver ces documents, il suffit de passer par le moteur de
recherche des questions du Sénat et taper les numéros
des questions dans la case correspondante du formulaire.
L'adresse
d'accès au moteur de recherche des questions du Sénat
est la suivante :
http://www.senat.fr/quesdom.html
JO
SENAT 29/05/03 Question écrite Nº 04693 du 12/12/2002 -
Allergies alimentaires : création d'un système
d'allergovigilance des aliments
JO SENAT 10/04/03 Question écrite
Nº 04714 du 12/12/2002 Lutte contre les allergies alimentaires :
développement de la recherche de produits de substitution aux
allergènes majeurs
JO SENAT 10/04/03 Question écrite
Nº 04715 du 12/12/2002 - Utilisation dans les produits
alimentaires d'allergènes majeurs réduite
JO ASSEMBLEE NATIONALE 13/10/03
Question N° 18271 Allergies
- lutte et
prévention
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-18271QE.htm
Préfecture des Yvelines - Plaquette informative concernant
l'accueil des élèves nécessitant un régime
particulier
http://www.yvelines.pref.gouv.fr/alim/restscol.htm
JO ASSEMBLEE NATIONALE 08/06/04 Au sommaire:
QE N° 35971;
enseignement secondaire - cantines scolaires - programme d'accueil
individualisé. enfants
allergiques
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-35971QE.htm
MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE - Encart n°34 du 18
septembre - Enfants et adolescents atteints de troubles de
santé
http://www.education.gouv.fr/bo/2003/34/MENE0300417C.htm
DGCCRF Décembre 2004 Nutrition et allergie : 2 axes
forts de l'activité réglementaire pour les denrées
alimentaires
http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/03_publications/actualitesccrf/nutrition_allergie181.htm?ru=03
AFSSA Décembre 2003 - A PROPOS. Au sommaire:
Allergies
alimentaires : obtenir l'aide de tous les acteurs pour construire un
réseau français
d'allergovigilance
http://www.afssa.fr/Ftp/Afssa/24406-24407.pdf
AFSSA 26/10/05 Allergies alimentaires : Enquête
auprès des industries agroalimentaires françaises
http://www.afssa.fr/Object.asp?IdObj=32265&Pge=0&CCH=051027102640:26:4&cwSID=27D5DA14F72B46DBA7861543346D8F1A&AID=0
JO ASSEMBLEE NATIONALE 07/11/06 Au sommaire:
QE
N° 97749; santé - allergies - lutte et prévention
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-97749QE.htm
GUIDE DES BONNES PRATIQUES POUR LA REDUCTION DES PRESENCES
FORTUITES D¹ALLERGENES MAJEURS
www.fleurymichon.fr/nllepages/images/GUIDE_ANIA.pdf
AFPRAL - LE GUIDE POUR L'ACCUEIL EN RESTAURATION
COLLECTIVE DES
ENFANTS PORTEURS D'ALLERGIES OU D'INTOLERANCES
ALIMENTAIRES
http://www.polyallergiques.asso.fr/restauration_collective/index.html
A PROPOS - AFSSA
Bulletin N°5
Décembre 2003. Au
sommaire:
http://www.afssa.fr/Documents/APR-mg-aPropos5.pdf
Allergies
alimentaires : obtenir l'aide de tous les acteurs pour construire
un
réseau français d'allergovigilance
JO
ASSEMBLEE NATIONALE 15/12/09 Au sommaire:
QE 55853 consommation -
information des consommateurs - présence
d'allergènes.
mentions
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-55853QE.htm
JO
ASSEMBLEE NATIONALE 19/01/10 Au sommaire:
QE 49036 santé -
allergies -
statistiques
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-49036QE.htm
ARCHIVES CHRONOLOGIQUES
jeudi 14 octobre 1999 11:32
Pour les parents d'enfants allergiques qui souhaitent recevoir
conseils, soutien, une association organise des permanences
téléphoniques. Association pour la prévention
des allergies, BP 12, Saint-Michel-sur-Orge 91240. Tél.
01.48.18.06.14. Pour diagnostiquer une allergie alimentaire, il faut
se rendre à la consultation d'allergologie du centre
hospitalier le plus proche. Pour les cas lourds, en Ile-de-France,
l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris (XIVe),
l'hôpital Ambroise-Paré (Boulogne)
sont réputés
pour leur compétence. Dans le reste de la France, le service
du Pr Monneret-Vautrin au centre hospitalier de Nancy et le service
du Pr Dutau à Toulouse sont particulièrement
spécialisés dans l'allergie alimentaire.
(source
: Le Parisien)
vendredi 1 septembre 2000 21:28
E-SANTE 01-09 LES ALLERGIES CROISÉES AUGMENTENT
http://www.e-sante.fr/francais/article_545_176.htm
dimanche 10 septembre 2000 11:39
L'allergie alimentaire touche plus de 3% des Français
(L'Est Républicain du 10/09)
NANCY.- La prévalence
de l'allergie alimentaire parmi les Français est de 3,2 %.
