ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE

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THEME  : L'assurance qualité (archives chronologiques 2007-2008)

 

Pages d’archives connexes

Archives chronologiques assurance qualité des autres années


 


ARCHIVES CHRONOLOGIQUES



JEUDI 11 JANVIER 2007

LUXEMBOURG - Le Guide Luxembourgeois pour la Qualité
http://www.entreprises.public.lu/publications/ouvrages_generaux/guide_mlq/qualite_2006.pdf


Anne Laure Abisse Mercredi 14. Février 2007  7:01

Bonjour,
Petite PME dans le domaine de l'escargot, nous souhaitons nous orienter vers une certification IFS.
Pouvez vous en quelques termes me dire quelles sont les différences entre cette norme et les normes BRC et ISO 22000 et quelle est la plus souhaitable pour une petite entreprise comme la notre.
Nous ne savons pas non plus a quel guide des bonnes pratiques nous réferer...
Merci de votre aide.

Anne-Laure ABISSE
Chargée QSE



Trévien Céline Mercredi 14. Février 2007  9:00

je vous conseille de vous procurer le nouveau "guide pratique d'utilisation des référentiels Qualité et sécurité des aliments" publié par l'ACTIA.
Cet ouvrage vous aidera dans votre choix. Pour plus d'info :
actia@actia-asso.eu <mailto:actia@actia-asso.eu>

Karine MIRAMBET Mardi 6. Mars 2007  11:27


Inscrite sur la liste depuis plusieurs mois, je vous sollicite pour avoir des renseignements concernant le referentiel IFIS.
En effet, je suis actuellement responsable qualité dans une unite de production d'enzymes à destination de l'alimentation animale certifiee ISO 9001:200.
Actuellement, un client danois me demande si on est certifie selon les standards IFIS (international feed safety alliance).
Ce referentiel a t il des points communs avec l'ISO 9001?
Merci par avance de vos réponses.

Bertrand CARLIER Mardi 6. Mars 2007 11:45



" IFIS, ce n'est pas IFS "

IFIS
The International Food Information Service (IFIS) is a not-for-profit organisation established in 1968 to serve the international food science, food technology and human nutrition community, by:

* providing information products and services
* commissioning research in information science
* providing education in information science

http://www.ifis.org/ixbin/menulink?_IXSESSION_=DZrrR3ufB50&:record_name_index=%22STATKEY+about+ifis%22&%24+rec+static_page=.&_IXMAXHITS_=1&_IXSPFX_=static_page/t&_IXFPFX_=static_page/t&submit-button=summary&_IXSmenu_=8&_IXmenu_=8
cela évoque international food, mais vous avez évoqué international feed, il y a donc ceci

Welcome to the International Feed Safety Alliance (IFSA)

dont l'acronyme est IFSA:

http://www.ifsa-info.net/Engels/?cc=

visiblement on est très loin de l'iso 9001

 

Patrick Bèle Mardi 6. Mars 2007  12:54


Attention à ne pas confondre l'IFIS qui concerne les fabricants d'ingrédients pour l'alimentaion animale avec l'IFS qui concerne les fabricants de produits alimentaires sous MDD.
L'IFIS sera opérationnel en 2008 et remplacera les référentiels GMP (PDV) et OVOCOM et UFAS.
Si vous produisez des enzymes le référentiel le plus adapté aujourd'hui est le FAMI-QS (www.fami-qs.org) car il s'adresse spécifiquement aux fabricants d'additifs pour l'alimentation animale.



VENDREDI 09 MARS 2007


LETTRE COFRAC NOV 2006 Trois questions à Karine Vincent… Responsable Qualité et Évaluateurs
http://cofrac.fr/fr/documentation/Lettres/Lettre_cofrac_23.pdf

LETTRE COFRAC FEV 2007
http://cofrac.fr/fr/documentation/Lettres/Lettre_cofrac_24.pdf




MERCREDI 21 MARS 2007


SUISSE

AGRI HEBDO SEMAINE 24/2006 La production dite «normalisée» est déjà supérieure en Suisse



dami561 Saturday, April 28, 2007 2:56 PM

Je suis à la recherche, pour une entreprise agro alimentaire dans laquelle je suis assistant qualité, d'un logiciel de gestion d'audits : logiciel qui permettrait d'avoir des modèles de grille
d'audit prérentrés (type ISO, IFS...) ou que l'on créé nous même, un suivi des planning d'audit, possibilité d'utiliser ces grilles d'audit sur PDA, création de compte rendus automatique, analyses statistiques automatiques...

Est ce que certains d'entre vous en utilise, ou en ont déjà entendu parler? (utilisation par des cabinets d'audit?)
Avantages et inconvénients?
merci pour les infos...

Laurent DENEUVE Lundi 30. Avril 2007  8:43

L'ADRIA Normandie a créé un CD-Rom permettant de réaliser des évaluations internes sur la maîtrise de la sécurité des aliments, avec sortie automatique des résultats par thématique évaluée sous forme d'histogrammes (pouvant être affichés). Cet outil comprend aussi un module de gestion des actions correctives ou d'amélioration.

Pour toute démonstration, consulter www.adria-normandie.fr



rabi.dahmani Lundi 30. Avril 2007  22:42

J'ai travaillé recement dans une entreprise de foie gras. J'avais en charge de mettre en conformité le système qualité selon le référentiel IFS.Pour cela, j'ai travaillé en collaboration du
cabinet PASCAL BOUSSELET CONSULTANT. Ce cabinet est spécialisé dans la mise en place du système qualité et l'élaboration des logiciels
concernant l'évaluation de l'éfficacité du système qualité (iso 22000 et IFS). Pour toutes informations contacter www.BOUSSELET.COM

 

Gilles TIXIER Jeudi 10. Mai 2007  13:51

Le 9/05/07 12:04, « m.cutimbo » a écrit :


> Bonjour.
> Actuellement stagiaire qualité au sein d'un service de restauration
> hospitalière, je réalise un audit des bonnes pratiques et de l'hygiène
> de cette cuisine.
> Je réalise ma grille d'audit en balayant toutes les étapes du parcours
> repas de l'hopital, aussi bien de la livraison des denrées jusqu'au
> service des repas. Cependant, je crains que ma grille et les divers
> points à contrôlé ne soient assez exaustifs. N'ayant pu obtenir
> d'exemple, je me demandais si quelqu'un parmi vous posséderai ce type
> de grille, récapitulant tous les points à regarder lors d'un audit en
> cuisine.


en construisant votre grille d¹audit hygiène,
veillez à être clair sur la nature des points à auditer,
- s¹ils correspondent à des exigences directement calquées de la réglementation (potabilité de l¹eau)
- si ce sont des bonnes pratiques logiquement déduites des exigences réglementaires (sectorisation des chambres froides)
- ou si ce sont des abus d¹interprétation (planche à découper de couleur ; armoire à couteaux à UV, etc)

Dans le forum ³formateurs-cafa²
j¹ai déposé une grille à
http://fr.groups.yahoo.com/group/formateurs-cafa/files/
intitulé ³AuditRestauration9.xls² et co construite avec mes collègues de TR6, grille qui ne demande qu¹à être amendée.

-


MARDI 29 MAI 2007


IFLEXSENEGAL - LES INCONTOURNABLES DE LA QUALITE
http://www.iflexsenegal.org/archives8_4.html



MARDI 29 MAI 2007


MESURES FEV 2005 CERTIFICATION - La fusion Afnor Afaq?
http://www.mesures.com/archives/772certification.pdf



Bertrand CARLIER Mardi 5. Juin 2007  17:40


*ISO 13485 2003 ** INTERNAL AUDIT PROGRAM*

http://www.praxiom.com/iso-13485-audit.htm

iso translated into plain english
ISO9000 Translated into Plain English <http://www.connect.ab.ca/%7Epraxiom/>

http://www.fst.rdg.ac.uk/Teaching/index.htm

dans la langue de Molière?

Aprés QS, un autre exemple, des profondes différentes culturelles en Europe, à quand une vraie stratégie française ?


MERCREDI 06 JUIN 2007

AFSCA 05/06/07 Procédure pour l'utilisation d'un scope flexible d'accréditation (15-06-2007)

http://www.afsca.be/autocontrole-fr/oci/



O. Cerf Vendredi 8. Juin 2007  19:58

Le 08/06/07, bendeddouchebadis a écrit :
>
> bonjour,
> qu'elle est la signification des initiales XP qu'on retrouve parfois
> dans les normes NF.
> merci

Sauf erreur :
XP = norme expérimentale
NF = norme française homologuée
FD = fascicule de documentation

 

sa2d Vendredi 8. Juin 2007  21:58

XP pour "xp"érimentale.
Ces normes sont diffusées en attente de validation par les utilisateurs

 

bonnard amaury Lundi 11. Juin 2007  11:01

Bonjour, Auriez-vous des conseils pour savoir ce qu'il faut mettre concrètement dans le manuel qualité pour l'IFS ?


Bertrand CARLIER Lundi 11. Juin 2007 11:33

Manuel qualité : exigences de la norme, résumé des pratiques et méthodes de travail
Référence à l'analyse HACCP (NS)

http://www.champagne-ardenne.cci.fr/fr/eblaster/crci/agro-industrie/agro0507_17/elements/abonnes/fr/files/BRC_IFS_ISO22000.pdf

Définition MANUEL QUALITE = Document spécifiant le système de management de la qualité d'un organisme. (ISO 9000)

http://www.agrojob.com/dictionnaire/definition-Manuel-qualite-2588.htm

Manuel Qualité : document qui énonce la politique Qualité et qui décrit le système Qualité d'un organisme.

http://www.mfq-aquitaine.org/LexicoGuide_MFQ.doc

mais en allant en UK , cela devient librement plus pédagogique

quality assurance manual

http://www.quality.co.uk/example/manual.htm

issu de
http://www.quality.co.uk/

le même dans la langue de Molière ...

amicalement
Bertrand

ps dans un "autre " monde


The* Quality Manual* is relevant to both staff and students. It was established in 1995 and aims to act as a central source of information for policies and procedures which support the University in its aim to assure the quality of its learning, teaching and supervision. Students may expect advice from tutors on the use and interpretation of the Quality Manual if they need it.

http://www.nottingham.ac.uk/quality-manual/

About the Quality Manual

http://www.nottingham.ac.uk/quality-manual/about/index.htm


MERCREDI 13 JUIN 2007

COFRAC - Lettre Cofrac n°25, Mai 2007 Vous pourrez y livre une interview exclusive de Nathalie Savéant, Responsable des sections Certifications.
http://cofrac.fr/fr/documentation/Lettres/Lettre_cofrac_25.pdf



JEUDI 21 JUIN 2007

Normes phares du GPN Agro-alimentaire
http://portailgroupe.afnor.fr/public_espacenormalisation/AFNORCOS01/normes%20phares.pdf

Les normes (spécifications et méthodes d'analyse), guides de bonnes pratiques et lignes
directrices ci-dessous constituent des documents de référence particulièrement importants du secteur. Cette liste a d'abord un caractère illustratif
et ne vise en aucun cas l'exhaustivité.
source Gilles TIXIER


JEUDI 28 JUIN 2007

ALGERIE

NOUVELLE REPUBLIQUE 28/06/07 ISO (International Standardization Organization)
269 entreprises certifiées ISO 9001 et ISO 14000
http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=52098&idc=4&refresh=1%252525252525252525252525252B%252525252525252525252525252B+



aurelie-j.kieffer Dimanche 15. Juillet 2007  18:12

J'ai été embauchée en tant que responsable du management de la qualité dans une entreprise allemande implantée en France il y a 6 mois.

