ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE

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Réforme réglementaire pour les boucheries au Royaume-Uni

Le sous-vide

La traçabilité, l'identification animale et l'étiquetage de la viande

La viande certifiée

La viande de veau

La viande attendrie

Textes réglementaires concernant la viande bovine

La qualité de la viande commercialisée

 

 



Nouveau moteur personnalisé traitant de la viande
http://www.google.com/coop/cse?cx=009796703470300972621:o7d4mldcthg&hl=fr




 dimanche 30 juillet 2000 13:12

Bordage des viandes

http://www.boucherie-france.org/technique/rubri.htm

La maturation des viandes

http://www.boucherie-france.org/technique/matur4.html


Installations de ressuage

http://www.boucherie-france.org/technique/matur3.html



Michel MOLIERES  lundi 16 avril 2001 03:01

J'apprécie beaucoup la pertinence de vos propos, ainsi que celles de J.C. GANSEL.! ainsi que toutes ces informations, mais dont beaucoup de termes me sont inconnus.!.
Si je me suis abonné à cette liste, c'est que j'ai vu qu'elle s'adressait également, et aussi,  au  "Consommateur". et je pose la question :

Comment un simple consommateur peut comprendre quelque chose à ce qui est indiqué sur un produit, concernant sa composition, son origine, ou l'origine de ses composants, la traçabilité  etc.etc

Un exemple : jeudi, j'ai acheté 2 steack's de "Boeuf" à l'Intermarché du coin :
Dessus, il est marqué : Origine : Vache Lait   D.L.V. 17/04/2001 sur l'un

18/04/2001 sur l'autre
          Traçabilité : Lieu d'abattage = "7 ou 8" chiffres
                           : Lieu de découpage = les mêmes "7 ou 8"
chiffres.
Je les ai fait cuire le samedi (14/04/2001)
Le 1er (17/08/2001) est devenu tout noir à la cuisson (bleue) et n'avait pas du tout le goût de "viande" .! je l'ai donné au "Chien" qui a bien voulu le manger. L'autre était saignant et  "mangeable" sans plus.!
Les précédents, étaient 2 "Bavettes" achetés dans le "Champion" du coin, il y a 3 ou 4 mois, et avaient un goût de "Médicament".! et c'est également le "Chien" qui les a avalés. (Il n'est pas trop difficile.!)
Alors, j'aimerai savoir comment on peut reconnaître un bon produit, par rapport à de la "merde" que l'on paie aussi cher, voir plus.????

Merci de vos réponses

maucoeur  lundi 16 avril 2001 05:38

Pour être sur de manger du "bon", il faut que vous trouviez sur l'étiquette :
- que c'est une race A VIANDE et non de LAIT
- que c'est une vache adulte
Les jeunes sont très bonnes aussi mais ont moins de goût


Amicalement

Sylvie
 

paule.neyrat  lundi 16 avril 2001 08:55


Il ne faut jamais laisser une viande dans sa barquette filmée car elle marine dans le jus d'exsudat et cela peut suffire à lui donner un mauvais goût
Les viandes (et volailles) achetées en super marché doivent être débarassées de leur barquette et de leur film et enveloppées dans un papier alu avant d'être mises au réfrigérateur.

Paule Neyrat
Diététicienne

Jean-Claude GANSEL  lundi 16 avril 2001 11:07

Plusieurs réponses pertinentes vous ont été déjà proposées sur la liste.
Je voudrais aller un peu plus loin, tout en restant très simple et très pratique.

Il convient d'abord de distinguer un "bon produit' d'un point de vue sanitaire et d'un point de vue gastronomique _ ce sont deux choses différentes.

Du point de vus sanitaire, c'est relativement simple : toute denrée alimentaire, devrait être dépourvue d'effet nocif pour la santé, dans des conditions normales d'utilisation. Dans ce domaine, et quoi qu'on en dise, les progrès ont été considérables depuis, disons, Louis PASTEUR, même si, c'est évident, il reste des choses à faire.

Du point de vue gastronomique, c'est bien plus compliqué. Il faut d'abord, comme le proposait Socrate, bien "se connaître soi-même" et connaître ses propres goûts... Ce qui n'est pas si aisé qu'i y parait... Le goût est notamment beaucoup affaire d'éducation et de culture.....