C'est une des études tout à fait originale qu'a pu
réaliser avec le Centre d'Investigation Clinique de Nancy,
l'équipe du Pr Moneret-Vautrin, au CHU de Nancy, en utilisant
pour la première fois en épidémiologie, le panel
(échantillons représentatifs) d'un institut de sondage,
la SOFRES, pour avoir une carte de France au 1 /2000 ème, à
partir des questionnaires envoyés à 30.000 Français.
Ces résultats sont sur le point de paraître dans la
première revue américaine d'allergologie aux USA.
mercredi 13 mars 2002 21:19
AGRISALON 13/03/02 L'ANIA et les Associations de personnes
allergiques travaillent ensemble pour améliorer l'étiquetage
des ingrédients
allergènes
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-4416.php
dimanche 17 mars 2002 21:50
ANIA 12/03/02 Allergie et alimentation : L'ANIA et les
Associations de personnes allergiques travaillent ensemble pour
améliorer l'étiquetage des ingrédients
allergènes
http://www.ania.net/
mercredi 2 octobre 2002 21:17
E-SANTE 02/10/02 INTERVIEW : Peut-on prévenir les accidents
par allergie alimentaire à l'école
?
http://www.e-sante.fr/francais/article.asp?idarticle=5929&idrubrique=5
mercredi 10 décembre 2003 08:12
INVS 09/12/03 Journées scientifiques de l'Institut de
veille sanitaire - 3 et 4 décembre 2003
Résumés
des présentations et
posters
http://www.invs.sante.fr./display/?doc=publications/2003/js_2003
Au
sommaire :
Surveillance et évaluation du risque en santé
environnementale
. Mise en place d'un réseau multicentrique
de médecins sentinelles pour la surveillance des allergies
polliniques : enquête de faisabilité
Corinne Vitale mercredi 7 janvier 2004 21:25
Diététicienne dans les Alpes Maritimes pour le
Conseil Général, j'ai une question concernant les PAI.
En principe la circulaire C.N°99-181 du 10/11/99 réglemente
l'accueil des enfants et adolescents atteints de troubles de santé
évoluant sur une longue période dans le 1er et le 2nd
degré. On m'a demandé dans une halte garderie
saisonnière s'il fallait en établir pour des enfants
allergiques (petites allergies).
Hors comme il s'agit d'un
établissement d'accueil ponctuel pensez-vous que cela soit
nécessaire? Dans la mesure où, je le réprécise,
ces allergies ne sont pas graves. Ou suffit-il d'un accord avec
les
parents?
Dr Philippe Auriol jeudi 8 janvier 2004 08:32
Le Projet d'accueil individualisé est une formalisation des
conduite à tenir et des responsabilités lors de
l'accueil d'un enfant allergique.
Il est donc établi SI et
seulement si, il y a une demande d'un des deux acteurs concernés
: parents ou institution.
La légèreté des
symptômes est très relative.
Les allergologues sont
invités à ne faire des PAI que pour les maladies a
potentiel grave mais en pratique, c'est souvent à la demande
du parent qui veut imposer sa volonté à l'école
ou à du directeur d'école qui veut garder une totale
maîtrise de son établissement que nous devons la
multiplication des PAI.
Dans votre cas, s'il n'y a pas de combat
d'autorité et que les risques sont faibles, il me semble qu'un
PAI est superflu.
Cordialement
--
Dr Philippe Auriol,
allergologue
http://www.allergique.org/
Actualités des allergies
Christian Felter jeudi 8 janvier 2004 11:05
Par Bulletin Officiel du 18 septembre 2003 l'Education
Nationale vient de préciser les obligations incombant aux
structures d'accueil et notamment celles relatives à
l'établissement d'un Projet d'Accueil
individualisé
pour ces enfants. (Actualisation du BO du 18 septembre 1999 relatif à
l'accueil des enfants et adolescents atteints de troubles de la santé
et instaurant le PAI). Il s'agit d'une précision
très
intéressante notamment en matière de
responsabilité des structures d'accueil.
Effectivement le
rôle du médecin est déterminant car in fine c'est
à bien à lui d'établir si l'enfant nécessite
ou non ce protocole d'accueil.
Gilles TIXIER jeudi 8 janvier 2004 21:46
Et dans les crèches, les écoles maternelle (et
primaires ?), ne dépendant pas de l¹Éducation
Nationale, mais des mairies,
le PAI est-il une obligation ou un
exemple dont les mairies peuvent s¹inspirer ?
Christian Felter vendredi 9 janvier 2004 06:29
Le PAI est devenu une obligation formelle stricte d'accueil des
enfants le nécessitant.
Il appartient au médecin
traitant et au médecin de l'EN de définir si l'enfant
nécessite ou non un PAI. (Voir le modèle de PAI
disponible dans votre académie).