Aussi,je dois effectuer les audits internes dans les différents services en vue d'un réaudit au mois de septembre. En Allemagne, une formation de " Qualitätsmanagement beauftragte(r)" dispensé par le Tüv est obligatoire pour réaliser ces audits internes. Est-ce le cas également en France? Etant donné que je ne maîtrise pas encore parfaitement l'allemand (cet examen est sanctionné par une épreuve écrite) et que le laps de temps s'avère court, il m'est impossible de participer à cette formation avant le réaudit. Est-il possible pour moi pour le moment d'effectuer les audits internes en duo avec une personne ayant effectué cette formation et de me définir comme responsable des audits? Aussi, quels organismes français proposent ce
genre de formations au management de la qualité? Sont-elles "obligatoires"?

Je vous remercie d'avance pour vos conseils.

Constant Depièreux Dimanche 15. Juillet 2007  18:54

Pour la Belgique et dans le cas de sociétés certifiées ISO 9001:2000 par notamment la société Tuv Rheinland Belgium sa, ce genre d'exigence n'est pas applicable (basé sur une expérience personnelle dans plus de 10 sociétés). Elle n'est en outre pas formellement requise par la norme elle-même

voir l'excellent site http://perso.orange.fr/nathalie.diaz/iso9001/maa8/surmes82/survmes.html

Ceci dit, et toujours par expérience personnelle, ce type d'exigence est symptomatique de l'abus de position dominante dont sont coupables de trop fréquents auditeurs ( j'ai même vu tout récemment dans une entreprise de 10 personnes dont le patron travaille quotidiennement avec son personnel, un consultant avec le support de l'auditeur, imposer l'aménagement d'une salle de réunion et dans une autre entreprise, le même "couple infernal" imposer le layout et les caractéristiques de lettrage d'une zone de livraison , avec à la clef, une facture de ré-audit bien-entendu ).

Il serait temps, sur cette liste, de procéder à une analyse contradictoire coût-bénéfice de ce type de certification, dont le client se fiche comme de sa première culotte, dont les industriels
doutent de la valeur ajoutée et que même les administrations n'exigent parfois plus (armée belge dans le cadre de certaines fournitures OTAN notamment).

Deutscherverein Dimanche 15. Juillet 2007  19:06

L'audit correspondant je ne le connais pas par contre je connais bien l'allemand technique et les formations dispensees en Allemagne
les principales formations allemandes sont de niveau Abitur +5
filiere viande
filiere lait
filiere des alcools et de la biere
filiere de la panification
existent surtout differentes organisations professionnelles subdivisees en sections
(Abteilung) et des interconnexions entre les differents métiers les principales ont leur revue et il peut etre interessant de les contacter la cela se complique puisqu il vous faut définir quel organisme contacter cela serait plutot chez la Behr Verlag pour ce qui concerne la filiére lait les relations entre le droit et l'alimentaire ou la gestion de la qualité en biologie biochimie
existe egalement une formation Abitur+3 spécifique a l'électronique l'électrotechnique des chaines de production en chimie et en alimentaire ce serait la méme maison d'édition que la brasserie la Carl Hanser Verlag ils peuvent avoir des documents traduits en francais en anglais en russe en polonais...
existe egalement un organisme similaire chez la Oldenburg Verlag qui est commun à la VDI (Ingenieurs) et la VDE (electrotechnique) comme la précedente ces deux syndicats interviennent bien sur au niveau des normes et ont leur propre mlaison d'édition existe encore les syndicats liés au secteur de la chimie et de la biotechnologie extremement importants dont les principales publications sont chez la Springer Verlag
cela a des chances egalement d'étre en anglais et d autres sections encore dont ce qui a rapport a la bacteriologie et la phicologie chez la Gustav Fischer
la biochimie analytique etant plutot chez la Verlag Chemischer Hersteller la VCH maintenant filiale de Wiley
il faudrait definir plus précisement ce que vous recherchez le cas echeant cela ne me derange pas de faire des traductions


Ismail Saadi Lundi 16. Juillet 2007 10:00


Pour être auditeur interne il faut avoir fait une formation sur la pratique d?audits selon ISO 19011, cette formation peut être effectué par n?importe quel cabinet ou auditeur ayant les compétences nécessaires. Après la formation il faut pratiquer des audit en tant qu?accompagnatrice avec un responsable d?audit (normalement le formateur).

Ceci devrait être spécifié dans votre procédure d?audit.

Vous pouvez aussi effectuer cette formation qualifiante à distance (par internet), c?est très pratique et aussi efficace, ci-joint le lien http://www.procert.ch/schulungII/index_f.php



JEUDI 26 JUILLET 2007

FOOD QUALITY 25/07/07 One audit, multiple certifications
One audit can achieve multiple food safety certifications under a new global service offered by a Switzerland-based company.
http://www.foodqualitynews.com/news/ng.asp?n=78484-sgs-audit-haccp
VENDREDI 27 JUILLET 2007

MAROC

MINISTERE DE L INDUSTRIE, DU COMMERCE DU MAROC -ESPACE QUALITE N°24/2004
Au sommaire:
Dossier: la certification et la normalisation dans le secteur agro-alimentaire
http://www.mcinet.gov.ma/SNIMA/web_fr/pdf/EQ24.pdf
MINISTERE DE L INDUSTRIE, DU COMMERCE DU MAROC -ESPACE QUALITE N°30/2006
Au sommaire:
Dossier: l'audit, une technique de plus en plus pratiquée
http://www.mcinet.gov.ma/SNIMA/web_fr/pdf/EQ30.pdf
MINISTERE DE L INDUSTRIE, DU COMMERCE DU MAROC -ESPACE QUALITE N°33/2007
Au sommaire:
Numéro 33/2007 -Dossier: ISO9001: comment peut elle aider les petites entreprises à progresser?
http://www.mcinet.gov.ma/SNIMA/web_fr/pdf/EQ33.pdf

MINISTERE DE L INDUSTRIE, DU COMMERCE DU MAROC -ESPACE QUALITE N°20/2004 ACTUALITES DE LA NORMALISATION ET DE LA QUALITE 6ème EDITION DU FORUM SUR LES INDUSTRIES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES
http://www.mcinet.gov.ma/SNIMA/web_fr/pdf/EQ20.pdf


VENDREDI 12 OCTOBRE 2007

TERRE-NET 12/10/07 Certification des exploitations - Le ministère de l'agriculture travaille de près le sujet
http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article-205-43222.html


Jeudi 18. Octobre 2007  11:43

P-4116/07 Campagne d'information sur la marque CE
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+P-2007-4116+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR


VENDREDI 19 OCTOBRE 2007

PAYSAN BRETON 19/10/07 Certification des exploitations / Des syndicats très réservés - Le ministère prépare un projet
http://www.paysan-breton.fr/article/7752/certification-des-exploitations--des-syndicats-tres-reserves.html


DIMANCHE 04 NOVEMBRE 2007

UNIFA - Au sommaire:
Le code des bonnes pratiques agricoles
http://www.unifa.fr/01_actu/index.htm


Karine MIRAMBET Mercredi 21. Novembre 2007 17:11
je travaille actuellement dans une société certifiée ISO9001.
Lors de la préparation pour l'audit de suivi, une de mes collègues a demandé la différence entre l'engagement de la direction et la politique qualité, car au sein de notre société, nous avons 2 documents distincts.
Pour moi, l'engagement de la direction est plus généraliste alors que la politique qualité fixe des objectifs.
Toutefois je souhaite votre avis sur les différences fondamentales entre ces 2 termes.
Je vous remercie par avance de vos réponses


Cabinet HBL MG France Mercredi 21. Novembre 2007 17:20
L’engagement de la direction est la clé de voute de la politique qualité dans une entreprise
C’est la condition première lors de la mise en place d’une démarche type ISO 9001
Si cet engagement n’est pas présent (et respecté) la certfication ne peut avoir lieu
La politique qualité recense les domaines dans lesquels les investigations seront réalisées pour une meilleure satisfaction du client final



Bertrand CARLIER Mercredi 21. Novembre 2007 17:33
vous connaissez ces liens
**http://pagesperso-orange.fr/nathalie.diaz/
http://pagesperso-orange.fr/nathalie.diaz/html/panoramaiso3.htm <http://pagesperso-orange.fr/nathalie.diaz/html/Intro.htm
http://pagesperso-orange.fr/nathalie.diaz/html/Initialiser.htm



SOMINE DOLO Mercredi 21. Novembre 2007 17:29
Dans les SMQ actuels, on fait en général du deux en un. la politique qualité contient en ce moment la déclaration et l'engagement de la Direction. L' engage de la direction se resume ds une phrase comme du genre "nous nous engageons à mettre en place le SMQ et d'y affecter les ressources et les moyens nécéssaire à sa croissance". Mais ne vous y trompez pas car cela est conceptuel, cette phrase doit être traduite par des actes concrets comme: la nomination d'RAQ, l'affectation de ressources...etc.
Dans la politique qualité les objectifs sont globaux et doivent être traduits c'est ce qui consiste au côté subtil de la norme pour son déploiement.
DONC, les deux cas sont acceptés mais sachez faire la différence de forme: entre le votre et le deux en un. les deux sont valables. le plus important est est la finalité recherchée: l'éfficacité.


lamia Meite Mercredi 21. Novembre 2007 18:12
izoland !! vraiment très bien fait


Lamia MEITE Mercredi 21. Novembre 2007 18:08
Effectivement, vous n'avez pas besoin d'élaborer 2 documents distincts. La politique qualité suffit avec un phrase mentionnant l'engagement de la Direction au respect des règles et principes du SMQ et à accroître la satisfaction des clients.
Toutefois quoi que vous ayez fait (1 ou 2 documents), l'auditeur vérifiera que l'engagement de la Direction n'est pas une pur formalité documentaire mais qu'il est véritable et effectif.
En effet, la preuve de cet engagement est l'ensemble des éléments sur :
- la compréhension et l'intégration de la démarche qualité
- la démarche relative à la prise en compte des besoins des clients
- l'établissement d'une politique qualité prenant vraiment en compte les attentes et besoins des clients et en adéquation avec les objectifs généraux de l'entreprise
- des objectifs en adéquation avec la politique qualité
- la mise à disposition des ressources nécessaires au développement, à la mise en oeuvre et à l'amélioration continue de l'efficacité du SMQ
- la communication interne sur la politique qualité et les objectifs particulièrement ceux concernant les clients
Avec tous mes encouragements pour l'audit de suivi !