En matière de produits carnés, pour être très pratique et n'ayant pas l'intention d'écrire dans l'instant un traité en six mille pages.... Je vous conseille de vous adresser à un boucher indépendant sérieux, honnête et consciencieux : ça existe bien entendu auquel vous ferez comprendre, dans le temps, quel type de viande vous aimez. Soyez-lui fidèle et il vous le rendra bien.....

J'ai expliqué pendant plus de trente cinq ans que nous nous dirigions vers un double marché des denrées d'origine animale :
            - des produits standards, sanitairement corrects, de prix "d'entrée de gamme" et de qualité gustative basique.
            - des produits aussi corrects sur le plan sanitaire, de haute qualité gustative et gastronomique et nettement plus chers car plus longs, plus difficiles et plus onéreux à produire.
    Le point fondamental étant que tous les produits, y compris ceux d'"entrée de gamme" soient exempts de critiques sur le plan sanitaire....

    Chacun choisira en fonction et de ses moyens et de ses goûts, compte tenu  de ses priorités personnels....

    Je vois que j'avais trente cinq ans d'avance mais que, très clairement, on va dans ce sens....

Marianne  lundi 16 avril 2001 11:46

Pour ce qui est de la viande, vous avez déjà reçu des réponses pertinentes d'autres correspondants.
En tant que consommatrice, je n'achète jamais de viande emballée sous film plastique.
Je n'achète jamais de steak argentin, ni d'agneau de Nouvelle Zélande ou d'Australie, qui arrivent dans nos pays congelés et qui sont décongelés avant d'être exposés à l'étal. Pendant combien de temps? Il ne faut jamais recongeler un aliment décongelé. Je pense que les diététiciennes seront d'accord sur ce point, sinon me corriger svp.

"Lire" les ingrédients renseignés sur les emballages ou autres conditionnement des produits alimentaires.Pour ça il faut preque avoir fait un doctorat en toxicologie alimentaire.

-LES CONSERVATEURS
1. "Les sulfites et dérivés sont toujours employés (E221, E222, E223, E224, E226). On estime à 5 à 10% la proportion d'asthmatiques chez lesquels ils peuvent déclencher parfois une crise très violente...Ces produits, maintenant interdits aux EU et dans d'autres pays sont utilisés principalement dans la charcuterie, les fruits secs, les fruits à confiture, la bière, le cidre, les jus de fruits, le vin et les mousseux..."
2. "Les nitrites E249, E250, peuvent être remplacés par d'autres substances (dont l'acide lactique qui provient du lactose du lait, si l'on cherche à bloquer la bactérie tueuse, responsable du botulisme. Mais il a un autre intérêt comme additif puisqu'il stabilise la couleurs des aliments et participe à l'arôme. Outre leur participation dans la formation des nitrosamines que nous retrouverons dans le chapitre consacré au cancer, les nitrites possèdent une toxicité non négligeable. Des cas rares, mais spectaculaires d'intoxication aiguë aux nitrites ont été décrits chez l'homme après ingestion d'eau polluée ou de conserves carnées
surdosées...plusiers accidents mortels sont survenus chez l'enfant après l'ingestion d'eau ou de légumes surcontaminés. Enfin, les nitrites sont anti-vitaminiques et impliqués dans de fausses allergies alimentaires."

3.Le benzoate de sodium (E211) a, lui aussi été impliqué dans des formes d'allergies se caractérisant par des migraines, des démangeaisons et des urticaires..."

LES COLORANTS
"On recence une quarantaine de colorants dont une vingtaine sont très utilisés...Le cas des colorants est particulier, même dans le monde des additifs: ils n'ont aucun intérêt, donc ne peuvent avoir que des désavantages. Ils ne sont ajoutés que pour flatter notre désir de prendre des vessies pour des lanternes, à savoir que la menthe est verte, que les saucisses sont orange ou encore que la margarine est jaune bouton-d'or...On sait depuis 1937 que certains colorants sont cancérogènes. Le premier coupable fut le jaune de beurre...En réalité la question qu'on doit se poser au sujet  des colorants, c'est leur intérêt:. La réponse est simple: nul!...Rendons justice aux industriels sur ce point. Lorsque la grande vague anti-colorant a secoué notre pays, ils ont lancé sur le marché des tas de produits qui en étaient dépourvus. Peu de consommateurs s'y sont mis. Leurs tentatives se sont donc arrêtées là...Ce sont donc les consommateurs qui ont tort et c'est bien dommage."

