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THEME : LE LAIT CRU
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Alain GONTHIER mercredi 6 octobre 1999 15:40
At 14:15 01/10/99 -0400, you wrote:
>Bonjour à
tous,
>
>Est-ce qu'il existe des données
relativement à l'incidence des bactéries pathogènes
dans le lait cru?
>Merci de votre collaboration
>
>
>Daniel
Tremblay d.r.a
>Bas-St-Laurent-Gaspésie-Ile-de-la-Madeleine
>
>
J'ai
trouvé une note de service de la DGAL (Direction Générale
de l'Alimentation dépendant du ministère de
l'agriculture) de 1998 qui décrit le bilan du plan de
surveillance concernant la contamination bactériologique des
fromages fermiers et industriels au lait cru. Cette étude ne
permet pas de déterminer l'origine de la contamination
(matière première, manipulation ou autre) mais elle
donne une image de la qualité bactériologique de
différents type de fromage au lait cru. En tout, 834
prélèvements ont été effectués,
656 à partir de fromages fermiers, 178 à partir de
fromages industriels. E coli, Staph aureus, listeria mono et
salmonelles ont été recherchés ou dénombrés.
Si ce document correspond à votre demande, je peux vous en envoyer une photocopie pour ne pas encombrer la boite au lettre avec un document scanné donc volumineux. A ma connaissance il n'est pas disponible sur internet. A moins que Bruno est une adresse pour consulter les notes de service de la DGAL
Albert Amgar mercredi 6 octobre 1999 16:41
Effectivement, c'est je ce que dis aux entreprises "pas d'obligation de moyens mais une obligation de résultats", mais à chaque fois, cela les fait "franchement" rigoler parce que ce n'est pas ce qu'il constate avec les services réglementaires. Alors comme ils n'ont pas "envie" d'avoir des problèmes relationels, cela reste dans le domaine des intentions.
Ghita Benkirane ghitab@wanadoo.fr mardi 26 octobre 1999 22:03
J'aimerais vous remercie tous pour vos réponses et
je peux enfin vous faire une synthèse comme promis, même
si un peu tardive !
Salutation à tous
Ghita
Benkirane
Consultante
Merci à vous tous pour vos
réponses : Yves Boisard, Alain GONTHIER, Albert AMGAR, JC
DUSSAUD, P. BOUTET
1. Nécessaire, je ne sais pas, mais le
dosage de la phosphatase reste un bon moyen de faire la différence
entre un camembert fabriqué avec du lait thermisé et un
autre camembert fabriqué avec tout ou partie de lait cru. Les
écarts constatés sont très importants bien qu'on
ne puisse utiliser la méthode pour quantifier le pourcentage
de lait thermisé utilisé.
2. A mon avis, le test de
la phosphatase associé à celui de la peroxydase reste
nécessaire pour prouver comme vous le mentionnez l'efficacité
du traitement. L'enregistrement des paramètres de
pasteurisation ne servant qu'à vérifier les moyens mis
en ?uvre. Les professionnels ont une obligation de résultats
et non plus de moyens.
3. Effectivement, c'est je ce que dis aux
entreprises " pas d'obligation de moyens mais une obligation de
résultats ", mais à chaque fois, cela les fait "
franchement " rigoler parce que ce n'est pas ce qu'il constate
avec les services réglementaires. Alors comme ils n'ont pas "
envie " d'avoir des problèmes relationnels, cela reste
dans le domaine des intentions.
4. Je souscrit tout a fait à
la remarque de M. AMGAR, je constate parfois sur le terrain une
dérive consistant a exiger des moyens, ou a ne considérer
comme efficace que des moyens " recommandés ". Cela
peut poser a certaines entreprises de véritables problèmes...
Cela pose aussi le problème de l'expertise pour l'évaluation
des dispositions hygièniques mises en place dans un atelier.
La simple application des textes ne suffit plus dans le nouveau
contexte règlementaire, et porter un avis sur la maîtrise
des industriels nécessite souvent une veille technologique
importante (ex : impact des biofilms sur la désinfection,
thermorésitance de Salmonella dans les produits gras, effet
d'un rinçage sur une contamination en organoschlorés et
phosphorés...).
5. Certes les principes c'est bon, cela
permet d'orienter l'action. Cependant un basculement aussi
radical que celui de la " nouvelle approche ", d'une
liberté surveillée des entreprises succédant à
une attitude dirigiste des administrations demande à chacun un
temps d'adaptation.
D'abord la situation n'est pas homogène.
Selon leur importance les entreprises sont ou non capables de
conduire de véritable programme d'assurance de la qualité
sanitaire de leurs productions. La PME, l'artisan sont dans bien des
cas assez dépassés, il faut le reconnaître et
demeurent demandeur de consignes précises ; dans ce cas il n'y
a bien entendu pas d'innovation mais le recours à des réponses
éprouvées et validées par l'expérience.