JEUDI 06 DECEMBRE 2007

COFRAC NOV 207 Lettre COFRAC N°28 Au sommaire:
Les frontières de l'accréditation
Trois questions à Guy Tuffery… Président de la Commission technique d'accréditation (CTA)
Agroalimentaire du Cofrac de novembre 2001 à octobre 2007
Certification - AG des évaluateurs qualiticiens et techniques de la section Certification de produits et services (CPS)
http://cofrac.fr/fr/documentation/Lettres/Lettre_cofrac_28.pdf


MARDI 05 FEVRIER 2008


CONTACT ALIMENTAIRE 31/01/08 Une aide pour comprendre et mettre en place le
management de l'hygiène dans la chaîne alimentaire : le Guide Pratique d'Utilisation des Référentiels - ACTIA (2008)
http://www.contactalimentaire.com/index.php?id=104&tx_ttnews[tt_news]=427&tx_ttnews[backPid]=524&cHash=8be2810118



JEUDI 14 FEVRIER 2008

PROCESS 17/07/07 François Falconnet devient le président du comité ISO TC 34
« Produits alimentaires »
http://www.editionsduboisbaudry.fr/bi/article.php?action=pa&id=33343


Bertrand CARLIER dimanche 10 février 2008 10:05
Article 25: Vulgarisation des activités de normalisation
Les États membres font connaitre leurs activités de normalisation et de management de la qualité à tous leurs partenaires concernés de l’Union, notamment par l’organisation de séminaires, de diffusions publicitaires, de publications de rapport d’entretiens et d’avis, par la participation des institutions nationales de normalisation aux manifestations commerciales, par la création de prix nationaux spéciaux et d’associations nationales de promotion de la qualité dans les États membres.
issu de
Accréditation — Certification — Normalisation-Métrologie —Promotion de la qualité
Contribution à l’étude du droit lié à la qualité dans l’espace UEMOA
http://www.unido.org/index.php?id=o71797
à associer à ceci :
Art. 10. – Pour des raisons d’intérêt général, des normes peuvent être rendues d’application obligatoire par arrêté du ministre compétent, contresigné par le ministre chargé de l’économie. Ces normes sont mises gratuitement à la disposition des utilisateurs. Le manque à gagner financier pour le système français de normalisation est compensé par le département ministériel ayant souhaité rendre la norme obligatoire.
http://www.industrie.gouv.fr/portail/pratique/normalisation_projet_decret2008.pdf
c'est quoi les normes d'application obligatoire, à ce stade, en
alimentation ?
moi je verrai une règle qui simplifierai la vie à bien des acteurs:
le respect des mots et de leur définition...




Julien PETIT Mercredi 13. Février 2008 11:21
Pour tenter de répondre à la question en fin de message, je n’ai pas connaissance d’un système de normes rendues d’application obligatoire dans les domaines de l’alimentation et de l’hygiène alimentaire en eux-mêmes.
Un tel système existe cependant pour tout ce qui est matières fertilisantes: le code rural prévoit que les matières fertilisantes doivent être homologuées (i.e. autorisation de mise sur le marché) avant de pouvoir être utilisées, sauf s’il s’agit de produits couverts par une norme rendue d’application obligatoire.
Dans la pratique, la mise en application obligatoire prend la forme d’un arrêté ministériel (arrêté du 05 septembre 2003 dans le cas des fertilisants) qui liste les normes concernées. Tout fertilisant couvert par l’une de ces normes (i.e. qui respecte les spécifications qu’elle définit) peut donc être directement mis sur le marché.
Cependant, les normes en question sont des normes AFNOR, donc actuellement non disponibles gratuitement (il faut les commander à l’AFNOR).
L’avancée du projet de décret (article 10 évoqué dans le message ci-dessous) serra de permettre un accès direct à ces normes, qui constituent indirectement une source du droit applicable (elles fixent des prescriptions pour ceux qui mettent des fertilisants sur le marché).


Bertrand CARLIER Mercredi 13. Février 2008 11:41
merci,
Si j'ai du respect pour les organismes de normalisation, il faut admettre que ces entreprises sont constituées d'une partie de fonctionnaires et de l'autre surtout de membres de grandes entreprises ( les seules qui ont les moyens ).
je trouve très dommageable que le vocabulaire normalisé ne soit pas accessible de façon libre de charge, aux forces de production que sont les petites et moyennes entreprises, indispensables partout dans le monde pour la production d'aliment.*
Je sais que ceci est partagé par des membres de ces structures.
D'ailleurs dans certains pays, il est pour habitude, depuis un long moment, que les textes de loi, libres de droit, reprennent l'intégralité des définitions présentes dans des normes. C'est une des raisons de la qualité et précision de la communication des administrations, exemple canadienne.
En France, nous avons eu pendant bien trop longtemps pour habitude de produire des textes de loi avec des mots, soit non définis, soit aux définitions planquées dans des normes et ceci est de mon point de vue une erreur qui justifie une bonne partie de nos retards...
Mais la responsabilité de la situation actuelle est donc partagée et la responsabilité des législateurs français devrait être plus souvent pointée, car ils ont en fait toujours eu la possibilité de faire beaucoup et ceci à moindre cout ou plutôt à cout nul.
Le terme vulgarisation a une connotation négative, c'est ce qui justifie mon intervention. Il me semble que cela devrait d'abord s'appliquer aux entreprises de normalisation et certification, car les interprétations qui sont faites des textes en place pourraient justifier bien des commentaires, et il y a sur cette liste , bien des acteurs qui pourraient produire des faits très précis.
un exemple concret: le cas du mot management...
"on obtient la note suivante : « Malgré l'adoption du terme management par l'Académie française, l'Office québécois de la langue française n'en recommande pas l'emploi. On devrait lui substituer ses concurrents connus (selon le sens) : direction, organisation, gestion, conduite à tenir, administration. »"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Management
peut-on disposer des choix ayant justifié le choix de ce mot en langue française et des différences de signification entre l'anglais et le français sur la signification de ce mot ?
cela me rappelle la traduction du mot hazard ...
amicalement
Bertrand


* si ce non accès aux acteurs de production est nuisible à l'amélioration de la qualité, cela est aussi un des facteurs du pourrissement des dialogues consommateur entreprise, et le rapport cout bénéfice doit être très largement en faveur d'un changement radical d'attitude.


Eric Kalinowski Mercredi 13. Février 2008 12:52
Bonjour M. Carlier,
Pour info, en tapant "Management de la qualité" on trouve 628 Normes dont 305 françaises et européennes sur Afnor-Boutique (13 normes en associant le terme "Alimentaire"):
http://www.boutique.afnor.org/NEL7ListeResultat.aspx?_C=eJyLz2FIK2KIL8tjCNNNKinUBXEKGTRyE*MS01NzU*NKFApLE3MySw6v1GQAAD1fDxA_&filtre=_c%3d%2b16199355581551847456&nivCtx=NELZNELZ1A10A101A107&ts=956372


Bertrand CARLIER Mercredi 13. Février 2008 13:11
merci,
mais cela je savais,
mais regardez donc la page anglaise et ce qui s'y dit:
http://en.wikipedia.org/wiki/Management
pour les non anglophones, un lien avec traduction automatique ( ce qui est très éclairant)
http://translate.google.com/translate?sourceid=navclient&hl=fr&u=http%3a%2f%2fen%2ewikipedia%2eorg%2fwiki%2fManagement
il est pertinent de comparer les deux pages.
amusant la traduction AFNOR, n'est pas celle des traducteurs automatiques, CQFD
ce mot concept nécessite, il me semble, d'avoir une définition précisée et accessible, bien sûr si l'objectif des fondateurs de l'ISO est encore d'actualité...


Eric Kalinowski Mercredi 13. Février 2008 14:15
Il existerait un Vocabulaire non commun de type régalien, de type afnorien et les autres ... uniquement en "Management"?


Bertrand CARLIER Mercredi 13. Février 2008 15:00
merci,
un moyen simple d'en avoir la preuve :
les versions canadienne et française d'une norme, utilisant la même langue, le français sont identiques?
si oui,
quid du rôle de l'office québécois de la langue française
http://www.oqlf.gouv.qc.ca/
et donc ceci
http://www.oqlf.gouv.qc.ca/office/communiques/2008/20080206_effectif_activites.html
amicalement
Bertrand


Dr Mohamed DAYI Mercredi 13. Février 2008 23:38
Au Maroc les normes sont promulguées par voie réglementaire par arreté du MCI,ce pendant pour l'agro-alimentaire elles ne sont exigences que lorsqu'elles sont citées parmi les considérants,et deviennent une définition précise et connue du contenu de la norme (ex NM/HACCP)
Cordialement.
Dr Mohamed DAYI
ex.I.S.P.V/HIDAOA/Maroc
-Formateur référent/MAPM en RHF-S & TTD-BTT-V & PC
-Technologie/Sécurité et Qualité des Aliments
-Expert technique/Viandes & Produits Carnés
-Certifié Calyxix CEPR n°442/HACCP-Validité 11-2009.
-Certifié Calyxis CEPR n°002/HACCP/SMSDA-Validité 04-201O.
www.cepr.fr
FSQ-Technology & Standard
Tec-Man Director
176,avenue des F.A.R/50000-Méknès/MAROC




Trévien Céline Mardi 25. Mars 2008 11:26
L'ACTIA a mobilisé le savoir-faire de spécialistes de la qualité et de la sécurité des aliments des centres techniques (dont ADRIA Développement) dans la rédaction d 'un guide à destination des industriels de l'agroalimentaire :
Qualité et Sécurité des Aliments - Guide pratique d'utilisation des référentiels - ACTIA
S'approprier et maîtriser les référentiels ISO 22000 - ISO 9001 : 2000 - IFS v5 - BRC v4 - BRC Iop - Codex Alimentarius
(151 pages - janvier 2008)
Vous y trouverez une analyse des référentiels :
- panorama des objectifs, champs, et points essentiels de chaque référentiel,
- leurs complémentarités, leurs redondances et leurs passerelles,
- une aide à la décision au travers de témoignage et de scénarii de mise en oeuvre.
Pour chaque spécification, sont comparées la référence, essentiellement aux règlements (CE 178/2002 et CE 852/2004), les exigences et résumés des référentiels ISO 22000, ISO 9001 : 2000, IFS version 5, BRC version 4 et BRC Iop, ainsi que les points clés relatifs à l'hygiène et à la sécurité des aliments issus du Codex Alimentarius.
Cet ouvrage vous permettra de transformer les exigences des réglementations et des référentiels en opportunités de compétitivité.
Il sera remis gratuitement à tous les participants du "6ème Rendez-vous des Managers de la Qualité en IAA" aura lieu les 2 et 3 avril 2008 à Rennes,
Ce rendez-vous, devenu incontournable pour les managers qualité du secteur alimentaire, représente une occasion unique de s'informer sur
l'actualité des services qualité et d'échanger avec des industriels, des distributeurs, des représentants des services officiels...
Parmi les thèmes sélectionnés cette année :
- L'IFS version 5 : premier bilan 3 mois après son entrée en application
- Les laboratoires internes de contrôle : quel avenir en IAA ?
- Les nouveaux critères microbiologiques : quel bilan sur le terrain ?
- Les migrants d'emballages : un risque difficile à évaluer et à maîtriser...