SOURCE: "Toxic-Bouffe", par Lionelle Nugon-Baudon, docteur en biochimie, toxicologue et chargée de recherche à l'INRA, au département nutition, alimentation et sécurité alimentaire.
Edition Marabout.
Date de 1994, mais n'a rien perdu de son actualité.
C'est rédigé dans un style très concis, et ce qui ne gâte rien, très spirituel.

Un dernier conseil à Michel: ne vous cassez pas la tête à déchiffrer les étiquettes. Si vous êtes perplexe adressez-vous au gérant de votre supermarché et conseillez à votre entourage d'en faire autant, ça finira par porter ses fruits. Eviter aussi de nourrir votre chien avec des produits suspects. Je suis très militante dans la protection animale.

Serge Grass  lundi 16 avril 2001 21:38

Je ne sais pas ou vous habitez. Personnellement dans ma verte Franche-Comté j'ai le plaisir d'avoir mes fournisseurs personnels. Trois agrobio militants qui vendent en barquette de 10 kg environ du boeuf tous morceaux confondus à
65 f le kg pour la dernière livraison. J'ai un petit congel ... A ce prix le paysan gagne dignement sa vie et j'ai un produit de confiance que j'achète à un ami .

Je sais c'est un privilège de provincial. Mais, même des parisiens pourraient en faire autant. Ca leur donnerait un but pour les sorties dominicales. Et tant pi pour les grandes surfaces et autres intermédiaires. Il est à noter que j'avais proposé cette démarche aux paysans du Doubs il y a 15 ans, j'avais été éconduit !!!

Voyez avec madame MEAUCOEUR ou ... il faut créer ce genre de circuit court pour le plus grand intérêt et des consommateurs et des producteurs sérieux qui ne peuvent pas faire n'importe quoi quand le consommateur vient à sa
rencontre.  de plus cette démarche permet à chacun de mesurer les difficultés et les attentes des uns et des autres.

Bon appétit,

Serge GRASS

maucoeur lundi 16 avril 2001 23:17

Il est exact que depuis quelques temps, il y a une réelle demande du consommateur , celle d'acheter directement à l'éleveur, surtout en ce qui concerne la volaille et les lapins. Mais je ne pense pas qu'on ait le droit de le faire pour un veau, une génisse ou une vache. Toutes nos sorties (mort ou vente) doit être accompagné d'un document soit de l'équarrisseur soit de l'acheteur.  Si certains le font, je pense qu'ils déclarent leur animal en autoconsommation, (soit pour leur consommation personnelle).  Mais, si on en faisait beaucoup, je crois que ceux qui nous surveillent trouveraient bizarre que l'on se mange autant de viande.
Mais l'idée se développe, je crois. Il commence à y avoir des associations d'agriculteurs qui ont un local et vendent leurs produits.
Chez nous, c'est une association de femmes qui a voulu le faire. Le projet est tombé à l'eau car trop de boulot. Il fallait faire en effet son boulot, et si l'une d'entre elle avait besoin des autres, il fallait y aller (par exemple, pour tuer une grosse quantité de volailles) La vie d'un agriculteur ne se résume pas aux 35 heures, et ce n'est pas évident de faire son boulot journalier, d'aller aider les autres en cas de grosses commandes, et en plus de tenir le "magasin". 
Mais l'idée est bonne, bien sur. Pour l'appliquer, c'est autre chose. Il n'y a pas de solutions miracles, malheureusement.
Mais mon métier est éleveur. Je ne suis pas commerçante ni propriétaire d'un centre de loisirs pour citadins. Je sais que cette précédente phrase ne va pas vous plaire, mais on ne peut en faire plus. Les journées n'ont que 24 heures.
Pour en revenir aux petits bouchers et les grandes surfaces. Je me serts à un Intermarché. J'ai confiance en leur viande depuis longtemps. Et il est vrai que je sais reconnaitre une bonne entrecote à son aspect (je vais vous faire bondir, mais en plus de sa couleur, il faut qu'elle ait beaucoup de gras pour etre savoureuse...). Déjà bien avant la crise ESB, on savait que l'on mangeait  de la vache limousine du coin. La boucherie met aussi de la viande sous celophane pour les "préssés" et tout y été indiqué : la race, le type de viande, etc. Le reproche que je leur fais maintenant, mais je sais que ce n'est pas de leur faute, c'est qu'avant on mangeait une bonne vieille vache A VIANDE, et maintenant, crise ESB oblige, ce sont des jeunes. Elles sont tendres, bonnes aussi, mais franchement, elles ont beaucoup moins de gout.

