ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
Page mise à jour : 23/10/08 |
|
Page d’accueil de l’archivage thématique avec moteur de recherche |
Accès au formulaire d'inscription à la liste de discussion HYGIENE |
|
|
|
26 liens vérifiés 20061230 |
THEME |
Pages d’archives connexes Les signes de qualité (généralités) L’indication géographique protégée Le label rouge en viande porcine Liste des textes réglementaires concernant les signes de qualité et l’agriculture biologique
|
Le label rouge |
jeudi 27 avril 2000 21:41
Le Label Rouge a 40
ans
http://www.alsapresse.com/jdj/00/04/27/IRF/article_12.html
http://www.alsapresse.com/jdj/00/04/27/IRF/article_15.html
muriel.bagni jeudi 21 décembre 2000 17:23
Est ce que quelqu'un pourrait me renseigner sur la différence entre un poulet label rouge et une appellation poulet fermier ?
vendredi 22 décembre 2000 01:36
Dans le cas des élevages, les mentions "fermier-élevé
en plein air" ou "fermier-élevé en liberté"
portent le concept d'élevage proche de la tradition, donnant
la priorité au bien-être des
animaux
http://www.synalaf.com/infos_conso/index.htm
De
plus amples
explications
http://www.synalaf.com/actualites/index.htm
D'autre
part, selon la loi d'orientation agricole : LOI n° 99-574 du 9
juillet 1999 d'orientation agricole
il est inséré
avant le chapitre Ier du titre IV du livre VI (nouveau) du code
rural, un article L. 640-2 ainsi rédigé :
"
Sans préjudice des réglementations communautaires, ni
des réglementations nationales en vigueur à la date de
promulgation de la loi no 99-574 du 9 juillet 1999 d'orientation
agricole, ni des conditions approuvées, à la même
date, pour bénéficier d'un label agricole,
l'utilisation du qualificatif "fermier" ou de la mention
"produit de la ferme" ou "produit à la ferme"
ou de toute autre dénomination équivalente est
subordonnée au respect des conditions fixées par
décret. "
Exemple : Décret du 25 août
2000 relatif à l'appellation d'origine contrôlée
« Picodon », concernant le fromage
Donc un label
rouge n'est pas obligatoirement fermier. Et un produit fermier n'est
pas non plus obligatoirement labellisé.
jeudi 15 février 2001 22:22
Produits alimentaires de terroir
Le CD-Rom qu'ont réalisé
Louis Lagrange et Laurent Trognon, économistes à
l'ENITA de Clermont-Ferrand, " offre une vision complète
et synthétique des aspects économiques et
réglementaires relatifs à l'ensemble des produits
alimentaires dits de terroir ". Il traite pour cela des signes
officiels de qualité français (AOC, label rouge,
certification de conformité produit, agriculture biologique),
des protections communautaires (appellation d'origine protégée,
indication géographique protégée, attestation
despécificité, agriculture biologique) ainsi que des
modalités de certification et de l'environnement
institutionnel. De nombreux liens permettent de circuler à sa
convenance entre vingt dossiers thématiques, quinze exemples
détaillés de filière (roquefort, lentille verte
du Puy, bouf charolais du ! Bourbonnais, agneau du Limousin...) et un
très riche lexique.
Enfin, des questionnaires à
choix multiples permettent de s'auto-évaluer sur des thèmes
tels que les AOC, les produits fermiers ou encore les sigles
officiels de qualité européens.
Éditions
Éducagri - BP 87999 - 21079 Dijon cedex - tél.
03.80.77.26.32 - fax
03.80.77.26.34 - octobre 2000 - 95 F.
F et P. Verpillot lundi 28 janvier 2002 20:47
La commune où je réside négocie un nouveau
Cahier des Charges :celui-ci est écrit en concertation avec
les parents d'élèves. Nous négocions un certain
niveau qualitatif en rapport avec ce qu'il est possible de faire. Ex
La Sogeres qui cherche un créneau qualité : volailles
achetées chez ldc ...
Les parents d'élèves
veulent pouvoir lire les cahiers des charges producteurs, et nous ne
sommes pas les seuls, ex Rueil (92).
Une grande méfiance
entoure ces discussions. Comment contrôler le prestataire
?
Comment s'assurer de la qualité des viandes fournies ?
C'est un travail long et difficile qui devrait être réalisé
par un fonctionnaire et non par des bénévoles
associatifs comme c'est le cas actuellement. A part quelques
exceptions, les maires trainent des pieds pour faire évoluer
la restauration scolaire.
Alors je voudrais savoir : Une
volaille label Rouge. Que mange t'elle en réalité ? Y a
t'il une grande différence avec un poulet en batterie. Faisons
la comparaison.
Dans l'assiette il n'y a pas photo. Je veux des arguments précis svp.
Le porc label Rouge que j'achète ne rétrécit
pas dans la poèle, il est succulent.
Le porc en batterie
rend tellement d'eau qu'on ne peut le saisir qu'après l'avoir
épongé à chaud.
Cordialement
Frédéric
VERPILLOT
Association ape Saint-Mandé
Delphine Hernot mardi 29 janvier 2002 16:52
En réponse à votre demande sur les volailles LR : la notice technique (cahier des charges minimal auquel doit correspondre toute volaille LR) est disponible sur le site du ministère de l'agriculture : agriculture.gouv.fr à la rubrique "alimentation" et "signes officiels de qualité". Ce site vous donne également l'essentiel du fonctionnement des signes de qualité.