Constant Depièreux Mercredi 26. Mars 2008 16:21

Afin d'apporter un éclairage différent à cette discussion qui relève du sexe des anges (bien que cela soit nécessaire avec certains auditeurs qui se raccrochent à la forme pour palier leur manque de fond), je voudrais partager la manière dont j'ai personnellement résolu le problème.

1. Toutes mes procédures sont écrites en LaTeX (ce qui suit n'est pas faisable avec les cochonneries de traitement de texte wysiwig ou vous passez plus de temps sur la forme que sur le fond)

2. L'essentiel de mes procédures est constitué de "cross-functional flow charts" (http://www.edrawsoft.com/Cross-Functional-Flowcharts.php) écrits en pstricks est dans lesquelles

2.1 toutes les fonctions sont des variables globales prédéfinies une fois à la création du système

2.2 dotées d'une entrée dans un index intitulé "Matrice des responsabilités fonctionnelles"

En compilant l'ensemble des procédures (ce qui est quasi instantané), il est donc loisible de créer pour chaque fonction un index interactif de toutes les procédures dans lesquelles intervient une fonction donnée(hyperliens dans un document pdf que l'on peut protéger, signer électroniquement, ...) . Un clic et l'opérateur y a accès.

Vous changez l'intitulé d'une fonction? Un seul endroit à changer et une compilation prenant moins d'une minute plus tard, l'ensemble de vos procédures et diagrammes a été mis à jour et intégralement remis en page. Après signature électronique, les procédures modifiées sont mises à disposition de l'ensemble du personnel via intranet.

Cette solution est en place chez tous mes clients et a été certifiée par cinq sociétés de certification différentes.

La beauté de la chose est que l'ensemble des outils est gratuit (http://www.framasoft.net/rubrique266.html) et que je suis persuadé que vous allez améliorer l'idée.



Lamia MEITE Mercredi 26. Mars 2008 16:56

Bonjour M. Depièreux,

De qui parler vous ???: "....certains auditeurs qui se raccrochent à la forme pour palier leur manque de fond"

Intéressant votre résolution du problème.

Maintenant, je souhaiterai savoir si Fatimazahra a compris et si cela répond à ces interrogations



Constant Depièreux Mercredi 26. Mars 2008 17:58

Bonjour Lamia,

Juste par retour d'expérience personnelle ;-)

Et pour que les choses soient claires, nous ne nous sommes jamais rencontrés donc n'y voyez aucune attaque personnelle.

Mais puisque vous abordez un sujet sensible, parlons ouvertement : le processus de certification est corrompu par sa nature commerciale.

Une société de certification travaillant pour une multinationale, peut-elle raisonnablement se permettre de donner un carton rouge et perdre le client?

Trouvez-vous normal qu'un auditeur travaille en partenariat avec un consultant pour imposer - sous peine de non certification - la construction d'une salle de réunion dans une société de 12 personnes et où le patron est tous les jours en bleu de travail avec ses ouvriers dans l'atelier?

Trouvez-vous normal qu'une autre société de certification exige le réencodage en double des fiches de formation parce que le lgiciel utilisé par leur client n'est pas celui qu'elle commercialise?

Trouvez vous normal qu'une troisième ne délivre un certificat qu'uniquement si vous suivez une filière de formation complète donnée par ses services?

Trouvez-vous normal qu'une quatrième s'indigne qu'un client change de prestataire de service parce que le précédent était un de leurs clients?

Trouvez-vous normal qu'une société de certification impose que les audits internes soient effectuées par un consultant externe, sans expérience de la profession qui plus est?

Trouvez-vous normal que l'auditeur ne dispose lors de l'audit que d'une copie illégale de la norme? (l'audité n'en ayant lui aucune, vu qu'il doit souvent un grand merci au site de Nathalie Diaz)

Trouvez-vous normal enfin qu'une société soit certifiée alors qu'elle n'a légalement pas le droit d'exister?

Je sais que l'ensemble de ces exemples ne correspondent pas à l'éthique et à la déontologie des membres de cette liste. Ils ne correspondent pas non plus à la pratique de bon nombre d'auditeurs que j'ai le plaisir de cotoyer, mais ils correspondent néanmoins tous à des exemples vécus avec des noms, des adresses, des dates et des preuves à l'appui.

Tant que le processus de certification ne reposera pas sur un pool d'auditeurs d'état, qualifiés, tirés au sort, ne pouvant réintervenir dans la société auditée avant x années et responsables du certificat qu'ils délivrent, la valeur de toute certification sera contestable.



Lamia MEITE Mercredi 26. Mars 2008 18:56

je n'ai pas pris pour moi votre attaque mais je n'ai pas compris cette phrase que j'ai trouvé au départ méchante et hors contexte.

Votre réponse me permet de mieux saisir ce que vous vouliez dire.

Je ne pense pas que ce soit la nature commerciale du processus de certification qui fasse qu'il est corrompu.

Je pense que même lorsque l'on vend une prestation cela n'empêche en rien et il est même encore plus nécessaire d'être loyal, intègre, professionnel et de respecter ses clients.

Malheureusement nous sommes dans une société où il faut gagner absolument de l'argent au détriment même d'autrui ou en tout cas pas dans un intérêt partagé.

Je n'ai pas rencontrer toutes les expériences que vous avez cité mais j'en ai rencontrer une d'un organisme certificateur et une autre d'un consultant, je doute aussi du fonctionnement actuel du processus de certification.



hind arbaoui Mercredi 26. Mars 2008 19:14

Je trouve que la réponse de Mr depièreux est un peu compliqué pour moi!!

je suis en cours de traitement des fiches de fonction et je trouve que c'est simple une fiche de fonction a comme rôle de lister soit les taches à effecturer, ou les responsablité selon que c'est un opérateur ou un responsable de suivi. de tel façon qu'on sait qui fait qoi dans une organistion



QUALITE Alexia Jeudi 27. Mars 2008 6:45

Je partage en intégralité les propos de M. Constant Depièreux, sauf que je n'aurai pas su les exprimés aussi bien.

Bravo je pensais être la seule à avoir un doute sur les certifications d'entreprise.



Alain Gonthier Jeudi 27. Mars 2008 11:13

Si je peux me permettre de m'insinuer dans cette conversation, je dirais que la certification est comme le bac: on ne peut rien faire si on ne l'a pas mais une fois qu'on l'a, on s'aperçoit qu'il ne sert plus à grand chose. C'est encore plus vrai avec l'IFS et le BRC et qui sont imposés par les distributeurs.



fatimazahra eluharani Jeudi 27. Mars 2008 19:15

Au début, je ne suis pas auditeur qualité, je ne suis qu’une qualiticienne débutante.

L’organisme où je travail lance le projet de certification ISO 9001 version 2000, je suis entrain d’établir les fiches de fonction et je me suis dis s’il y a la possibilité d’avoir un document qui recouvre la définition de fonction et la fiche de poste en même temps pour minimiser les papier et pou éviter la répétition.

C’est pour cela je repose la même question : est ce je peux avoir un seul document au lieu de deux ?



F PECQUERIE Jeudi 27. Mars 2008 19:35

Il faut aussi etre responsable de ce que l'on fait

une entreprise qui souhaite se faire certifier tierce partie est LIBRE de son CERTIFICATEUR : nul n'est imposé

A PROIRI intelligente : elle connait le système et en particulier le COFRAC qui saura regler toutes ces pratiques totalement inadmissible et qui ne peuvent en aucun cas etre etendu à titre de règles ( pourquoi ces entreprises n'ont elles pas immediatement referees au COFRAC ces fautes graves )

Stop au fait de l'appel une fois de plus a pl'administration : chacun son rôle nos administrations "certifient" dejà par les agrements qu'elles attribuent les entreprises : le système est il parfait???

fiable mais pas infaillible et totalement garant de la parfaite conformité à une reglementation française complexe et europeenne

ceux qui veulent faire mieux tant mieux sous reserve que ce soit dans un cadre communemment admis qui a quand meme fait beaucoup progresser dans la maitrise de la qualité ( sans debat philosophique SVP mais soyons factuels n'est ce pas et restons dans la demarche PDCA...) système imparfait certes mais qui a le mérite d'exister la aussi

Il n'y a AUCUNE raison d'imposer des couts supplementaires à la TOTALITE des entreprises au profit de la minorité qui veulent etre reconnue differemment du plus petit commun denominateur

Stop aussi à cette approche "les méchants "distributeurs... il y a aussi de grandes mechantes multinationales dont les profits n'ont rien a envier à ceux des distributeurs essayons sans rever de trouver des rapports gagnant-gagnant : cela arrive dans les PME aussi

posons nous la question : IFS et BRC pourquoi ont ils été créés : pour essayer de rationaliser des exigences multiples et variées parfois inconsequentes pour reduire des COUTS PARTOUT chez les distributeurs ET dans les PME moins mobilisées par DES N Audits

allons un peu d'optimisme dans les demarches et pas de retour à notre saint ETAT : laissons le faire son metier regalien mais uniquement celui-la sans l'amener à depenser plus que nous pouvons payer

F PECQUERIE



JEUDI 17 AVRIL 2008

PROCESS 15/04/08 Au sommaire:
Trois nouvelles méthodes certifiées Afnor Validation
http://www.editionsduboisbaudry.fr/bi/article.php?action=pa&id=38303



MARDI 22 AVRIL 2008

EUROPE

InfoPIP n°44 - avril 2008
http://www.coleacp.org/fo_internet/pip/Default.asp?ai_IdSection=9&ai_Language=2&as_Status=&ai_CurrentRecord=&ai_IdDetails=1092&as_CurrentCategory=
Au sommaire:
Les normes de qualité privées examinées de plus près par la Commission européenne


MARDI 29 AVRIL 2008

FRANCE

AGRISALON 29/04/08 CERTIPAQ et AFNOR Certification unissent leurs
compétencespour proposer des certifications et évaluations coordonnées
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-20434.php




hind arbaoui Mardi, 29 Avril 2008, 15h33mn 01s

J'ai du mal à comprendre le point 7.5.2 concernant la validation des processus pourriez vous me donner plus de lumière



Lamia MEITE-GIRAULT Mardi 29. Avril 2008 18:42

Ce paragraphe concerne les processus qui réalisent des produits ou des services qui ne peuvent pas être vérifiés par un contrôle.