Je sais que certains vont trouver cela idiot, mais je ne me tue pas de betes. Ne manger que de la viande qui sort du congélateur ne m'entousiasme guere. Je vois pour le lapin, par exemple. Je le mange quand il fait 2.5 kg environ, à l'ail et au persil J'espere que je vous fait saliver. Quand j'en ai beaucoup, surtout s'ils ont la myxomatose, je les mets bien entendu au congélateur. Et bien, le gout n'a rien à voir.  Mais bon, c'est pratique.

Bonne soirée à vous tous et à bientot

Sylvie

Michel MOLIERES  lundi 16 avril 2001 17:52

Ici, c'est très difficile de trouver un boucher, alors un "bon boucher"...!!!
Le peu qui restait fait la navette entre les "Supers-Marchés"; et ça m'étonnerai fort que ce soient les meilleurs.! quand on voit comment c'est découpé, et présenté.!
Et, au détail, c'est la même viande que celle des barquettes, de la "Race à Viande" on en trouve pas, ou plus.! Ce n'est que de la "Vache à Lait" en fin de carrière.! La bonne viande, on ne sait pas ou elle passe.???

maucoeur  mardi 17 avril 2001 07:27

Bonjour Michel,
Je viens de lire tous vos messages et je suis vraiment surprise par ce que vous nous annoncez. Attention, je vous crois.
Tout d'abord vous dites que vous ne trouvez pas de vache à viande. Il y en a peu être dans la  liste qui pourrait m'expliquer cela car j'avoue mon ignorance. Il n'y a pas assez de bêtes à viande ou quoi ?
Ensuite les bouchers. En général, je suis bien servie. Si un jour il m'arrive de ne pas être je rouspète un bon coup. Mais je sais leur dire aussi quand c'est bon. J'ai toujours entendu dire qu'un bon boucher pouvait faire de la bonne viande avec de la "mauvaise" viande. C'est sa façon de la découper qui est très importante aussi.
Une viande noire, donc rassie, est souvent très bonne. C'est signe qu'elle est à maturité. Certains bouchers ne gardent pas assez longtemps leur viande en frigo. Normalement, quand ils la vendent, ils devraient dire si elle doit se consommer le jour même ou plus tard. Mais il faut savoir aussi que dans une bête il y a les bons et les mauvais quartiers. Alors bien sur, s'ils font de beefsteak dans une viande pour pot au feu, c'est tout simplement dégueulasse.
Je suis sure, Michel, qu'en cherchant bien, vous trouverez enfin un bon boucher. Si vos déboires sont dans un Inter, il faut le signaler au grand patron. Essayer être à plusieurs, ça portera plus.

Bénédict Beaugé  mardi 17 avril 2001 09:42

Bonjour à tous,
On ne trouve pas toujours de la viande de "bête à viande" parce qu'elle coûte beaucoup plus cher à produire ! Attendre 30 mois au minimum pour cela c'est souvent au dessus des forces de la grande distribution, tandis qu'une vieille vache de réforme qui est usée parce qu'elle a passé sa vie à donner du lait, c'est tout bénéfice.
Bien sûr, les problèmes de rassissement et de découpe peuvent intervenir. Mais, si je ne me trompe, il ne sert à rien de "faire
vieillir" un steak dans son frigo : les conditions (en particulier d'hygromètrie et de ventilation) ne sont pas réunies pour permettre une bonne maturation. Et là aussi, le problème du coût se pose de façon cruciale entre le stockage et la perte de poids.
J'ai été très intéressé par les prises de position de Marianne (qui ne méritaient pas les déchaînements passionnels qu'elles ont occasionné) et les questions posées par Michel qui prouvent le triste état auquel est arrivé quelquefois le commerce de détail.

un "gourmet" professionnel

Bénédict Beaugé

www.miam-miam.com

maucoeur  mardi 17 avril 2001 10:11

----- Original Message -----
  From: Bénédict Beaugé
  On ne trouve pas toujours de la viande de "bête à viande" parce qu'elle coûte beaucoup plus cher à produire ! Attendre 30 mois au minimum pour cela c'est souvent au dessus des forces de la grande distribution, tandis qu'une vieille vache de réforme qui est usée parce qu'elle a passé sa vie à donner du lait, c'est tout bénéfice.

