Archive des messages du forum HYGIENE concernant la communication de crise autour de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB)

ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE		Page mise à jour : 17/08/04
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>2 Que pensent les pays producteurs de boeuf de la crise de la vache folle
??

L'Europe a été très sensibilisée étant donné l'origine Britannique. Par contre aux Etats-Unis, les consommateurs semblent avoir été à l'abri de l'émotion collective, bien que le débat ait un moment donné pris feux dans un scandale médiatique soulevé dans une émission d'Oprah Winfrey (Texas) qui a été poursuivie par des producteurs qui avaient peur de perdre des marchés du fait d'une psychose collective.

Les aspects communicationnels et culturels de la « crise de la vache folle »

Ca y est, c'est reparti! Ce ne sont plus les listeria à présent, ni la dioxine, ni le coca-cola glacé (dont des écoliers belges s'empiffrrèrent au point d'en avoir mal aux tripes...)

On est vraiment dans une situation ubuesque, dans un pays de cinglés, qui accepte de bouffer nimporte quoi, pourvu que ce soit une grande surface qui le vende toujours moins cher... Quand on voit le prix auquel ces voleurs vendent des charlottes (de vulgaires patates à 8 ou 10 francs le kilo), on sait à quoi s'en tenir.

Et qui s'affole parce que Madame Brugère-Picoud fait croire à nos ministres (incompétents bien entendu, cf Marylyse Lebranchu, ex--assistante de science sociale ou économique à la faculté de Brest et élue député par les Morlaisiens dans la foulée de Jospin) que les 2 (ou 3?) cas de la nouvelle forme de maladie de Creutzfeld-Jacob (CJD) détectés en France en... 10 ans préfigurent l'apocalypse qui nous attend dans 30 ou 40 ans.

La consultation des statistiques venues d'Outre-Manche ne me semblent pas confirmer les dires de tous les fauteurs de panique et les craintes de tous les pétochards....

Pour le moment et jusqu'à ce qu'il dise le contraire, je m'en tiens à ce que déclarait au SIAL 1998, lors du colloque sur la sécurité alimentaire, le Professeur Stanley B. PRUSINER, prix Nobel de Médecine1997 pour la
découverte du prion : "Il nous est impossible de savoir si des vaches ont pu transférer cette maladie à l'homme... Force est de constater que nous n'avons établi aucun rapport entre la maladie de Creutzfeld-Jacob et un
éventuel déclencheur".

Mais en vertu du principe de précaution, qui maintenant se voit appliqué à des risques potentiels (et pas du tout confirmés à l'heure actuelle) à survenir dans 30 ou 40 ans, il est urgent d'interdire la viande de bovins
dans l'alimentation humaine en France. Comme pour l'IVG après douze semaines, les -inconditionnels de la bonne bidoche vont bientôt devoir traverser les frontières pour satisfaire leurs envies risquées (et coupables). On aura tout vu.

Où ça??? Devinez...

En Angleterre bien entendu!

Alors Prusiner ou Professeur Brugère- Picoux???

Ce n'est tout de même pas l'apocalypse, en dépit de ce que l'on veut nous faire croire (Cf émission d'Yves Calvi surEurope 1 avant-hier matin).

Qui ment? Qui a besoin de nous mentir???
Voilà ce qui se passe en Angleterre où l'on a dénombré à ce jour près de 200.000 cas cliniques de Maladie de Creutzfeld-Jacob chezles Bovins.

Notez qu'il y a chaque année en France 150 enfants qui se noient dans les piscines privées et 150 qui sont tués lors des ramassages scolaires...

Données chiffrées
Ces chiffres montrent le nombre de cas suspects relevés par l'Unité de Suveillance de la Maladie de Creutfeld-Jacob (CRD) à Edimbourg et le nombre de morts dus à des cas définis et probables dans le Royaume Uni à la date du 28 septembre 2000.
(chiffres non reproduits dans ces archives du fait d’un problème de format)

+ Au 28 Septembre 2000.

Nombre de cas confirmés totaux de la nouvelle forme de CJD = 84 sur 6 années.

*Y compris 6 cas probables de nouvelle forme de CJD non confirmés par l'examen neuropathologique.