Si vous souhaitez d'autres renseignements et notamment ce que les cahiers des charges peuvent contenir comme spécifications supplémentaires en dehors de ce qui se trouve dans la notice vous pouvez vous adresser au SYNALAF (syndicat des labels avicoles de France)sur son site synalaf.com
Benoît DUCRET mercredi 30 janvier 2002 03:24
Votre commune est une commune riche qui a une image à
préserver,il faut donc faire pression sur le maire mais
surtout mobiliser les parents.
Les cahiers techniques de tous les
labels sont effectivement disponibles sur le site du ministère
de l'agriculture comme vous l'a indiqué une colistière.
Y
figurent également la liste des labels par secteur de
production avec les coordonnées de chacun . Il vous suffit
d'écrire ensuite aux uns et aux autres pour savoir plus en
détail la réalité de ce cahier des charges. Ils
sont actuellement en train d'être dépoussiérés
par le Ministère, car la réalité a prouvé
que jusqu'à aujourd'hui la labellisation n'avait de label trop
souvent que le nom; mais je suis mauvaise langue.
Toujours est-il
qu'entre un poulet industriel et un poulet label rouge certes il ya
une différence comme il y en a une entre les labels
rouges
eux-mêmes. En effet le cahier technique est un
minimum à respecter. Certains se contentent de le respecter et
encore, cela leur permet de bénéficier de l'image de
marque Label. D'autres s'imposent plus de contraintes qualité
et ont aussi le Label. Finalement il y a à boire et à
manger au sein des labels, à vous de faire la différence.
Poulet d'Ancenis: bof! Poulet de Loué :oui, poulet de ssssssst
Sever: oui etc etc.
Mais il y a aussi une énorme différence
entre entre un producteur de poulets qui produit lui-même tous
les aliments qu'il donne à ses poulets et un producteur Label:
il n'y a pas photo.
Faire la différence dans toute cette
jungle devient un vrai parcours du combattant.
Benoît DUCRET mercredi 30 janvier 2002 19:35
Autre élément sur les labels volailles.
Chaque
label utilise une espéce ou souche de volaille qui lui est
propre.
L'une sera plus précoce, d'une couleur blanche ou jaune ,
au patte noire (aux fesses rouges, je rigole!) et ainsi de suite.
Pour ceux qui ne savent pas ce que signifie précocité
en élevage( et il n'y a pas de honte) c'est la capacité
à atteindre le stade adulte plus ou moins rapidement.
C'est
pour cela que vous avez des dates d'élevage et d'engraissement
qui sont variables selon le label.
J'ai à priori une
tendance à privilégier les souches tardives qui
prennent plus de temps à atteindre l'âge adulte, car une
Doli qui devient vieille avant l'âge??? (Ne vous rendez pas
ridicule en me précisant que ce n'est pas la même
chose.)
Ensuite sur le plan de l'alimentation, encore une
fois, chaque label a sa recette "miracle " dans la
composition de l'aliment, qui , de toute façon devra permettre
à la bestiole d'atteindre l'abattoir le plus vite
possible.
Les trainards, encore appelé culot , seront
écrasés avant de ne trop gapiller d'aliments ou tués
et parfois partiellement bouffer par les copains de chambrée.
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.
Donc
nos animaux arrivent chez l'éleveur en général
autour des 3 semaines. Avant ce stade le poussin est produit chez un
accouveur, où tout se fait dans des chambres réfrigérées
à température variable selon les différents
stades de croissance de l'oeuf puis du poussin. C'est l'usine et la
chaine.
Gros comme le poing d'un enfant, ils sont triés par
des yeux "lubriques" selon plusieurs critères (sexe,
taille, vigueur...) . Encore une fois la sélection est
sévère.
Une fois chez l'éleveur, tout est
programmé, le temps de séjour et le type
d'alimentation.
L'aliment est fourni par la structure qui au final
commercialisera le poulet. Et sa recette est gardé
jalousement!
Si dans les grandes lignes on y trouve des
céréales sous différentes formes, il y a
toujours un pourcentage pour lequel il est impossible de connaître
la vérité. Et ce pourcentage n'est pas et même
rarement important: quelques pourcents; mais toujours suffisants pour
être composés d'une saloperie quelconque, du genre
substance qui sous prétexte de permettre la vie en
collectivité sur le plan sanitaire ou comportemental
permet
d'améliorer le GMQ (qu'est-ce donc: le gain moyen
quotidien), étendard indéfectible de nos productivistes
indécrotables.
Que ces pourcents soient ensuite source de
pollution des eaux , des sols, ou aient des répercussions sur
la santé humaine, peu importe!
Toujours est-il qu'au
final, le résultat sera différent selon le label. Il
vous faut donc vous enquérir, à travers des lectures et
la dégustation, de cette différence subtile, mais qui
fait la différence. Il est sur qu'avec tous ces labels
volailles, tout est fait pour noyer le consommateur. En volaille
particulièrement, le label n'est plus un critère de
qualité, exepté pour certains. Mais comme en France, la
communication comparative est interdite, les mauvais labels tirent
profit de la pub des bons labels: suivez mon regard!
Mais sur
cette liste comme sur quelques autres où nous nous retrouvons,
beaucoup savent MAIS SE TAISENT.
Bon courage à ceux qui
veulent savoir.
maucoeur mercredi 30 janvier 2002 11:08
Vu qu'on parle des labels et des poulets, je tiens à
apporter ma petite pierre.
Je suis à fond d'accord avec
Benoît (et oui, ça m'arrive) sur tout ce qu'il dit.