Certains processus ne peuvent pas être contrôlés ou surveillés a posteriori parce que les contrôle sont coûteux ou longs ou difficiles à réaliser au au poste...

L'activité de conseil est l'une des activité les plus difficile à contrôler a posteriori.

Il faut donc valider le processus de production et de préparation. Pour cela, il faut que vous :

- Définissiez dans votre système, les processus de réalisation qui doivent faire l'objet d'une validation

- élaboriez un processus de validation des procédés de réalisation (conditions, méthodes, enregistrements et revue de validation)

par exemple ce processus peu inclure le contenu des dossier techniques pour procéder à la revue des processus, la définition des compétences du personnel, l'approbation des équipements, les conditions de revalidations...

- planifiez la validation (voir § 7.1)

- conserviez les enregistrements des validations réalisées

Effectivement le § 7.5.2 n'est pas aussi simple que ça mais il permet de garantir la qualité du processus de réalisation lorsqu'il est difficile de réaliser des contrôles.



thierry.laugier Mardi 13. Mai 2008 11:43

Je suis à la recherche d'une liste des organismes certificateurs accrédités pour l'agroalimentaire. Existe-t'il une telle liste? La connaissez vous? Dans ce cas, merci d'avance de me la communiquer.



Hubert BAZIN Mardi 13. Mai 2008 13:39

la liste est en effet disponible sur le site du cofrac, mais ça demande un peu de travail.

on commence là : http://www.cofrac.fr/fr/recherche/default.htm

Ensuite, vous choisissez, à droite "par domaine", puis "certification d'entrepriseset personnels et environnement"

Ensuite, vous cochez la ou les cases correspondant au(x) certificats que vous souhaitez obtenir, puis vous lancez la recherche.

Enfin, pour chaque organisme, vous regardez son annexe technique. L'organisme doit être habilité pour le secteur d'activité correspondant au code EA/IAF n°3 : industries agricoles et alimentaires, et/ou code n°1 : agriculture, chasse, sylviculture, pêche, pisciculture; éveltuellement le code 29 : commerce.



MERCREDI 21 MAI 2008

The Food Safety Consortium Newsletter Vol. 17, No. 4 Fall 2007
http://www.uark.edu/depts/fsc/news-htm/news.fall07.htm
* Accords, Private Standards Key to World Food Safety



MARDI 27 MAI 2008

LE MAG 14/04/08 Perspective - CERTIFICATION - Une (Bonne) Opportunité !
http://www.le-mag.fr/actualites-agricoles/articles/Perspective/Une-Bonne-Opportunite--1388-46-2.html




MERCREDI 04 JUIN 2008

QUALITY MAG 02/06/08 What's in a Name: Accreditation vs. Certification?
http://www.qualitymag.com/CDA/Articles/Feature_Article/BNP_GUID_9-5-2006_A_10000000000000349747



JEUDI 26 JUIN 2008

FOOD SAFETY MAGAZINE JUIN/JUILLET 2008 Au sommaire:
http://www.foodsafetymagazine.com/productshowcase.asp?sub=sub1
Local Food Sourcing Certification from FoodLogiQ
http://www.foodsafetymagazine.com/article.asp?id=2499&sub=sub1



r.andrintafika Jeudi 10. Juillet 2008 10:20

Est ce que quelqu'un peut me filer les lignes directrices pour la conduite d'un audit interne.

Selon la norme ISO 19001 si je ne me trompe pas.



Gilles TIXIER Jeudi 10. Juillet 2008 10:42

Pour mener à bien un audit, appuyez-vous sur la norme ISO 10011 : "Lignes directrices pour l'audit des systèmes de management de la qualité et/ou de management environnemental".



Nicolas Viart Jeudi 10. Juillet 2008 20:02

Concrètement, je dirai quŽil faut toujours partir du processus que vous auditer et étudier toutes les procédures attenantes et autres modes opératoires. Cela vous amènera à étudier les enregistrements support (par cela vous verrez sŽils sont correctement remplis). Ensuite il faut utiliser le PDCA : Plan, Do, Check, Act pour voir si le management par la Qualité est bien en place et vivant. Ainsi vous remonterez aux revus journalière, hebdo, mensuelle et de Direction et constaterez si les objectifs fixés sont cohérents et suivi (quelques soient leur niveau : opérationnel ou stratégique).



lise_grandin Lundi 21. Juillet 2008 13:55

Je suis en stage dans un centre de recherche. Je suis chargée de créer un système de management de la qualité basé sur L'ISO 9001. Mon problème est qu'après avoir rédiger une grande partie de la documentation qualité necessaire (durant 5 mois), je ne sais plus quoi faire... J'attend toujours (depuis 2 mois) une validation de ces documents.

Pouvez vous me donner des conseils sur la démarche SMQ pour la recherche, sur les étapes qui suivent la rédaction des documents...



Noura MELOUI Lundi 21. Juillet 2008 16:57

un SMQ c'est travailler conformement aux exigences de la norme ISO 9001 selon votre cas c'est une norme pour le management dev la qualité au sein d'une organisation, apré&s la rédaction du système documentaire toujours selon les exigences de la norme il faut une validation de ces documents qui consiste à verifier ( verification) sur le terrain que tous ce qui est rédiger est appliquer, ensuite il 'y a l'etape de mise en application et c'est bien sur aprés l'etape d'aprobation,

apées que le système est mis en oeuvre selon les exigences de la norme on fait toujours un suivi pour verifier à qu'il point on est conforme si on veu faire une demande de certification!!!!



Hubert BAZIN Lundi 21. Juillet 2008 14:46

Bonjour Lise

Le monde de la Recherche présente un certain nombre de caractéristiques qui rendent assez délicate l'émergence de systèmes de management de la qualité formalisés.

Je pense en particulier :

* au fait que l'activité de recherche passe nécessairement par la remise en cause quotidienne des manières de faire

* au fait que les individus travaillent souvent presque seuls au sein de petites équipes (c'est le cas des thésards, des technicien(ne)s

* au fait que la reconnaissance passe par la publication dans une revue à comité de lecture (et pas par une certification)

* au fait enfin que les chercheurs, étant souvent bardés de diplômes, peuvent avoir tendance à considérer que leur compétence peut se passer de système de management.

Bien entendu, on peut arriver à mettre en place des SMQ certifiables - et certifiés - à la condition (comme partout ailleurs) que l'engagement de la direction soit réel et profond.

J'ai le sentiment en vous lisant que vous avez passé une longue période dans un bureau, à écrire des documents en lieu et place de ceux qui devront les utiliser, et que donc ils n'iront pas plus loin. Ils attendent la fin de votre stage pour s'épargner la peine de se prononcer sur le bien-fondé des documents.

J'aurais tendance à dire que vous avez mis la charrue avant les boeufs. La phase de rédaction est longue, mais elle n'intervient qu'après avoir jeté des fondations solides : engagement de la direction, définition du périmètre du SMQ, choix de l'éventuel modèle d'organisation (ISO 9001, 17025, FDX 50-550 ...)

J'aimerais bien savoir comment vous avez été présentée à l'équipe, et sur quels fondements on (qui ?) a décidé qu'il fallait créer un SMQ, et pourquoi le modèle ISO 9001 a-t-il été choisi ?

Il aurait fallu (facile à dire aujourd'hui ...) travailler avec les chercheurs (et surtout avec les technicien(ne)s ) et les faire réfléchir sur des thèmes comme "comment garantir la validité de mes résultats", "comment garantir la pérénnité de mes données", "comment optimiser l'utilisation de nos ressources (réactifs, matériel...)". Les réponses auraient débouché sur un besoin en formalisation. Et là, vous auriez travaillé sur de la doc, et elle aurait été validée.

Malheureusement, si la direction n'a pas envie que "ça bouge", ça bougera encore moins dans un labo de recherches qu'ailleurs. Il n'y a donc pas grand'chose d'autre à faire que de la communication (et peut-être de la formation, si vous pouvez l'organiser. Ici, "pouvoir" = avoir l'autorisation + avoir les stagiaires + avoir les compétences)

Vous trouverez des lectures inétressantes sur le site de l'Université de Technologie de Compiègne

http://www.utc.fr/qualite-recherche/

et lisez aussi http://www.pasteur.fr/sante/clre/cadrecnr/rage/Web-Rage2006.pdf : vous verrez qu'il existe des équipes de recherche prestigieuses (la rage, à l'Institut Pasteur, c'est comme l'omelette chez la Mère Poulard : quasiment un pléonasme) qui sont certifiées ISO 9001, ou accréditées ISO 17025. Mais le patron du labo y voit un intérêt, alors les choses sont faites.

Et désolé si je vous ai sapé le moral (mais je côtoie régulièrement des équipes de recherche, et parfois les chosent évoluent trop lentement à mon goût.

On pourra poursuivre cet échange sur le forum de Qualitionnaire http://www.qualitionnaire.eu/index.php?title=Special:AWCforum&action=sc/id3 (il y aura plus sa place que sur la liste hygiène)



lise_grandin Lundi 28. Juillet 2008 10:29

En effet, il est assez difficile de mettre en place une démarche qualité dans un laboratoire de recherche. Ma plus grande difficulté est que je suis dans un pôle de recherche regroupant 4 partenaires totalements différents (statut, activité, fonctionnement...).

Cependant, je ne pense pas avoir mis la charrue avant les boeufs...