  - Et c'est bien malheureux. Le profit, toujours le profit.


  Bien sûr, les problèmes de rassissement et de découpe peuvent intervenir. Mais, si je ne me trompe, il ne sert à rien de "faire
  vieillir" un steak dans son frigo : les conditions (en particulier d'hygromètrie et de ventilation) ne sont pas réunies pour permettre une bonne maturation. Et là aussi, le problème du coût se pose de façon cruciale entre le stockage et la perte de poids.

  - je ne parlais pas de notre cher frigidaire, mais des chambres froides des bouchers.


  J'ai été très intéressé par les prises de position de Marianne (qui ne méritaient pas les déchaînements passionnels qu'elles ont occasionné)

  - Parfaitement d'accord. Mais il y a des listes où ils sont contents de nous avoir pour dire "nous sommes tant" mais où il ne vaut mieux pas se l'ouvrir....

   … questions posées par Michel qui prouvent le triste état auquel est arrivé quelquefois le commerce de détail.

  - Oui et c'est très bien que sur certains groupes comme hygiene et ESB-Agriculture-Societe, on puisse en discuter librement

Jean-Claude GANSEL  mardi 17 avril 2001 12:02

Excusez-moi, je n'ai pas dû être suffisamment explicite.

    Il est parfaitement clair (même si c'était sous entendu) que :
    -au premier "écart" on s'explique : "
        _ ce que vous m'avez vendu hier ou avant-hier ne me convient pas pour telle ou telle raison... Si vous voulez que nous restions bons amis, ne me refaites pas le coup. Je préfère que vous me disiez "je n'ai pas ce qu'il vous faut aujourd'hui" :  je ne vous en voudrai pas et on sera d'accord".
Pour ce faire, encore faut-il vraiment, comme je vous le disais, bien savoir d'abord ce que l'on veut soi-même....

    - si rien à faire : on change de boucher.

    C'est comme cela que nous procédons nous-même. Nous n'hésitons pas à préciser en quoi et pourquoi, le cas échéant, nous ne sommes pas satisfaits..... Et nous admettons que notre boucher nous conseil de ne pas prendre tel ou tel morceau ce jour....

>Un jour ou il y avait un de ses collègues de travail, il lui a acheté des escargots "préparés" : je vous le donne en mille : c'était du "Mou" .!
    Dans ce cas, il s'agit d'escroquerie caractérisée. Si vus étiez sûr de vous, il fallait, sans hésiter, prévenir les Services Vétérinaires ou la Répression des fraudes _ ça m'est arrivé de le faire - .
  
                     > Quand à la "Qualité Sanitaire", je pense qu'elle a de "Sanitaire" que le Nom.! et que celle (la qualité) de la "Gastronomie" elle a complètement disparue.! Tout est bourré de tas de "Saloperies" que les 90% des gens ignorent.!
 

     Pour le reste, je suis beaucoup moins pessimiste que vous... Je soutiens qu'il y a, dans toutes les corporations des gens très bien, consciencieux et honnêtes et, à peu près partout, le même pourcentage de mauvais, incompétents, peu consciencieux et malhonnêtes....
   
        En tant que consommateurs éclairé et exigeant et qu'ancien vétérinaire praticien et inspecteur d'abattoir (maintenant à la retraite), je vous assure, même si vous ne me croyez pas, que vous êtes dans l'erreur.

J'ai personnellement toujours travaillé dans la plus grande rigueur intellectuelle et morale et je me glorifie, à ma cessation d'activité,
d'avoir été authentiquement détesté (mais respecté) des maquignons, et de la plupart des bouchers expéditeurs... J'ai dit de la plupart, je n'ai pas dit de tous.

    Il est ni plus ni moins difficile de bien choisir son boucher que de bien choisir son épicier, son médecin, son vétérinaire, son avocat, son cordonnier ou son plombier. Et encore, je considère que c'est en cela-même que les profession indépendantes (commerçants, artisans, libéraux) sont supérieures aux autres : vous pouvez choisir librement votre prestataire de
service, alors que vous ne choisissez pas votre instituteur, votre professeur, votre postier ou votre inspecteur des impôt....