Mon
expérience de "fermiere"
Avant, j'achetais des
petits poulets de 3 semaines. Quelques jours de granulés (et
oui, faut pas leur changer de nourriture trop vite) et ensuite du
blé. Au bout de deux à trois mois, bons à
manger. Quel label, je n'en sais rien. Ils étaient bons, mais
:
Depuis cette année, j'ai acheté une couveuse. J'ai
des poules, un coq. Donc des oeufs fécondés.(mais que
de pertes).
Première semaine : granulés de
démarrage. Ensuite, blé.
Il me faut au moins 7 à
8 mois pour pouvoir les consommer.
Et je puis vous assurer que ça
n'a rien à voir avec le plus fameux et le plus cher de vos
labels.
Pour la petite histoire, mes poulets achetés à
3 semaines étaient aussi gros que les miens à.... 3
mois, voir plus. Mais qu'est ce qu'ils leur donne donc à
bouffer ?????
Et je suis sure que pour beaucoup d'entre vous, vous
ne trouveriez pas mes poulets bons car ils sont plus durs que vos
beaux labels.
J'ai discuté il y a quelques temps, avec
une "fermiere" qui vendaient ses poulets en "fermier".C'est
sur, elle a le label : tant de superficie pour tant de poulets, tant
de jours, etc.... Mais quand j'ai su ce qu'elle leur donnait à
manger .... du blé, du maïs, du ....soja. Mais elle a le
droit.
Les labels, donc,bien sur la nourriture compte, mais
aussi l'age d'abattage (exemple, le BIO, 81 jours)
Question :
dans quelle catégorie dois je mettre mes poulets ? Si je dois
les vendre, combien dois je prendre ? Car, quand je vois le prix des
poulets labellisés, je n'ose même pas
imaginer.
Moralité : que ce soit n'importe quel label,
il faut connaître surtout son age d'abattage.
Thiault Jean-Francis mercredi 30 janvier 2002 11:16
Bonjour, sur quel marché vendez vous vos poulets ???
pour
ma part , je trouve des poulets "fermier" issus de poussins
"fermier" vive la nature ! abattus vers ~3 mois,
pesant 2.2 kilo à 2.5 kg et je les
payent 42.00 f le
kilo pardon 6.40EUR le kg....
donc moins qu'un "aoc de
Bresse" mais plus cher qu'un label rouge "haut de gamme"...
Benoît DUCRET mercredi 30 janvier 2002 20:40
Mais je ne suis pas qu'un vilain bougre qui voudrait la mort des
paysans, ma chère Sylvie.
Par contre je suis et resterais,
contre vent et marée celui qui dénoncera l'hypocrisie
et le mensonge, surtout quand ils sont utilisés au profit
d'une
catégorie qui agit au détriment de la grande
majorité.
A force d'habituer les consommateurs à
manger sans macher, il ne faut pas s'étonner qu'ils apprécient
les poulets qui s'épluchent et qui fondent dans
la bouffe
(pas dans les mains).
Du coup, lorsque des producteurs s'engagent
à produire de la bonne et vraie denrée, nous avons des
crampes à la mâchoire, pauvre de nous!
La fonction
créant l'organe, à perdre l'habitude de mastiquer,
l'espèce humaine n'aura même pas besoin de manipulation
génétique pour ne plus avoir
de dent, cela se fera
naturellement par adaptation génétique. De plus à
manger en 15 ou 30 minutes, dans le bruit et le stress, plus de
mastication,
plus de salivation, donc plus de prédégradation
buccale, d'où une digestion finale inachevée, des maux
d'estomac, une constipation chronique
ET POUR COURONNER LE
TOUT
QUOI QUOI QUOI!
LE RECOURS IMMODÉRÉ
AUX MÉDICAMENTS MIRACLEs.
Merci docteur, merci
l'industrie pharmaceutique, merci l'industrie chimique.
C'est
vrai j'oubliais qu'il y avait des emplois
Et surtout
QUOI
QUOI QUOI!
SECRET DÉFENSE,
IL EN VA DE L'INTÉRÊT
SUPÈRIEUR DE LA NATION.
Bon appétit
maucoeur mercredi 30 janvier 2002 13:42
Bonjour Jean-Francis,
Désolée, mais je n'en vends
pas.
Tous les jours, 5 bons mangeurs à table. Donc, je
garde mes super bons poulets pour bibi.
Ne vous fâchez pas
Benoît !!!!
Mais je reviens sur ces fameux 3 mois d'abattage
!!!!!! Va falloir qu'on m'explique la recette. Je suis
preneuse.
Pour ma décharge, je n'en vends pas, mais il
m'est arrivé d'en donné (je dis bien donné, ça
doit être pour ça que je ne fais pas fortune...) à
deux copines pour qu'elles goûtent un vrai poulet ou un vrai
canard.
Amicalement
Sylvie
eric.baldo@arrive.fr mercredi 30 janvier 2002 15:00
Je tiens à répondre à Mr Ducruet..Je suis
stupéfait de lire des propos aussi caricaturaux sur l' élevage
des volailles et notamment des volailles label.Je travaille comme
directeur Qualité de Arrivé SA société
d 'abattage et de transformation de viandes de volailles en Vendée
( site : www.maitrecoq.com):
ce qui est dit ne correspond en rien à une réalité
quotidienne. Je ne tiens pas à polémiquer et vous donne
des éléments de
réponses point par point:
1-
souche des poulets label
Tous les poulets label rouge doivent
choisir une souche dans une liste agrée par le ministère
de l' Agriculture. Elles sont toutes à croissance lente, c'
est à dire qu' elles permettent un abattage au delà de
81 jours, age minimal obligatoire pour tous les poulets label
rouge.