Les étapes préalables à la rédaction de la documentation ont été appliquée:

* Le choix du référentiel

* le périmètre et le domaine d'application:

Pour le moment, car créer un SMQ c'est long et que je n'avais que 6 mois, j'ai limité le périmètre du SMQ aux activités du plus gros partenaire (activité la plus importante= recherche fondamentale). De plus, la démarche qualité n'a été initié, dans un premier temps, que sur les processus de management et les processuss supports (demande emmanant du personnel, besoin de formalisation des démarches administrative et de gestion communes aux partenaires...)Les processus de réalisation de la recherche seront étudiés après le stage.

* Engagement de la direction (dont la formalisation tarde il est vrai)

J'ai été présentée comme chargée de la qualité. Il a été demandé à tout le personnel de collaborer avec moi, et on a expliquer pourquoi un SMQ devait être crée (volontée d'accréditation 17025 d'un partenaire) J'ai pu expliquer aux agents mon travail, mes objectifs et surtout les bénéfices pour eux.

J'ai ensuite fait une enquête pour établir un état des lieux, connaitre les besoins et les priorités. C'est suite à cela, que nous avons mis en place un plan d'action et que j'ai initié la rédaction de la documentation.

Ainsi, la création de la démarche qualité sur l'activité de recherche sera effectuée après le stage. C'est lors de cette phase que les chercheurs et techniciens seront interrogés et appelés à collaborer.

Je pense me baser sur les référentiel FD X 5O... pour les activités de recherche.

Mon problème sera de motiver les agents, en particulier dans les labo, pour qu'ils m'accordent du temps et qu'ils m'aident à la rédaction des documents...



Constant Depièreux Jeudi 7. Août 2008 20:28

Sur les forums du Qualitionnaire, un des membres à proposé la mise en commun - et en libre accès - de procédures (de bonnes pratiques).

Afin de promouvoir cette idée séduisante, j'organise donc le petit concours suivant destiné à récompenser les meilleures contributions.

1. la proposition de procédures (et leur usage) est accessible gratuitement à tout membre enregistré (qui abandonne dès lors tout droit d'auteur ou d'exploitation des dites procédures). (Je suis à la disposition de toute personne qui serait désireuse de proposer des procédures mais serait rebutée par leur mise en forme au format wiki)

2. Fin octobre 2008, l'ensemble des procédures proposées par les membres - et mises en libre accès sur Qualitionnaire - sera évalué par un jury d'experts dont la composition sera établie sur base de la nature des procédures proposées (exemple : si la majorité des procédures relève du domaine de l'aéronautique, le jury sera principalement composé d'experts dans le domaine).

3 Les auteurs des trois meilleures procédures seront récompensés par une licence trois postes d'un logiciel de gestion des audits et de leurs résultats (technologie Web : mysql, php - en cours de développement). Ces licences seront installées par nos soins, sur un nom de domaine à créer au choix des gagnants et seront valables deux ans. Les prix seront attribués au plus tard le 25 décembre 2008.

A vos plumes ...

Cordialement

Constant Depièreux

Managing Director

Applied Quality Technologies Europe sprl

Rue des Déportés 123, B-4800 Verviers

Web: http://www.aqte-consulting.eu - http://www.qualitionnaire.eu



VENDREDI 08 AOUT 2008

CNUCED 08/06/07 Les normes du secteur privé constituent-elles un obstacle au
commerce?
http://www.unctad.org/Templates/Page.asp?intItemID=4285&lang=2

CNUCED 15/02/07 Les bonnes pratiques agricoles deviennent une condition
préalable pour accéder aux marchés
http://www.unctad.org/Templates/Page.asp?intItemID=4080&lang=2


CERAFEL BRETAGNE - Les dossiers "environnement-qualité". Au sommaire:
http://www.cerafel.com/environnement/a.php
11-2007 N°53 "Démarches qualité - Un regard extérieur"
10-2005 N°45 "La démarche qualité, points de vue de la production"

04-2004 N° 40 "Un audit : rien à perdre, tout à gagner"
07-2003 N° 37 "Bilan 2002-perpectives 2003 : la qualité prend de
l'assurance"
01-2003 N°35 "Fiches d'enregistrement : un outil qui valorise notre métier"

WORLDWILDLIFE 03/06/08 Processus de certification en filière aquacole
GAPCM le 3 juin 2008 Antananarivo
http://www.worldwildlife.org/what/globalmarkets/aquaculture/WWFBinaryitem9398.pdf

marinella_2008 Miércoles, 13 de Agosto de 2008 3:01

Je travaille depuis peu dans une entreprise de conditionnement d'huiles alimentaires. Ils travaillent en partie pour la grande distri, et sont sous iso9001

Quelle est le référentiel le plus adapté ?

Merci de vos explications..



Pascal Rudeaux Mercredi 13. Août 2008 21:59

Deux options:

D'un point de vue comercial et d'un point de vue industriel

D'un point de vue comercial en parler avec le responsable comercial. Cela dépend de sa clientele.

D'un point de vu industriel, faire une analyse et prendre sa decisión.

Personnellement je préfere les systèmes de gestions ouverts que fermés . chaque entreprise est unique.

Une bonne ISO 9000 bien appliquée est suffisante (pour l'industriel) .C'est un avis personnel.



MARDI 19 AOUT 2008

EXARIS AVRIL 2008 Dynamiser & pérenniser son SMQ – une gageure ?
http://www.exaris.fr/templates/Exaris/docs/exarisinfo_24_-_dynamiser_smq.pdf



MERCREDI 20 AOUT 2008

EUROPE - Projects SSA
http://ec.europa.eu/research/biosociety/food_quality/ssa_en.html
25. E-TRUST - Building trust for quality assurance in emerging markets for
food chains



v.leguyader Jeudi 25. Septembre 2008 13:27

Afin d'améliorer notre cartographie des processus, je suis à la recherche d'informations ou de liens internet intéressants,je ne vois pas trop comment faire, le terme "processus" est flou pour moi.

Que représentent les processus opérationnel, de support ou de pilotage ?



Frederic LAU Jeudi 25. Septembre 2008 14:42

un site interessant

http://www.sascoq.com/P3.asp



Lamia MEITE-GIRAULT Jeudi 25. Septembre 2008 14:07

allez sur le sitee "izoland" il y a des choses très intéressantes

http://pagesperso-orange.fr/nathalie.diaz/



Patrick BéAUR Vendredi 26. Septembre 2008 8:07
Monsieur QAULISEB
Vous dites…
---------------------------
PS: une certification ISO 9001 atteste seulement du bon fonctionnement du "système" documentaire, pas de la qualité du produit...
---------------------------------
Ces propos viennent forcément d’une entreprise qui n’est pas certifiée et qui en tout état de cause ne connaît pas le référentiel ISO 9001 et sa démarche d’amélioration continue.
Tant pis pour vous mais ne crachez pas dans la soupe « des autres ».
Par contre répondre à une demande d’un client concernant un « certificat d’alimentarité » par la « nous sommes ISO » c’est une vrai maladresse de l’interlocuteur commercial…. Qu’il devrait corriger si son système qualité est efficace.
Bien cordialement, Patrick BéAUR
Entreprise certifiée … et dont les produits satisfaits nos clients…


Pascal Rudeaux Vendredi 26. Septembre 2008 16:34
Bonjour Mr Beaur,
Je me permet de mettre mon grain de sel.
La Norme ISO 9001 est une norme qui permet de satisfaire les besoins du client. Besoins exprimés (volume, prix emballage, délai de livraison etc...) et les non exprimés (sécurité alimentaire, légal etc...)
La norme ISO 9001 est Internationale.
Si Moi client je demande a mon fournisseur de me fabriquer une boite de miettes de thon en conserve a moins de 50 cents d'Euro pour le marché Nigérian, mon fournisseur peut me répondre ok.
La qualité n'est pas assurée, la satisfaction du client si, le fournisseur est ISO 9001. « Tout est pour le mieux dans le meilleur des Mondes » Garp.
Usine qui fabriquera le produit est au Pérou : Le légal du pays d'origine et de destination. OK
Qualité : Il ne m'est pas demandé de test du taux de mercure par exemple (client comme le pays d'origine ou de destination Ok)
Les miettes de thon sont en fait la récupération des déchets de table lors de la fabrication. (Oublions le gustatif)
Le client, à consommer une boite, ne meurt pas.
Je reprends le mots de Mr Qualiseb :
PS: une certification ISO 9001 atteste seulement du bon fonctionnement du "système" documentaire, pas de la qualité du produit...
Des exemples concrets ?
Le cochon Chilien avec un taux de dioxine supérieur a l'acceptation du marché Asiatique mais est vendu sur le Marché National (Chili)
La problématique utilisation des antibiotiques, dans les élevages, de par le Monde (Pas vu pas pris)
La listériose qui n'existe et ne tue que dans les Pays développés.
Les colorants alimentaires
Les pesticides
L'industrie de la Chimie, Création et utilisation de plus de 300 composés nouveau par an sans savoir leurs effets sur l'Etre vivant et son environnement
La radioactivité de certains aliments
Aucune de ces entreprises ne sont certifiés ISO 9001 ?
LE CERTIFICAT D'ALIMENTARITE NE SATISFAIT QUE LE SYSTEME DOCUMENTAIRE DE LA ISO.
Donnez moi votre Usine a auditer « Entreprise certifiée ... et dont les produits satisfaits nos clients... » que je m'amuse.
Sans rancunes.


