ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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LIENS FONDAMENTAUX
MAAP
- Plaquette :
Le transport des denrées alimentaires d’origine animale
MINISTERE DE L'AGRICULTURE 21/01/05 Note de service
DGAL/SDSSA/N2005-8024 du 20/01/2005 : Nouvelles procédures
dans le domaine des
transports.
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/IMG/pdf/dgaln20058024z.pdf
Explication détaillée de l'arrêté du
20/07/98 sur les
transports
http://www.fromag.com/transport/transpor.html
MINISTERE DE L'AGRICULTURE - Bulletin officiel n°10 du 16 juin
2003
- Note de service DGAL/SDSSA/N2003-8103 du 05 Juin
2003 : Nouvelles procédures dans le domaine des
transports.
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/IMG/pdf/dgaln20038103z.pdf
DDSV COTE D'OR - Modalités de délivrance des attestations de conformité technique des engins de transport sous température dirigée
http://www.cote-dor.pref.gouv.fr/onlinemedia/Upload/attestation_technique_transport_avril06.pdf
OIE - Revue scientifique et technique , Volume 25 (2),
Août 2006 Sécurité sanitaire des aliments issus
de la production animale et commerce mondial
(Résumés
en français en ligne)
http://www.oie.int/fr/publicat/RT/F_RT25_2.htm
Au sommaire:
Les dangers en phase de production pouvant
menacer la sécurité sanitaire des aliments d'origine
animale
Les conditions de transport et la qualité des
denrées alimentaires (1)
FDA - AVRIL 2010 -
Guidance for Industry: Sanitary Transportation of Food Contains
Nonbinding
Recommendations
http://www.fda.gov/Food/GuidanceComplianceRegulatoryInformation/GuidanceDocuments/FoodSafety/ucm208199.htm
ARCHIVES CHRONOLOGIQUES
Nelly DOCIN-JULIEN mercredi 23 juin 1999 18:54
Pourriez vous m'aider?
Je recherche le JO ou des infos sur la demande d'agrément ou la demande de dispense d'agrément pour le transport et la livraisons des fabrications alimentaires
merci
Nelly Docin-Julien
VETHYQUA.jphc dimanche 27 juin 1999 14:52
Fastoche,
Pour les demandes d'agrément:
1° se référer aux textes spécifiques à chaque secteur de production exemple: AM 22 janvier 93 modifié pour les Produits à base de viande, (charcuterie, traiteur)
2° + l'AM du 28 juin 94 qui précise le dossier à constituer QUELQUE soit le type d'agrément.
Pour la demande dispense:
La référence est l'AM du 9 septembre 94 qui définit les critères de dispense en viande et produits à base de viande, pour le lait et produits dérivés (fromages et glaces) l'AM du 6 février 96(?).
Le document de demande de dispense est disponible auprès des Organisations professionnelles, (fichier modèle joint).
Ta question prouve une fois de plus que nul n'est prophète en son pays... j'ai quand même diffusé 36 fois ces infos qd j'étais à la Conf. Call me. (message perso. à NDJ).
Bonjour chez vous.
JPhC.
Nelly DOCIN-JULIEN dimanche 27 juin 1999 22:34
Merci!
J'avais paumé les références et je ne retrouvais pas l'arrêté complet...
Mais je suis sûre que tes infos vont augmenter ta côte de popularité sur la liste!
Nelly
ahennebo mardi 28 novembre 2000 16:07
Suite à une remarque lors d'audit client, je dois rédiger
un CDC transport déterminant les conditions de transport
(Température, impératifs de livraison, état du
camion, etc...)
Quelqu'un aurait-il déjà mise en
place ce type de document?
ou y a t'il un arrêté
fixant les règles de transport ?
Merci pour votre
participation
A. HENNEBO
Responsable qualité
Laurence NICOLAS mardi 28 novembre 2000 23:44
L'arrêté fixant les règles de transport des
produits altérables est l'arrêté du 20/07/98 paru
au J.O du 06/08/98 (arrêté fixant les conditions
techniques et hygiéniques applicables au transport des
aliments).
Bon travail.
Laurence NICOLAS
Formatrice et
consultante qualité
HYGIENE FORMATION CONSEIL
Stephane Brisaz mardi 6 mars 2001 15:22
je cherche toujours des renseignements concernant les obligations
en matière de transport de repas : à qui incombe les
obligations en matière de plats
temoins
et de controle
de température...----- Original Message -----
From:
Stephane Brisaz <sdis84-sb@axit.fr>
Fabien MASINI mardi 6 mars 2001 15:26
En matière de plat témoins, ceux ci sont à
réaliser à la cuisine centrale et au niveau des
satellites. Les échantillons conservés sur les
satellite valide le transport.(il est possible de ne réaliser
des plats témoins que sur le dernier satellite de la
tournée).
Il convient aussi de faire des relevé de
température (départ & arrivée).
Flinois mardi 6 mars 2001 17:28
Nous avons réalisé une étude HACCP sur le
SDIS de l'herault.
Vous pouvez nous contacter soit au SDIS 34 ou
au 04.67.71.50.29.
Vétérinaire Cne FLINOIS.
Notre
site www.jlfconseil.com
a+
Corinne Buret lundi 25 juin 2001 12:38
J'aimerai savoir si l'arrêté
du 01 février 1974 concernant le transport des denrées
périssables reste applicable, ou si l'arrêté du
20 Juillet 1998 relatif aux conditions hygièniques de
transport des aliments l'annule et le remplace, notamment en ce qui
concerne les produits de la mer frais.
Merci
pour votre réponse
Corinne
Buret
QUELQUEJEU Nathalie (C2) lundi 25 juin 2001 11:20
Comme cela est précisé dans
l'article 59 de l'arrêté du 20/07/98 fixant les
conditions techniques et hygiéniques applicables au transport
des aliments, l'arrêté du 01/02/74 relatif au transport
des denrées périssables est abrogé.
D'ailleurs, les produits de la mer frais sont
prévus dans l'annexe de cet arrêté qui précise
les températures maximales des aliments réfrigérés
lors du transport.
Nathalie
QUELQUEJEU, Bureau Sécurité de la DGCCRF
mercredi 4 juillet 2001 21:04
Je transfère le détail des
numéros 33 à 36 de NOTRE ALIMENTATION en ligne à
l'adresse
suivante
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/mediatheque.librairie.periodiques.notrealimentation..francais_r128.html
NOTRE
ALIMENTATION N°33 - JANVIER 2001 :
Bilan des contrôles relatifs à l'accord ATP effectués en 1999
sylvie guillou vendredi 13 juillet 2001 18:54
je vous sollicite en cette période
estivale pour avoir une explication d'un texte
réglementaire.
l'article en
question est l'arrêté du 20 juillet 98 concernant le
transport des aliments. Je bute sur l'interprétation des
articles 25 et 26.
qu'entend- on
exactement par préparation de viandes? s'agit -il des
charcuteries, des carcasses en l'état...
l'article
26 dit que les dispositions du 25 ne s'appliquent dans telles
ou telles conditions mais seulement pour les surgelés et les
produits carnés ou peut-on élargir aux produits
laitiers ?
Pour conclure, en
reprenant le point précédant: des camions transportant
des produits laitiers ou traiteurs doivent-ils être équipés
d'enregistreurs?
Jean-Louis Chargelègue samedi 14 juillet 2001 19:32
Pour être simple : les enregistrements
de température doivent être réalisés lors
de tout transport sous température dirigée pour :
-
Les surgelés quelque soit la distance parcourue
-
Les préparations de viande et viandes hachées si la
durée du transport est supérieure à 1 heure SANS
rupture de charge (sans ouverture de porte, c'est l'équivalent
d'une distance au moins égale à 80 km).
Pour
ce qui concerne les produits laitiers, pas d'obligation
d'enregistrement s'ils sont transportés seuls.
polmiller mardi 16 octobre 2001 17:13
1°)Qu'existe-t-il comme législation en rapport avec
l'HACCP dans le domaine du transport?
2°)A ma
connaissance, l'étude HACCP devrait se faire uniquement pour
des transports de denrées alimentaires en contact direct avec
le camion. Quid des marchandises emballées (emballage
secondaires voires tertiaires)?
3°) La directive
européenne parle de "règles sanitaires
spécifiques" En existe-t-il dans le domaine du
transport?
4°) Un ouvrage reprenant la législation
du transport des denrées alimentaires existe-t-il? si oui,
comment me le procurer?
5°) Y a t'il une différence
entre GMP et HACCP?
Christian Giraud mardi 16 octobre 2001 17:30
l'arrete du 20/07/98 fixe les conditions d'hygiene relatives aux transports quant a la difference entre gmp et haccp, gmp est l'equivallent des BPF bonnes pratique de fabrication (modes operatoires, instructions) qui decrit plus une maitrise par le biais du savoir faire que haccp est une methode de maitrise basee sur les points critiques
mardi 11 décembre 2001 07:56
PLANETARK 11-12 Food transport from afar
wasteful, risky - UK
group
http://www.planetark.org/dailynewsstory.cfm/newsid/13658/story.htm
mercredi 6 novembre 2002 23:08
FICHES D'ACTIVITE PROFESSIONNELLE (concerne notamment le risque
professionnel)
:
http://www.bossons-fute.com/Fiches/fiche0043.html
Chauffeur
livreur de produits surgelés
souriauyann vendredi 21 février 2003 18:59
Est-il obligatoire d'archiver les températures de camions
frigorifiques pour une distribution locale de produits alimentaires
frais et surgelés?
Pendant qu'elle pèriode faut
il conserver ces informations?
Y a-t-il un texte réglementaire
expliquant les mesures à prendre?
Cedric Forum vendredi 21 février 2003 19:48
L'enregistrement des températures en collecte et
distribution locales n'est pas obligatoire. En outre, les
enregistreurs ne sont obligatoires que pour les produits surgelés,
les viandes hachées et les préparations à base
de viande.
Concernant, les enregistrements de température
dans des véhicules, la durée d'archivage mentionée
dans l'arrêté du 20 juillet 1998 (legifrance.com) est
d'une année.
Christian Felter mercredi 26 mars 2003 07:51
dans une note semble t il toujours actuelle de sept/98 du MA il
était fait mention de cette obligation pour repérer les
véhicule qui transporteraient des denrées alimentaires
périssables dans un véhicule non conforme ATP, (par
exemple de METRO, ou un autre fournisseur de ce type, à
un atelier de production restaurant ou autre).
Qu'en est il
précisément? Qui peut apporter une réponse à
cette question surtout?
En effet les anomales criantes et
habituelles dans le département des Alpes Maritimes vont se
reproduire avec l'été qui arrive, et les professionnels
qui s'équipent et se forment s'interrogent de plus en plus
fortement sur la réalité de la réglementation.
J'ai
vécu cette même situation il y a dix ans en ce qui
concerne les fleurs coupées. On se croirait à
l'extérieur de l'Union car encore à ce jour le
cadran du MIN de Nice est toujours sans continuité hydrique,
ni climatisation.
(Les quelques professionnels qui restent, de
guerre lasse se sont équipés individuellement).
jeudi 5 juin 2003 21:42
CEMAFROID - Dossier transport
Engins de transports sous
température dirigée
Le Cemafroid devient auditeur
technique dans le cadre d'une nouvelle approche "management de
la qualité"
Qualité totale du maillon transport
de la chaîne du
froid
http://www.cemafroid.fr/actualite/dossier-transport.pdf
samedi 9 août 2003 08:47
OFIVAL 08/08/03 Fiches Techniques :
Nouvelles fiches :
Fiche
technique N°620 : "Nettoyage-désinfection des camions
de transport frigorifique"
http://www.ofival.fr/dei/f620.htm
Florence GARDRAT jeudi 21 août 2003 18:42
Nous recevons le poisson dans des bacs en polystyrene sur lit de
glace. La température est conforme a la reglementation (entre
0 et 2 °C). L'arrete du 9 mai 1995 indique juste que les
equipements de transport doivent permettre si necessaire le maintien
en temperature de conservation.
Est-ce une obligation que le
camion du fournisseur soit refrigere ?
Laurent KRYSIAK vendredi 22 août 2003 09:21
Je vous confirme bien que l'obligation règlementaire concernant la température de transport du poisson porte sur celle du produit (entre 0 et + 2°C) et non sur celle du camion ; nous sommes tout à fait dans le cadre d'une obligation de résultats (et non dans un obligation de moyens), ce qui signifie que le camion peut être ou non réfrigéré
alain george mardi 21 octobre 2003 15:16
Je souhaiterai savoir si l'arrete du 20/07/98 est applicable pour les entreprises de transport et de d'entreposage de primeurs (fruits et légumes) sous température dirigée.
Lionel Grosjean mardi 21 octobre 2003 16:32
L'arrêté du 20/7/98 réglemente le transport
mais pas l'entreposage.
L'article 1 fixe le champ d'application,
en sont exclus les produits bruts issus de récoltes.