Les médecins et les
structure d'accueil en général sont sous informés
de ces dispositions récentes en ce qui concerne la sécurité
de ces enfants : voir BO du 18/09/03 précité.
A
lire notamment tous les passages sur la gestion de la responsabilité
en ce qui concerne ces enfants, et la réassurance que
constitue le PAI, instauré rappelons le à la demande
des associations de parents concernés, (AFPRAL notamment).
Gilles TIXIER Saturday, June 04, 2005 10:42 PM
je
suis en possession d¹un document papier :
³Lignes
directrices pour la gestion du risque des allergènes majeurs²
mais sans en connaître l¹origine (ANIA ?)
et le lien
signalé dans la liste Hygiène ne renvoie plus à
ce document
et Google ne trouve rien à partir de ce
titre.
Ce document est-il toujours d¹actualité ou
remplacé par un autre ?
MarieAnge Durand Sun, 5 Jun 2005 20:52:54 +0200
Ce
document a été rédigé par l'ANIA et il
est toujours d'actualité. Il nous sert de référence
pour l'application des exigences réglementaires en
matière
d'étiquetage des allergènes.
La
seule modification depuis sa parution est, il me semble, la
directive 2005/26/CE qui fixe la liste des substances et
ingrédients alimentaires provisoirement exclus de
l'annexe III bis de la directive 2003/89/CE.
JEUDI 30 JUIN 2005
ADRIA JUIN 2005 Lettre
INFOS
http://www.adria.tm.fr/upload/lettreInfos/lettreInfos.pdf
Au sommaire:
Gestion du risque allergène : vers une
démarche cohérente
JEUDI 30 JUIN 2005
EUROFINS JANVIER 2005
EUROFINS NEWS. Au
sommaire:
http://www.eurofins.fr/actualites/Newsletter/2005/Eurofins_Food_Newsletter_Nr_17_Francais.pdf
Détection des allergènes : mise en oeuvre de plans de contrôle sur mesure
Christian Felter Sat, 25 Mar 2006 07:30:30 +0100
GBPH
et allergènes
Les pouvoirs publics français ont
actualisés leurs consignes de mise au point des Guides de
Bonne Pratique d'Hygiène. Ainsi il est précisé
que « des guides de bonnes pratiques d'hygiène et
d'application des principes HACCP devraient couvrir [...] tous les
dangers, [...] y compris les ingrédients allergisants [...] ».
Ce dernier point est intéressant à souligner, car il
montre qu'au-delà des notions d'étiquetage des
allergènes volontairement mis en oeuvre, il existe une
notion de danger associé aux « ingrédients
allergisants présents de manière fortuite » qu'il
conviendra d'intégrer dans ces futurs GBPH. Cela impactera les
filières industrielles, mais aussi et surtout la restauration
et la distribution au consommateur.
Source : J.O n° 138,
15/06/2005, ECOC0500094V
Vu sur Nutrinov
LUNDI
30 OCTOBRE 2006
NEO RESTAURATION 28/10/06 Allergies
: un guide pour l'accueil en restauration collective
http://www.neorestauration.com/article/page_article.cfm?nrub=1040&idoc=84130&navartrech=1
Gilles TIXIER Jeudi 10. Mai 2007 13:41
Une question que je vous soumets suite à la
lecture de la Cìrculaire n°2003-135 du
8-9-2003
http://www.education.gouv.fr/bo/2003/34/MENE0300417C.htm
relative
aux solutions pour accueillir des enfants allergiques en cantine.
Je cite :
³ - soit les services de restauration
fournissent des repas adaptés au régime particulier en
application des recommandations du médecin prescripteur ;
-
soit l¹enfant consomme, dans les lieux prévus pour la
restauration collective, le repas fourni par les parents, selon des
modalités définies dans le projet d¹accueil
individualisé respectant les règles d¹hygiène
et de sécurité.
Dans le cas où
l¹alimentation en restauration collective serait impossible,
sous ces deux formes, il convient d¹organiser au niveau local
les modalités permettant d¹apporter une aide aux familles
en s¹appuyant éventuellement sur les expériences
pilotes mettant en ¦uvre un régime spécifique.²
Ma
question :
Que comprenez-vous à ce texte ? qu¹est-ce
que ce ³régime spécifique² qui serait une
autre solution que le repas adapté, fourni par la cantine et
le panier repas des parents ?
Hugues JOURDAN Jeudi 10. Mai 2007 16:43
Ce texte est la base de toutes la restauration des élèves
de l'Education Nationale.
Le paragraphe dont tu parles est le cas
où on a des élèves avec des alllergies
spécifiques à certains produits.
Ces cas sont très
rares et très particuliers car souvent si le service de
restauration classique ne peut fournir pour des pbs de coût
prohibitif des produits exempt de certains allergènes ou des
régimes trop spécifiques , les parents qui connaissent
le régime spécifique de leur enfant arrive à
fournir la gamelle complête.