Par ailleurs certaines souches sont plutôt lourdes et
nécessite un abattage plus proche de 81 jours et d' autres
sont plutôt légères et permettent un abattage
plus tardif. Dans tous les cas cela est un choix déterminé
pour un poulet label et il est impossible de changer sans un accord
du Ministère de l' Agriculture. Certaines sont blanches , d'
autres sont noires ou jaunes pour répondre aux besoins des
consommateurs: sachez que le sud de la France consomme principalement
du poulet jaune, alors que la région parisienne plébiscite
le noir ou le blanc!
2-"Précocité"
Par
définition le poulet est un animal qui n' a pas terminé
sa croissance.
Cela se caractérise par un sternum cartilagineux et souple.
Lorsque 'il est abattu, il n' atteint pas son stade adulte: un poulet
peut monter à un poids de 4 à 5 kg. Par exemple le
chapon est un mâle castré abattu à 140 à
150 jours pouvant peser ce poids avant son abattage.
D' une
manière générale, 90% des poulets label rouge
ont un age de 81 ou 84 jours.
3- arrivée des poussins
chez l' éleveur
Ils arrivent à l' age dit d' un
jour, c'est à dire dans la journée qui suit l'
éclosion.
Le transfert à 3 semaines que vous évoquez
concerne les futures poules pondeuses, soit celles destinées à
faire des oeufs de consommation ou celles destinées à
produire des oeufs à couver .Les souches utilisées sont
différentes pour ces 2 catégories d' oeufs et n'
ont rien en commun. Dans le cas des oeufs à couver, des coqs
sont mis avec les poules.
Ces trois semaines se passent dans un
bâtiment appelé poussinière, car il a une
structure adaptée aux jeunes animaux: isolation, chauffage car
durant les premiers jours ils ont besoin d' une température
ambiante de 30 à 33°C.
Au delà des trois
semaines la température idéale descend progressivement
à 20°C jusqu' à 18 /20 semaines , age de début
de ponte: cela demande des bâtiments d' élevage moins
sophistiqués dont moins coûteux.
Les oeufs a
couver sont récoltés chaque jour et mis en incubateurs.
Il s'agit de machines permettant de reproduire les conditions de
couvaison: il s' agit d' " armoires isolées climatisées
et ventilées maintenues à une température de
35°c environ. La surveillance est importante car un variation de
1/10 de degré peut compromettre le résultat.
4-
Alimentation.
Les volailles Label rouges travaillent à
partir d' une liste positive de matières premières: ce
qui n' est pas écrit est interdit.Cette liste est dans la
notice minimale du poulet fermier écrite par le ministère
de l'Agriculture.Quant aux céréales , aujourd'hui à
part le blé , le maïs l'orge, il n' y a guère d'
autres possibilité. La encore pour information, les céréales
destinées à l' alimentation animale, n' ont rien à
voir avec les céréales destinées à la
panification ou l' alimentation humaine.
5-Contrôles.
Chaque
label a rédigé un cahier des charges reprenant au
minimum la notice technique et incluant ses propres spécificités.
Ce cahier des charges est ensuite homologué par le ministère
de l' agriculture : cela est notifié par arrêté
ministériel publié au journal officiel. Chaque label
homologué est contrôlé par un organisme
certificateur indépendant selon un plan faisant partie du
cahier des charges. Ces contrôles concernent toute la
filière
depuis le couvoir( producteur des poussins d' un
jour) jusqu' à l' abattoir en passant par l' éleveur et
le fabricant d' aliments.
6-Communication
La situation
des viandes de volailles est particulière: Il est interdit par
la réglementation de communiquer sur les volailles autres que
les volailles sous signe de qualité (poulet label rouge,
poulet certifié, poulet issu de l' agriculture biologique). Il
est alors difficile de faire du comparatif!
De même, la
classe A est une classe de commercialisation, à l' image de la
puissance fiscale pour une voiture! Cela signifie un niveau de défaut
(griffures de la peau, hématomes, déchirures de la
peau, déformation, reste de plumes...).
Elle ne préjuge
en rien de la qualité gustative du produit, comme la puissance
fiscale ne traduit pas le niveau d' équipement!
Il
y a comme dans toute profession des écarts, mais cela ne
traduit pas le comportement de l' ensemble des opérateurs de
la filière avicole.
Vos préjugés ne font que
traduire un éloignement de plus en plus important de la
population ( de plus en plus citadine ) vers le monde de
l'agriculture. Je ne dis pas que tous est beau et rose.Les gens
imaginent plus que 'ils ne connaissent. Le retour à la réalité
est alors d' autant plus violent car il se fait a travers des crises
médiatisées . Ils n' y aucune information en temps de
"paix", c' est à dire lorsqu' il s' agit de décrire
un métier et non pas ses travers.
Cela va s'
accentuer dans les années à venir, car la population a
de moins en moins d' attaches rurales , ce qui pouvaient de temps en
temps les ramener à une réalité par des
personnes qu' ils connaissaient, donc de confiance.
Je reste à
disposition pour toutes discussion informative posée et
transparente.
bertrand carlier mercredi 30 janvier 2002 16:05
>Je reste à disposition pour toutes discussion
informative posée et
> transparente.
pourriez vous indiquer ce qui se passe lorsque la liste positive des
matières premières change, exemple farine animale
supprimée ?