L'annexe
1 catégorie 1 fixe les produits exclus du champ d'application
du texte on y retrouve "produits de maraîchage, fruits et
légumes en l'état"
Si vos produits sont des
fruits et légumes en l'état il échappent donc à
cette réglementation et ne sont pas soumis à une
température dirigée.
samedi 15 novembre 2003 12:57
DG SANCO 14/11/03 RAPPORT D'UNE MISSION MENÉE PAR L'OFFICE
ALIMENTAIRE ET VÉTÉRINAIRE EN Allemagne DU 19 AU 23 MAI
2003 EN VUE D'ÉVALUER LES CONTRÔLES RELATIFS AU
BIEN-ÊTRE DES ANIMAUX EN COURS DE TRANSPORT ET AU MOMENT DE
LEUR
ABATTAGE.
http://europa.eu.int/comm/food/fs/inspections/vi/reports/germany/index_en.html
vendredi 30 janvier 2004 09:34
MINISTERE DE L'AGRICULTURE 30/01/04 Note de service
DGAL/SDSSA/N2004-8036 du 27/01/2004 : Liste des enregistreurs
de température de l'air approuvés pour le transport
d'aliments
surgelés.
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/IMG/pdf/dgaln20048036z.pdf
A. DUPONT lundi 20 septembre 2004 16:30
Je dois rédiger un CDC entreposage et transport de denrée
d'origine animale (Lait infantile en poudre et en liquide)qui se
conserve à
Température ambiante (
12-22°C)(Température, impératifs de livraison, état
du camion, etc...)
Quelqu'un aurait-il déjà mise
en place ce type de document?
Où puis je trouver des
informations pertinentes sur les clauses à bien spécifier?
En
ce qui concerne le transport j'ai trouvé sur les archives du
forum la référence à l'AM du 20/07/98. Est il
toujours d'actualité?
Je me demande quel est le cadre
règlementaire en ce qui concerne le stockage en dehors de l'AM
du 3 /04/96 fixant les condition
d'agrément des
établissements d'entreposage de denrées animales et
d'origines animales.
qalig mardi 21 septembre 2004 14:01
Vous pouvez prendre en référence, si ce
n'est déjà fait,le texte :
arrêté du
30/10/2001 modifiant l'arrêté du 20/07/98 fixant les
conditions techniques et hygiéniques applicables au transport
des
aliments.
Vous pouvez aussi y faire apparaître :
- les personnes à contacter et leurs coordonnées/secteur
en cas de problème,
- la liste des produits
avec les précautions à apporter si besoin
- les horaires des prises en charge (si ils sont définis)
- les condions de prise en charge
- les conditions de
reprise des produits après stockage
-
....
Une parenthèse sécurité : vous
serez certainement amené à établir, également,
un protocole de sécurité de
chargement/déchargement.
En espérant avoir
apporté un peu d'eau à vote moulin,
Daniel SEVRIN 29/10/2004 9h37
On passe notre
temps, dans les cuisines collectives à traquer toute source de
contamination (croisée ou pas), a réfléchir aux
flux d'air (filtrés, rafraîchis), a vérifier tous
les circuits (y compris celui du gobelet vide bu en cuisson !)
....
Dur métier que celui de la restauration
collective !
Ce matin en partant travailler, je suis
passé devant une boucherie
Stationné
devant, le camion de livraisons des carcasses, toutes portes
ouvertes, une carcasse nue suspendue au dessus de la chaussée,
en pleine marinade de gaz d'échappement ....
On
vit une drôle d'époque non ?
Plus
sérieusement, cette pratique est-elle conforme ?
Eric KALINOWSKI 29/10/2004 12h14
Vous allez
quand même pas me faire croire que la Restauration collective a
le monopôle du savoir et des connaissances en Hygiène
Les 1er GBPH qui ont été validés étaient
du secteur artisanal (1998 pour la Boucherie par exemple) grâce
aux Organisations Professionnelles en collaboration avec des
Entreprises de la Boucherie eux-mêmes volontaires et les
Administrations
Du travail reste certes à faire
partout en aval (Traditionnel et aussi GMS) mais également en
amont pour certains abattoirs (et chauffeurs d'entreprises) agréés
CEE cependant
YVES 29/10/2004 17h10
je voudrais tout de meme
dire, sans vouloir me faire l'avocat du diable, qu'un restaurant
collectif concerne quelques centaines voire milliers de clients par
jours, ce qui exige une vigilence accrue par rapport a une boucherie
de quartier qui sert quelques dizaines ceci ne minimise en rien dans
mon esprit les obligations volontaires ou coercitives de chaque
etablissement
jppieroni 29/10/2004 10h11
N'oublions pas de
noter aussi l'état des blouses utilisées par les
chauffeurs et la présence de "choses" dans le camion
(à température) peu compatibles avec l'hygiène
des viandes.. Le camion obligé de se garer en double file et
la carcasse touchant allègrement les pare chocs des voitures
stationnées devant la boucherie
Et le boucher, en
tenue, qui attend sur le trottoir avec sa cigarette (va t il se laver
les mains) pour pouvoir remplir de suite son registre de traçabilité
("je comprend pas pourquoi on me demande de faire ça: ça
fait 20 ans que je travaille de la même manière et j'ai
jamais empoisonné personne...").
Et les
clients qui vont vous dire que là, au moins, la viande est
"naturelle": c'est pas comme ces barquettes dans les
supermarchés..
J'éxagère (un peu)
mais c'est vrai, on vit une drole d'époque.. Devant certaines
boucheries..
Heureusement que la majorité a
compris l'importance de leur rôle dans la sécurité
alimentaire
iufm_charcuterie Tue, 02 Nov 2004 12:20:45 -0000
Je
comprends que vous ayez été choqué par cette
pratique
Mais d'une part avez vous vraiment identifié
les dangers réels de cette partique La qualité de l'air
dans la rue doit être la même que celle d'un quai
de déchargement et quand vous vous y promenez vous respirez
bien cet air sans pour autant développer de toxi-infection
alimentaire
Et d'autre part, je ne vois pas très
bien comment installer des quais de déchargement dans toutes
les boucheries, charcuteries,
poissonneries, etc..
D Sevrin Novorest Tue, 2 Nov 2004 13:30:55
+0100
Certes, mais les livraisons de denrées
nues sont assez rares en restauration collective ....
Je faisais part de mon étonnement concernant une certaine
différence entre 2 pratiques constatées :
-
les exigences parfois exagérées en en restauration
collective
- ce que j'ai pu voir dans ma rue ...
hugues jourdan : Tue, 2 Nov 2004 14:33:26 +0100
Parce
que la plupart du temps on est en SV en PAD (Prét à
Découper) ou en PAC (Pret à cuire) pour réduire
les pertes et gagner du temps La carcasse est en partie protégée
par la peau qui l'entoure qui sera retirée au parage
Toutes
les enseignes travaillent de la sorte de façon à
réduire le temps et économiser un poste de
découpe
Mais pour le particulier, il est parfois
interessant si on a quelques gourmet à table de s'acheter une
pièce en PAD et se faire le boulot On peut gagner quelques
sesterces..
Pour en revenir à la salubrité
des restaurateurs, je me base sur la propreté des poubelles et
celle des sanitaires pour savoir comment ça se passe en
cuisine...
Christian Felter Samedi 6, Novembre 2004 7:56
D
Sevrin Novorest a écrit:
>Je faisais part de mon
étonnement concernant une certaine différence entre
2
>pratiques constatées :
>
>- les exigences
parfois exagérées en en restauration collective
>
où
le GBPH n'est pas encore publié, et l'hygiène est
conçue par les gestionnaires comme une partie intégrante
de démarches qualité. D'ou un nombre élevé
de référentiels privés en compétition et
des professionnels qui pensent pouvoir se passer largement d'un
référentiel collectif - dores et déjà
largement divulgué, (voir les archives de la liste) - et
effectivement inférieur en pertinence à ces
référentiels privés, aux exigences parfois
exagérées. Ceci devrait en toute logique faciliter la
publication de ce référentiel collectif, mais
visiblement et pour des questions ignorées ce n'est pas le
cas.
>- ce que j'ai pu voir dans ma rue
>
ou
il existe pour la plupart des métiers rencontrés des
GBPH validés, et quand fin 2005 l'arrêté de 1995
disparaitra comme les francs ont disparu pour céder la place à
l'euro, peut être qu'enfin les professionnels concernés
découvriront comme une nouveauté - pour avoir une
assurance en R.C - ce qui est déjà publié depuis
longtemps. C'est du moins un schéma possible, sinon
souhaitable, eu égard à la faible lisibilité de
la nouvelle réglementation hygiène, (régulièrement
réélue depuis 1993).
soviba_ak Wed, 01 Dec 2004 12:05:57 -0000
je
souhaiterais savoir s'il est obligatoire d'avoir des enregistreurs de
température pour les camions de transport de
denrées
animales, et si oui, dans quelle mesure
Je vous remercie
d'avance pour toutes vos réponses
Audrey MORISETTI Thu, 02 Dec 2004 10:04:42
-0000
L'arrêté ne le précise
pas, mais par exemple, l'arrêté du 29 février
1996 sur les conditions de production et mise sur le marché de
la viande hachée précise qu'au delà d'une heure
de transport de viande hachée, le camion doit être muni
d'un enregistreur de température
je cite : "Les
véhicules sont, en particulier, équipés de
manière que les températures visées à
l'article 16 ne soient pas dépassées au cours du
transport, et pourvus, sauf s'il s'agit d'un transport n'excédant
pas une heure, d'un thermomètre enregistreur permettant
d'enregistrer le respect de cette dernière
exigence."
l'article 16 dit :"Sitôt leur
production terminée, les viandes hachées et les
préparations de viandes sont, pour leur mise sur le marché,
présentées sous la forme :
- réfrigérée,
maintenues à une température à coeur inférieure
à + 2° C pour les viandes hachées et les
préparations de viandes obtenues à partir de viandes
hachées, à + 3°C pour les préparations de
viandes contenant des abats et à + 4°C pour les autres
préparations de viandes y compris les saucisses crues et les
chairs à saucisse ;
- surgelée, en unités
de conditionnement destinées au consommateur
final,
maintenues à une température à
coeur inférieure à - 18°C."
Je
m'interroge..
Christian Felter Tue, 08 Feb 2005 07:48:58 +0100
le
règlement 37/2005 du 12 janvier 2005 relatif au contrôle
des températures de transport et entreposage des produits
surgelés prévoit en son article 3 des dérogations
pour la distribution locale, (80 km).
Qu'entend on précisément
par distribution locale :
est ce que les livraisons entre deux
entrepôts surgelés sur la périphérie d'un
point d'inspection frontalier, comme Paris, Marseille, Nice etc ..
sont considérées comme de la distribution locale par
exemple ou alors faut il la traçabilité de la chaine du
froid imposée à l'article 2?
Dubois Jeremy Tue, 8 Feb 2005 08:40:12 +0100
(CET)
D'aprés l'art 2 de l'arrété
du 20 juillet98 (condi et hygi transport alim) on entendait par
distribution locale: une tournée de livraison dont la durée
de livraison n'excède pas huit heures: cette durée
s'entend de l'ouverture de la porte a la première livraison à
l'ouverture pour la dechargement du dernier produit idem pour une
collecte de produit du premier chargement au dernier chargement.
Il
faut peux etre appliquer la meme chose avec 80km?
Hugues Jourdan Wed, 9 Feb 2005 00:36:40 +0100 (CET)
Le
tout est d'avoir en livraison une température conforme...
Emmanuelle Aime Wed, 18 May 2005 09:34:56 +0200
Je
suis à larecherche du texte réglementaire concernant
les T° ambiantes des camions frigorifiques. J'ai entre les mains
le JO N°180 du 6/08/98, mais je ne trouve aucune indicatiion
concernant les T° minimales et maximales autorisées dans
le cas de transport de viande de boucherie.
Quelqu'un
aurait-il une autre source d'information?
Jacques Nigeon Wed, 18 May 2005 12:06:03 +0200
L'annexe
II de l'arrêté que vous citez, indique que la
températures maximale pour le transport des viandes d'animaux
de boucherie est de +7°C..
En ce qui concerne la température minimale, celle-ci doit être strictement supérieure à la température de congélation débutante propre à chaque aliment (voir l'article 20 de l'arrêté) Reste à définir, cette température.
euqilegnal Mardi 24, Mai 2005 9:11
nous
venons de recevoir une livraison de viande.
il s'agit de viande
prédécoupée emballée dans des cartons
donc "protégées" seulement voilà
l'horreur :
le camion du transporteur est à 12°c (la
viande est quand même à 4°c)et en plus juste
derrière les palettes de viandes se trouvent....
des
chariots remplis de plantes verte et autres fleurs non couvertes. on
sent l'odeur de terre à l'entrée du camion.
comment
réagir ?
ma logique de RQ serait de refuser la viande
mais ma logique n'étant pas celle de tout le monde, ce n'est
pas envisageable.
mais je voudrais quand même signaler
l'horreur. est ce que je dois me plaindre au fournisseur ou au
transporteur ?
hblmg78 Mardi 24, Mai 2005 9:21
1 réserve
d'office
2 vous êtes en droit de
refuser
Francois.Linossier Mardi 24, Mai 2005 9:27
Il me semble que votre interlocuteur privilégié
soit le fournisseur. Cependant rien ne vous empêche de faire
part de votre stupéfaction au transporteur !
iufm_charcuterie Mardi 24, Mai 2005 9:29
Même
s'il est vrai que la façon la plus efficace de protester est
de refuser la marchandise, celà n'est pas toujours possible,
l'organisation de la production pouvant en être alors très
affectée.