Mais généralement,
l'élève peut manger un certain nombre de plats de la
cantine, il suffit juste qu'il consomme le plat principal apporté
par sa famille dans le respect de l'hygiène et de la chaîne
du froids.
Si ces deux modalités sont impossible dans le
cas par exemple d'interne, il faut alors rechercher un organisme
fournisseur qui pourra apporter le repas adapté. On se
rapporchera de structure hospitalière par exemple.
SAMEDI
12 MAI 2007
M6 11/05/07 Marseille : allergie
mortelle
http://www.m6.fr/cms/display.jsp?id=p2_685895
TELENEWS 11/05/07 Septèmes-les-Vallons : un enfant meurt à
la cantine de
l'école
http://www.telenews.fr/modules.php?name=News&file=article&sid=1642
Le 12/05/07 20:10, « Amplitude » a
écrit :
>
> Bonjour,
>
> Le
12/05/07 11:01, « Bruno Peiffer »
>
a écrit :
>
> LIBERATION 11/05/07 Un enfant
allergique meurt après avoir déjeuné à la
> cantine
> http://www.liberati
on.fr/actualite/ societe/253273. FR.php
> -----------
>
Triste actualité.
> Il est possible d'accueillir un
enfant allergique à la cantine le cadre d'un Plan d'Accueil
Individualisé .
> Quatre solutions avec leurs avantages
et leurs limites, selon le type d'allergie :
> 1. un
panier-repas fourni par les parents, systématiquement pour
tous les repas
> 2. un panier-repas fourni par les
parents au cas par cas, au vu du menu annoncé par la cantine
>
3. Un repas de substitution fourni par la cantine, compte-tenu du
menu prévu
> 4. Un repas acheté tout-prêt,
garanti sans allergène
>
> Dans le cas de Septèmes
les Vallons, un PAI avait été mis en place, donc la
cantine devait fournir un repas de substitution s'il s'avérait
que le menu prévu contenait du fromage de chèvre.
>
Encore fallait-t-il savoir qu'un plat en contenait ?
>
>
Mes questions :
>
> - la présence d'allergène
majeur est indiquée sur l'étiquette des produits
pré-emballés, donc le lait mais la Directive 2003/89/CE
exige-t-elle de spécifier l'origine (vache, brebis, chèvre
) ?
>
> - Il y a des antigènes autres que les
majeurs qui peuvent être tout aussi dangereux pour certaines
personnes. Se peut-il qu'ils ne soient pas indiqués sur
l'étiquette, tout en respectant les exigences réglementaires
?
>
> - Enfin, concernant le repas de substitution
fournis par la cantine et sous sa responsabilité
> Quels
peuvent être les critères qui permettent à un
responsable de restauration de se risquer ou non à préparer
un repas de substitution ?
> je pense à :
> .
selon le type d'allergie (grave ou bénigne)
> . selon le
type d'allergène ? (facilement identifiable comme des fraises
;
> ou susceptible de se trouver dans tous les plats complexes,
comme le soja, le lait, ... dans des cordons bleus qui ont tant de
succès).
> Sur ce dernier point, je ne trouve pas
d'indication bien précise pour décider au mieux, dans
le document de l'AFPRAL :
> http://www.polyalle
rgiques.asso. fr/restauration_ collective/ afpdoc/All-
Rest_Scol-A5.pdf
> Merci pour vos lumières
je vous transmets la réponse faite sur la liste Formateurs
CAFA :
http://fr.groups.
yahoo.com/ group/formateurs -cafa/
par Monsieur Zoltan
ZALAY,
(AFPRAL - Association française pour la prévention
des allergies)
www.afpral.asso. fr
AFPRAL
Technocentre
-- Bureau 102 -- 26 quai Carnot
92212 SAINT CLOUD CEDEX
Tél
: 01 49 11 38 88 ; Permanence les mardis, jeudis et vendredis de 10h
à
14h ; Répondeur.
Fax : 01 57 67 27 02
N°
administratif : 01 49 11 38 87
http://www.afpral.
asso.fr
mailto:afpral@prevention-
allergies. asso.fr
Prévention des allergies ASBL
(Belgique): http://www.oasis-
allergies. org
------------ --------- ---------
_
Nous
déplorons cet accident.
Je veux dire d'abord ma condoléance
à toutes les personnes concernées, d'abord à la
famille bien sûr, et aussi à tous les acteurs de
la
collectivité.
A l'heure actuelle, je n'ai pas
d'autres informations que ce qui a été publié ;
essentiellement la dépêche de l'AFP.
A l'évidence,
ce n'est pas une source suffisante pour analyser l'accident et
établir l'arbre des causes.
Les réactions sur les
pages internet de la presse sont déjà nombreuses,
variées, en général choquées. Des gens
ayant apparemment quelque expérience signalent que des PAI
sont parfois signés sur le coin d'une table...