Je pense aux résultats
techniques mais aussi à l'évolution des problèmes
pathologiques observés, avec une petite question, cela
justifie-t-il une
adaptation des choix génétiques.
amicalement
bertrand CARLIER
ps une remarque concernant
un point:
> 2-"Précocité"
il me semble que ce point qui est un de ceux qui m'ont beaucoup
préoccupé pourrait justifier d'un texte complémentaire
présentant mieux la
problématique. J'écris
cela avec d'autant plus d'aisance que vu le texte que vous avez
fourni vous semblez maitriser la forme et le fond...
je pense notamment au point le plus difficile qui est
l'association de la précocité et d'un certain goût.
louleb mercredi 30 janvier 2002 18:25
Merci pour cette explication que je ne manquerai pas de faire lire à mes élèves, si vous m'en donnez le droit.
eric.baldo vendredi 1 février 2002 12:20
Lorsque une matière première est supprimée de
la liste, le Ministère de l'Agriculture rédige un
avenant à la notice technique minimale. Il s'applique d'
autorité et doit être pris en compte dans le cahier des
charges. Dans le cas des farines animales, que vous citez, l '
avenant est paru au JOCF du 15/8/97 (arrêté du 7/8/97).
Pour mémoire, les farines de viandes étaient autorisées
sur la première période de vie ( 1à 28 jours
).
Les modifications de la liste des matières premières
sont rares. Elles ne remettent pas en cause les choix génétiques,
mais demandent plutôt une adaptation de l' alimentation: cela
signifie des rapports entre matières premières
différents (augmentation pour certaines, diminution pour
d'autres) pour respecter des apports en protéines, acides
aminés, lipides, énergie. Dans le cas des farines de
viandes, cela a plutôt favorisé le soja, graines de
soja, et acides aminés de synthèse ( les farines de
viandes sont particulièrement riches en protéines
et acides aminés).
J' ai utilisé le terme
"précocité" par rapport à l' âge
d' abattage. Dans le cas des poulets, il y a un compromis à
trouver pour une vitesse de croissance et un dépôt
de gras limité. Le goût est d' avantage apporter par le
gras. Cela peut jouer entre un poulet mâle et un poulet
femelle.
Lorsque l' élevage se fait sans sexage. les femelles ont tendance à être plus grasse . Cela jouera au final sur le goût de manière indirecte.
Concernant les labels rouges , il existe une grosse différence
de texture de la viande (fibres musculaire plus marquées) par
rapport au poulet "standard" liée à
la génétique. Il existe également une différence
de goût entre la viande rouge ( cuisse ) et le blanc.
Lorsque
les poulets sont mis en élevage, nous visons une date d'
abattage.
Cependant celle ci peut être révisé pour des
raisons de marchés (+/- 4 jours environ ) ,car nous ne
connaissons les commandes que 2 à 5 jours
avant l'
abattage. Cela joue inévitablement sur le poids de l'
animal, et son état d' engraissement.
Christian Felter samedi 2 février 2002 08:25
Vous avez tout à fait raison d'apporter toutes ces
précisions, dans leurs détails objectifs.
Toutes
ces informations prouvent elles qu'il s'agit d'une qualité
supérieure?
Celle recherchée par une une
population citadine représentée pour exprimer ses
attentes par la CLCCP dans laquelle siègent les Unions de
Consommateurs?
Vous avez tout à fait raison de souligner
cette distorsion croissante entre ville et campagne.
Il existe
deux tests, très, très simples pour
déterminer un seuil minimum de qualité en ce qui
concerne les poulets.
Test 1 dit "de
l'agriculteur",
Producteur de poulet de qualité
supérieure ou pas, l'agriculteur préfère les
poulets de son poulailler. (Sauf peut être les BIO, et le débat
sur la cantine
peut trouver là un argument)
Curieux
quand même ces producteurs qui ne mangent pas les aliments
qu'ils vendent?
Est ce qu'on imagine les producteurs de havane
fumer des cigarillos ordinaires?
Et pourtant le test "de
l'agriculteur" est pareil pour les fruits et légumes, le
porc quand ils ont le temps.
C'est vrai que ce n'est pas un
indicateur parisien mais il est national et ancien.
J'observe
cette tendance du producteur vers ce qui est produit par lui mais
n'est pas marchand depuis plus de 25 ans.
Test 2 dit "de
la cuillère"
pouvez vous réellement découper
votre poulet, cuit rose à l'os comme il se doit, sans l'aide
d'un couteau, ou le simple usage d'une fourchette et d'une
cuillère
suffisamment solide est suffisant.
Je
proposerai volontiers d'harmoniser les procédures d'auto
contrôles sur les tests " de la cuillère" qui
sont les seuls que nous pouvons pratiquer en ville,
car Label ou
pas, c'est vraiment la découpe à la cuillère qui
marche le mieux.
Idem pour le poisson, mais là c'est dans
les vieux codes d'usages.
Christian Felter
point de vue
personnel d'un membre d'une Union de Consommateur qui n'a pas encore
collé son timbre 2002 sur sa carte d'adhérent. (action
militante s'il en est pourtant!).
F et P. Verpillot samedi 2 février 2002 09:15
Votre analyse ne prend en compte que l'organoleptique ou le
physique de l'aliment, le résultat en somme.
En tant que
consommateur je voudrais tenir les deux bouts de la chaîne :
L'aliment de croissance et son Cahier des Charges d'une part , et le
goût d'autre part.
Le second étant d'ailleurs
subjectif, le 1er objectif.
Le 1er élément devrait
figurer sur tous les produits, exemple au dos des étiquettes
des produits, une information très détaillée,
avec produits ajoutés, antibiotiques, activateurs de
croissance etc.
`
A partir de ces deux éléments
les associations de consommateur devraient mener l'enquête et
nous donner les informations que les industriels rechignent à
céder.