Du
côté des organismes de contrôle et de leurs
agents, la situation n'est pas non plus toujours identique. Ceux qui
exercent depuis des années dans des secteurs alimentaires
développés, ont enrichi leur expériences, vu
évoluer les technologies, pu confronter les solutions et
dialoguer avec des ingénieurs de diverses disciplines dans ces
entreprises. Ils sont à même d'évaluer les
programmes mis en place et les solutions proposées, sans s'en
tenir à un référentiel parfois figé ou
dépassé. Il n'en est pas de même dans d'autres
régions, dépourvues d'activités agroalimentaire
fortes, dans lesquelles les agents assurent la surveillance d'une
multitude de petites ou moyennes entreprises dans des secteurs très
divers, de niveaux technologique très variés. Il leur
est difficile dans ce cas d'évaluer ou de valider toujours des
propositions qui soit ne sont pas suffisamment étayées
soit dépendent de compétences absentes ou peu présentes
dans l'entreprise. Leur souci de sécurité tend dans ces
cas légitimement me semble-t-il à préconiser la
mise en place de sécurités voire de double sécurité
susceptibles de prévenir les incidents graves. On sait quelles
sont les conséquences d'une pasteurisation mal conduite sur
des produits frais à DLC moyenne, faut-il si le système
de contrôle de cette opération n'apparaît pas
parfaitement maîtrisé dans les faits ne s'en tenir
qu'aux principes ? sachant qu'en cas d'accident sérieux, la
responsabilité pénale et civile des contrôleurs
pourra être recherchée ? Comment sera alors appréciée
la latitude laissée à l'exploitant ? Comme une
négligence, ou comme le respect d'un partage formel de
responsabilités ? Je crains que seule la jurisprudence ne
fournisse de réponse précise à cette question.
Il y a peu de volontaires pour l'alimenter délibérement!
>>
>
Joel GERNEZ jeudi 25 octobre 2001 20:13
je relaie une question posee sur une autre liste
Je suis éleveuse et productrice de fromages de chèvres
au lait cru .
Je suis installée au Maroc.
Afin d'obtenir
mon agrément sanitaire, le ministère de l'agriculture
me demande de fournir la liste de tous les autocontrôles que je
peux effectuer sur le lait et sur les fromages .
Pouvez vous
m'indiquer ce que je suis en mesure de faire et quels sont les
produits nécessaires , outre le suivi de bonnes règles
d'hygiène et la mesure de l'acidité du lait et du
caillé.
jeudi 25 octobre 2001 20:57
Concernant les autocontrôles au niveau
des productions laitières, voici un document qui peut vous
aider :
Directive 92/46/CEE du Conseil,
du 16 juin 1992, arrêtant les règles sanitaires pour la
production et la mise sur le marché de lait cru, de lait
traité thermiquement et de produits à base de lait
(voir l'article 14 au sujet des
autocontrôles)
http://www.liste-hygiene.org/veillelait.htm
D'autre part je vous propose de lire les
différents rapports de l'OAV dans le secteur laitier à
l'adresse suivante :
arclaitrapports.html
mardi 11 décembre 2001 23:49
QUESTION ÉCRITE E-0823/01 posée
par Michl Ebner (PPE-DE) à la Commission (06 mars 2001) Objet:
Traitement du lait
cru
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2001-0823+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3&NAV=S
QUESTION
ÉCRITE E-0824/01 posée par Michl Ebner (PPE-DE) à
la Commission (06 mars 2001) Objet: Traitement du lait
cru
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2001-0824+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3&NAV=S
jeudi 16 mai 2002 08:11
QUESTION ÉCRITE E-0809/02 posée par Michl Ebner
(PPE-DE) à la Commission (13 mars 2002) Objet: Définition
du lait
cru
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2002-0809+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=0&NAV=S
jeudi 6 juin 2002 11:27
WASHINGTON POST 05/06/02 GOT MILK? RAW MILK MAY BE ILLEGAL
LOCALLY, BUT FANS KNOW WHICH BARN DOORS TO KNOCK ON TO FIND
IT
http://www.washingtonpost.com/ac2/wp-dyn/A57321-2002Jun4?language=printer
jeudi 13 juin 2002 07:24
WASHINGTON POST 12/06/02 Delights and Dangers of Raw Milk
http://foodhaccp.com/msgboard.mv?parm_func=showmsg+parm_msgnum=1003645
vendredi 28 juin 2002 00:19
CDC 28/06/02 Unpasteurized Milk Procured through a Cow-Leasing
Program --- Wisconsin,
2001
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5125a2.htm
samedi 3 août 2002 10:39
CONSEIL NATIONAL DE L'ALIMENTATION (CNA) - Avis N°39 sur le lait cru
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/ressources.publicationsofficielles.avisducna_r381.html
polmiller jeudi 31 octobre 2002 09:28
je suis à la recherche de normes et de limites acceptables
de la qualité microbiologique du lait cru de ferme et du lait
demi-écrémé en vrac.
Je recherche ces infos
sur les germes suivants : germes totaux, enterobactéries,coliformes
totaux et fécaux, salmonelles, levures et moisissures.
STERNA jeudi 31 octobre 2002 10:09
L'arrêté du 30 Mars 1994 précise les critères microbiologiques relatif au lait.