(Table mise àjour le 03/10/00)

oui !
mais par contre, on ne peut pas ne rien faire !
La France a choisi une politique transparente ce qui n'est pas le cas de la plupart des autres pays...
ce qui critiquable, mais ça n'engage que moi, c'est l'abattage total du troupeau : il aurait mieux valu surveiller le troupeau..
a+
michel

L'inquiétude actuelle des consommateurs, tant à cause de la vache folle que des listeria et autres trucs, qui confine certes parfois à la paranoïa, très augmentée par les médias, relève du fait que "nous sommes
ce que nous mangeons" en vertu du principe (non pas de précaution !!) mais de celui de la "pensée magique".
En effet, rien n'est plus intime qu'un aliment, c'est le seul objet extérieur à pénétrer ainsi en nous et à se transformer en nous, à devenir nous.
Nous n'absorbons pas seulement des protéines, des lipides, des glucides etc. mais aussi, que nous le voulions ou non, que nous en soyons conscients ou non, les symboles, les images attachés à chaque aliment et que nous nous approprions alors. C'est ce qui explique, par exemple, l'idée que manger de la viande, et surtout de la viande rouge, rend fort.
Les ethnologues ont bien étudié cela chez des populations primitives.

Certaines formes de cannibalisme relèvent de ce même principe. Malgré notre évolution, nous portons encore en nous ce principe d'identification, d'appropriation des pouvoirs bénéfiques ou maléfiques
d'un aliment.
C'est probablement ce qui explique, entre autres, cette paranoïa à propos de l'épidémie de la vache folle. Chacun - y compris, évidemment, les journalistes - exprime ainsi sa peur, son angoisse. Cet aliment, le boeuf, porteur depuis des millénaires, d'une image positive, bénéfique, devient brutalement dangereux. Aucun raisonnement logique ne peut aller contre cela.

Paule Neyrat
Diététicienne
http:www.ligne-et-sante.com

Raisons de plus pour essayer de dédramatiser en faisant assaut d'un peu de bon sens.

Le nouvel épisode du feuilleton sur la maladie de la vache folle est malheureusement symptomatique de l'état de l'opinion, chauffée il est vrai par la dérive médiatique qui accompagne tout dérèglement de procédures semblant à peu près en place et capables de circonscrire les risques inhérents à une de nos tares congénitales : notre besoin de manger.

Et ce n'est pas en revenant à l'alimentation de nos ancêtres à base de racines de plantes sauvages, de graines et de fruits résultant d'une cueillette aléatoire, complétés par la capture accidentelle d'une bestiole comestible, le tout consommé à l'état cru, qui pemettra aux hommes de ne plus craindre les
risques résultant de l'incorporation dans notre être de corps étrangers, que seule une expérience millénaire a permis de considérer inoffensifs pour notre vie et notre santé.

Car quel risque peut-on craindre à avoir mangé de la viande que Carrefour fait rapporter à ses étals, avec la complicité active des chaînes de radio et de télévision publiques et privées??? Sans risque d'être jamais démenti, AUCUN.

Si j'ai bien entendu le scénario qui ne nous réserve aucun suspense, avec la complicité active, passive, aléatoire ou supposée par un juge d'instruction un peu nerveux ou en mal d'avancement, des prions
sont arrivés dans un abattoir, véhiculés par un bovidé soi-disant fou. Pour que le préposé à l'inpection l'ait détecté dans un lot d'animaux destinés à être abattus, il fallait vraiment que l'animal présente
des signes évidents de mal-être. Rappelez-vous le précédent à l'abattoir de Pontivy, qui s'est terminé à la confusion de tous ceux qui s'étaient pris la langue dans les engrenages. Bien.

On "euthanasie" la bestiole, qui apparemment n'a été en contact avec ses congénères d'infortunes, au pire quelques jours au pré, au mieux quelques heures dans une bétaillère. On procède aux examens : cela demande seulement quelques heures pour avoir confirmation d'une suspicion qui sera confirmée sous quelques jours (?) par un labo situé à Lyon. Rebien.

On a procédé à au prélèvement précautionneux du cerveau, de la moëlle épinière, du reste éventuel de thymus, de la rate et de tout l'intestin grêle des compagnons d'infortune de notre acteur-vedette, duodénum, jejunum et iléon compris, au grand émoi de quelques salaisonniers bientôt ruinés, et des
amateurs de fraise de veau qui, bien que l'on sache depuis belle lurette que l'on n'a jamais constaté d'infection d'un quelconque jeune animal par le laitde sa mère, se voient privés de leur plat favori, un des fleurons de la gastronomie de notre Sud-Ouest pourtant fertile en ces sortes de délices.