Patrick BéAUR Vendredi 26. Septembre 2008 18:15
Vous dites : La qualité n'est pas assurée, la satisfaction du client si, le fournisseur est ISO 9001.
Vous confondez Qualité et haut de gamme…. Ce n’est pas grave, beaucoup ne font pas la différence. L’ISO si.
Qualité : satisfaction des exigences des clients…implicites, explicites… même à 50 centimes d’euros. Et dans les exigences il y a bien entendu les exigences réglementaires et légales.
Bon WE à tous
Ce n’est pas parce que nous sommes certifiés que nous sommes performants…. Mais c’est parce que nous sommes performants que nous sommes certifiés.
Excusez moi ce moment de « fierté »… mais c’est le résultat du travail de toute une équipe qui mérite que cela soit reconnu.
Bien cordialement, Patrick BéAUR


Pascal Rudeaux Vendredi 26. Septembre 2008 19:01
Non, non, je ne confonds pas qualité et haut de gamme.
La qualité est relative de l'endroit ou l'on se place.
C'est pour cela que la certification ISO 9001 n'est pas garant de UNE qualité produit. (avec ou sans mercure , avec ou sans antibiotique, avec ou sans Listeria le produit reste un produit de qualité au vu de la ISO)
Je reprends le mots de Mr Qualiseb :
PS: une certification ISO 9001 atteste seulement du bon fonctionnement du "système" documentaire, pas de la qualité du produit...


qualiseb Vendredi 26. Septembre 2008 21:29
Je découvre les réponses à ce poste et je remercie Messieurs Pascal Rudeaux et Hubert BAZIN ainsi que Mr Patrick BéAUR.
J'aurais pu être plus précis en parlant de "sécurité" et non de "qualité" du produit.
Un petit clin d'oeil: "des producteurs de panga en asie du sud est sont certifiés ISO 9001, ont en reparle... ? "


larbi chouguer Vendredi 26. Septembre 2008 22:13
Je me demande ou est l'interet du consommateur final dans tout cela.
Un Client est en général un grossiste ou une chaine de distribution dont le but final (au delà des documents etc..) est d'avoir un produit au prix minimal.
Le client aura le produit, les documents, les certificats et le prix mais le consommateur paiera en fin de compte.
Le système doit inclure l'interet du consommateur pas du client.
Constant Depièreux Vendredi 26. Septembre 2008 22:36
Il serait intéressant de solliciter les commentaires des membres de la liste en charge des commandes militaires.
Sauf erreur de ma part, l'OTAN et ses membres sont passés en moins d'une dizaine d'années - et pour leurs principaux contrats de fourniture d'équipements stratégiques - d'une exigence de certification AQAP 110/120 avec des audits pas piqués des hannetons, à une exigence de certification civile ISO 9001:2000 ensuite, et pour certains contrats récents à plus d'exigence de certification du tout (du moins en apparence, puisque dans le même temps, ils ont réintroduits des exigences strictes dans leur cahier des charges).
Bien que j'en vive partiellement, il faut malheureusement constater que la certification ISO 9001 (et les autres?) est trop souvent une mauvaise farce dont l'éthique est discutable.
Après tout, le début du millénaire n'avait-il pas vu des études publiées rapportant que plus de 60% des sociétés certifiées avaient dégradé la qualité de leurs produits et services en allouant de précieuses ressources à gérer des systèmes totalement artificiels, déconnecté pour la plupart des réalités journalières de l'entreprise, pendant que dans le même temps, une haute autorité de l'ISO déclarait que la norme ISO 9001 et ses dérives nuisait plus à cet organisme qu'elle ne lui apportait d'aura.
Au plaisir de lire votre bois vert.


Hubert BAZIN Vendredi 26. Septembre 2008 19:11
je ne suis pas le roi Salomon, mais j'ai envie de mettre mon grain de sel - et de vous renvoyer dos à dos :
thèse : l'ISO 9001 donne bien des exigences pour le système de management de la qualité - et uniquement pour le système de management, pas pour le produit. Aucun critère de qualité certifié via l'ISO 9001. Je peux très bien faire de la viande à tournedos, et très bien faire de la viande à goulash. Les morceaux ne sont (ojbectivement ?) pas du même niveau organoleptique. Et l'ISO 9001 ne me dit pas quel est le meilleur. Il ne faut pas trop demande à l'ISO 9001, elle a déjà les épaules larges...
antithèse : l'ISO 9001 me demande d'écouter mes clients et de les satisfaire. Avec un système de management de la qualité bien organisé (certifié ISO 9001 par exemple), je suis à même de définir la qualité attendue par le client, et à même de garantir que mon produit sera toujours satisfaisant pour mon client.
synthèse : l'ISO 9001 est un excellent modèle pour les SMQ; la "qualité" atteinte dépendra de la volonté de la direction à fournir les moyens permettant de satisfaire les clients.
foutaise (excusez-moi, je ne peux pas m'empêcher) : je ne parle que de mon cas personnel, mais il m'est arrivé de rentrer dans des usines certifiées ISO 9001, dont le niveau de qualité / de volonté de satisfaire les clients / d'engagement de la direction laissait énormément à désirer; mais qui pouvaient montrer un système "cosmétique" conforme aux exigences, donc certifiable - et certifié ! Pas terrible pour l'image de marque des certificateurs ... mais ça existe...
.... j'ai bon ?
cordialement
Hubert BAZIN


Patrick BéAUR Vendredi 26. Septembre 2008 19:31
OK pour la synthèse…
Et aussi OK pour la foutaise… qui malheureusement fait du mal à l’ISO mais est bien réelle.
C’est aussi vrai pour la sécurité au travail, la communication au travail, la sécurité du consommateur… tout dépend du manageur.
Allez bon WE à tous, Bien cordialement, Patrick BéAUR


Pascal Rudeaux Vendredi 26. Septembre 2008 20:16
Avec une ISO on restera quand même loin d'un TQM (Total Quality Management)


Pascal Rudeaux Lundi 29. Septembre 2008 16:46
D'ou la réaction de la grande distribution (alimentaire) avec leurs certifications IFS, BRC, SQF et j'en oublie.
L'intention initiale d'être plus stricte sur la sécurité alimentaire que la ISO .
Le problème de fond est vaste :
Viens après l'entité qui audite et certifie l'entreprise.
Il y a de quoi rire ou pleurer
La dernière formation pour auditeur IFS de 1 jour auquel j'ai participé (il y a de cela 1 mois). Après une détection de nécessitées faites par l'entité certificatrice, le thème était de donner un cours basique sur la microbiologie alimentaire ou l'on a appris entre autre que la croissance d'une bactérie se voie affectée par la température, le pH etc......
Tout cela pour que l'auditeur puisse mieux évaluer la pertinence du plan Haccp de l'entreprise.
Pour 70 % des auditeurs IFS et BRC de la salle, le sujet était nouveau.
Comment l'entreprise peut-elle prendre au sérieux ces labels qualité????
Tout cela n'est qu'un négoce.


Pascal Rudeaux Lundi 29. Septembre 2008 16:48
Celui qui protège le consommateur est le Législateur.
Ou c'est son rôle.
Voir après comment il s'en acquitte


qualiseb Lundi 29. Septembre 2008 22:18
Il me semble que le législateur doit aussi calculer et fixer le risque acceptable...ALOP...


Pascal Rudeaux Lundi 29. Septembre 2008 23:22
Il ne le fera pas, ca ne rapporte pas de voix.
Voir en ce moment le cas Listériose au Canada.
Principe de précaution règne en maitre.
Le bon sens on l'oubli.


Patrick BéAUR Mardi 30. Septembre 2008 8:01
Après avoir défendu l’ISO (bien faite) je vais dire mon mot sur l’IFS, le BRC.
Après cette formation (que vous avez peut être mal choisie) il y a l’examen… écrit et oral. L’écrit est renouvelé tous les deux ans.
Le jury présidé par M. Saurostre (du moins pour moi la dernière fois) va vite trouver vos failles, croyez moi.
Le % de reçu à ce type d’examen n’est pas très élevé (du moins pour les auditeurs français).
Alors on peut mettre en doute certains certificats mais pas la compétence des auditeurs. Il faut préciser que, loi du marché oblige, l’audit se déroule en 1 jour et demi et parfois moins.
Donnez nous le double de temps on sera plus pertinent.
Et s’il n’y avait aucune certification… ce serait mieux ? … et pourquoi pas supprimer les agréments ? Les produits seraient-ils moins chers aux consommateurs
Et non. D’autant plus que c’est la grande distribution qui impose ces référentiels, et qui fait la plus grande marge derrière.
Les systèmes de certification ne sont pas là pour donner la vertu à une entreprise foireuse… mais ça peut arriver. Comme les trains qui n’arrivent pas à l’heure.


Pascal Rudeaux Mardi 30. Septembre 2008 14:51
Je répète:
Organisme certificateur tenant boutique au 4 coins du monde
Pour ses auditeurs IFS V4 (reçu a l'examen) l'organisme a détecté une nécessité de formation. Celle décrite plus bas. Formation bienvenue de la part des auditeurs (70%)et reconnu comme très instructif (1 pays).
Beaucoup d'auditeurs savent auditer le système documentaire (ISO, IFS,......) mais ne sont pas expert de la sécurité alimentaire.
Conclusion : Une entreprise certifiée . Sa certification n'est pas un garant pour la sécurité alimentaire.


qualiseb Mardi 30. Septembre 2008 21:54
Il me semble que l'IFS prévoie des "rallonges" dans le temps d'audit et que cela peut aller en fonction de la surface de du site, du nombre de personnes, de lignes de production ou autre jusqu'à 3 jours...pour un même site...


Constant Depièreux Mardi 30. Septembre 2008 22:20
Je ne connais pas en détail le système de planification et surtout de tarification des audits IFS ou BRC.
Toutefois, si le mécanisme est le même que pour l'ISO 9001, ll est fonction du nombre de tête de bétail (pardon, de collaborateurs) dans l'entreprise sans nullement tenir compte de la complexité des procédés de celle-ci.
Il s'agit d'une rente per capita qui conduit parfois l'auditeur à être extrêmement créatif quant à la manière d'occuper son temps lorsque l'entreprise emploie de nombreux collaborateurs pour des procédés peu complexes.
Par corollaire, dans les entreprises complexes, cela limite singulièrement la profondeur de l'audit et partant sa valeur ajoutée (car tous les auditeurs sont loin d'être des "manches" et beaucoup ont, contrairement à ce qui se lit parfois, une réelle expertise professionnelle malheureusement bridée par la logique commerciale du procédé de certification (j'ai bien écrit procédé et non processus, puisque le résultat recherché est économiquement connu avant de commencer (voir ISO appropriée pour les définitions de procédé et de processus que je ne puis vous fournir sans payer (pas moi, l'AFNOR ou ses équivalents))
Il ne faut pas condamner les hommes - souvent de très grandes qualités professionnelle et humaine - mais un système biaisé par sa logique commerciale.
La certification est comme notre système bancaire, miné par ses excès.
Avec une différence notable cependant, lorsuq'il s'effondrera sous ses excès, personne ne levera le petit doigt pour le sauver.


qualiseb Mardi 30. Septembre 2008 23:49
D'un autre côté, si le système de sécurité alimentaire s'effondre et que personne ne bouge c'est d'abord parce qu'il à 2 définitions:
_prenons soins des consommateurs des pays développés ( pour aller plus loin, je reprendrait la règle sociétale qui nous pousse à affaiblir les forts pour protéger la faibles ( tient, en passant, c'est l'inverse du système économique...)
_faisons en sorte que tous les humains aient à manger...
D'un autre côté, si la consommation est devenue virtuelle ( crédit ) et que le système veut toujours plus...et qu'ont entretien la spéculation...ont arrive à un arrêt REEL de la consommation et un arrêt REEL de la production...les consommateurs étant les producteurs, je vous laisse deviné le reste...en allant plus loin:
les pays qui empruntent pour sauver leurs banques, se retourne à priori vers des pays du type Indes et Chine...qui deviennent donc en terme d'économie, les maître du Monde...


qualiseb Mardi 30. Septembre 2008 22:38
D'un autre côté, cela fait bien longtemps que certains ont compris qu'il fallait sortir des obligations de moyens pour ne se baser que sur des obligations de résultats...
Mais il me semble que tous le monde revient à une vérifications des moyens...ben c'est sur, trop chère de réaliser des contrôles statistiques des produits sur tous les dangers ....mais je veux bien lire…


Pascal Rudeaux Mercredi 1. Octobre 2008 22:16
Point 5.3 IFS v5: Durée de l'audit
Minimum 1,5 jours
Ø > 100 pers, 0,5 jours par centaine de personnes en plus
Ø > 2 produits d'un unique groupe de produit, 0,5 jours pour chaque groupe de 2 additionnel
Ø > 10 000m2 de superficie, 0,5 jours pour chaque 10 000 m2 additionnel
Ø > 2 lignes de process, 0,5 jours pour chaque 3 lignes additionnels
Ø + 0,5 jours de rédaction de l'informe audit
L'audit in situ doit occuper au minimum 1/3 du temps total de l' audit (cela exclu l'audit documentaire)
Les super auditeurs, a vos calculettes. Il semblerait que l'on vous veut plus sur le terrain.