NAULOT, Sylvain lundi 9 décembre 2002 17:43
Un colistier pourrait il m'indiquer comment interpréter les résultats en flore aérobie et flore lactique sur les préparations culinaires avec ajout de fromage cru.
jacques ANTOINE mardi 10 décembre 2002 08:54
la note de service N°93/8205 du 9 décembre 1993 répond
(si elle est toujours en vigueur - à voir avec Bruno PEIFFER)
à votre question. Je vous retranscrit ci-dessous les
éléments.
"L'article 3 de l'arrêté
ministériel du 21 décembre 1979 modifié fixe les
critères microbiologiques auxquels doivent satisfaire les
plats cuisinés à
l'avance, le critère
"microorganisme aérobie à 30°C" devant.
être interprété pour certaines catégories
de plats cuisinés à l'avance.
ATTENTION,
l'Arrêté du 21/12/79 a été abrogé
par l'Arrêté
du 3 avril 2006
La présenté note vous
précise l'interprétation de ce critère pour les
préparations culinaires incorporant du fromage, composant
chargé en flore
lactique naturelle pouvant se révéler
responsable du dépassement de la flore aérobie
mésophile. Elle modifie le paragraphe « plats cuisinés
à l'avance » de la circulaire du 4 avril 1980,
On
entend par "préparation culinaire" toute préparation
composée de denrées animales ou d'origine animale dont
tout ou partie a subi un traitement de cuisson. Cependant les
sandwichs ne sont pas visés par la présente note..
Ces
nouvelles dispositions sont d'application immédiate pour les
laboratoires officiels et les laboratoires privés effectuant
des analyses
microbiologiques à la demande des
professionnels assujettis à l'obligation
d'autocontrôles.
Deux cas sont à considérer
selon que le fromage a ou non subi le traitement de cuisson de la
préparation culinaire elle-même:
1.. Cas des
préparations culinaires cuites ou précuites après
l'ajout de fromage:
Les préparations culinaires
incorporant le fromage {quiches. lasagnes bolognaises gratinées
...) ont subi un traitement thermique de cuisson ou de pré-cuisson
après l'incorporation du fromage. Toutefois, celui-ci ne
permet pas toujours de détruire suffisamment la flore
lactique. il conviendra donc d'interpréter les résultats
analytiques selon un plan à crois classes en prenant pour
valeurs:
m=3 x l05
M=3 x l06 avec n = S et c =
5.
Par conséquent, les cinq unités de
l'échantillon peuvent être comprises entre la valeur 3 m
(900 000 de germes) et M= 10 m (3 000 000 de germes) sans faire
obstacle à l'acceptabilité du lot,. tous les autres
critères étant par ailleurs intégralement
respectés.
2. Cas des préparations culinaires
avec ajout superficiel de fromage cru:
Il s'agit de
préparations culinaires essentiellement crues, souvent
congelées, telles que pizzas, roulés, croque-Monsieur
..., saupoudrées de
fromage cru en dernière
manipulation.
Il convient de dénombrer sur les premiers
lots analysés les microorganismes aérobies mésophiles
ainsi que la flore lactique (cf. norme AFNOR V 04-503 Dénombrement
des bactéries lactiques: viandes et Produits à base de
viande), afin de déterminer si le dépassement de la
flore mésophile (par rapport au critère défini
au chapitre ci-dessus) peut s'expliquer par le dénombrement
important de la flore lactique. Si le dépassement du critère
« microorganismes aérobies à 30°C » est
en relation avec un taux; élevé de flore lactique,
aucun critère n'est retenu pour la flore aérobie
mésophile.
A l'inverse, si le dépassement du
critère n'est pas en relation avec une importante flore
lactique, l'interprétation du critère se fera selon un
plan
à trois classes avec m = 3 x l05selon les mêmes
modalités , que celles énoncées ci-dessus. "
lundi 16 décembre 2002 22:44
La note de service N°93/8205 du 9 décembre 1993 indiquée il y a quelques jours par Jacques ANTOINE est toujours en vigueur et non modifiée.
samedi 22 février 2003 12:48
MAPAQ - Réseau d'alerte d'information zoosanitaire du MAPAQ
- Bilan 2001
Résultats de l'enquête de prévalence
d'agents pathogènes dans le lait cru
Nouveau protocole
d'identification des bactéries isolées du lait
http://www.agrireseau.qc.ca/apiculture/Documents/bilans_raizo_apiculture.pdf
samedi 26 avril 2003 12:06
DENVER POST 24/04/03 Raw-Milk Regulation Has Colorado Dairies
Stirred
Up
http://www.mycattle.com/news/dsp_national_article.cfm?storyid=9046
samedi 13 mars 2004 14:41
AP 12/03/04 Farmer challenges state law, fights restrictions on
raw
milk
http://www.zwire.com/site/news.cfm?BRD=1302&dept_id=181978&newsid=11115818&PAG=461&rfi=9
lundi 19 avril 2004 09:55
International Dairy Journal 12 (2002) 75-80 Composition of
raw milk from sustainable production
systems
http://www-mat21.slu.se/publikation/pdf/Ekomjolk.pdf
samedi 26 juin 2004 11:03
Pakistan Journal of Nutrition 3 (3): 161-162, 2004 Isolation of
Some Pathogens from Raw Milk of Different Milch
Animals
http://pjbs.org/pjnonline/fin199.pdf
manal_jamil lundi 13 septembre 2004 22:17
j'aimerais avoir le max des informations concernant le point de congélation du lait cru.