Notez bien l'absurdité de la chose : on saisit la fraise d'un animal, dont on sait qu'il n'a pratiquement aucune chance d'avoir jamais mangé de farines animales, à présent exemptes de risque d'ailleurs,
alors qu'on a fait les corrections nécessaires pour les traiter, qui ne peut pas avoir été contaminé par le lait qu'il a tété directement à sa maman, dont on ne sait encore pas s'il pourrait éventuellement avoir été contaminé dans le ventre de sa mère pendant la gestation, et qui n'a pas eu le temps d'être contaminé
lors de la fréquentation des adultes du troupeau, puisqu'on n'a, à ma connaissance, jamais trouvé de cas de contagion directe d'un animal à un autre.

Cela ne trouble pas Martin Hirsch, dont on devine la compétence en matière de maladies des animaux, énarque campé sur les incertitudes et les hésitations de ses experts. Il n'y va pas avec le dos de la petite cuillère et précautionne tous azimuts.

C'est tellement plus facile de refiler le mistigri aux voisins! Je gage que Glavany en a avalé son chapeau et que Monsieur Jospin a arbitré en faveur des positions de Marylise Lebranchu : on n'en est pas à une incompétente près. Quant au bon sens, ?

Laissez donc faire et vous serez tôt interdit de viande rouge, car je vous garantis que, tôt ou tard, il va bien se trouver un occupant d'un obscur laboratoire dans un coin retiré de la planète pour trouver de prions dans les ganglions de l'aine ou de l'aisselle. Madame Brugère-Picoux, qui lit tout ce qui s'écrit sur le sujet aura tôt fait de le rapporter à l'occasion de l'une des fréquentes interventions qu'on lui demande de faire à l'écran. Et alors là, je ne vois de salut pour les amateurs d'entrecôtes que dans la prohibition et l'abatage clandestin d'animaux qu'il aura fallu soustraire dès avant leur naissance
à la sagacité d'un corps d'inspecteurs vigilants chargés de faire disparaître le prion, "pathogène" parfois allez savoir pourquoi?, de la surface de l'hexagone.

Mais revenons à nos prions.

Pas assez précautionneux sans doute, ou pas convaincus d'être en présence d'un cas avéré de vache folle, les vétérinaires laissent partir à la consommation les 5 ou 6 animaux qui ont été en contact avec la malade. Si j'étais à leur place, je me ferais du souci. D'ici à ce que la justice les soupçonne de complicité avec le marchand de bestiaux, ou d'un laxisme qui joue avec la santé du public, ou d'un bon sens qui n'est pas excusable en pareilles circonstances, il n'y a qu'un pas qu'elle pourrait bien franchir. On ne sait jamais. Avec la diligence avec laquelle on claironne à tous vents la culpabilité d'un individu qui est le seul à pouvoir s'expliquer et qui, jusqu'à présent, ne s'est exprimé que par la bouche de son
épouse ou de sa belle fille, on peut s'attendre à tout.

Mais c'est là que les décisions de ceux qui doivent décider et le relais par les médias donnent la mesure de l'absurdité en cours. Que l'on coffre le supposé responsable, va... et encore.

Que l'on fiche la panique en demandant aux petits vieux de ramener leur steak haché sous l'argument de la précaution de ne pas attraper une maladie qu'ils risquent d'incuber lors des 30 ou 40 ans à venir est grotesque. Car dites-moi quel risque court le quidam qui a absorbé ses 200 grammes de boeuf acheté la semaine passée dans une des diverses enseignes de Carrefour? A la lumière de ce que l'on croit savoir aujourd'hui, aucun.

Ou plutôt si : quelque milliardième de milliardième de... Malchance!

navré mais il n'y a pas que de l'imaginaire !!!!!!
rappelons d'autres faits :
- la révolution qcientifique qu'amène le prion,
- la volonté démesurée de "casser les prix" dans l'agroalimentaire
- des fraudes elles aussi démesurées
etc etc

Bonjour !