Patrick BéAUR Jeudi 2. Octobre 2008 8:08
Ce n’est malheureusement pas l’auditeur qui décide de la durée de l’audit et ces règles ne s’appliquent à vrai dire jamais.
C’est le chargé de mission de l’OC qui négocie avec le client la durée de l’audit…. Et donc c’est facile à comprendre que les durées sont toujours les plus faibles possibles. Sinon je vais faire faire un devis ailleurs.
Certains proposent même des audits sur 1 jour…. Alors même en faisant des journées de 10 ou 11 heures (pause repas d’une heure comprise), c’est un peu court pour voir le système, les locaux, la documentation et la pertinence de l’HACCP.


Pascal Rudeaux Jeudi 2. Octobre 2008 15:22
C'est fort de conséquences ce que vous dites.
On en reviens au sujet initial de cette conversation a savoir la phrase de Mr Qualiseb :
Sic :
« une certification ISO 9001 atteste seulement du bon fonctionnement du "système" documentaire, pas de la qualité du produit... »


qualiseb Jeudi 2. Octobre 2008 22:08
C'est comme tous, il y a la règle et l'interprétation:
_1,5 jours minimum, c'est pour mois ininterprétable
_101 ou 199 personnes...un avis ?
_" 2 produits d'un unique groupe de produit, 0,5 jours pour chaque groupe de 2 additionnel", là, je comprends pas cela manque de définitions...
_9900 m2 ou 10100 m2...un avis ?
_> 2 lignes de process, 0,5 jours pour chaque 3 lignes additionnels, là encore, définition, ex: 1 ligne de fabrications 3 lignes de conditionnements, un avis ???


qualiseb Vendredi 3. Octobre 2008 12:17
Exemple plus précis du nombre de salariés:
La norme dit:
1,5j pour <100
+0,5j par 100 personnes supplémentaires
Je comprends:
A partir du moment ou il y à 100 personnes en plus des 100 de la
première limite...donc, à 199, pas de rallongement de l'audit...un avis ?


Constant Depièreux Vendredi 3. Octobre 2008 13:40
Salut Laurent
DE 1 à 100: 1.5
de 101 à 200 : 1.5 + 0.5
de 201 à 300 : 1.5* 2*0.5


Pascal Rudeaux Vendredi 3. Octobre 2008 15:27
Pour:
_" 2 produits d'un unique groupe de produit, 0,5 jours pour chaque groupe de 2 additionnel", là, je comprends pas cela manque de définitions...
Groupe ou catégorie de produit (annexe 3) qui sont 18 en tout.
2 lignes de process, 0,5 jours pour chaque 3 lignes additionnels,
là encore, définition, ex: 1 ligne de fabrications 3 lignes de conditionnements, un avis ???
Si process en continue (sans rupture de process ou attentes) c'est 1 ligne process.
Ligne de process: On suit un intrant jusqu'à sa sortie de ligne, ou rupture dans la chaine process.(process en continue)
J'ai deux lignes découpe conditionnement ou j'ai deux lignes découpe et 3 lignes conditionnement.
Une ligne découpe conditionnement peut avoir n'importe quel layout (deux de découpe et un de conditionnement). Elles se rejoignent au conditionnement.
Ne pas oublier la raison de la IFS: C'est une certification produit et pas seulement système documentaire.
J'ai deux lignes fabrication (ou process) je dois m'assurer comme auditeur que les deux lignes produisent la même qualité produit fini.
Souvent ces deux lignes ne sont pas identiques (personnel, équipement etc...).
Personnel parce que une ligne par exemple tourne 7 jours au mois, ou compétence du responsable de ligne,.....
Equipement parce que par ex. une ligne avec des équipements plus anciens que l'autre.
Pareil pour les catégories produit: Etude de l'Haccp papier et terrain.
Tout cela demande du temps pour l'auditeur.
1/3 du temps MINIMUM in situ.


Patrick BéAUR Mercredi 8. Octobre 2008 8:11
Alors voyons qu’est ce qu’il se passe dans la réalité.
Cela serait facile si quelques co-listiers donnaient la durée de leur audit avec les renseignements qui vont avec :
* Surface,
* effectifs,
* nombre de produits concernés
* nombre de lignes « produit »
Ne citez pas l’OC… Cela pourrait faire des envieux.
Bien cordialement, Patrick BéAUR


VENDREDI 22 AOUT 2008

ACTAPOL Issue 6 (2) 2007 QUALITY ASSURANCE SYSTEMS IN FOOD INDUSTRY AND
HEALTH SECURITY OF FOOD
http://www.food.actapol.net/pub/7_2_2007.pdf



elodie1915 Jeudi 27. Novembre 2008 11:46

Je voudrai savoir quelle méthode vous utilisez pour evaluer vos fournisseurs notamment si vous evaluez par exemple en dehors de vos fournisseurs de matières premières les sous traitants qui interviennent chez vous ou à qui vous faites appel( electricien, plombier, métrologie, fournisseurs d'emballages, les laboratoires....

Je reprendS le SMQ d'une collègue et je m'aperçois qu'elle réalisait ce type d'évaluation dans le cadre du BRC, je trouve ça lourd.

Je pense modifier la procédure d'évaluation et ne m'occupais que des emballages et matos de maintenance ou on doit juste se procurer les fiches techniques et certificats d'alimentarité.

Merci, ED.



Pascal Rudeaux Jeudi 27. Novembre 2008 18:28

Un doute entraine une question.

c'est votre SMQ ou celui de l'entreprise?

Car si c'est celui de l'entreprise dans laquelle vous travaillez, la réponse a votre question se trouve dans l'entreprise même



Constant Depièreux Jeudi 27. Novembre 2008 18:48

Vous devez évaluer TOUS vos fournisseurs en fonction des risques qu'ils font courir à l'entreprise et des moyens dont vous disposez pour interagir avec eux.

Trois exemples :

1. Le fournisseur A vous procure un produit ou un service critique pour la qualité de vos produits ou de vos services ou ce produit expose vos collaborateurs à des risques personnels pour leur santé physique ou morale (un service bancaire non sécurisé qui expose vos collaborateurs à une tentation de fraude par exemple) : vous devez déployer le système de mesure de la performance ainsi que les mesures préventives et planifier les mesures de mitigation et de correction appropriées (y compris par exemple choisir un autre partenaire).

2. le fournisseur B est un partenaire obligé (donneur de franchise, monopole, obligations imposées par le client). Dans ce cas de figure vous n'avez que peu d'alternatives : vous devez travailler avec lui et palier ses carences si nécessaire (et possible). Vous pourriez dans certains cas être amené à la conclusion de la cessation de vos activités en rapport est la seule possibilité. Donc système de mesure de la performance, mesures préventives, correctives et de mitigation des effets.

3. Le fournisseur C est non critique car remplaçable ou fournisseur/prestataire marginal (le vendeur de PC, les fournitures simples de bureau, le fleuriste, ...) Vous l'identifiez (et le documentez) une fois comme non critique et vous vous ne vous em...betez plus avec des évaluations bidons (le nombre d'évaluation de ce type requises par les consultants qualifiés est effarant dans mon expérience personnelle)



Emmanuelle Pellé Vendredi 28. Novembre 2008 9:11

C’est ce qu’ on fait chez nous (MP, emballages et produits de nettoyage et de maintenance répondant aux spécifications) et jusque là ça convient pour BRC (v4).



ohno6854 Wednesday, December 03, 2008 12:30 PM

je veux etablir un bilan qualité 2008 , je veux savoir les composantes qi va contenire ce bilan, et je cherche un modéle .



Hubert BAZIN Mercredi 3. Décembre 2008 19:57

bonjour M. (ou Mme) 6854

la qualité est - dit-on - l'aptitude à satisfaire des exigences. Le bilan qualité consiste donc simplement à reprendre les objectifs que l'entreprise s'était fixés en début d'année, et de mettre en face les résultats obtenus. Si les résultats sont atteints : la qualité est au rendez-vous. Si les résultats ne sont pas atteints, la qualité est en retard.

Pour l'ISO 9001, on doit réaliser au moins une fois par an une "revue de direction", qui ne fait pas autre chose :

* avons-nous atteint nos objectifs ?

* notre système est-il efficace ?

* nos moyens sont-ils adaptés à nos ambitions ?

* quelles actions à engager pour nous améliorer ?

et on y ajoute un peu de prospective :

* comment voyons-nous l'avenir ?

* quels seront nos besoins en formation, en recrutement, en investissement, etc. ?

* quels sont nos nouveaux objectifs pour l'année prochaine ?

Pour préparer cette revue de direction globale, on recommande de mener des revues de processus, qui répondent aux mêmes questions, mais limitées à 1 processus.

Le modèle, il faudra le chercher chez vous. En fonction de ce que vous avez promis à vos clients, à votre direction, à votre acheteur, etc... vous devrez mettre en face les résultats.

Ce n'est pas un exercice difficile, mais si on le mène pour la première fois, on constate souvent que les objectifs étaient peu ou mal définis. et que donc le bilan est ... inadéquat?



SIBIRI Hamidou Jeudi 4. Décembre 2008 14:46

En complément des autres réponses par rapport au bilan qualité, il faut se référer au tableau de bord établi. Les indicateurs fixés, les résultats auxquels vous devrez parvenir vous permettra de passer au peigne fin la qualité au sein de l’entreprise. Si vous travaillez sur la base ISO 9001, revoyez les différents exigences de la normes avec le comportement au sein de l’entreprise.




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