Druartusa mardi 14 septembre 2004 14:09
Le point de congelation du lait de vache est de : -0.530 a -0.555
degree Celsius.
Quel genre d'autres d'informations recherchez
vous?
FANIEL Yves mardi 14 septembre 2004 15:33
Le point de congélation vous est déjà parvenu
dans un autre courriel alors voici un petit renseignement pratique,
il permet de donner une image de sa teneur en eau et donc si il a
été dilué volontairement ou non lors des
transferts successifs ( du producteur vers l'utilisateur).
La
cryoscopie permet de déterminer, comme l'ébulliométrie,
les proportions de produits en mélange (solution )
Odile Dumand : Tuesday, October 26, 2004 8:58 AM
Je
viens de recevoir des résultats d'analyses sur du lait entier
cru pour:
pesticides organochlorés et
organophosphorés
dioxines
furanes
pcb
métaux
lourds (Plomb cadnium mercure)
radioactivité
aflatoxine
M1
Or je n'ai que des résultats et pas de seuils
de référence pour déterminer si mes résultats
sont conformes
Quels sont les textes règlementaires
qui se rattachent à ce type d'analyses pour les produits
laitiers (type lait pasteurisé entier ou non, crème
fraîche et poudres de lait)? Quels sont les normes à
respecter Comment se tenir au courant des évolutions des
seuills de détection
Si quelqu'un peut m'aider ce serait un énorme soulagement car je suis un peu perdue dans la législation
Bertrand CARLIER mardi 26 octobre 2004 09:50
avez vous l'intention ou l'obligation de fournir
l'intégralité des résultats aux producteurs* qui
désormais sont responsables mais ne semblent pas disposer de
faits et donc par conséquent d'outils de gestion
?
amicalement
Bertrand CARLIER
ps: les normes me
semblent être une composante du contrat de vente donc devraient
vu le nombre de transactions des produits que vous citez être
connues de beaucoup.
* la pertinence des données, pour le
producteur, est bien sûr fonction de la description du lot
analysé.
Odile Dumand mardi 26 octobre 2004 11:56
Ces analyses font partie des nouvelles exigences de mes cahiers
des charges clients (pas de seuil précisé mais
"conforme à la legislation en vigueur").
Il est
donc important que je puisse interpréter les résultats
et que je puisse répondre à leurs questions. Je
recherche donc des repères pour déterminer si les
résultats d'analyses sont conformes.
"CARLIER789" Wednesday, October 27, 2004
7:53 AM
une question complémentaire, après
lecture:
http://www.interscan.fr/inf.php?id_s=103&id_p=93
Les palettes de bouteilles reçoivent dès leur sortie de production une étiquette de palette au format EAN 128 qui comporte différentes données en clair et en codes-barres, et en particulier le numéro de lot, le SSCC (SSCC = Serial Shipping Container Code), la DLUO (date limite d'utilisation optimale), l'heure de fabrication
Elles sont ensuite retenues durant cinq jours avant
commercialisation, car aucun produit ne quitte l'entreprise sans
avoir subi un contrôle interne Ce délai est nécessaire
pour obtenir les résultats des différentes analyses
effectuées par le laboratoire interne et garantir la qualité
permanente de l'eau minérale embouteillée et
conditionnée
http://www.interscan.fr/inf.php?id_s=103&id_p=94
Ce besoin de réactivité est indispensable car
les commandes passées avant 11 heures sont livrées le
jour même et les autres (11-17 heures) livrées à
J+1.
Ce sont donc 12.000 à 20.000 colis qui quittent l'entreprise chaque jour
Toutes les fabrications font l'objet d'analyses chimiques et
bactériologiques rigoureuses Tous les lots sont analysés
pour les familles de produits les plus sensibles, les préparations
de commandes ne pourront s'effectuer qu'après libération
des résultats
comment procédez vous dans
le domaine du lait cru ?
Odile Dumand
27/10/2004 18h35
Le lait cru est notre matière première 1 citerne
(soit environ 20 000 litres) = 1 lot livré Nous devons ensuite
gérer le dépotage des citernes de lait par un système
de remplissage / soutirage de tanks les uns après les autres
Nous avons une traçabilité horaire du lait et de la
crème traités
Nous travaillons également
sur l'intégration de l'EAN 128 dans notre système de
traçabilité des produits finis Nous travaillons en flux
poussé ou tiré en fonction du type de produit Les
analyses de toutes nos fabrications sont réalisées en
interne
Bertrand
CARLIER 27/10/2004 20h38
merci de votre réponse
deux préalables:
-
l'utilisation de liens d'entreprise a pour but de partir d'exemples
concrets et formalisés par d'autres, donc, non
inventés
-votre cas est moins intéressant
pour moi, car il me semble que les cas du lait cru d'une part, et du
lait servant à la fabrication du lait premier âge pour
bébé, d'autre part, sont les deux exemples qui peuvent
le mieux démontrer la nécessité de l'usage du
système HACCP de la fourche à la fourchette( si j'ai un
jour espéré accéder à des liens exposant
ces stratégies, je doute qu'en fait elles aient un jour existé
en quelque lieu que ce soit, mais je veut bien lire)
Dans
les deux exemples cités, celui de l'eau est le plus facilement
sécurisé et sécurisant, car la nature du produit
et la durée de vente du produit à la sortie de l'usine
permet de prendre le temps En revanche dans le cas du boudin, il me
semble qu'entre les mots et la réalité, il existe un
monde qu'il faudra bien un jour examiner ( l'entreprise de
transformation est totalement dépendante des démarches
amont ( quasi inexistante , pour ce qui est public ) et ceci quelque
soit la nature des contrats d'achat, ce qui après le premier
janvier est un risque économique peut être très
important si ...)