Véronique Grandjacques samedi 2 février 2002 21:09
exact : le goût est un aspect subjectif et à mon avis
n'a pas à rentrer comme critère dans un cahier des
charges "producteurs" ; idem pour
l'aspect du produit ,
quand je lis dans les généralités du label rouge
"veaux de boucherie nourris au lait entier " au chapitre
"caractéristiques
des carcasses" COULEUR DE
LA VIANDE :"elle doit être suffisamment claire(classe
blanc à rosé de la grille euro)" en tant que
consommatrice je
m'en contrefiche ou plutôt non si cet
aspect doit impliquer des "manipulations bizares"- COMMENT
FONT CERTAINS POUR NE PAS AVOIR DE VIANDE DE VEAU TROP ROSE qui
soi-disant déplait aux consommateurs????? c'est
comme pour les fruits et légumes que les consommateurs
voudraient soi-disant d'aspect nickel; quand on sait comment ils sont
produits :beurk!!
Pour moi :
obligation de moyens : OUI
obligation de "résultat" : NON , à chacun de
trouver chaussure à son pied , chaque producteur a son propre
savoir -faire issu de tradition familiale ou scolaire ou d'une
sensibilité personnelle , ses propres outils ( exemple : la
terre où sont ses animaux , les prairies avec des espèces
végétales différentes suivant les régions
qui donneront au final des goûts différents à la
viande ) et bon sang : on n'a pas tous les mêmes goûts!!!
Pour moi , il me suffit de savoir que l'animal a été
élevé par quelqu'un qui respecte certaines
conditions d'élevage ( agriculture de type durable -celle
d'andré pochon- ou bio et de voir que la viande n'est pas
verte à points jaunes!!!).
cordialement,
Véronique Grandjacques
représentante de
parents d'élèves Fcpe et de parents d'enfants en crèche
départementale (94)
50 avenue olivier
d'ormesson
94370 Sucy En Brie
tel :
01-49-82-33-51
ps : j'en étais arrivée à
la même conclusion que Frédéric
Verpillot.....à
chaque(CHAQUE!!!) produit - pour l'instant
tous les produits ne sont pas
labellisés...- , il faudrait
le cahier des charges aggraffé tellement la
confiance
règne!!!!!
bertrand carlier mercredi 13 mars 2002 22:22
Réponse à l’argument suivant :
le seul aliment exclusif indispensable est le colostrum, et pas le
lait qui n'existe qu'après sept jours.
bonsoir,
il me semble temps de
replacer le débat. Le label rouge qu'est-ce que cela a été,
est et peut être, souhaite devenir.
Le label rouge est une démarche de qualification de l'ensemble
des acteurs d'une filière, avec comme objectif une qualité
supérieure et
identifiable par le consommateur. Je souhaite
indiquer qu'un produit peut être gustativement parfait ( le
concept de perfection m'est étranger mais
semble souhaiter
par beaucoup ) et pourtant éliminable car contenant un
taux d'une substance x anormale par exemple ( ce peut être
un prion tordu
ou ... ) .
Cette démarche élitiste représentait quoi il y a
5 ans ?
cette démarche concernait
quel type de produit , il y a 5 ans ?
Il a
été écrit que dans la démarche de
qualification des produits alimentaires trois indicateurs sont
pertinents:
-le bio, mais en creusant
beaucoup de choses peuvent être écrites
-le label rouge
-IGP
Prenons un exemple précis le label rouge ovin, c'est à
mon sens un sujet d'actualité:
Suite du message à l’adresse suivante : http://groups.yahoo.com/group/hygiene/message/8696
vendredi 29 mars 2002 23:03
LE PAYSAN BRETON 29/03/02 Salers : Le Label Rouge avance
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=2179&recherche=0&word=salers
F et P. Verpillot lundi 6 mai 2002 17:43
Le Poulet Label Rouge ne doit pas avoir ingéré
d'activateur de croissance.
Ma question : Le poulet standard ayant
le droit lui d'en ingérer, quel sont ces produits.
2ème
question : Les antibiotiques sont-ils autorisés dans
l'alimentation des poulets ?
Le sont-ils en qualité
standard ? En poulet Label Rouge ?
Renseignements
complémentaires sur ce produit :
POULET LABEL
ROUGE.
Dès l'origine, et de façon tout à fait
prémonitoire de la part de ses concepteurs, le poulet Label
doit répondre à cinq spécificités
strictement contrôlées dont les caractéristiques
chiffrées évolueront au fil des règlements ;
celles indiquées ici sont les plus récentes (1996)
:
-
utilisation de lignées spécifiques à croissance
lente ;
- alimentation sans graisse ajoutée jusqu'à
4 semaines d'âge puis teneur en graisse totale limitée à
5 %. L'aliment distribué après 28 jours d'âge
doit
contenir 75 % de céréales et issues de céréales
; les farines animales et activateurs de croissance en sont exclus.
En outre, la qualité de toutes les
matières
premières est strictement contrôlée ;
- durée
d'élevage égale au minimum à 81 jours (elle n'a
jamais été réduite), soit pratiquement le double
de celle du poulet standard ;
- espace d'élevage large (11
poulets maximum par m2 de bâtiment) avec un parcours extérieur
de 2 m2/sujet offert au plus tard à 6 semaines d'âge.
La
notion d'élevage en liberté, introduite ultérieurement,
suppose que la surface de parcours offerte est illimitée. Une
variante sans parcours extérieur est encore autorisée,
mais ne représente plus que 4 % des poulets Label produits.
Elle ne donne droit ni à l'appellation "poulet fermier",
ni à une indication régionale. La taille même des
élevages est limitée, chaque éleveur ne pouvant
disposer de plus de quatre bâtiments de 400 m2. Aucun bâtiment
de la même exploitation ne doit être utilisé pour
produire des volailles non labellisées ;
taux de déclassement sévère et précautions
supplémentaires de conditionnement (refroidissement des
carcasses par trempage interdit).