La première chose à faire est
de le noter sur votre fiche de contrôle de réception et
de la faire viser par le chauffeur.
Pour les réclamations,
de toute évidence vous n'êtes pas cliente du
transporteur, donc vous les ferez à votre fournisseur qui
prendra lui les dispositions envers son client : le transporteur.
La
façon la plus efficace de forcer un fournisseur à
prendre des mesures est de le menacer de ne plus travailler avec lui
et pour appuyer ses dires de ne plus lui passer commande pendant une
certaine période.
iufm_charcuterie
Mardi 24, Mai 2005 9:51
Je viens de relire votre
message et un doute m'est apparu.
Vous dites avoir reçu
de la viande dans des cartons.
Rassurez moi, c'est de viande
sous vide dont vous parlez...
Hubert BAZIN Mardi
24, Mai 2005 10:08
Vous êtes bien entendu en
droit de râler, ou de refuser la livraison. Le transport des
denrées alimentaires est soumis à des règles
strictes, en France comme en Europe, que tout le monde doit
respecter. Les transporteurs optimisent leurs chargement, parce qu'on
refuse de payer le prix d'un camion plein alors qu'on n'en utilise
que la moitié !
Et pourtant on voit "de tout"
: j'ai assisté à la réception d'un camion bâché
dont la cargaison était composée de palettes de
biscuits, de granulé plastique (destiné à être
fondu puis intecté) et de fûts (neufs heureusement !) de
styrène, gentille molécule chimique avec des symboles
de danger plein partout.
J'ai aussi eu l'occasion de refuser 4
camions de maïs en grain en provenance d'espagne (100 tonnes en
tout) qui n'avaient pas été nettoyés après
leur précédente mission : la livraison de minerai de
chrome à une usine de fabrication d'alliages ! Il faut avoir
une bonne conscience de sa tâche pour mettre la production en
rideau, et ne pas se décourager quand les chauffeurs, après
avoir passé des heures au téléphone, vous
demandent subitement comment on se rend à ***, où vous
savez qu'il existe une usine de fabrication de céréales
de petit déjeuner!
La prise en compte des risques doit
se faire partout, et il faut mettre la pression sur les opérateurs
de production, bien sûr, sur les fournisseurs évidemment,
mais aussi sur les acheteurs et les logisticiens! Faites-les
participer aux formations à l'hygiène !
Faites
attention aussi aux entrepôts extérieurs, où les
rapprochements les plus improbables sont réalisés, de
manière aléatoire. Des biscuits (encore) et des
lessives par exemple. Ca sent bon, la lessive, mais ca sent fort
...
Hubert BAZIN
Fanny Le Saux Mardi 24, Mai
2005 10:13
Il faut absolument refuser cette viande
!!! Déjà, la température du camion le justifie
amplement. De plus, avez-vous conscience des risques de
contaminations engendrés par le contact avec des plantes ?
Sans être exhaustive :
présence d'insectes :
mouches et autres insectes en tout genre se sont probablement fait
une joie de venir pondre dans votre viande (à moins que
celle-ci ne soit sous vide ?)... à moins que vous ne
souhaitiez augmenter l'apport protéique de votre viande, cela
ne semble pas très conseillé une petite liste très
raccourcie des germes ubiquitaires : listeria,
staphylocoques,
pseudomonas, bacillus, candida... à 12 °C, ces petites
bêtes sont très tenaces.
Votre devoir de RQ est
de refuser cette viande quoiqu'en dise la production : préférez-vous
manquer de matière première ou risquer d'intoxiquer vos
clients ? vous imaginez la tête de vos clients lorsque les
fraudes auront découverts que le problème à
l'origine d'une TIAC est dû à la viande que vous avez
acceptée dans de telles conditions de transport ?
A
moins que ces conditions de transport ne soient une nouvelle méthode
de maturation de la viande que votre fournisseur expérimente
?
Vous êtes le client : ce n'est pas à vous de
déterminer qui de votre fournisseur ou de son transporteur est
responsable. Vous devez refuser cette viande (sinon elle vous sera
facturée), prévenir votre fournisseur que vous irez
voir ailleurs si jamais cela se reproduit : à lui de se
retourner contre son transporteur si nécessaire.
Afin
de vous couvrir, prenez des photos du camion chargé avec
viande et plantes (en prenant la plaque d'immatriculation au passage)
et demandez au chauffeur une
copie de l'enregistrement de la
température de son camion.
euqilegnal Mardi 24, Mai 2005 10:38
j'aurais
bien aimé la refuser croyez moi !
seulement aussi
consciencieuse RQ que je sois, je reste sous les ordres de ma
direction !
pas de viande, pas de production, pas d'argent ! Voilà
leur façon de penser sans m^me envisager les problèmes
qui pourraient découler de cet incident.
euqilegnal
Mardi 24, Mai 2005 10:41
non non c'est bien de la
viande fraiche !
elle est globalement recouverte de film plastique
et déposé dans des cartons blancs
Anne
FAROUK Mardi 24, Mai 2005 10:56
C'est hélas
un problème relativement courant. Je compatis croyez-moi!
Bertrand CARLIER Mardi 24, Mai 2005 10:52
il
y a une autre façon de répondre qui va soulever bien
des réponses:
un produit me semble, pour ne pas être
source de risques, devoir être défini de façon
positive, exemple respect de x normes, dont par exemple celles du
transport. La question devient alors: ne devrait-il pas être
établi des listes de déqualification ?
en
d'autres termes:
une viande mal transportée peut -elle
encore avoir droit à la dénomination viande ?
je
dis cela , car renvoyer la marchandise, n'empêche pas à
l'arrivée de la réexpédier à une autre
client sans la cause du premier refus .
ceci ne veut pas dire
que ce produit ne peut pas avoir une autre destination, mais avec une
autre dénomination et avec une trace
administrative.
Christina Mardi 24, Mai 2005
14:04
En effet le cas que vous décrivez
nécessiterait un renvoi de la marchandise.
Au niveau
des réclamations, tout dépend si c'est le fournisseur
ou si c'est votre société qui s'occupe de sous-traiter
le transport. Dans le premier cas, vous ferez la réclamation
aux deux (fournisseur et transporteur), dans le second cas, vous
ferez la réclamation au transporteur et... changerez de
transporteur si besoin...
Si on vous oblige à garder la
marchandise, il est absolument nécessaire que vous fassiez un
contrôle microbiologique sur le lot incriminé et mettre
celui-ci en attente, car votre société risque
d'intoxiquer les consommateurs. La responsabilité de votre
entreprise et la vôtre est engagée si vous avez accepté
la marchandise. Il faut que vous fassiez prendre conscience de cela
aux personnes qui ont pris la décision. Si, malgré
cela, vous n'êtes toujours pas entendu, vous pouvez vous
dégager de la responsabilité de ce problème
en
adressant un courrier à la direction.
Bertrand
CARLIER Mardi 24, Mai 2005 14:25
"Si on vous
oblige à garder la marchandise, il est absolument
nécessaire
que vous fassiez un contrôle microbiologique sur le
lot
incriminé et mettre celui-ci en attente, car votre
société risque
d'intoxiquer les consommateurs."
si
votre directeur veut assumer la responsabilité de requalifier
un lot déqualifié, il me semble qu'il faut commencer
par:- savoir si l'administration et vos clients acceptent cette
attitude ?
- identifier les dangers avant de se lancer dans
telle ou telle analyse ?
en d'autres termes, les analyses ne sont
que des outils au service d'un raisonnement ou d'une démarche
qualificative dans ce cas .
hblmg78 Mardi 24,
Mai 2005 17:31
et comme d'habitude "un escalier
se balaye en commençant par le haut (la
direction)"
Christina Mercredi 25, Mai 2005
9:00
Désolée, mais pour moi la
première attitude est de vérifier si on ne va pas
intoxiquer les consommateurs.
Gabrielle Barma Mon, 6 Jun 2005 11:42:00 +0200
Concernant
les employés de sociétés de gros affectées
à la conduite de camions sur des courtes distances (< 50
km) dont l'objet est l'approche vers
des plateformes distributeurs
régionales ou la livraison de clients proches:
doivent-ils
passer la formation FIMO?
dans les textes dont extrait ci-après,
la mention "compte propre" fait-il référence
à des sociétés de transport ou à des
sociétés utilisant un employé
pour effectuer
des transports ?
"les conducteurs des entreprises
effectuant des transports pour compte propre et les
artisans-transporteurs "
Christina Mon, 06 Jun 2005 10:32:33 -0000
vous
trouverez, ci-dessous, un lien concernant les formations
obligatoires pour transporteurs routiers. Cela dépend du
tonnage
du
véhicule.
http://www.rhone.equipement.gouv.fr/transports/observatoire/fiches%20techniques%20ORT/01_02_trans_format.pdf
Pour plus d'info il suffit de taper "FIMO transporteur" sur n'importe quel moteur de recherche.
jnigeon Mon, 6 Jun 2005 13:45:26 +0200
Pour
l'administration interprète la notion de transport pour compte
propre comme étant le fait que la marchandise est la propriété
de l'entreprise et
est transportée par cette entreprise
pour ses besoins propres à l'aide de ses propres véhicules
et conducteurs ou de véhicules pris en location avec
ou
sans chauffeur. L'activité de transport doit rester une
activité accessoire de l'entreprise.
En dehors de cette
interprétation qui est extraite d'une circulaire de 2002
relative aux titres administratifs (que je ne possède pas) il
n'existe pas
de définition légale du transport pour
compte propre.
Laniece Annabelle Mon, 6 Jun 2005 20:04:25 +0200
(CEST)
compte propre veut dire que l'entreprise a ses
propres chauffeurs pour effectuer les livraisons de ses produits ce
n'est pas un entreprise de transport
la fimo est désormais
obligatoire
il y a des attestations valant fimo pour les
chauffeurs qui ont "du métier".
tous les
chauffeurs titulaires d'une attestation FIMO doivent passer un
recyclage appelé FCOS formation de 21h valable 5 ans
Olivier BOUTOU Tue, 14 Jun 2005 10:36:11 +0200
Concernant
la question, le Transport pour compte propre c'est effectivement les
conducteurs de PL dans les entreprises qui ne sont pas
"transporteurs".
Depuis le 10/11/2004, TOUS les
conducteurs sont tenus de posséder une FIMO ou une FCOS...
Maintenant la question ne peut être traitée
"qu'intitue personae" car l'expérience et l'âge
du conducteur doivent être pris en considération...
martin_100779 Wed, 15 Jun 2005 04:11:33 -0000
je
suis également intéressé par la réglementation
sur le transport d'aliments en France. L'arrêté du 20
juillet 98 parle d'une formation obligatoire pour les chauffeurs.
S'agit-il de la formation dont vous parlez? Que veut dire FIMO?
Gabrielle Barma Thu, 16 Jun 2005 09:54:06 +0200
Je
pense avoir trouvé la réponse à ma quaestion de
l'autre jour.
La voici :
Le FIMO est bien obligatoire
dans les entreprises qui font du transport pour compte propre depuis
2005.
Par contre, si le chauffeur était présent dans
l'entreprise au 10/02/05 l'entreprise peut lui faire une attestation
disant qu'il est chauffeur qualifié par la pratique du métier
(il existe un formulaire que j'essaie d'obtenir).
Mais,
le
chauffeur à qui vous allez faire l'attestation doit passer le
FCOS qui prend 3 jours (21H) et qui coute 370 €HT à
l'AFT.
Si vous avez un chauffeur qui a déjà le FIMO, il doit le mettre à jour en passant le FCOS tous les 5 ans.
Estelle PAVY Mon, 18 Jul 2005 11:32:23 +0200 (CEST)
Je
me permets de réitérer ma quastion car j'ai toujours
besoin de votre aide !
Je souhaiterais savoir si je peux livrer un
produit surgelé / congelé (viande) dans un camion en
froid positif, si oui, y a-t-il une durée maximale ? J'ai
entendu parler d'une distance de 80 km, de quel texte s'agit-il ? Je
vous remercie d'avance.
Nathalie VIDAL Mon, 18 Jul 2005 16:11:52 +0100
Vous
pouvez consulter l'arrêté du 20 Juillet 1998 fixant les
conditions techniques et hygiéniques applicables au transport
des aliments.
Un des critères à respecter est de ne
pas perdre plus de 3°c lors des opérations de chargement
et de déchargement.
Si votre produit doit être
conservé à -18°c vous ne pouvez pas le livrer à
une température supérieure à -15°C.
Le
moyen de transport quant à lui ne doit pas favoriser la
remontée de température.... Cela me paraît
délicat dans un camion en froid positif.