Dans votre cas, puis je savoir pour
les analyses que vous avez évoquées le temps nécessaire
à l'obtention des résultats ?
Il me semble
qu'en présence d'une vraie démarche HACCP prouvable,
des dépassements de normes non représentatifs des lots
ne doivent pas pour des grands volumes justifier des retraits, si x
conditions sont remplies ( les cas du sang et des abats sont des
exemples pour lesquels je veux bien débattre avec qui que ce
soit vu la situation actuelle et même future ( dix ans), vu les
actions stratégiques actuelles)
amicalement
Bertrand
CARLIER
ps: pour moi une analyse a autant d'importance
quelque soit son lieu de production si elle est faite par des gens
formés dans une structure qualifiée En revanche, et
peut être par économie, je trouve dommage que x analyses
n'aient pas le retour économique potentiel pour des motifs qui
me semblent au premier janvier d'un autre temps
nb:
sachant que par principe vos analyses portent sur de grands mélanges
( taille de la citerne / par rapport au volume d'une traite) il me
semble que les valeurs qui doivent justifier une enquête amont
doivent être au moins inférieure de 20% aux normes Il me
semble que certains pourraient démontrer qu'il faudrait aller
jusqu'à au moins 50 % . Ceci dans le but de rester dans la
maîtrise des dangers( définition du professionnalisme)
et non d'avoir à passer à la gestion des risques La
question à poser peut être:
les enquêtes
amont peuvent être réalisées par qui pour être
consensuelle
annexe: ma connaissance de certaines
filières et de certaines sources de contaminants avérées
et non officiellement reconnues ( voir autres messages) me font
douter de la qualité de x démarches, mais je suis prêt
à lire)
MARDI 30 AOUT 2005
FSAI 29/08/05 Pasteurisation: Health Risks from
Unpasteurised Milk
http://www.fsai.ie/publications/leaflets/farm_industry/farm_pasteurisation3.pdf
jerome quinio Thu, 22 Jun 2006 10:10:20 +0200
J'ai
un établissement scolaire qui utilise du lait cru au service
de restauration .
Après consultation de la DSV , il
s'avère qu'ils tolèrent cette pratique sous réserve
que le lait provienne d'un établissement titulaire d'une
patente sanitaire
Si l'utilisation en cuisson ne me pose pas
problème , je suis beaucoup plus réservé quant à
l'utilisation froide de ce produit , jusque là effectuer sans
traitement thermique .
J'ai conseillé la solution
suivante à l'établissement :
Ebulition du lait
, puis refroidissement rapide en cellule .
Mais quel doit être
le délai entre ces opérations et la consommation :
*
Consommation le jour de l'opération
OU
*
Consommation possible le lendemain comme tout produit refroidi selon
l'arrété du 29/09/97
Je me pose cette question
surtout en raison de la fragilité du produit au niveu
bactériologique .
jourdan.hugues Thu, 22 Jun 2006 10:39:49 +0200
C'est
drôle mais c'est comme cela que j'ai vu ma grand mère
utiliser le lait frais dans les années 70.
Il est
clair que l'utilisation de lait cru sans traitement thermique est
dangereux. On n'est pas à l'abris d'une erreur de traite. J'ai
connu ça en laiterie avec un tank de 10 000 inutilisable suite
à des antibiotiques dans une ferme...Le chef de Prod était
furibard et le Responsable des relations producteur s'était
fait tout petit. On a fini par en faire du concentré et de la
poudre.
Les paramêtres à surveiller sont le
temps d'ébullition et le temps de redescente en dessous de
4°C. Travail en marmite bien nettoyé.
Penser à
conditionner à chaud pour avoir un effet de sanitation des
contenants étanches avant refroidissement en cellule.
Dans
la mesure où tu stockes le produit en chambre froide positive,
tu peux aller jusqu'à 24H, mais il doit être possible de
pousser un peu plus comme un lait pasteurisé en usine (jusqu'à
7 jours).
http://www.isaa.fr/laits%20consommation%20sterilise%20UHT%20pasteurise%20microfiltre%20cru.pdf#search='pasteurisation%20lait%20DLC'
J'ai
trouvé ça à la volé sur internet.