Ces spécificités
de base sont complétées par un grand nombre d'articles
réglementaires portant sur l'agrément sanitaire des
fournisseurs d'animaux, les matières premières et
additifs utilisés, les bâtiments d'élevage, les
parcours, les conditions de transport et d'abattage, etc.
Tout
ceci entraîne évidemment une augmentation notable du
coût de production, qui est aujourd'hui près de deux
fois plus élevé que celui du poulet
standard
L'étiquette portée par le produit final
reprend les informations principales et précise une date
limite de consommation (9 jours au frais après abattage)
ainsi
que l'organisme certificateur de la production. Elle comporte
également un numéro qui reprend celui porté par
l'animal et permet la traçabilité totale du produit.
Une indication régionale est enfin présente dans la
majorité des cas.
bertrand carlier lundi 6 mai 2002 20:25
pourrai je avoir une explication de texte:
>
-utilisation de lignées spécifiques à croissance
lente ,
cela veut dire quoi, quels sont les
critères et qui les fixe? en tout cas si cela existait
vraiment, on devrait pouvoir accéder à des textes.
>
- alimentation sans graisse ajoutée jusqu'à 4 semaines
d'âge puis teneur
>en graisse totale limitée
à 5 %.
POURQUOI, liens vers
les bases scientifiques, établies sur quelles
lignées?
>-la qualité de toutes les matières
premières est strictement contrôlée
cela signifie quoi en pratique ?
>La notion d'élevage
en liberté, introduite ultérieurement, suppose que
>
la surface de parcours offerte est illimitée
quelle est la définition de :
>la surface de parcours
offerte est illimitée
Delphine Hernot mardi 7 mai 2002 18:03
les 4 "activateurs de croissance" qui sont en fait des
antibiotiques régulateurs de flore (ARF) encore autorisés
par la réglementation sont le
monensin, la salinomycine, la
flavophospholipol et l'avilamycine (1 seule présentation
commerciale pour chacun d'entre eux). Ces substances ne sont
pas
utilisées en médecine humaine (tous les ARF qui
l'étaient, ont déjà été éliminés
de l'alimentation des animaux). Un projet de règlement
européen
prévoit de les supprimer totalement d'ici
2006 sauf pour deux de ces produits qui sont en fait utilisés
en volailles en tant qu'anticoccidiens
(salinomycine et monensin)
c'est à dire médicament pour lutter contre la
coccidiose, maladie grave des volailles d'élevage.
Les
antibiotiques, comme pour toutes les espèces animales, sont
autorisés dans le cadre de traitements curatifs suite à
l'apparition de pathologies,
sous les conditions habituelles :
ordonnance vétérinaire, produit avec autorisation de
mise sur le marché, délais d'attente avant abattage le
cas
échéant ...
Véronique Grandjacques jeudi 9 mai 2002 01:10
le 6/05/02 8:43, F et P. Verpillot à verpil@free.fr
a écrit :
>
>
> POULET LABEL ROUGE.
>
Dès l'origine, et de façon tout à fait
prémonitoire de la part de ses
> concepteurs, le poulet
Label doit répondre à cinq spécificités
comme çà , en passant...l'utilisation autorisée
de produits issus de l'agriculture intensive et productiviste pour
nourrir les animaux "label
rouge" est peut-être un
peu moins prémonitoire... et quand donc TOUS les cahiers des
charges concernant la production des poulets (et autres
animaux)
comporteront-ils l'interdiction d'utiliser des OGM
(jamais autorisés en "bio") dans l'alimentation
animale ???
> strictement contrôlées dont les
caractéristiques chiffrées évolueront au
>
fil des règlements ; celles indiquées ici sont les plus
récentes (1996)
> :
> - utilisation de lignées
spécifiques à croissance lente ;
> - alimentation
sans graisse ajoutée jusqu'à 4 semaines d'âge
puis teneur
> en graisse totale limitée à 5 %.
L'aliment distribué après 28 jours
> d'âge
doit
> contenir 75 % de céréales et issues de
céréales ; les farines animales
> et activateurs
de croissance en sont exclus. En outre, la qualité de
>
toutes les
> matières premières est strictement
contrôlée ;
> - durée d'élevage
égale au minimum à 81 jours (elle n'a jamais été
>
réduite), soit pratiquement le double de celle du poulet
standard ;
> - espace d'élevage large (11 poulets
maximum par m2 de bâtiment) avec un
> parcours extérieur
de 2 m2/sujet offert au plus tard à 6 semaines d'âge.
mercredi 22 octobre 2003 07:23
AGRISALON 21/10/03 Viande limousine: cinq professionnels condamnés
pour fraude au "label
rouge"
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-11259.php
jeudi 18 décembre 2003 13:51
AGRISALON 18/12/03 Les herbes de Provence distinguées par
un "label
rouge"
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-11752.php
vendredi 19 décembre 2003 13:44
OFIVAL 19/12/03 Label Rouge, campagne " L'élevage
fermier, ça change tout. Surtout le gout " & "
T'Hoevepluimvee, Dat verandert alles. Vooral de
smaak.
http://www.ofival.fr/doctech2/lbr03/dec-fr.pdf
http://www.ofival.fr/doctech2/lbr03/dec-nl.pdf
GG mercredi 25 février 2004 19:56
Je souhaiterai en savoir plus sur les conditions d'obtention d'un
Label Rouge, pour des produits transformés à qui
s'adresser ?
Ma seconde question concerne la Viande de Porc
Française, je suis à la recherche d'un organisme
accrédité cofrac pouvant attester de la conformité
par rapport au référenciel VPF.