Il faut
souligner néanmoins que c'est le 1er cas de mortalité
depuis la mise en place des PAI (1993).
Il fallait être
vigilant ; il le faudra toujours.
L'allergie peut être
sévère, à risque léthal.
Ce n'est pas
toujours le cas ; les "Guidelines" que nous avons publiées,
après relecture et approbation de l'AFSSA rappelaient de ne
pas confondre
tout, et de distinguer les cas selon la sensiblité
et la sévérité de l'allergie.. . (c'est le rôle
de l'allergologue) et selon la faisabilité des régimes
(c'est la compétence du diététicien et de la
cuisine).
La léthalité pour allergie alimentaire est
estimée à 1 pour 800.000 personnes dans la population
générale. Cela signifierait qu'il y aurait en France
quelques 75 décès par an. C'est beaucoup, et surtout
ils ne sont pas identifiés.
C'est moins que les accidents
de trajets.
Pour ce qui est de cet accident, personne ne pourra en
donner un commentaire avisé, sans savoir, outre la cause
précise du décès :
- la sévérité
diagnostiquée des allergies de l'enfant et leur nature ;
asthmatique ou pas, allergies croisées...
- quel était
le protocole mis en place (adaptation du repas, élimination
des "suspects" par l'élève lui-même,
panier repas, etc...)
- enfin sous quelle forme "le fromage
de brebis" (s'il est confirmé qu'il s'agit d'une réaction
à ce fromage) a été consommé.
Enfin,
je viens un peu sur la contribution de M. Tixier :
a) c'est pas
"plan d'accueil individualisé ", mais "projet...."
.
b) vous déclinez "Quatre solutions avec leurs
avantages et leurs limites...".
On peut faire comme vous
proposez. Cependant ce n'est pas la présentation que nous
avions adoptée en concertation avec des experts et avec
l'AFSSA :
en premier lieu, il y avait la possibilité des
adaptations ponctuelles des plats ou des repas.
Vous inscrivez
comme "panier-repas fourni par les parents au cas par cas, au
vu du menu" ce qui est pour nous l'une des formes d'
"adaptation du repas" ; il nous semble qu'il n'est
pas indispensable de remplacer tout le repas... lorsque seulement le
dessert est en cause.
Toutefois, il est clair pour moi que ce
choix-là peut être fait (raisonner par repas entier),
pour des raisons de faisabilité et de contrôle. En
effet,
la typologie que nous avons proposé n'a pas
l'ambition de dire comment tout le monde doit faire, mais de donner
des indications : après c'est à chacun, localement ou
par métier, de se donner les moyens de la faisabilité.
c)
Pour Septèmes les vallons, vous supposez que le PAI prévoyait
la substitution du repas, au cas par cas, par la collectivité.
Moi
je n'ai pas cette information ; j'ai même lu le contraire, à
savoir que l'enfant devait lui-même distinguer les plats qui ne
lui auraient pas été
permis. Ce qui peut être
satisfaisant pour certaines allergies, mais peut-être pas à
cet âge, peut-être pas pour son allergie... et de
toutes
façons, c'est la cuisine qui doit savoir ce qui est
dans les plats.
Bon : il faudrait savoir, mais j'estime qu'on ne sait pas
aujourd'hui comment le PAI était fait.
d) Vous écrivez
: "s'il s'avérait que le menu prévu contenait du
fromage de chèvre."
J'ai lu dans la dépêche
"fromage de brebis".
e) ..."Encore fallait-t-il
savoir qu'un plat en contenait ?'" puis vous interrogez la
réglementation.
e.1) la Directive 2003/89/CE exige-t-elle
de spécifier l'origine (vache, brebis, chèvre ) ?
La
Directive ne distingue pas l'origne spécifique des laits. La
Directive ne dit rien là-dessus, ni d'ailleurs la Note
d'interprétation de la DGCCRF.
C'est d'abord le lait de
vache et ses dérivés qui sont visés.
Notez au
passage que la note de la DGCCRF, en suivant la note interprétative
de la Commission européenne, indique que la mention "fromage"
suffit, et qu'il n'y a pas lieu d'y ajouter la mention "lait"
car tout le monde est censé savoir qu'il y a du lait dans le
fromage.
Cependant l'avis de l'AESA (Agence Européenne de
Sécurité des Aliments) souligne que "Ces
considérations peuvent s¹appliquer au lait issu d'espèces
autres que la vache, notamment le buffles, la chèvre et la
brebis." (dans le résumé). Dans le texte intégral
de l'avis, on lit : "The same or closely homologous proteins and
their variants are present in milk of other ruminant species. Of
particular importance is the fact that the same caseins are present
with high sequence homologies varying between 80% to more than 90%.
As a consequence, a high IgE cross-reactivity between ewes¹,
goats¹ and cows¹ milk casein occurs in most patients with
cows¹ milk allergy...".