Si
tu peux avoir le débit, c'est à dire réceptionner
le lait cru tout les jours, pourquoi ne pas limiter le risque sinon
se laisser 24 h. Pas de retour de lait après ouverture car tu
ne maitrise pas la température et l'aspect hygiènee au
moment de la collation des élèves.
Balise avec
ta DSV qui ne n'oublions pas à une mission de conseil.
Envoie aussi un ou deux échantillons au labo départemental
pour analyse, ça coute un peu mais au moins tu auras des
traces.
Mais bon on peut aussi se poser la question :
Pourquoi ne pas supprimer le risque en utilisant de l'UHT...
Bertrand CARLIER Thu, 22 Jun 2006 10:57:45 +0200
"On
n'est pas à l'abris d'une erreur de traite. J'ai connu ça
en
laiterie avec un tank de 10 000 inutilisable suite à
des antibiotiques dans
une ferme...Le chef de Prod était
furibard et le Responsable des relations
producteur s'était
fait tout petit. On a fini par en faire du concentré et
de
la poudre."
cette pratique est-elle encore légale
?
amicalement
Bertrand:
je crois me souvenir
qu'au Danemark celui conduit à une déclaration de
sinistre ( donc accident ) destruction du lot, et dédommagement
par le producteur.
Olivier CERF Thu, 22 Jun 2006 11:30:24 +0200
D?un
strict point de vue économique, il reviendrait probablement
moins cher d?acheter du lait UHT à conserver à
température ambiante ou même du lait pasteurisé
ou microfiltré à conserver au froid, plutôt que
d?acheter du lait cru et d?employer du personnel pour le chauffer et
le refroidir.
L?argument « le goût du lait UHT ne
plaît pas » me semble de peu de poids. Attendez les
réactions au goût de lait bouilli et à la vue de
la peau du lait ! Du point de vue organoleptique, ce qui ressemble le
plus au lait cru c?est le lait pasteurisé et le lait
microfiltré.
HP Thu, 22 Jun 2006 12:51:57 +0200
Je ne
vois vraiment pas l'intérêt de prendre ainsi le risque
d'utiliser du lait cru en restauration collective, et je suis surpris
que la DSV ait donné son aval.
cedchapuis Thu, 22 Jun 2006 11:05:52 -0000
1-Un
lait (cru ou non) contenant des résidus médicamenteux à
des concentrations excédant les niveaux autorisés ne
peut être valorisé pour la consommation humaine ou
animal. Les seuls devenirs possibles sont (CE 1774/2002)
l'incinération, la production de biogaz, le compostage ou
l'application au sol (selon des modalités spécifiques).
Un protocole interprofessionnel du CNIEL encadre la gestion
économique pour ces cas de figure.
2- S'agissant de la
consommation de lait cru en restauration collective, le lait
provenant d'un élevage avec une autorisation de patente
sanitaire, il ne s'agit pas d'une tolérance mais de
l'application de la réglementation.
3- A propos de la
citation
> > Il est clair que l'utilisation de lait cru
sans traitement thermique est
> > dangereux.
je me
permets de la mettre en exergue car elle me semble exagérée,
d'autant plus qu'elle est suivie d'un exemple avec une contamination
par des antibiotiques, problématique résolument
différente des organismes pathogènes.
4- Les
lycées agricoles disposant d'une ferme padagogique laitière
utilisent bien souvent le lait de l'exploitation dans le cadre de la
restauration collective (avec internat donc peit déjeuner).
5- Quant à supprimer le risque en utilisant du lait
UHT (et sous entendu aucun produit au lait cru), n'est-ce pas oublier
l'existence de risque sanitaire avec des produits laitiers
pasteurisés qui jouent parfois à chiffre égal
dans les statistiques de contamination d'origine alimentaire.
Ah
un monde sans germe !
Olivier CERF Thu, 22 Jun 2006 16:24:40 +0200
Vous
ne m?avez pas bien lu ! Mon message se cantonnait aux aspects de coût
et de goût et ne parlait à aucun moment de risque
sanitaire.
Pascal Cahen Tue, 27 Jun 2006 00:26:03 +0200
Pourquoi
faire simple quand on peut faire compliqué ?
Utilisez
le lait cru comme tel. Vous prenez probablement plus de risque
(bactériologique, organoleptique, économique) à
vouloir le pasteuriser sans un équipement réellement
adapté.
Et pour prévenir le danger bactériologique,
imposez par exemple son utilisation dans les 24 h suivant sa
livraison.
Au fait, quel est la population qui boira ce lait
cru, enfants de maternelle, de primaire, de collège et lycée
? Ca fait partie de l'analyse du danger et donc de la décision
pour la maîtrise du risque (interdiction du produit ou
utilisation sous condition).
MERCREDI 02 AOUT 2006
SANTE CANADA
01/08/06 SANTÉ CANADA RAPPELLE AUX CANADIENS LES RISQUES
ASSOCIÉS À LA CONSOMMATION DE LAIT CRU
http://news.gc.ca/cfmx/view/fr/index.jsp?articleid=230679&categoryid=2&category=avis%2Fmises+en+garde&
lors de la traite,le lait cru obtenu doit-il repondre a des normes
si oui lequelles et ou peut on les trouvees ?