Clarab_h
Mon, 18 Jul 2005 15:04:26 +0200 (CEST)
Vous pouvez
transporter un produit surgelé dans un camion en froid positif
(0 à 4°C) mais si ce produit entame la phase de
décongélation (car température équivalente
à celle d'un sas de décongélation) et il ne
pourra être remis en chambre froide négative.
Concernant
la distance de 80km, voici ce que j'ai sur mon GBPH traiteur :
"Pour
le transport de tout aliment à l'état réfrigéré
ou congelé, sur une distance depuis le lieu de chargement
inférieure à 80 km sans rupture de charge, les
responsables du transport peuvent choisir d'utiliser un autre moyen
de transport sous reserve que les conditions d'hygiène et de
températures reglementaires soient respectées (écart
de 3°C toléré)."
Estelle PAVY Wed, 27 Jul 2005 04:52:06 +0200 (CEST)
alice varinard <alice18244@> a écrit
:
bonjour,
je souhaiterais savoir quelles sont les
tolérances de températures pour les
produits en
froid positif et en froid négatif, et pendant combien de temps
peuvent ils rester a cette température. merci
d'avance
En ce qui concerne la température des
denrées lors du transport, reportez-vous à l'arrêté
du 20 juillet 1998 fixant les conditions hygiéniques
applicables au transport des aliments.
A ma connaissance, il
n'existe pas de réglementation relative à la durée
pendant laquelle un aliment peut rester à une température
supérieure à la température "autorisée".
Le
document suivant indique les températures maximales des
aliments réfrigérés
:
http://www.asept.fr/tempmax.pdf
En espérant avoir répondu à vos
interrogations, bonne journée.
Estelle PAVY
mohammed zardoune Sat, 30 Jul 2005 22:44:21 +0200 (CEST)
bonjour, pour les denrées congelées, une tolérance
de 2 à 3 °c est admise au moment du chargement des
produits pour éxpédition (MOINS 15°c). c'est
logique, dans la mesure ou il est impossible de concevoir une absence
totale de toute rupture de chaine du froid pour le congelé
sortant d'une chambre négative pour être chargé à
bord d'un camion. les pertes en températures sont donc
inévitables. seulement, il s'agit de rétablir cette
température par la suite.
les tolérances sont donc
circonstanciées. autrement, les entrepots et les transporteurs
sont censés maintenir le congelé à moins 18
durant tout le reste du circuit de distribution. Pour les produits
réfrigérées, je crois qu'aucune raison objective
ne justifie des rutpures de la chaine du froid.
Gilles TIXIER Sun, 31 Jul 2005 10:41:13 +0200
À
ce sujet, où trouve t-on référence écrite
de cette tolérance de 3°C (au delà de la
températures maximales d¹entreposage cf doc Asept
cité), couramment admise pour réceptionner des
marchandises en froid positif ou négatif ?
une note de
la DGAL ? des GBPH ?
B.Monchâtre Sun, 31 Jul 2005 10:56:13
+0200
notamment arrêté du 9 mai 1995 "hygiène
des aliments remis au consommateur"
article 10-2-b-i
Gilles TIXIER Amplitude
Merci pour cette référence sur les 3°C de
tolérance qui concerne les produits congelés ou
surgelés (T max 18°C)
Mais pour les produits
à conserver un froid positif ?
Bertrand CARLIER Mon, 1 Aug 2005 12:33:21 +0200
cette
référence montre, il me semble, que l'on est très,
très, très, loin d'être prêt et compétent
pour manier le système HACCP.
cela ne présage
rien de bon pour la suite...
Bertrand
PS:
cela
signifie -till que dans les validations des DLC et des guides de
bonnes pratiques, on tient compte de cette ou ces tolérances:
-
je recherche la liste de toutes ces tolérances, qui vu, les
derniers échanges, semble peu connues ?
- des détails
sur le mode de conception et de validation des guides de bonnes
pratiques et des DLC ?
nb: je ne suis pas à priori
contre telle ou telle pratiques, si cela est accessible et si les
actions des uns et des autres sont cohérentes par rapport à
la réalité et non basées sur des écrits
ou présupposés, que l'on sait faux.
B.Monchâtre Mon, 1 Aug 2005 16:11:28
+0200
Bertrand
je ne vois (à nouveau) pas
bien où vous voulez en venir.
concernant les surgelés,
il y a une tolérance de 3°C (-18°C->-15°C) pour
un temps court, lié notamment aux manipulations pour la mise
en vente. Ensuite ces surgelés sous soumis à une DLUO
et non à une DLC.
concernant les produits réfrigérés,
je ne connais pas de tolérance réglementaire ... pour
HACCP, il est donc parfois nécessaire d'anticiper une
hausse
de température lors d'une manipulation en partant de plus bas
...
enfin les DLC sont établies très
généralement sous le protocole de normes NF (dont NF V
01-003) ou de protocoles interprofessionnels approuvés. En
principe, ces protocoles prennent en compte la maîtrise
relative de la chaîne du froid (1/3 ou 2/3 de la durée
liée à la DLC à tester est soumise à
8°C). Voir à ce sujet la note d'information n°591 de
la DGAL.
Bertrand CARLIER Tue, 2 Aug 2005 08:23:25 +0200
D.M.
25 settembre 1995, n. 493 (1).
Regolamento di attuazione delle
direttive 92/1/CEE, relativa al controllo delle temperature degli
alimenti surgelati, e 92/2/CEE, relativa alle modalità di
campionamento e al metodo di analisi per il controllo delle
temperature.
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_ita9938.doc
Statutory Instrument 1995 No. 2200 - The Food Safety (Temperature
Control) Regulations 1995
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_uk4351.htm
EUROPEAN COMMUNITIES (MONITORING OF TEMPERATURE IN THE MEANS OF
TRANSPORT, WAREHOUSING AND STORAGE OF QUICK-FROZEN FOODSTUFFS AND
SAMPLING PROCEDURE AND METHODS OF ANALYSIS FOR CONTROL OF THE
TEMPERATURES OF QUICK-FROZEN FOODS INTENDED FOR HUMAN CONSUMPTION)
REGULATIONS
1995
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_ire27604.doc
JOCE 13/01/05 Règlement (CE) no 37/2005 de la Commission du
12 janvier 2005 relatif au contrôle des températures
dans les moyens de transport et les locaux d'entreposage et de
stockage des aliments surgelés destinés à
l'alimentation humaine
(1)
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/JOHtml.do?uri==OJ:L:2005:010:SOM:FR:HTML
JOUE 16/06/05 Rectificatif au règlement (CE) no 37/2005 de
la Commission du 12 janvier 2005 relatif au contrôle des
températures dans les moyens de transport et les locaux
d'entreposage et de stockage des aliments surgelés destinés
à l'alimentation humaine (JO L 10 du
13.1.2005)
http://europa.eu.int/eur-lex/lex/JOHtml.do?uri==OJ:L:2005:153:SOM:FR:HTML
FOOD HYGIENE (AMENDMENT) REGULATIONS
1961
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_ire28029.doc
MINISTÉRIO DA AGRICULTURA,DESENVOLVIMENTO RURAL E PESCAS
Decreto-Lei n.o
37/2004
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_por43849.pdf
Verordnung über tiefgefrorene Lebensmittel (TLMV) *) Vom 29.
Oktober 1991
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_ger7865.doc
Government of the Union of Myanmar - Ministry of Livestock and
Fisheries - Department of Fisheries - Directive N° 2/98 August 3,
1998
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/FAOLEX_0/unknown_mya37046.pdf
L’utilisation du thermomètre pour aliments - Conseils
pour préserver la salubrité des aliments
Prévenir
les toxi-infections alimentaires
http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/concen/tipcon/thermof.shtml
Entreposage sans risque des aliments
http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/concen/tipcon/storagef.shtml
Bertrand
nb traitement thermique des emballages en
bois
http://www.ipfsaph.org/servlet/BinaryDownloaderServlet?filename==/kopool_data/WTOSPSNF_0/fr_nchn1.doc
Christian Felter Fri, 05 Aug 2005 18:18:00 +0200
Je
crois me souvenir que cette tolérance de 3 degrés
aujourd'hui couramment admise est issue d'une ancienne controverse
entre la DGCCCRF, (partisans d'une tolérance de 2°C qui
elle serait règlementaire), et la DGAL qui par pratique
préférait envisager 3°C pour la validation du GBPH
Restauration collective.
J'ignore par contre dans quel texte
réglementaire se trouve la tolérance de 2°C.
C'était
l'un des deux points de blocage pour la validation de ce Guide
Restauration collective, (l'autre étant la possibilité
de décongeler les steaks hachés pendant le transport
avant leur utilisation immédiate).
Mais après
recherche je n'ai pas retrouvé cette valeur seuil de façon
explicite dans la dernière version diffusée de ce
Guide, (dite de Stéphane Baynaut), bien connue de la liste et
version du GBPH qu'il faut considérer comme validée
désormais, en attendant la parution de l'officielle qui ne
doit pas être très différente.
A l'inverse et comme déjà souligné cette
valeur seuil est très bien explicitée dans la procédure
de contrôle et vérification définie à
lannexe 4 du « Guide de Bonnes Pratiques Hygiéniques
pour la Distribution des produits surgelés" publié
au JO.
Bertrand a raison de souligner la parution du règlement
37/2005 qui crée l'obligation de prouver en continu dès
le 01/01/2006 que cette valeur seuil est maîtrisée en
fabrication et entreposage des produits surgelés par tous les
établissements agréés, (seule la remise directe
est exonérée de cette obligation d'enregistrement des
températures de conservation avec des enregistreurs homologués
et régulièrement étalonnés).
Florence
Gardrat Wed, 24 Aug 2005 16:26:33 +0200
Je suis à
la recherche de l'annexe II de "l'arrete du 20 juillet 1998
fixant les conditions techniques et hygièniques applicables au
transport des aliments". Je ne la trouve pas sur le site de
Legifrance, ils indiquent à la fin de larrete que l'on peut
consulter les tableaux sur le JO du 6/08/98 mais c'est justement le
texte en question...
Merci à ceux qui pourront m'éclairer.
matthieu_vanuxeem Wed, 24 Aug 2005 16:39:27 -0000
N'ayant qu'une photocopie non faxable (en
A5), je vous donne les T° max et produits associés:
Produits
congelés (glaces, produits de la pêche): -18
Autres
produits congelés: -12
Poissons entiers en saumure destinés
à la conserve: -9
Produits de la pêche: 0 à
+2
Viandes hachées: +2
Abats: +3
Autres préparartions
de viandes, y compris la chair à saucisse et la
saucisse
crue: +4
Viandes d'animaux de boucherie et de gibier ongulé:
+7
Viandes de volaille, lapin, rongeur, gibier d'élevage et
à plumes: +4
Ovoproduits (sauf UHT): +4
Végétaux:
+4
Oeufs réfrigérés: +5
Lait cru: +4
Lait
pasteurisé: +6
Lait cru destiné à
l'industrie: +10
Produits laitiers frais, produits à base
de viandes et de poisson, W
produits à base de lait
(pâtisseries...): selon fabricant ou
conditionneur
Repas
livrés en liaison froide: 0 à
+3
------------------------chaude: + 63 mini
Produits crus ou
finis pour animaux de compagnie: 0 à +4
Matières
premières pour les produits pour animaux de compagnie: 0 à
+7
Matthieu Vanuxeem
http://www.quapa.com
Thu, 25 Aug 2005 12:18:27 +0200
Concernant
les températures maximales des aliments réfrigérés
(notamment en cours de transport), Jean-Marc GUALMINI vient de nous
transmettre le lien suivant:
http://www.asept.fr/tempmax.pdf
fr4206 Mon, 13 Feb 2006 17:14:52 -0000
J'aimerais
avoir des informations sur les conteneurs isothermes utilisables en
liaison froide positive.
Donnent-ils satisfaction ?
Jusqu'à
quel effectif es-ce envisageable ? 300 repas, es-ce trop ?
Pouvez
vous me donnez des fabricants ou site de ces matériels. avec
mes remerciements,
Frederic.Birraux Mon, 13 Feb 2006 18:38:24 +0100
Les
containers isothermes ayant la norme ATP (type olivo mais il existe
tres certainement d'autres marques) sont la "rolls" pour le
maintien du froid avec une plaque eutectique a l'interieure (plaque
pour gerer du froid positif ou du froid negatif selon les cas), mais
comme tout materiel isotherme cela necessite:
- que les produits
soient deja à la bonne temperature: les containers sont
isothermes pas frigorifiques. (L'ideal est de stocker les containers
au froid avant chargement pour qu'ils se refroidissent) - d'eviter
les ouvertures incessantes de portes: chaque ouverture fait entrer de
l air chaud donc remonter la temperature
Dans ces conditions vous assurez sans probleme 8 h de froid et
vous pouvez meme recharger en carbo glace si besoin pour plus de
temps.
Certains containers sont equipes de thermometre a
affichage externe pour controler la temperature sans avoir a ouvrir
les portes et si vous en avez les moyens il existe des systemes pour
remplacer la plaque eutectique par de la "carbo compressée"
directement dans un reservoir.