François Boussaroque jeudi 26 février 2004 08:49
je vous conseille de vous rendre sur le site du ministère de l'agriculture www.agriculture.gouv.fr, cliquer sur la rubrique "Ressources" puis "qualité des produits".
Armelle ALLAIN mercredi 25 février 2004 23:57
Soit votre produit existe déjà en label rouge sur le
marché et vous devez vous procurer le cdc établi soit
vous devez en établir un.
Vous pouvez contacter Stéphanie
Sagit, elle réalise des études de faisabilité
pour présenter votre dossier d'homologation. Voici
son adresse.
sagit@paq-groupement.com
Marc SIMOn jeudi 26 février 2004 11:07
essayez peut etre CERTIS Immeuble de Millepertuis - Les landes d Apigne 35650 LE RHEU Tel 0299608282 Fax 0299608383
Kent TECHER jeudi 26 février 2004 13:02
Si vous souhaitez obtenir des renseignements généraux
sur le Label Rouge, je vous conseille vivement de contacter le
CERQUA, Centre de Développement des Certifications des
Qualités Agricoles et Alimentaires qui s'occupe de la
promotion de ce signe officiel de qualité.
Cependant,
si vos interrogations portent sur la certification Label Rouge, je
vous conseille de contacter l'un des organismes certificateurs
"Produit", sachant que certain d'entre eux font du Label
Rouge pour des produits transformés, d'autres pour des
produits agricoles et alimentaires non transformé.
Amélie HITZ jeudi 26 février 2004 21:46
Les modalités d' obtention du label agricole ( label rouge
ou labels régionaux) sont fixées par la loi du 3
janvier 1994:
-homologation par arrêté ministériel
selon examen du cahier des charges par la Commission Nationale des
Labels et de la Certification des Produits Agricoles et
Alimentaires
- contrôle de second degré sur le suivi
de la qualité ds l' entreprise par l association
"Qualité France"
-Établissement d' un
dossier complet adressé à la Direction Générale
de l'Alimentation
Puis 4 étapes:
- mise en
publicité officielle de 2 mois
-Instruction du dossier par
la CNLCPAA
-examen du dossier et avis de la commission
-Décision
par arrêté ministériel
Soit
bcp de travail à fournir en perspective,
JEUDI 24 FEVRIER 2005
ITP - Articles de
TECHNIPORC en ligne - Au sommaire:
Le label rouge en production
porcine état des lieux et perspectives
Incidence économique
des nouvelles règles de production de porcs sous Label
Rouge
http://www.itp.asso.fr/lirfor/techpor/intro/qtech/bio.htm
LUNDI 06 JUIN 2005
L'HUMANITE 04/06/05
Cinquante ans de label
rouge
http://www.humanite.presse.fr/journal/2005-06-04/2005-06-04-635851
JEUDI 25 AOUT 2005
LE PAYSAN
BRETON 26/08/05 Label Rouge Blason Prestige : Une exigence d’animaux
haut de gamme
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=5364
MARDI 27 SEPTEMBRE 2005
TEMOIGNAGES
24/09/05 FRUITS - Un label rouge pour le letchi
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=11009
JEUDI 28 SEPTEMBRE 2006
AFSSA PLOUFRAGAN
- 5èmes JOURNEES DE LA RECHERCHE AVICOLE - TOURS, 2003
HYGIENE ET QUALITE
Incidence de l'âge sur la
qualité des carcasses et de la viande de pintade Label.
http://www.journees-de-la-recherche-avicole.org/JRA/page-JRA1024.php?page=Contenu/Archives/5_JRA/qualite.php&on=Archives&w=1024
LUNDI 16 OCTOBRE 2006
MINISTERE
DE L'AGRICULTURE 13/10/06 Un Label Rouge pour la viande bovine de
race parthenaise
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/leministere.leministrelecabinet.communiquesdepresse_a6461.html
WEB-AGRI 13/10/06 Elevage - La viande bovine de race parthenaise
reçoit le label rouge
http://www.web-agri.fr/conduite-elevage/genetique-race/article-1175-35083.html
JEUDI 28 DECEMBRE 2006
MINISTERE
DE L AGRICULTURE 28/12/06 Les fichiers des notices techniques Label
Rouge
Mise à jour des notices techniques:
- volaille
label rouge
- oeuf
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/ressources.themes.alimentationconsommation.signesdequalite.lelabelrouge.noticestechniques_a850.html
VENDREDI 12 JANVIER 2007
PRPV
11/01/07 Démarche qualité : le litchi Réunion
obtient le label
rouge
http://www.prpv.org/index.php/fr/actualites/demarche_qualite_le_litchi_reunion_obtient_le_label_rouge
LUNDI 29 JANVIER 2007
TEMOIGNAGES
29/01/07 Le "Label Rouge" de notre
letchi...
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=20039
VENDREDI 02 MARS 2007
PAYSAN
BRETON 02/03/07 Viandes : Le Label Rouge émerge spontanément,
Signes de qualité en mal de
reconnaissance
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=7033
LUNDI 28 MAI 2007
BIBLIOTHEQUE
FUSAGX - 2000 - Au sommaire:
L'authentification rapide des poulets
de chair sous label : distinction entre poulets issus de souches à
croissance lente ou rapide par la spectrométrie dans le proche
infrarouge
Traçabilité dans la filière
animale
http://www.bib.fsagx.ac.be/library/base/content/v4n4.html
ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
FIN DU DOCUMENT |
|
Page d’accueil de l’archivage thématique avec moteur de recherche |
Accès au formulaire d'inscription à la liste de discussion HYGIENE |