- Les
allergies croisées aux différents laits sont fréquentes
et bien signalées par les allergologues ; c'est assez
récemment qu'on signale des
cas d'allergies spécifiques
au lait de chèvre, sans allergie au lait de vache
:
http://www.allergie
net.com/lait- chevre-brebis- allergie. html
Aussi mon
interprétation personnelle est que la dénomination
"lait" dans la liste des substances à étiquetage
obligatoire devrait être entendue comme
s'appliquant à
tous les "laits" d'animaux. Mais je ne suis pas acteur de
la chaîne alimentaire : mon interprétation n'est qu'une
opinion, puisque la
chose n'est pas précisée.
D'ailleurs,
Etienne Bidat, indique dans l'article précité :
"L¹étiquetage des denrées alimentaires ne
fait pas obligatoirement figurer dans la liste
des ingrédients
le lait de chèvre et de brebis. Il faut se méfier de
toutes les préparations alimentaires, emballées ou non,
qui peuvent contenir du
lait de chèvre ou de brebis
masqué." Puis il donne des exemples de présences
masquées possibles (Pizza, etc...).
Etienne Bidat a
raison par précaution, mais à mon avis pas sur
l'interprétation de la réglementation
Il a raison
par précaution = si des industriels, considérant que le
"fromage de brebis" ne contient pas de lait, n'indiquent ni
la présence de fromage,
ni la présence de lait, on a
une présence masquée.
Cependant, depuis
l'application de la directive en nov.2005, tous les ingrédients
doivent figurer dans la liste des ingrédients, et pas
seulement
les allergènes notoires. Donc, dans une pizza
préemballée, la présence de fromage devrait de
toutes façons être mentionnée, même si ce
n'était pas un allergène majeur.
Sauf, je le sais,
s'il était introduit par sa présence dans un composé
référencé utilisé pour moins de 2% du
produit fini : mélanges d'épices,
confiture,
chocolat, matières grasses tartinables. .. (je
rigole...)
Sauf, je le sais, s'il était introduit comme
support d'arômes ou d'additifs Pour ma part, je ne vois pas de
situation, en denrée préemballé, où
le
fromage pourrait être présent mais
réglementairement non mentionné dans la liste des
ingrédients. Cependant, la nature spécifique du fromage
(pas plus que sa dénomination commerciale) ne sont pas
obligatoirement indiquées :
Annexe 1 de la Directive
2000L0013 modifiée : Peuvent être désignées
par la mention "Fromage(s)" :
"Toute espèce
de fromage lorsque le fromage ou le mélange de fromages
constitue un ingrédient d'une autre denrée alimentaire
et sous réserve que
la dénomination et la
présentation de cette denrée ne se réfèrent
pas à une espèce précise de fromage".
Sachant
toutes ces choses, en cas d'allergie spécifique au fromache de
chèvre ou de brebis, l'allergologue doit interdire la
consommation de tous
les fromages, sauf ceux qui seraient
formellement identifiés et connus comme inoffensifs.
Dans
le cadre de la collectivité, on appliquera, il me semble, la
consigne d'éviction sans sa clause d'ouverture : on exclutra
tous les fromages.
e.2) "- Il y a des antigènes
autres que les majeurs qui peuvent être tout aussi dangereux
pour certaines personnes. Se peut-il qu'ils ne soient pas
indiqués
sur l'étiquette, tout en respectant les exigences
réglementaires ?
Ben, oui....
Mais seulement dans le
cadre que je viens d'évoquer (composés réglementés
présents pour moins de 2%...) et que je ne vais pas ici
reprende en détails. Je vous renvoie à mon article dans
Oasis Allergies n° 67 € juin 2006: "L¹étiquetage
des aliments : conseils aux allergiques après la
Directive
2003/89/CE" - qui a été relu par M.
Humières (Commission Européenne). Donc : presque non,
sauf pour les épices... et sauf si, par exemple, on met de la
tomate dans du chocolat... et qu'on met ce chocolat, pour moins de 2%
(!), dans une denrée.
f) Votre question sur les
critères permettant de prendre la responsabilité de la
substitution :
f.1) selon le type d'allergie (grave ou
bénigne)
Là, c'est à l'allergologue de
dire les risques, en fonction de la sensibilité (dose
réactogène) et surtout en fonction de la sévérité
des réactions possibles pour cet enfant-là. En fonction
de la clinique, il devrait dire si l'on sait les risques auxquels cet
enfant est exposé. C'est
pas complique : il sait, ou il ne
sait pas.
f.2) selon le type d'allergène ? (facilement identifiable
comme des fraises ; ou susceptible de se trouver dans tous les plats
complexes
Là, c'est plutôt au responsable de la
restauration de savoir. Eventuellement même au diététicien.
Le
problème n'est pas seulement de savoir identifier (les
fraises), mais aussi de pouvoir éliminer = les choses les plus
courantes sont donc les plus
difficiles à éliminer :
blé, lait, oeuf.