Je ne suis ni spécialiste en viande ni spécialiste épidémiologie , juste un amateur de viande qui se régale au bon goût d'une côte à l'os , d'un gigot ou autre morceau de choix. Ne nous culpabilisez pas avec vos
réglements sanitaires ou nos origines "bestiales" qui font de la viande un symbole de force. rajoutez y tant que vous y êtes le symbole du sang du christ pour les croyants . Il nous reste quoi?
vivre d'amour et d'eau fraîche , de macher chaque bouchée la peur au ventre entre les oGM, vaches folles et autres mets qui nous promettent une fin vers laquelle nous allons tous.
Juste ces quelques lignes d'un amateur de bonnes choses qui aimeraient qu'on diffuse cette philosophie du bon que le spectre de la peur en permanence .

Ceci étant j'adore cette liste moi le néophyte qui ne comprend pas toujours les discours trop techniques mais qui voit qu'audelà de la technique des préoccupations simplement humaines sont soulevées ici.

à propos du débat sur les cantines

nos hommes politiques croient se prémunir contre les risques d'extension de la nMCJ en "ouvrant le parapluie" ...

et on ne peut pas être contre ....

mais ils oublient dans le même temps :
- qu'ils ont réduit le budget de la médecine scolaire (détection précoce des maladies, vue, audition, maltraitance..)
- qu'ils ont négliger sérieusement de prévenir les accidents de la route (depuis 20-25 ans par rapport à la GB on a un "surcout"de plusieurs milliers de morts par an)
- que l'état est le principal bénéficiaire du tabac,
- que par ex le diabète est sous évalué (plusieurs millliers d'inavlides et de décès prématurés),
- que certains depistage sont à la traine ...
- qu'un ado qui mange mal a plus de risque de mourir précocément à cause des déséquilibres alimentaires (maladies cardiovasc) que d'autre chose

on dira (peut être) dans 20 ans que l'on a bien agi ....mais pas sur les bons sujets

je rappelle que la vision d'un enfant malade de nMCJ est terrifiante - celle d'un gamin accidenté, battu, ou diabétique c'est pas terrible non plus... surtout si la société se donne de moins en moins les moyens de s'en occuper

a+
michel

Le 25 avril 5 ministres ont adressé aux maires de France une lettre dont le but affiché est de les encourager à réinscrire aux menus de leurs restaurants scolaires la viande de boeuf. Or on ne trouve pas cette lettre sur les sites officiels. Pourriez vous vous la procurer et la mettre en ligne, celà contribuerait efficacement à la diffusion de l'information.

De nos jours le problème de l'ESB n'est pas encore résolu, mais nous sommes en progression.

l'un de nos problèmes qui peuvent être encore mis en question c'est qu'il reste une certaine proportion de la population française qui refuse de consommer la viande bovine, du fait qu'ils ne sont pas encore satisfaits des
explications publiés par les médias et les efforts fait par notre Etat (afssa, inra,...). ce qui peut être aussi des cantines ou autres.

Alors comment pouvons-nous faire, si on suppose que nous serons à la place du maire d'une ville dans laquelle il y a encore la psychose de l'ESB, pour réintroduire la commercialisation de la viande bovine, et réassurer le
peuple de la sécurité et les précautions qui sont mis en oeuvre par l'Etat pour la santé publique.

Où sommes-nous maintenant concernantle renouvellement du cahier des charges pour les viandes bovines?

pourquoi tenez-vous à faire absolument consommer de la viande bovine à tout le monde ?

Puisque vous citez l'Afssa, en lisant les "Apports Nutritionnels Conseillés" qu'elle vient de publier, vous verrez que la consommation globale de viande devrait être certainement revue à la baisse et non tirée vers le haut comme vous l'envisagez. L'Afssa met en avant les bénéfices-santé de l'alimentation méditerranéenne ou la viande rouge n'est consommée que "quelques fois par mois" et la viande en général de façon "épisodique". Hors
actuellement la consommation française de produits carnés est de 230 g par jour et pour la viande seule 66g soit 2 kg par mois.Je ne vois pas ici une consommation épisodique mais tout le contraire ! Donc, la position qui consiste à manger de la viande de façon plus modérée n'a rien d'une psychose ou alors il faut soigner également les experts en nutrition de l'Afssa. Alors s'il vous plait, laissez-nous le droit de vouloir consommer de la viande
, que nous choisirons de meilleure qualité mais que nous mangerons peut-être moins souvent
.