Un bon point de départ pour vos recherches
:
http://europa.eu/scadplus/leg/fr/lvb/l12036a.htm
Contcate donc un des lial de france qui sont les labo chargées
de gérer les analyses nécessaires au paiement du lait .
Par exemple celui d'Aurillac
http://www.lial-mc.asso.fr/
Pour information et avec les amitiés de nos amis
canadiens:
http://www.cfis.agr.ca/francais/regcode/ndrc/ndrc_dxf.shtml
--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr,
farida houari <faridah_houari@...>
a écrit :
>
>
Bonsoir,
> Je ne suis pas spécialisée dans le
lait, mais comme étant
vétérinaire
hygiéniste, je suppose que le lait lors de la traite doit
répondre à des normes en relation avec la
destination du lait
(pasteurisé, stérilisé,
fabrication du fromage à patte molle à base
de lait
cru(le camembert par exemple)….etc
> Donc sur le plan
hygiénique le lait ne doit pas être contaminé
par les micro-organismes susceptibles d'être présents
avant la traite
si l'animal est malade (listériose,
listeria monocytogenes…) ou au
cours de la traite à
cause des fautes d'hygiène.
> Sur le plan composition,
un lait entier doit contenir : 87,5%
d'eau, 4,8 de lactose, 3,7
matière grasse, 2,5 de caséines, 0,6 de
protéines
solubles, 0,9 sel minéraux, traces de vitamines et autres
compositions
> Caractéristique physico-chimiques :
PH (6,7-6,8), Acidité (14-16°
Dornic), Masse volumique
(1032kg/m^3), point de congélation-0,55°C
> Tous ces
critères détermineront la qualité des produits
finis et
sont intégrés dans le payement du lait.
>
>
>
Bonjour
à Faridah
ce
qui est dit est vrai en moyenne, pour un bon lait entier à 34
g/l et plus, la masse volumique est de 1034, elle peut être
supérieure soit que le lait est bien riche! ou s'il a été
écrémé (partiellement).
pour la bactériologie, il y a plusieurs critères
concernant le lait cru de vache (pour les autres lait, chèvre,
chamelle... les chiffres peuvent être légèrement
différents. Les critères de qualité du lait sont
la Flore Totale, la Flore Mésophile Aérobie
Revivifiable ou FMAR, les coliformes fécaux (Escherichia
coli), les levures et moisissures, il existe une classification des
laits A, B, C EN FONCTION DE LA CHARGE MICROBIENNE. Pour les laits de
vache, il faut surveiller les pathogènes généralement
faibles ou absents (Staphylocoque doré, Streptocoques fécaux,
E. Coli, Brucella pour les laits de chèvre surtout. Quant aux
fromages on peut rencontrer E.coli, responsable des gonflements des
pâtes molles et pâtes
pressées (Edam, gruyère,
fromages italiens Grana, Asiago, Cresenza...) Salmonella etc... voire
la littérature en la matière dans les ouvrages agro ou
vétérinaires.
MARDI 24 AVRIL 2007
NEWSRELEASE
23/04/07 Government Bias Against Raw Milk
FDA AND CDC BIAS AGAINST
RAW MILK
NO FACTS PROVIDED IN RECENT REMINDER ABOUT RAW MILK
CONSUMPTION
http://www.expertclick.com/NewsReleaseWire/default.cfm?Action=ReleaseDetail&ID=16250
MERCREDI 16 MAI 2007
AUSTRALIE
NOUVELLE ZELANDE
SCOOP 16/05/07 NZFSA seeks comment on sale of
raw milk cheese
http://www.scoop.co.nz/stories/BU0705/S00348.htm
DIMANCHE 20 MAI 2007
Le Lait Vol.