Mais l'allergologue devrait aussi
communiquer son savoir là-dessus ; Il doit aussi préciser
les allergènes réellement en cause, parce que par
exemple
95% des allergiques au soja n'ont aucun problème
avec la lécithine de soja : celle-ci ne contient des protéines
que par contamination. Et si l'éviction
du soja n'est déjà
pas facile, celle de la lécithine est encore plus
difficile.
f.3) Sur ce dernier point, je ne trouve pas
d'indication bien précise pour décider au mieux, dans
le document de l'AFPRAL...
Effectivement.
D'abord le guide
"Allergies alimentaires et restauration scolaire" n'est pas
seulement un document de l'AFPRAL. Nous l'avons élaboré
ensemble avec l'association française des polyallergiques et
avec l'AFDIAG, dans le cadre du travail du Conseil National de
l'Alimentation sur la Restauration
Scolaire, en faisant appel à
des experts.
Il a été bien accueilli par le CNA
(Avis n° 47 sur la restauration scolaire), et à la demande
du CNA , notre document a été relu, amendé
et
validé par le comité d'experts spécialisé
Nutrition Humaine de l'AFSSA en juin 2006. Ayant vocation à
être largement diffusé.
Ce Guide n'est pas un GBH
(Guide de bonnes pratiques... ), il n'en a pas la précision.
Il
donne "simplement" des bases et un cadre pour que les
parties-prenantes de l'accueil des enfants allergiques se concertent
en parlant un langage
commun, et pour que chacun donne les
informations et prenne les responsabilité s qui lui sont
propres.
http://www.preventi
on-allergies. asso.fr/publicat ions/publication
s-de-lafpral/allergies-alimenta ires-et-restaura tion-scolaire-
un-guide- a-mettre- entre-tou
tes-les-m.html
Pour schématiser :
Ce n'est pas à la restauration
collective de déterminer si l'allergie d'un enfant est sévère
ou pas, c'est à l'allergologue ;
ce n'est pas à
l'allergologue de déterminer si la collectivité sait
faire un gâteau sans oeuf, ou pas : c'est au gestionnaire de la
restauration
collective.
Il reste à chacun d'évaluer
ses compétences face aux besoins : suis-je en mesure de faire
telle éviction, ou bien non ?
Je sais bien qu'il serait
utile d'avoir des indications détaillées ; mais les
donner dans ce guide aurait été une gageure, la
publication aurait été
retardée encore d'une
année, et la publication aurait donné lieu à de
multiples remises en cause par chacun...
C'est à vous,
cuisiners, responsables de restauration collective, à vos
diététiciens et à vos conseillers en sécurité
alimentaire de faire le
partage entre le facile, le difficile et
l'impossible.
A réception du guide, une éminente
allergologue m'a fait part de sa réaction critique, parce que
"la restauration collective pourrait estimer que
l'éviction
du blé est simple et facile"
A cela il m'a bien fallu
répondre que jamais, jamais aucune personne compétente
n'é envisagé que l'éviction du blé était
chose facile.
C'est donc un débat ouvert et évolutif
: pourquoi pas le construire ensemble?
respectueusement,
pardonnez-moi d'avoir été... long !
Zoltan
Zalay (AFPRAL - Association française pour la prévention
des allergies)
www.afpral.asso.
fr
Gilles TIXIER Lundi 21. Mai 2007 23:45
Je transfère la réponse de Gilbert SKORSKI de
PHYLOGENE
Gilles TIXIER
------ Message transféré
De :
"Gilbert Skorski" <phylogene@wanadoo.fr>
Date :
Mon, 21 May 2007 17:44:02 +0200
À : "'C T'"
<maped13000@yahoo.fr>
Cc :
"Gilles Tixier" <amplitude@wanadoo.fr>
Objet :
RE: Méthode analytique allergie alimentaire
Bonjour,
-
Les travaux de normalisation ont démarré au CEN et un
groupe de
travail ( WG 12) a été créé.
Aucun projet de norme n¹a encore abouti.
- Certaines
techniques ont été validées, par l¹AOAC
pour la
détection de l¹arachide. D¹autres
dossiers sont semble t il soumis à l¹AOAC,
sur la
noisette. Des études de validation ont été
publiées, par le JRC
notamment.
- Le groupe de travail
de l¹AFSSA n¹a pas encore rendu
ses
conclusions.
Salutations
Gilbert Skorski
MARDI
22 MAI 2007
20MINUTES 22/05/07 L'enfant allergique
devait trier ses
repas
http://www.20minutes.fr/article/158053/20070515-Marseille-L-enfant-allergique-devait-trier-ses-repas.php
MERCREDI 23 MAI 2007
ENVIRO2B
16/05/07 La triste actualité des allergies
alimentaires
http://www.enviro2b.com/info/2894/article.html;jsessionid=4D570D9C9E285F3CF62BFF9137EC88BE
qualiseb Mercredi 23. Mai 2007 22:20
20MINUTES 22/05/07 L'enfant allergique devait trier ses
repas
http://www.20minutes.fr/article/158053/20070515-Marseille-L-enfant-allergique-devait-trier-ses-repas.php
Toute une procédure qui rend l'enfant
responsable...MERCI...