Attention ces containers sont
isothermes dans les 2 sens: donc s'ils empechent le froid de sortir,
ils l'empechent egalement de rentrer dans ne pas fermer les portes
lorsque vous etes dans une chambre froide
Seul inconvenient
(de leur avantage): ils sont tres lourds donc insoulevable: a eviter
si vous ne pouvez pas les faire rouler au risque de vous faire un
tour de rein. Il existe egalement des 1/2 containers pour les petites
quantites.
En version plus legere mais tout aussi efficace: de
nouveaux caissons isothermes sont sortis (caissons noirs) pouvant
s'adapter aussi bien aux dimensions 600*400 que gastro : moins cheres
mais peut etre un peu moins pratique au niveau ergonomie et surtout
vous stockez moins de marchandise dedans : disponible maintenant chez
tous les fournisseurs de materiel pour alimentaire.
Hugues
JOURDAN Tue, 14 Feb 2006 11:41:41 +0100 (CET)
A 300
repas ça va faire du volume.
Dans ce cas là opter
pour le transport en camion avec une caisse isotherme mais attention
ça coute pas mal à la location : compter 6000 EUR à
l'année. Ne pas oublier les chariots au format GN, les CF
d'attente sur site et les fours de remise en température en
quantité ais surtout avec la puissance necessaire pour
remettre en température les produits dans les délais
légaux.
C'est le principe utilisé dans les cantines scolaires quand le choix d'une unité de production et de point de remise en température a été fait.
Mais d'un point de vu gustatif le résultat n'est pas à la hauteur d'une cuisine faite sur place.
fr4206 Tue, 14 Feb 2006 17:42:27 -0000
je
suis de votre avis, je pense que pour cette quantité (300
repas) un camion avec une caisse isotherme est préférable....mais
je voulais avoir des avis.
pour la qualité on est
d'accord : la cuisine sur place est, d'un point de vue gustatif,
supérieure.
Delphine DELPECH Wed, 7 Jun 2006 21:00:07 +0200 (CEST)
Pourriez vous me dire si un transporteur a le droit
d'avoir dans son camion, à la fois des denrées
alimentaires pour l'homme et pour les animaux Quelles sont les
exigences sanitaires pour ces transporteurs ? Je suis en stage dans
une restauration collective et nous avons eu dernièrement
quelques mauvaises surprises à la reception de nos matières
premières
Denis Capouillez Thu, 8 Jun 2006 03:35:08 +0200
En
ce qui concerne ADR (transport de produits dangereux par route et
donc pas spécifiquement les alimentaires hommes ou animaux)
Conseiller en sécurité transport dans une Industrie
Chimique lorsque j'examine la règlementation des produits
dangereux je suis souvent étonné de constater que rien
n'interdit le transport de produits dangereux avec des produits non
dangereux et qu' excepté pour les camions citernes et
certaines catégories de produits comme les explosifs, les
radioactif, les infectieux,
... je ne vois pas d'interdiction à
transporter des produits alimentaires dans un même camion
(transport par groupage ou et transport par colis)
Alors vu du côté de transporteur de produits
dangereux , sauf si une autre règlementation concernant le
transport de produits alimentaires existe je ne vois pas pour les
produits dangereux d'interdiction à transporter des produits
alimentaires
Recevant des matières premières
dangereuses dans une usine uniquement chimique je suis toujours
surpris de voir arriver une catégorie de colis dangereux
groupés dans un camion avec aussi bien des meubles que des
langes voir des cartons de produits alimentaires
Mais il est vrai
que par définition un colis de produit dangereux ne doit pas
et ne peut pas couler et que les tests sur emballage sont si sévères
que je dois reconaître que dans mon cas depuis 34 ans je n'ai
jamais enregistré d'incident dans ce qui était déchargé
sur le site
Personnellement dans nos sélections
d'expéditeurs nous veillons à ne pas charger des
camions avec de l'alimentaire mais je ne sais pas contrôler ce
qui se charge après le passage en nos établissements...et
encore moins lors des groupages effectués par le transporteur
Je n'ai pas répondu à votre question et ceci
est une constatation en examinant uniquement du côté des
produits dangereux. Alors si la règlementation de transport de
produits alimentaires prévoit autre chose je suis intéressé
de voir les réponses de collistiers à votre question .
julien_lecocq Thu, 31 Aug 2006 07:44:11 -0000
Notre
livreur vient de se faire controer par la douane et la DSV. Il avait
dans sa cargaison un retour ramassé chez le client.
Il ramenait ces produits pour me les montrer. Or il n'a eu de bon
de reprise ni de notre client ni de nous.
Quelles sont les
obligations dans ce domaine ?
Merci d'avance!
Arnaud Grandidier Thu, 31 Aug 2006 08:14:39 +0000
Je crois que dans un soucis de traçabilité (mais
aussi dans un soucis de transaction commerciale), vos livraisons
doivent être accompagnées d'un bon de transport ou
d'accompagnement commercial qui peut être assimilé à
un bon de livraison ou de retour fournisseur. (je pense que si vos
produits sont retournés du client, c'est qu'il les à
refuser à la livraison et dans ce cas, il doit probablement
être indiqué sur le BL le refus des marchandises).
Espérant avoir un peu répondu à votre
question. J'attends pour complément le commentaires de
colistiers.
Chappuy Marianne Thu, 31 Aug 2006 10:35:57 +0200
Nos
services vétérinaires nous ont demandé un bon de
reprise sur lequel est indiqué que la marchandise est destinée
à la destruction.
Les responsables de nos magasins
transmettent ce bon de reprise au chauffeur et scotche une photocopie
de ce bon sur le colis fermé contenant la marchandise
incriminée.
Mylène Magnon Mon, 4 Sep 2006 17:56:56 +0200
dans la réglementation, est-il
spécifiquement écrit que les produits à base de
viande ne peuvent être transportés dans le même
camion (sans séparation) que d'autre denrées
alimentaires de type fruits et légumes en vrac ?
merci
pour vos pistes de recherche.
Charles MORISE Tue, 5 Sep 2006 09:53:38 +0200
A
ma connaissance, pas de restriction de ce type. En revanche, la
réglementation renvoie à une évaluation des
risques au cours du transport pour éviter toutes
contaminations croisées (je suppose que les produits à
base de viandes sont conditionnés sous film et/ou carton).
D?autre part, les températures doivent être
adaptées au deux types de produits transportés. Dans ce
cas certaines incohérences peuvent apparaître : exemple
le Basilic ne supporte pas le froid à 0°C/4°C et les
produits à base de viandes doivent être transportés
dans ces plages de températures.
A mon sens, dernier
élément à prendre en compte, mais qui est du
ressort de la qualité des produits et non de l?hygiène,
des détériorations des produits (type odeurs
parasites?) peuvent peut être apparaître.
Salutations
Chantal Jaouen Tue, 5 Sep 2006 10:22:33 +0200
(CEST)
Tout a fait d accord, il faut dans le
conditionnement des produits et leur place dans le camion faire
obstacle a leur contamination.
La temperature a respecter pour la
viande peut alterer la qualite des legumes. Proteges das un conteneur
isotherme, ils peuvent meiux resister.
VENDREDI 08 SEPTEMBRE 2006
FDA
08/09/06 A Notice from the Food and Drug Administration to Growers,
Food Manufacturers, Food Warehouse Managers, and Transporters of Food
Products on
Decontamination of Transport Vehicles (October 7,
2005; Revised August
2006)
http://www.cfsan.fda.gov/~dms/guidance.html
JEUDI 05 OCTOBRE 2006
HONG KONG - FOOD
AND ENVIRONMENTAL HYGIENE DEPARTMENT
http://www.fehd.gov.hk/safefood/report/
Risk Assessment Studies
Disposable Plastic Containers for
Take-away Meals December, 2005
Je suis à la recherche de l’accord ATP.
J’ai
cherché dans les archives, mais sans succès.
Si
quelqu’un d’entre vous le possède, je suis
preneuse, merci
La dernière version de l'accord ATP en date de novembre
2003, est disponible à l'adresse suivante :
http://www.unece.org/trans/main/wp11/atp.html
Dans le cadre de la mise en place de la norme IFS, je dois contrôler la température des camions de transport avant chargement. Quelles doivent être les températures pour le transport de produits frais et surgelés? Existe-t-il des textes officiels sur ce sujet?
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr,
"qualite" <qualite@...> a écrit :
>
>
> Arrêté du 20 Juillet 1998 fixant les conditions
techniques et hygiéniques applicables au transport des
aliments
>
> Arrêté du 21 janvier 2005
modifiant l'arrêté du 20 juillet 1998 fixant les
conditions techniques et hygiéniques applicables au transport
des aliments
>
Et concrètement, pour la
prise de température d'un camion vide, comment peut' ont
procéder ?
Notamment pour du surgelé, il me
semble que si au moment de l'ouverture des portes le frigo est en
route, il aura tendance à souffler tout l'air en dehors de la
caisse et que si il n'est pas route, de toute façon la caisse
de restera pas à -18°C.
Pour ma part je trouve un
peut ridicule cette prise de température, lorsque vous chargez
un camion avec 20 tonnes de marchandise à -20°C....(
attention, je ne parle pas non plus de camion en plein soleil avec
une caisse à +30°C, là, il y aura un gros problème
de condensation ), mais que peut ont se fixer comme limite critique :
-15°C ???
L'important c'est surtout que la température
soient maintenant pendant le transport.
Laurent met le doigt sur un point particulièrement délicat
du contrôle de la chaîne du froid.
D'une part, prendre
la température interne d'une enceinte pleine d'air, portes
d'accès ouvertes, est quasi-impossible (n'ayons pas peur des
mots). Du moins, le résultat obtenu sera soit totalement
inexact, soit valide pendant quelques secondes uniquement. Et la
difficulté augmente avec la différence de température
entre l'intérieur de la caisse et l'extérieur.
D'autre
part, dans le cas de camion du type semi-remorque, la mesure n'est
valable qu'au niveau du point de contrôle, l'homogénéité
de la température étant impossible à obtenir une
fois les portes ouvertes.
La tolérance pour les
produits surgelés lors de opérations de manutentions
est à -15°C.
Pour les produits frais, la tolérance
est nulle, ils doivent être conservés entre 0 et +4 ou
+6 selon les références. Il en va de même pour
les enceintes.
Notez que comme le souligne Laurent, cette
mesure d'ambiance ne peut être utile que dans l'optique de
vérifier que les groupes froids fonctionnent. Et encore
l'intérêt est-il limité, car si votre caisse est
à -15°C lors de la mesure, quelle donnée vous
prouvera qu'elle restera à -18°C pendant le transport, et
non à -15°C?
Il s'agit donc "bêtement"
de ne pas charger de produits thermosensibles dans une enceintre trop
chaude. Quant à quantifier ce "trop", je ne pense
pas que beaucoup de DSV s'y risquent.
Espérant avoir
répondu à votre question,
pour le problème de Laurent:
il me semble que si un
enregistrement de la température de la caisse est rapporté
au niveau du tracteur, le bon sens pourrait être que le
chargement ne doit être fait que dans une caisse qui est
arrivée à la bonne température. Donc inclure
dans la check-liste avant chargement la vérification de la
température sur l'enregistrement .
Certains dirons que
cela peut être de la responsabilité du chauffeur, mais
inclure cette vérification de la part de ceux qui chargent est
un moyen, en cas de conflit et ou d'événement, de mieux
cadrer la part de responsabilité des uns et des autres ...
Et là se pose le problème de la circulation du personnel. Une entreprise qui reçoit ou expédie 10 à 15 semi par jour voit son personnel sortir et entrer autant de fois...peut importe les conditions climatiques...
depuis ma demande d'aide, j'ai mis en place un document pour le
contrôle avant chargement de la température des caisses.
En fait,les opérateurs relève la température sur
l'affichage cabine du transporteur avant ouverture des portes.Pour la
valeurs conformes non conformes, je me suis fixée <= - 15°C
pour les surgelés et 0 à +4°C (température
de conservation conseillée )pour les produits frais.
Merci
pour vos remarques judicieuses.
je me suis trompée, en
effet, ce n'est pas un étalonnage que j'effectue dans la glace
fondante et l'eau bouiillante mais une vérification du
fonctionnement des thermomètres. Et bien sûr
(inexpérience oblige) je n'utilise pas d'eau pure pour ce
contrôle.
Pensez-vous que ma technique ne vaut rien et que je dois procéder différemment. Un étalonnage est prévu uniquement en cas de dérive de valeur d'affichage de plus de la précision de l'appareil.Est-ce suffisant sachant que ces thermomètres permettent la maîtrise d'un CCP?
N’oubliez pas de corriger le point d’ébullition
en fonction de l’altitude à laquelle vous vous trouvez.
Vos températures de référence sont OK
> Cécile MARTIN a écrit :
>
Bonjour,
> je me suis trompée, en effet, ce n'est pas un
étalonnage que j'effectue dans la glace fondante et l'eau
bouiillante mais une vérification du fonctionnement des
thermomètres. Et bien sûr (inexpérience oblige)
je n'utilise pas d'eau pure pour ce contrôle.