Concernant les maires, que peuvent-ils faire pour rassurer les consommateurs et les assurer d'une politique nutritionnelle cohérente ? C'est simple : ils peuvent faire appel à des diététiciens capables de communiquer auprès des consommateurs pour les informer sur les questions de sécurité alimentaire, sur la politique nutritionnelle de l'Etat, de la commune etc, et sur l'alimentation en général. Combien de maires ont adopté cette démarche ? Il me semble que actuellement, 60 maires sur plus de 36 000 ( source "Que Choisir") s'attachent de tels conseils en nutrition indépendants et lorsqu'ils le font cela a l'air de bien fonctionner . Le ministre de l'éducation nationale précise dans le dernier texte sur l'alimentation dans les écoles "il importe d'être attentif aux demandes des parents ou des élèves pour l'élaboration des menus". Intéressant, mais quid de la mise en pratique ?...Si les parents étaient mieux informés de ce que mangent leurs enfants, ils seraient sans doute un peu moins enclins à céder aux peurs alimentaires.

Frédéric Derat-Carrière.
Nutritionniste

Je suis particulièrement intéressée par le sujet de l'esb. Pour moi la position gouvernementale minimise les risque actuels;
De récentes dépêches de l'afp notamment nous montrent que des cas d'esb, aujourd'hui encore apparaissent chez les bovins. (En France).
Est-on sûre que les cahiers des charges sont bien respectées. Que la viande fournie pour la collectivité est 100% du muscle, et que c'est sans danger?
Les perspectives à long terme d'évolution de cette maladie, dont l'incubation est très longue, décrite par des scientifiques(Anglais notamment) , nous laissent envisager des chiffres inquiétant de contamination dans les années à venir;(environ 165000 cas en Angleterre, et pour la France 5% de cec chiffre!).
Pouvez-vous m'éclairer sur la question?

Je m'attendais à des réponses ou réflexions plutôt scientifiques que politique.

Disez-moi si je me trompe, que les français sont les plus grand consommateur de viande dans le monde et bien particulièrement "viande hachée) et oui.même c'es faut ce que je dis, ce n'ai pas ça notre problème,
mais faire de tel façon à rendre la commercialisation de viande au rythme qu'il été et pas le augmenter.

deuxièmement le problème qui apparue cette année sur les abattoirs qui ne produisent qu'un faible pourcentage de leur production habituelle.

ceci est du essentiellement par le blocage de la commercialisation de la viande bovine en france. ce qui n'été pas avant le problème d'ESB.

ce ralentissement de la filière bovine sa entraîner une perte économique très importante à toute la filière. et c'est le problème actuel en france.
ce qu"on doit faire c'est rétablir le même rythme de production mais on prenons les précaution
nécessaire. parce que si on va rester les bras croisés la psychose va se propager petit à petit sur la viande ovine si on demontre pas qu'elle n'est pas suspecte, ce qui est difficile de le prouver même impossible, peut être
le lait parce qu'il contient le PRION et par conséquence ces dérivés.

dans ce cas si on va parler de nutrition, est ce que vous voyez que la ration alimentaire des français sans viande soit équilibrée et diversifiée?

Si on parle de l'économie, combien l'éleveur va lâcher et changer de domaine?

A tout ceux qui n'ont pas de temps à perdre, ne lisez pas la suite.

Ci joint une histoire de Science Fiction que j'ai rédigé et qui (je crois) a été publiée dans la "chronique (humouristique) du temps qui passe" dans la Semaine Vétérinaire en 1997.
Ceci pour compléter le texte suivant :

MEATNEWS 20/09/02 Meat Libel Lawsuit Dismissed
A US federal judge dismisses suit against talk show host for maligning beef.. During a 1996 television broadcast in the USA talk show host Oprah Winfrey allegedly questioned the safety of the U.S. beef supply from the deadly brain-wasting disease bovine spongiform encephalopathy vowing to never eat a hamburger again after interviewing vegetarian activist Howard Lyman.
http://www.meatnews.com/index.cfm?fuseaction=Article&artNum=3970

UNIVERSITE DE NAVARRE - CONFIDENCE IN THE BEEF PRODUCTION SYSTEM AS A KEY FACTOR TO MITIGATE THE IMPACT OF BSE ON BEEF CONSUMPTION

THEME : la communication autour de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB)
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