Laurent
PS: je pense que chaque
adulte est parent de chaque enfant...
myriam.benissad Mercredi 23. Mai 2007 22:39
Effectivement cet article laisse comme un gout amer, enfin à
mon sens.
Je voudrais toutefois réagir à ton
propos Laurent lorsque tu écris « je pense que chaque
adulte est parent de chaque enfant »
A propos des
allergies alimentaires dans mon précédent poste, au
Parc Astérix (et cie) lorsque des personnes souffraient
d’allergies alimentaires je leur composais et souvent même
faisais leur repas.
En 13 ans j’ai vu un nombre
impressionnants d’enfants allergiques que les parents avaient
confié à un groupe (sortie scolaire, centre aéré
etc…) en informant oralement le responsable du groupe de son
allergie et ce au moment même du départ. Aussi lorsque
le groupe arrivait pour se restaurer j’en étais informée
au moment même par le responsable du groupe qui était
tout confus.
Bien souvent l’enfant savait à quoi
il était allergique donc il aurait pu évincer de
lui-même (bien sur que non, la problématique des
contaminations croisées et des allergènes planqués
est courante) mais lorsqu’il s’agissait d’un «
petit » les informations n’étaient pas toujours
claires.
Il n’y a jamais eu de problème de
réaction allergique après un repas MAIS je me suis
toujours questionnée sur la responsabilité des maillons
en cas de souci.
Certains parents ne font pas preuve de
beaucoup de responsabilités et de conscience vis-à-vis
de leurs propres enfants.
Je précise que ma dernière
phrase ne s’applique pas aux parents du petit garçon
cité dans l’article.
Comment peut on considéré Un allergène dans
l’étape d’analyse des dangers
Un danger
chimique ou biologique ? Est ce qu’on considère aussi
son croisement avec les autres produits comme un danger ?
Et
comment ça doit être traiter dans le tableau d’analyse
des dangers
La présence d¹un allergène de manière
volontaire ou fortuite, peut être considérée
comme un danger en soi
nécessitant de mesures de maîtrise
spécifiques.
Un ³GUIDE DES BONNES PRATIQUES POUR LA
REDUCTION DES PRESENCES FORTUITES D¹ALLERGENES MAJEURS² a
été crée par l¹ANIA, en 2005,
accessible,
par exemple via ce lien
:
www.fleurymichon.fr/nllepages/images/GUIDE_ANIA.pdf
VENDREDI 22 FEVRIER 2008
FRANCE
LA
DEPECHE 21/02/08 Lacapelle. Ces bestioles qui prolifèrent
nichent dans
les arbres qu'elles grignotent peu à
peu.
Cahors. Les chenilles dévorent les
pins
http://www.ladepeche.fr/article/2008/02/21/435999-Cahors-Les-chenilles-devorent-les-pins.html
JEUDI 27 MARS 2008
FRANCE
ECHO
NATURE 27/03/08 L'Ile-de-France confrontée à des
processions de
chenilles
agressives
http://www.echo-nature.com/inf/actu.cgi?id=3052
MARDI 01 AVRIL 2008
FRANCE
FREQUENCETERRE
28/03/08 SDe février à mai, attention à la
processionnaire du
pin.
-
http://www.frequenceterre.com/chroniques-environnement-280308-295-De-fevrier-a-mai-attention-a-la-processionnaire-du-pin.html
JEUDI 04 SEPTEMBRE 2008
FRANCE
20MINUTES
03/09/08 Les allergiques admis à la
cantine
http://www.20minutes.fr/article/248992/Marseille-Les-allergiques-admis-a-la-cantine.php
DIMANCHE
01 NOVEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Il était une fois un allergène en
France,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=2955
MERCREDI
03 FEVRIER 2010
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur mon
blog,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Un allergène pas
banal, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=5887
JEUDI 11 MARS 2010
Revue Française
d'Allergologie, In Press, Corrected Proof, Available online 10 March
2010
Anaphylaxie alimentaire induite par
l’effort : épidémiologie et aspects
cliniques
http://www.sciencedirect.com/science/science?_ob=GatewayURL&_method=citationSearch&_urlVersion=4&_origin=SDSRCHALERTHTML&_version=1&_uoikey=B9856-4YK2RNK-3&md5=4c5dc24c1fa521860e925ce995fe7bf5&graphAbs=y
a
Service d’allergologie, centre hospitalier Jean-Monnet, maison
de santé Saint-Jean, 31, rue Thiers, BP 590, 88021 Épinal
cedex, France
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