>
Pensez-vous que ma technique ne vaut rien et que je dois procéder
différemment. Un étalonnage est prévu uniquement
en cas de dérive de valeur d'affichage de plus de la précision
de l'appareil.Est-ce suffisant sachant que ces thermomètres
permettent la maîtrise d'un CCP?
>
>
Cordialement.
>
Thierry Martin <profeus_sarl@...> a écrit :
>
>
Bonsoir,
>
> Dans quelle(s) plage(s) de températures
utilisez-vous ce thermomètre? Sont-elles proches du 0°C?
Du 100°C?
> Bonne soirée,
> Thierry MARTIN
Bonjour,
j'utilise les thermomètres entre 0 et 90°C.
Je
suis perturbée par les diverses réflexions que j'ai pu
lire sur les tests de vérifications de fonctionnement que
j'avais mis en place. J'ai de ce fait laisser tomber les tests dans
la glace
fondant et l'eau bouillante pour simplement mettre tous
les thermomètres dans la même pièce et relever
les valeurs stabilisées affichées. En effet, il me
semble que si tous les thermeomètres
affichent la même
température (avec variation de moins de la précision)il
y a une très forte probabilité pour qu'ils fonctionnent
correctement car je teste 5 themomètres en même
temps.
J'aurais une autre question .Ces thermomètres sont
utilisés pour la maîtrise de 2 CCP , quelqu'un
pourrait-il me dire si la norme IFS Woblige un étalonnage
officiel annuel de ces instruments.
Merci par avance.
Cécile
MARTIN
Ne soyez pas perturbée, la métrologie est l'un des
domaines les plus complexes, d'autant que les idées fausses
ont la vie dure.
Votre système de vérification est
valable. En tant que Conseil, je dirais cependant qu'il vous faut
étalonner ces appareils dans un laboratoire certifié
COFRAC (ou autre organisme étranger équivalent). Ceci
vous permet d'une part d'avoir une confiance accrue dans les
résultats obtenus lors de cet étalonnage, d'autre part
de renforcer votre image de professionnalisme auprès
d'éventuels audits clients, enfin de vous protéger plus
efficacement lors d'un contrôle des organismes du style AFFSA
ou DSV.
Cet étalonnage peut se faire une fois par an. Plus
ou moins souvent selon la criticité de leur
utilisation.
Cependant, les normes n'imposent rien en terme de
periodicité (les co-listiers peuvent-ils confirmer cette
information?).
Depuis septembre notre société est accrédité
IFS. J'ai donc eu à répondre au meme question que vous.
L'auditeur m'a confirmé que notre procédure est
adéquate : nous avons un thermomètre électronique
qui ne sert que pour la vérification des thermomètres
labo et sondes pasteurisation. Celui-ci est étalonné
une fois par an par rapport à des "étalons
rattachés COFRAC". La fréquence des vérifications
a été fixé dans notre cas à 1 par an.
Attention à établir quelles sont les actions
correctives à mettre en place en
cas de non-conformité
(qui doit elle aussi etre bien définie).
En espérant
que cela vous aide.
MERCREDI 21 MARS 2007
Avantage HACCP |
Guide du programme (121
pages)
http://www.omafra.gov.on.ca/french/food/inspection/haccp/haccp_pdf/haccp_manual.pdf
Au sommaire:
CONTRÔLES OPÉRATIONNELS
O2
Expédition, réception, manutention et entreposage
O2.1
Véhicules de transport
O2.2 Méthodes de chargement
et de déchargement
O2.3 Produits reçus
O2.4
Conditions d'expédition
O2.5 Produits alimentaires
retournés et viciés
O2.8 Méthodes
d'entreposage
O2.9 Entreposage de produits chimiques
Anne Laure Abisse Jeudi 29. Mars 2007 16:35
Je souhaites avancer sur l'aspect températures des produits
à expédition et transport...
Je voudrais savoir
comment nous devons procéder et comment les transporteurs
procèdent ( nous vendons du frais et du surgelé).
J'ai
bien l'impression que pas grand chose n'est fait de leur coté
à ce niveau.
Nous sommes censé expédier un
produit à une température conforme à la
réglementation correspondante , surgelé ou frais(
quelles sont les limites de tolérance pour ces 2 cas ?)et le
transporteur doit lui aussi respecter ces températures tout au
long du transport.
Comment doit-on se couvrir à ce niveau
et que devons nous faire comme controles..?controler systématiquement
tout ce qui part, ou lui doit il le faire, ou juste lui faire signer
comme quoi il a bien pris la marchandise a bonne température???
Que
doit on stipuler dans notre cahier des charges transporteurs?
Je
pose beaucoup de questions et je m'en escuse, mais j'ai déjà
eu l'occasion de travailler dans plusieurs sociétés à
ce poste et le flou est toujours le meme à ce
sujet.
Aujourd'hui, en démarche IFS, nous aimerions
clarifier les choses.
J'aimerai également savoir si il
existe un moyen miracle pour moi d'etre au clair avec tous les
aspects règlementaires (en rapport avec la sécurité
alimentaire dans un premier temps), c'est à dire des
syntheses, des tableaux qui renvoient à des textes, car devant
gérer les trois aspects QHSE, je me sens un peu légère
et craintive sur ce point..Car je me demande toujours d'ou vous tenez
tous ces liens et renvoi à une règlementation
correspondante....
sans quoi je ne cesserai de faire appel à
votre aide à ma moindre interrogation..je souligne que cela
est vraiment très bien d'ailleurs.
jourdan.hugues Jeudi 29. Mars 2007 19:07
Procédure d'expédition et travaillant sur la
température cible du Quai, sur le delais de maintient dans la
zone de quai, température des camions,
Travailler aussi
sur les temératures des marchandises au moment de
l'éxpédition. En temps normal ça passe car le
produit a séjourné pas mal de temps en zone à
temparature idéale. Mais quid de la cargaison qui n' a pas eu
le temps de se refroidir on fait quoi.
Ne pas oublier la
possibilité de la remorque au niveau froids dans un sens comme
dans l'autre.
Ca me rappelle pas mal de souvenirs...
Sandrine ERLENBACH Vendredi 30. Mars 2007 15:23
Dans toutes les entreprises dans lesquelles j'ai eu l'occasion de
travailler, nous étions abonnés à Lamy
Dehove
http://www.lamy.fr/ +
Option
qualité
http://www.lamy.fr/modules/produits/publications/fiche_produit.php?id=293&from=gamme&fromId=6
Concernant
la température lors du transport, tout dépend du
produit Par exemple : La plupart des produits de charcuterie et
viandes ont des températures de conservation qui doivent être
comprises entre 0 et 3/4°C pour les produits frais et max -18°C
pour les produits surgelés (< ou = à -18°C).
D'autres produits auront d'autres températures de conservation.
Vous pouvez consulter le site de la DGCCRF.
Concernant le
transport, c'est à vous de décider : soit vous demandez
à la société de transport d'être
responsable du produit à partir de l'enlèvement et donc
de lui imposer la prise de température au départ (au
travers d'un cahier des charges), soit c'est votre service
d'expédition qui s'en occupe.
Vous pouvez également
mettre en place des suivis de livraison en mettant dans les cartons
des petites puces programmées réutilisables qui
enregistreront la température au cours du transport. Il faudra
bien entendu informer votre client afin qu'il vous les retourne. Le
risque est bien entendu la perte de ces enregistreurs. La lecture de
l'enregistrement est réalisée à l'aide
d'un
logiciel fourni par le fournisseur de puces.
merci sandrine,
c'est donc a nous de choisir, soit on les
prend ( les temp ) soit lui, leur patrons ne leurs imposent-ils pas
de prendre une marchandise a temp ok
sinon ils refusent de
charger?
Sandrine ERLENBACH Vendredi 30. Mars 2007 17:08
Effectivement, si la température n'est pas bonne, ils
peuvent refuser de charger.
De même, si vous vous
apercevez que le camion n'est pas à température avant
chargement, vous pouvez imposer au chauffeur de le mettre à
température AVANT de charger. (à noter dans le cahier
des charges)
Ce problème se présente souvent en été,
quand le chauffeur attend d'avoir accès à un quai de
chargement ... avec les portes de son camion ouvertes. Nous avions
demandé à notre service expédition d'être
attentif sur ce dernier point et nous avons pu vérifier que
nos doutes étaient fondés...
Au final, tout le monde
prend de bonnes habitudes...
Hugues JOURDAN Vendredi 30. Mars 2007 16:19
Si vous ne prenez pas les températures au moment de
l'expéditions, vous allez au devant de surprise si les
transporteur ont des soucis de température.
Comme vous ne
pourrez pas prouver la température de départ, la
marchandise refusée par le client vous restera sur les bras
soit perte séche avec le risque dans le cas de certains CDC
fournisseurs d'une perte pure et simple de marché.
Je vous
conseille d'établir un cahier de température au départ
signé conjointement par votre responsable expéditions
et le chauffeur qui reconnait avoir pris la marchandises à une
température donnée.
Gabrielle Barma Mardi 28. Août 2007 10:50
Savez vous si il existe une législation interdisant le transport, sous température dirigée, de viande nue (pendue ou à plat) avec des produits carnés transformés & emballés dans des cartons neufs ?
Si oui, pouvez vous me préciser le N° & date du texte svp ?
qualiseb Mardi 28. Août 2007 15:52
Je ne pense pas, mais il faut respecter la marche en avant, il y a danger de contamination croisée entre les denrées nues et les emballages ( certainement pas apte au contact alimentaire, et bien souvent transporté sur palette en bois ).
Maintenant, si les cartons sont bien baché ou filmé ( ainsi que la palette ) et que le seul danger que je vois et bien un contact, c'est acceptable, mais cela reste un avis personnel.
qualitelst Mercredi 26. Septembre 2007 10:18
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "sebastien goubault" <goubaseb@...>
a écrit :
> Je suis à la recherche de modèles de cahier des charges transporteurs (de produits finis) pour répondre aux exigences de l'IFS où tout simplement de > conseils pour en rédiger.
bonjour,notre CDC transporteur prend en compte les thèmes suivants :
documents de transports, cas de la sous-traitance, type de véhicule, T° et humidité, état des palettes, dates et heures chargement, reprise, retours de marchandises, litiges, respect de la règlementation, facturation
MERCREDI 20 FEVRIER
2008
PARLEMENT EUROPEEN - Sélection
de questions/réponses 2007 :
P-2101/07 Gazage de
conteneurs
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+P-2007-2101+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR
orchidee210608 Jeudi 6. Mars 2008 10:05
je souhaiterais connaitre les réglements concernant le transports des produits congelés
est ce que la loi autorise le début de la décongélation des produits surgelés pendant le transport
Hugues JOURDAN Jeudi 6. Mars 2008 10:29
Non la température du produit doit être maintenue du chargement au déchargement.
Alexandra SCHIRTZ Jeudi 6. Mars 2008 13:59
Je pense que les produits doivent être maintenus à la même température. Normalement, le transporteur doit les prendre à - 18 et les transporter ainsi et les livrer à -18. Une variation de 3 degrés peut être acceptée au chargement et au déchargement. La phase de décongélation est normalement une étape qui se déroule chez le client (si celui ci est un industriel: la décongélation est une étape du process qui doit être maîtrisée).
physalisperuviana Mercredi 12. Mars 2008 13:53
Je cherche à savoir s'il existe une interdiction dans la réglementation concernant le transport dans un même camion de produits d'entretien et de produits alimentaires (ces derniers étant emballés).
Y a t-il des procédures particulières à observer ? A quelle réglementation puis-je me référer ?
Benoît CATTEAU Jeudi 13. Mars 2008 17:32
Il existe au moins un texte limitant la promiscuité entre denrées alimentaires et produits dangereux, c'est l'arrêté français du 1/06/01 dit arrêté ADR, relatif au transport des marchandises dangereuses par route.
Cet arrêté s'appuie sur un document de plus de 1200 pages publié sous l'égide de l'ONU. Au paragraphe 7.1.7.1.1 sont énumérées des précautions qui vous concernent peut être (tout dépend si vos produits d'entretien sont ou non dangereux, pour cela lire le chapitre 3 qui compte à lui seul 370 pages... ou leurs FDS)
Voir le lien :
http://www.unece.org/trans/danger/publi/unrec/rev15/French/09F_Partie7.pdf
7.1.7.1.1 Séparation des denrées alimentaires
Les matières marquées ou connues comme étant des matières toxiques (groupes I, II et III) ne doivent pas être transportées dans le même wagon, le même camion, la même cale de navire, le même compartiment d´un avion ou d´un autre engin de transport que des matières qui sont marquées ou connues comme étant des denrées alimentaires, aliments pour bétail, ou autres produits comestibles destinés à être consommés par l´homme ou les animaux. Une dérogation à ces dispositions pourra être admise pour les matières des groupes II et III, sous réserve que l´autorité compétente estime que l´emballage et la séparation sont suffisants pour éviter la contamination
de denrées alimentaires, d´aliments pour bétail, ou d´autres produits comestibles destinés à être consommés par l´homme ou par les animaux.
Parmi les éléments "suffisants", on trouvait dans les éditions précédentes : double emballage, interdiction de gerber l'un sur l'autre ou obligation d'une cloison pleine ou intercaler des colis neutres ou ménager un espace de 0,8m.