81 No. 5 (September-October 2001) La flore microbienne de laits crus
de vache : diversité et influence des conditions de
production
http://www.lelait-journal.org/index.php?option=toc&url=/articles/lait/abs/2001/05/contents/contents.html
DIMANCHE 20 MAI 2007
Le Lait Vol. 73
No. 5-6 (1993) Au sommaire:
Bacteriological quality of raw goat's
milk in Greece
Qualité bactériologique du lait cru
de chèvre en Italie
Qualité bactériologique
du lait cru de chèvre en France
Caprine intramammary
infection: quality of
milk
http://www.lelait-journal.org/index.php?option=toc&url=/articles/lait/abs/1993/05/contents/contents.html
Daté de mars, le document suivant a été hier
dans les US FDA/CFSAN Food & Cosmetic Announcements
Raw
Milk-Associated Public Health
Risks
http://www.cfsan.fda.gov/~dms/rawmilk2.html
MARDI 04 DECEMBRE 2007
DOSSIER JOURNEES 3 R (Rencontres
autour des Recherches sur les Ruminants) 2000 à
2006
__________________________________________________________
Les
journées 3 R 2006 - Séance : Qualité des
produits
http://www.inst-elevage.asso.fr/html28/rubrique.php3?id_rubrique=196
Les
microflores utiles des laits crus de vache et de chèvre :
principaux réservoirs et impact de certaines pratiques
d'élevage. H. TORMO, D. ALI
HAIMOUD LEKHAL, C. LAITHIER
MERCREDI 12 MARS 2008
Norwegian Scientific Committee for Food Safety FEV 2006 Risk
assessment
concerning unpasturised milk and
cream
http://www.vkm.no/eway/default.aspx?pid=266&trg=MainLeft_5419&4698=5420:2&MainLeft_5419=5468:16454::0:5420:6:::0:0
Norwegian Scientific Committee for Food Safety DEC 2007 Colostrums
and raw milk from goat, sheep, horse, and
reindeer
http://www.vkm.no/eway/default.aspx?pid=266&trg=MainLeft_5419&4698=5420:4&MainLeft_5419=5468:17071::0:5420:11:::0:0
VENDREDI 14 MARS 2008
Flash Agri Zone ALENA n°
110, 11 février
2008
http://www.ubifrance.fr/secteur/fiche.asp?secteur=60&cleautonomy=71675
Californie
: la vente de lait cru menacée par une norme microbiologique
O. Cerf Samedi 7. Juin 2008 15:21
Exemple de la façon dont les fausses nouvelles se propagent :
http://www.zevillage.net/2008/06/il-nest-de-camembert-quau-lait-cru/
On y lit :
"Mais l'Agence de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) n'avait pas estimé nécessaire de recommander des critères microbiologiques pour la plupart des bactéries potentiellement dangereuses. Pas de pasteurisation du lait cru, juste de bonnes règles d'hygiène (télécharger
l'avis<http://www.afssa.fr/Documents/MIC2007sa0149.pdf>de l'AFSSA, format PDF)."
Or l'avis ne parle pas du lait destiné à la fabrication de fromage (cas prévu par le règlement 2073/2005), mais de lait cru destiné à la consommation en l'état (dont la sécurité sanitaire relève des États membres).
MARDI 06 JANVIER 2009
INSTITUT DE L ELEVAGE 29/12/08
Actualité réglementaire:
Zoom sur le projet d’arrêté
Lait
cru
http://www.inst-elevage.asso.fr/html7/article.php3?id_article=438
SAMEDI
19 SEPTEMBRE 2009
PREFECTURE
DES COTES D ARMOR 18/09/09 Don de lait cru : stérilisation
avant
consommation
http://www.cotes-darmor.pref.gouv.fr/actualites.asp?/822-don-de-lait-cru-sterilisation-avant-consommation.html
VENDREDI
16 OCTOBRE 2009
FSAI
15/10/09 FSAI NEWS VOL 11, ISSUE 5
Raw Milk - Old Issue, New
Concern?
http://fsai.newsweaver.ie/45n9uaikn8h-6lok5hl5ye?email=true
MARDI
10 NOVEMBRE 2009
AGRICULTURE
NORMAND 31/10/09 Traite - Hygiène de l’installation de
traite :
à l’assaut des germes (chambre d'agriculture
14)
http://www.agriculteur-normand.com/actualites/bovins-lait-traite-hygiene-de-l-installation-de-traite-a-l-assaut-des-germes&fldSearch=:Y3Y6H0OF.html
VENDREDI
13 NOVEMBRE 2009
Voici
le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert
Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Débat sur le lait cru : débouché économique
ou responsabilité
juridique,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=3313
MARDI
01 DECEMBRE 2009
PFT
"Viandes et Salaisons" 25/09/09 Utilisation de lait cru en
restauration collective et contraintes sanitaires : sont-elles
compatibles
?
http://plate-forme-technologique-viandes-et-salaisons.blog4trade.com/archive/2009/09/25/utilisation-de-lait-cru-en-restauration-collective-et-contra.html
SAMEDI 06 FEVRIER 2010
UNIVERSITE LAVAL - 2000 -
Mémoire en ligne : Utilisation de
l'homogénéisation
à hautes pressions dynamiques pour l'inactivation
des
bactéries pathogènes dans le lait
cru
http://www.collectionscanada.gc.ca/obj/s4/f2/dsk1/tape2/PQDD_0018/MQ55886.pdf
LUNDI 15 MARS 2010
APPLIED AND
ENVIRONMENTAL MICROBIOLOGY, Sept. 2004, Raw Cow Milk Bacterial
Population Shifts Attributable to
Refrigeration
http://aem.asm.org/cgi/reprint/70/9/5644.pdf
JEUDI 13 MAI 2010
GDS38 - Distributeurs
automatiques de lait cru - Un projet qui mérite d’être
bien préparé
Eléments à inclure dans
l’étude du projet
– Aspects sanitaires
–
Aspects métrologiques
– Recommandations et
conclusion
http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/0/09f6fbf4ff623c91c125770e005319d9/$FILE/10015_V4.pdf
VENDREDI 09 JUILLET 2010
BE Chine 95 >> 6/07/2010 -
Génétique - Un nouveau biomarqueur pour la détection
de la qualité des laits crus
MARDI 27 JUILLET 2010
Voici le(s) dernier(s)
post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
-
Envie de lait cru ?,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=10519
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