Tout cela est de la compétence d'un conseiller à la sécurité Transport de Marchandises Dangereuses, le producteur des produits d'entretien en a obligatoirement habilité un qui pourra vous aider.
Benoît CATTEAU
LINPAC Packaging Pontivy
Films plastiques pour l'emballage alimentaire
P. BéAUR Mardi 18. Mars 2008 8:39
Je me suis posé la même question au cours d’un audit IFS d’une entreprise qui produit des produits chimiques et des produits alimentaires (vinaigres et condiments). Ils transportent ces produits dans le même véhicule.
La réponse documentée de l’audité est dans l’arrêté transport. C’est possible.
MARDI 18 MARS 2008
ROYAUME
UNI
FWI 18/03/08 New transport rules for
producers
http://www.fwi.co.uk/Articles/2008/03/18/109723/new-transport-rules-for-producers.html
v.leguyader Mardi 15. Avril 2008 14:35
Suite à un audit client qui se base sur l'IFS pour réaliser sa visite, il nous demande de créer un questionnaire transporteur à faire remplir par les sociétés que nous affrétons.
Après diverse recherches infructueuses, je me demande quels renseignements je pourrais leur demander sachant que nous sommes une biscuiterie industrielle (les produits ne nécéssitent pas de conditions
particulières de transports).
Merci de me donner quelques pistes...
qualitesud Mardi 15. Avril 2008 15:08
Personnellement, j'ai créé un cahier des charges transporteurs qui est en 2 parties :
- le protocole de securité lié aux operations de chargement et dechargement (horaires, lieux, consignes particulieres de securité...)
- les exigences qualité : controles de palettes, preservation du produit pendant le transport, delais de livraison...
Nous travaillons des produits surgelés donc nous avons pas mal d'exigences autour du respect de la chaine du froid et des temperatures. Mais pour un produit sec, il y a deja l'integrité de l'emballage, le risque de transport avec d'autres produits non-alimentaires (ex : produits chimiques)...
Cabinet HBL MG France Mardi 15. Avril 2008 15:09
La bonne gestion de la cohabitation entre vos produits et des produits nocifs (volatiles ou liquides) dans un même camion
L’absence d’insectes ou de rongeurs (et oui j’en ai vu)
Bon état des containers ou des bâches (éviter l’humidité sur vos produits secs)
Plan de nettoyage et de désinfection des remorques (les transporteurs de produits alimentaires sont eux aussi soumis au paquet hygiène 2006)
Gilles Dechambre Jeudi 17. Avril 2008 11:27
Il y a eu il y a quelques temps un débat sur ce théme du transport de produits congelé à température positive, le produit étant ensuite mis en fabrication dés la réception. J'ai rencontré le cas dernièrement dans une entreprise ou le systéme suivant, autorisé, a été mis en place:
les produits congelés sont transportés en froid + avec des produits frais / il est ajouté sur les colis une indication comme quoi le produit est en cours de décongélation et ne peut être recongelé / Cette indication est porté sur le récépissé du transporteur / la durée du transport est de moins de 24h.
Alain GUILLO Jeudi 17. Avril 2008 19:22
pouvez-vous indiquer sur quelle base réglementaire l'autorisation de cette pratique a été donnée ? Il me semble que cela est à l'oppposé des exigences de l'A.M. du 20/07/1998 relatif au transport des denrées périssables.
gilles dechambre Jeudi 17. Avril 2008 20:27
Je n'ai pas la base réglementaire, mais cela me parait à la fois (1) correspondre à l'approche du paquet hygiène (2) logique (3) permettre de diminuer un peu l'impact transport, que si c'etait interdit, il faudrait rapidement l'autoriser!!!
Bertrand CARLIER Jeudi 17. Avril 2008 20:31
http://agriculture.gouv.fr/spip/IMG/pdf/fiche_transport_101105.pdf
nicolas.milowski Samedi 17. Mai 2008 21:0
Bonsoir à tous. Je suis entrain de valider un cahier des charges avec nos transporteurs (expédition) conformément au référentiel IF V 5.
Le prestataire me dit qu'il n'est pas obligé d'avoir de système d'enregistrement des températures sauf pour les produits surgelés, produits à base de viande. Nous vendons des produits traiteurs de la mer à expédier entre 0 et 4°C.
Qu'en pensez vous, quelqu'un peut il m'aider.
En plus li me dit que si je note conservation entre 0 et 4°C pendant le transport, si le produit arrive chez lui avec +2°C en plus par rapport au +4°C, la marchandise est pour lui?? Quelqu'un peut il m'aider
J. Nigeon Jeudi 22. Mai 2008 17:07
En transport, les enregistreurs de température ne sont obligatoires que pour le transport des surgelés et des viandes hachées (art 25 Arr 20-07-98 JORF du 060898)
En pratique, les transporteurs ont en général des enregistreurs car l'absence n'est pas sans conséquence sur la détermination des responsabilités en cas de sinistre.
En ce qui concerne la 2ième partie de la question, il est difficile d'y répondre de manière simple et générale la réponse variant en fonction d'un certain nombre d'élément.
Voici quelques éléments :
- Qui est le commanditaire du transport cad que le contrat lie le fournisseur et le transporteur (Franco) ou le client et le transporteur (enlèvement) ? Il peut exister d'autres cas (Faux franco par ex) En cas de sinistre, le litige se traite entre le transporteur et le commanditaire du transport.
- Quel est le contrat appliqué ? Soit vous disposez d'un contrat spécifique avec le transporteur et vous pouvez alors y négocier par exemple des plages particulières de température, le devenir des produits en cas de sinistre (à condition de ne pas être contraire au règle de droit) soit il n'y a pas de contrat spécifique et c'est alors le contrat type pour le transport des denrées périssables qui s'applique (Décret du 12-02-01 JORF du 170201 modifié par les décrets 2001-2363 et 2007-1226) Le contrat type définit les obligations et responsabilités des parties. Inconvénient : beaucoup de points sont flous (le contrat type ne précise pas d'écart tolérable de température par ex)
A mon avis, le +2°C n'est qu'un usage du transporteur. Vous pouvez en définir un autre.
- En cas de sinistre, le transporteur peut proposer un dédommagement amiable (plafonné dans le contrat type sauf déclaration de valeur) en échange de l'abandon de la marchandise. Libre au commanditaire d'accepter ou de refuser. Ce n'est donc pas parce que la température des produits est non conforme, que le transporteur devient propriétaire de celle-ci et qu'il peut en disposer comme il l'entend. Il faut savoir que le transporteur, en général, va chercher à récupérer une partie de l'indemnisation en revendant la marchandise à des circuits de distribution parallèles (soldeurs) ou à des industriels pour transformation. Si vraiment, elle n'est pas récupérable, elle part en destruction.
Vous pouvez aussi faire une déclaration de sinistre auprès de votre assureur. Après expertise, soit le sinistre est établi et l'assureur indemnise le propriétaire de la marchandise et propose un devenir (soldeurs, transformation, destruction) avec l'accord du propriétaire, soit le sinistre n'est pas établi et alors il ne reste plus qu'à trouver un
compromis avec le transporteur.
Pour info, l'indemnisation est réduite d'un tiers lorsque le propriétaire impose la destruction alors que la marchandise pouvait être sauvée.
Rapprochez vous de vos assureurs, ils pourront vous en dire plus.
r.andrintafika Mercredi 2. Juillet 2008 10:08
l'exigence IFS 4.12.1 dit que :"Avant de charger les véhicules de transport,leur état sanitaire doit être contrôlé et des actions doivent être mises en place si nécessaire (par exemple odeur anormale, taux de poussière élevé, humidité, nuisible,moisissures,…)"
Est ce que cela implique le seulement le chargement des produits finis ou aussi les matières premières sachant que toutes les matières premières que nous utilisons sont livrées par les fournisseurs.
Donc, si cela est valable, nous devrions donc demander des fiches concernant l'inspection de l'état sanitaire des véhicules avant chargement?
Merci pour votre réponse.
elodie1915 Mercredi 2. Juillet 2008 10:58
Cette exigence concerne le chargement de produits finis effectivement vous devez effectué un contrôle (le mieux est de créer un enregistrement) de l'état des camions lors du chargement cela peut être visuel (propreté, présence de déchets au sols...) ou mesurer ( prise de température). Vous avez également la possibiilité de mettre
en place des cahiers des charges avec vos transporteurs ou figureront vos exigences en matière d'hygiène et de sécurité.
Pour la réception des matières premières c'est la même chose, vous pouvez établir un cahier des charges avec vos fournisseurs et effectuer un contrôle à réception de la matière première selon des critères que vous jugerez adaptés à votre activité (filière viande par exemple prise de température de la viande à réception, un contrrôle visuel de l'état de la palette....). Vous effectuerrez là aussi un enregistrement du contrôle si un problème apparaît vous ouvrez une fiche de non conformité.
jourdan hugues Vendredi 11. Juillet 2008 16:37
r.andrintafika a écrit :
>
> Une des exigences de l'IFS dit que:"
> Avant de charger les véhicules de transport,leur état sanitaire doit
> être contrôlé et des actions doivent être mises en place si nécessaire
> (par exemple odeur anormale, taux de poussière élevé, humidité,
> nuisible,moisissures,…)"
> Est ce que celà est valable seulement pour les produits finis ou aussi
> pour les matières premières?
> Nous envisagerons de faire remplir aux camioneurs des fiches mais
> c'est trop lourd, et j'aimerai savoir si quelqu'un parmi vous a
> d'autres solutions à me proposer?
> Merci
C'est le reponsable des expéditions qui doit gérer ce volet là.
Il accepte ou pas un camion en fct des paramêtres nominaux pour le transports.
En ce qui concerne les MP, c'est le contrôle à réception qui prend en compte ce volet là.
Pour les documents de suivi, essayer de minimiser le nombre de document.
Pourquoi ne pas prendre le bon de préparation de commande...
A+
Hugues
Cécile MARTIN Lundi 28. Juillet 2008 11:38
Bonjour, nous mettons aussi en place l'IFS V05, nous avons réalisé un document pour la zone expé permettant à nos opéraeurs d'enregistrer les contrôles avant chargement des produits finis : température et propreté des caisses de camions. Le chauffeur doit mettre ces initiales et viser ce document. En cas de :
NC/température définie/produit fini = on attends que la température soit conforme pour charger
NC/propreté (caisse sale, malodorante...)= le chargement n'est pas effectué, le responsable logistique est prévenu pour action auprès du transporteur.
rqse Vendredi, 3 Octobre 2008, 10h21mn 01s
mon transporteur a transport de la marchandise congelé et fraîche dans la même enceinte à +4°C , sans cloison séparatrice; il m'a dit qu'il avait le
droit sur une distance de 50 km.
dans quel texte puis-je trouver cette tolérance ?
foued kermad Jeudi 9. Octobre 2008 11:15
demandez lui tout simplement de mesurer la température à l'arrivée ou de la faire mesurer par le client (en droit de refuser si < -15°C).
si le surgelé est en dessous de -15°C, la tolérance limite est dépassée et vous lui aurez prouvé qu'il faut qu'il reconsidère sans même justifier par un
texte.
v.leguyader Mercredi 3. Décembre 2008 9:40
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "luckybichounet" <luckybichounet@...>
a écrit :
>
> Bonjour,
>
> Je souhaitrai mettre en place un contrôle à réception des fournitures
> de conditionnement. Si certains le pratiquent deja dans leur
> entreprise, pourriez-vous m'indiquer les critères que vous contrôlez,
> les fréquences...
Bonjour,
Cela dépend bien sûr du type de produits que vous conditionnez,
Nous sommes une biscuiterie industrielle et au niveau des réceptions des conditionnements, nous contrôlons la référence des produits, les quantités, l'intégrité des palettes, la DLUO,l'état des camions, la liste est exhaustive. De plus une fois par an ,nous faisons remplir un questionnaire fournisseur et nous demandons les fiches techniques ainsi que les certificats d'alimentarité de tous les emballages.
A vous de l'adapter à votre type de produit
Bonne chance
luckybichounet Mercredi 3. Décembre 2008 17:08
nous conditionnons des produits laitiers et notre nombre de références en conditionnement est très importante, c'est pourquoi je ne sais pas trop sur quoi partir.
Il existe des DLUO sur des conditionnements???
v.leguyader Jeudi 4. Décembre 2008 10:21
Nos bobines d'emballages (film en polypropylène)ont bien une DLUO qui leur confèrent des garanties de déroulage optimum (le glissage pour être plus précise). Passé cette date, les bobines sont bien sûres utilisables mais le fournisseur ne garantie plus ces qualités: présence de poussière du au stockage qui va faire que la bobine va peut-être avoir plus de mal à se dérouler.
Nous n'avons jamais eu de problème sur des bobines dites périmées mais il est normal que le fournisseur se protège.
Le reste de nos emballage type carton n'est bien évidemment pas concerné par la DLUO.
Nadège Grosjean 02/02/2009 18:12
Savez vous ce que signifie les inscriptions que l´on trouve à l´arrière des camions frigorifiques, du type :
FRAX
FRX
ATP
Jacques Nigeon Mardi 3. Février 2009 14:04
ATP est un accord international qui définit les conditions de transport des denrées périssables et les caractéristiques des engins de transport
(remorques, camions, container, ...) notamment lors des échanges internationaux.
Les sigles IR, IN, RRC, FNA, ... précisent la catégorie, la qualification et la classe de l'engin de transport conformément à l'accord ATP.
Vous trouverez le détail et les explications à l'adresse suivante :
http://www.unece.org/trans/main/wp11/atp.html
La date (mois, année) qui est indiquée en dessous du sigle précédent, précise la date limite de validité de l'attestation de conformité
techniques de l'engin; attestation qui a pour but de vérifier que l'engin de transport est apte à l'usage prévu.
elodie1915 Mercredi 4. Février 2009 8:49
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, Lacombe céline <celine.lacombe@...>
a écrit :
>
> Bonjour,
>
> je souhaiterais demander à mes fournisseurs de matières premières
des livraisons sur palettes plastiques. Celles qui sont le plus
répandues dans ce procédé sontbien des palettes plastiques légères?
(non gerbables sur racks) puis à chaque livraison, le transporteur
reprend le nombre de palettes palstiques équivalent à sa livraison?
Est-ce toujours le transporteur qui reprend ces palettes?
>
> Merci d'avance pour votre aide,
>
> Céline Lacombe.
Bonjour,
Nous utilisons des palettes plastiques de la société CHEP.
Société de location de palettes et de caisses plastiques.
Normalement cela dépend du contrat passé avec eux mais ils se chargent d'affreter un transporteur pour aller chercher les palettes chez vos clients.ED
MERCREDI 25 MARS 2009
PARLEMENT
EUROPEEN - Sélection de questions écrites avec
réponses:
E-0529/09 Utilisation de conteneurs pour le
transport de denrées
alimentaires à usage humain, de
farines animales, d'aliments pour animaux et
de produits chimiques
sans nettoyage efficace et
contrôlable
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+E-2009-0529+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR
rqse Lundi 25 Mai 2009, 11h11
Nous avons un souci de température à la livraison de notre matière première : temrérature élévée. Pour une raison, nous avons dûe accepter la marchandise.
Le fournisseur me communique des relevés de températures conformes de la matière dans ses locaux.
Le problème viendrait du transporteur.
Ma question est : quel est l'élément que je peux demander au transporteur pour qu'il me prouve que la temprérature de son camion était toujourts conforme (disque, ...) ?
Mathieu Giboulot Lundi 25. Mai 2009 23:06
Effectivement vous pouvez demander la courbe de température de l'enregistreur présent dans la cabine du camion (bande imprimée ou disque.
En revanche en fonction du positionnement de la sonde de l'enregistreur cela n'est pas forcément reprensetatif de la température du camion (ex si la sonde est fixé à la sortie de l'évaporateur, la température sera forcément bonne, saud s'il coupe d'évaporateur).
L'autre solution est de vous mettre d'accord pour faire installer dans votre colis par le fournisseur une sonde d'enregistrement de température afin de pouvoir constater les variations de température entre le départ du fournisseur et l'arrivée dans vos locaux.
Dans tout les cas, si la température à coeur est non conforme le produit ne doit pas être accepté.
MARDI 29 SEPTEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Les BPH : exemples de défauts de contrôle à
réception de
matières
premières, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=2155
Bertrand CARLIER Mardi 29. Septembre 2009 10:52
Les BPH : exemples de défauts de contrôle à réception de matières premières,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=2155
si le contenu de cet article n'est pas faux il y a une très grosse omission: les arrangements.
deux exemples:
- un jambon avec un problème d'étiquettage à réception, que fait la personne, elle appelle le vendeur qui propose un arrangement. Ce défaut pouvait ou plutôt peut en cacher bien d'autres mais comme il n'y a pas officiellement d'évènement, tout est possible...
- un camion de viande refusé pour un opérateur pour un défaut x, est-ce qu'il y a une personne sur cette liste qui pense que les produits sans modification d'étiquette et sans notification de l'événement ne va pas trouver un autre destinataire?
Ceci est évoqué, en ce lieu, depuis bien longtemps, mais, visiblement, cela en arrange bien trop... Il suffit de voir les débats sur la notion de CCP qui avaient d'abord pour objet de pouvoir maintenir ces pratiques...
amicalement
Bertrand
ps: un débat hors liste ou sur un blog qui n'est pas la liste n'a, pour moi, aucun intérêt.
Albert Amgar Mardi 29. Septembre 2009 11:02
Ce que vous dites sur les arrangements est sans doute le reflet de certaines 'mauvaises' pratiques mais le sujet ne peux pas être traité du sujet faute d'éléments concrets, seulement " des ont dit ".
Bertrand CARLIER Mardi 29. Septembre 2009 11:07
pour les deux exemple que j'ai indiqué, moi, je peut indiquer les lieux et entreprises, mais ce n'est pas dans les habitudes des lieux.
Vous pourriez convenir, cependant, et la mémoire de la liste en porte trace que j'ai pris le temps x fois de renvoyer vers l'histoire du mot contrôle...
Bertrand CARLIER Mardi 29. Septembre 2009 11:48
complément,
concernant
" des ont dit "
la remballe, cela doit être " des ont dit ".
Cela ne sert à rien d'envisager un mode de gestion sans se préoccuper des évènements. Cela fait un moment qu'on le répète en ce lieu... Tant que les procédures de réception ne feront pas l'objet d'une gestion formalisée avec obligation, sous peine de sanctions*, prévues dans le contrat de travail ( qui là protège l'employé autant que l'employeur), obligeant à porter à connaissance de tiers officiels certains types d'évènements, on avancera pas, si ce n'est dans le déni et les accidents.
Pour le cas des sacs fuités, pourriez vous fournir sur la liste la fiche technique, on n'y évoque pas la gestion après ouverture?
c'est quoi, pour beaucoup, la différence entre une fuite et une ouverture?
la fuite peut intervenir, bien sûr, en bien des lieux.
VENDREDI
11 DECEMBRE 2009
EFSA
01/12/09 Les cargaisons antérieures des navires de
transport
alimentaire évaluées par
l'EFSA
http://www.efsa.europa.eu/EFSA/efsa_locale-1178620753816_1211903079028.htm
LUNDI
28 DECEMBRE 2009
AFSCA
23/12/09 Circulaire du 23/12/2009 concernant le transport de
viandes
fraîches (carcasses porcines et sang) non
entièrement
refroidies.
http://www.afsca.be/sp/pa-pa/_documents/2009-12-23_Omzendbriefwarmvervoer_21-12-2009_fr_000.pdf
LUNDI
11 JANVIER 2010
AFSCA
- Circulaire du 23/12/2009 concernant le transport de viandes
fraîches
(carcasses porcines et sang) non entièrement
refroidies.
http://www.afsca.be/sp/pa-pa/viande_fr.asp
SAMEDI
23 JANVIER 2010
PROCESS
19/01/10 Un kit d'emballages pour l’expédition des
produits
frais
http://www.processalimentaire.com/Emballage/Un-kit-d-emballages-pour-l-expedition-des-produits-frais
(source
Gilles TIXIER)
Arnaud Boulanger Lundi 8. Mars 2010 15:05
je suis consultant en hygiène alimentaire en Guyane Française.
Dans ce cadre j'accompagne des entreprises à rédiger et mettre en place leur Plan de Maîtrise Sanitaire.
A l'étape réception, je préconise des valeurs cibles de -18°C pour les surgelés; avec une tolérance de 3°C soit -15°C au maximum.
La technicienne DSV qui réalise les inspections dans un lycée que je conseille, me demande de justifier cette tolérance.
J'ai fourni les références précises suivantes :
- AM du 09/05/95 abrogé : art.10, 2, b autorise de soustraire les produits à la température de conservation pour de courtes périodes nécessaires aux interfaces des étapes de préparation, transport, présentation, ...
- GBPH Restaurateur
- GBPH Distribution des produits surgelés
- GBPH Cafétérias
Dans ces 3 guides validés par DGAL, Dir Santé et DGCCRF, cette tolérance de 3°C est justifiée par l'analyse de risque au stade de la réception.
Mon argumentation ne l'a pas convaincu, au motif que ces GBPH ne s'appliquent pas à la Restauration collective à caractère social (RCCS) . Ainsi, selon elle tout produit surgelé reçu à une T°C supérieure à -18°C doit être refusé !!! Pour infos la température moyenne en Guyane est de 30°C toute l'année et ne descend pas sous le 26°C même la nuit. Par ailleurs, la Guyane compte 220 000 habitants et les structures de production sont petites et aucune n'est équipée de quai à Température dirigée.
Pourtant, il me semble que les conditions de transport et la livraison des produits surgelés ne sont pas significativement différentes (volume, type de camion) en grande distribution, cafétéria et RCCS. L'établissement concerné est un lycée, et non une crèche, d'un hôpital ou d'une maison de retraite. Les consommateurs ne sont donc pas une population à risque.
Il n'y a donc, a mon avis, aucune raison pour que l'analyse de risque conduise à des conclusions différentes.
Je finis par me demander si la DSV n'est pas de mauvaise foi dans cette affaire, et cherche un prétexte pour refuser l'agrément à cet établissement pour des raisons qui m'échappent.
Quel est votre avis ?
Quelqu'un a-t-il des arguments pour m'aider à justifier cette tolérance de 3°C ?
D'avance merci pour vos contributions.
Hubert BAZIN Lundi 8. Mars 2010 15:28
Dans ce qui suit, j'émets l'hypothèse que la remarque ne concerne que la réception, et que votre client possède des installations permettant de redescendre rapidement au-dessous de -18°C, et que vous pouvez en apporter la preuve (enregistrements de température)
Si le GBPH produits surgelés est validé avec une tolérance de 3°C, je ne vois pas au nom de quoi le client de la filière produits surgelés peut se montrer plus royaliste que le roi... Ou alors, il devrait exister un GBPH "produits surgelés à destination exclusive des cuisines de resto coll à caractère social" (et il ne me semble pas que cela soit le cas). Si cette dame inspectait le fournisseur, quel argument lui opposerait-elle pour sa livraison à -16°C ?
Cette fonctionnaire de l'État aurait-elle à sa disposition les résultats d'une étude montrant une croissance microbienne significative à partir de -17,9°C ? Si oui, pourrait-elle la faire partager ?
J'ai écrit il y a plusieurs mois sur la Liste pour demander des conseils dans la rédaction d'une réponse à une inspection DSV pour laquelle l'inspecteur (chef de service, tout de même) avait émis des demandes assez ... extrêmes. Nous attendons toujours, mon client (pour son autorisation) et moi-même (le solde de la facture est une fois l'autorisation obtenue...), la réponse à cette réponse (qui date de janvier dernier). Il faut tenir bon...
Eric KALINOWSKI Lundi 8. Mars 2010 15:40
«Je préconise des valeurs cibles de -18°C …» : N’y a-t-il pas confusion aussi entre « Valeur cible » et « Limite critique» ?
Gilles TIXIER Lundi 8. Mars 2010 16:21
N’avez-vous pas l’expérience que les représentant de DSV à l’origine de blocages de ce type, sans fondement, ni scientifique, ni pratique, ne sont pas des Docteurs Vétérinaires ?
Je sais que des collègues, dans des situations similaires, ont traité directement avec la Direction de la DSV et on fait valoir leurs arguments.
En dernier recours, et quand l’enjeu est important, social ou économique, n’y a-t-il pas lieu de faire une lettre au préfet pour l’informer de cette situation ?
forumhygiene89 Mardi 9. Mars 2010 9:54
Comme argument non contestable, je ne vois que l'arrêté du 21 décembre 2009 relatif aux règles sanitaires applicables aux activités de commerce de détail, d'entreposage et de transport de produits d'origine animale et denrées alimentaires en contenant – Annexe 1 (texte à la fin de l'annexe)
Il est noté noir sur blanc « dans la mesure où la différence de température n'excède pas +3°C en surface, lorsque cela s'avère nécessaire, pour de brèves périodes, lors du chargement – déchargement de ces produits… »
Et puis vous n'aviez qu'a pas choisir un endroit si chaud (bon d'accord la c'est ma jalousie qui parle ;-)), nous n'avons actuellement aucun soucis de températures en métropole…il fait plus froid dehors que dans les chambres froides…
elodie1915 Lundi 16. Mai 2011 10:54
Quelqu'un aurait-il des idées concernant la création d'une grille d'évaluation des transporteurs?
qualiteddc Mardi 17. Mai 2011 10:46
vous pouvez évaluer vos prestataires en fonction de vos attentes.
Personnellement, je les évalue sur ces critères : Respect des engagements de ramasse et de livraison, conformité des véhicules de transports/marchandises, % litiges. J'attribue une note entre 0 et 2 si le critère est non rempli, parfois rempli ou rempli. La note pour les litiges dépend du % obtenu. La somme des notes permet l'évaluation du prestataire et les décisions que vous allez prendre à son encontre: référencement maintenu,recommandations, audit ou déréférencement.
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