    Je vous rassure aussi on trouve de plus ou plus souvent des éleveurs et des groupements d'éleveurs qui vendent des produits de qualité, traditionnels (un peu plus chers, c'est bien normal) que les produits de base....

    Amitiés...

Cordialement à Vous

    P.S. Voyez aussi l'excellent intervention de Sylvie MAUC‘UR sur le sujet

Serge Grass  mardi 17 avril 2001 11:46

Il n'y a aucun problème pour commercialiser en directe. Il faut toute fois que l'abattage ait lieu dans un abattoir. Parmi mes fournisseurs deux me livrent la viande directement en sacs de congélation. Cette opération est réalisée par les services de l'abattoir.

Si cela vous intéresse je peux vous donner les coordonnées d'un de mes fournisseurs qui, je n'en doute pas, vous expliquera comment il fait en toute légalité.

Il faut noter, qu'au point de vue travail la contrainte existe, mais il faut l'intégrer dans une nouvelle démarche de la ferme. Si vous vendez plus cher, vous n'avez pas besoin de produire autant pour gagner votre vie convenablement.

De plus, la ferme ne se transforme pas en magasin en ce sens ou les "livraisons" sont réalisées sur un ou deux jours lors de l'abattage soit une fois par mois ????

Lorsque j'avais proposé cette démarche il y a une quinzaine d'années, c'était lors du deuxième boycott du veau de l'UFC Que Choisir,  l'objectif était de trouver une solution pour permettre aux paysans "qui ne piquaient pas" de valoriser la qualité de leur travail.

   L'UFC Besançon, dont j'étais alors le président, avait fait une lettre à 500 paysans choisis au hasard dans l'annuaire, un dans chaque commune rurale du département. La réponse a été une délégation de 3 sbires FDSEA avec lesquels les relations ont été impossibles.

Je proposais notamment d'utiliser le minitel pour organiser les commandes.

Aujourd'hui avec Internet les possibilités sont encore beaucoup plus grande et vous semblez bien maîtriser l'outil.


cordialement, Serge GRASS

ChristianAA  jeudi 19 avril 2001 08:34

Je lis attentivement les échanges de ce groupe et j'aimerais apporter quelques précisions, notamment sur les écrits de Marianne:
  En tant que consommatrice, je n'achète jamais de viande emballée sous film
  plastique.
  L'intérêt du film plastic ou de tout conditionnement réside dans le fait d'éviter une contamination des viandes par contact.....avec l'air, les autres viandes, les mains des opérateurs ou du consommateur, il améliore ainsi l'état sanitaire du produit (qualité objective dans le sens ou elle est mesurable), mais nuit aux qualités subjectives: couleur, goût, consistance.....

  Je n'achète jamais de steak argentin, ni d'agneau de Nouvelle Zélande ou
  d'Australie, qui arrivent dans nos pays congelés et qui sont décongelés
  avant d'être exposés à l'étal.
  Désolé, mais aujourd'hui l'essentiel de ces produits, en terme de volume, arrive sur nos marchés à l'état frais.

  Pendant combien de temps? Il ne faut jamais
  recongeler un aliment décongelé. Je pense que les diététiciennes seront
  d'accord sur ce point, sinon me corriger svp.

  C'est vrai pour le consommateur, car les conditions du process ne sont pas maîtrisées, mais cela peut pour certaines viandes être tout à fait bénéfique en terme de de qualités "objectives", dans le cadre d'un processus industriel. (des études existent là dessus)


  En matière de "bonnes viandes", la discussion se heurte aujourd'hui à des critères contradictoires. Une bonne viande en matière de goût est issue de l'abattage d'un animal adulte. Mais cette viande ne sera jamais tendre comme...un jeune animal.  Une bonne viande en matière de goût est une viande qui a été longuement maturée, elle est putréfiée en surface.
  Aujourd'hui, la culture occidentale a changé et ainsi sont apparus des critères différents: aujourd'hui l'essentiel des consommateurs cherche un produit bon dans le sens des qualités microbiologiques, etc...les deux critères étant incompatibles.
  Voilà pourquoi une bonne viande n'existe plus, car cela corresponds au goût d'une minorité. Le comportement paternaliste des gouvernements, des associations de consommatteurs etc....a modifié les valeurs des consommateurs. Les minorité qui comme moi aiment une bonne viande, ne peuvent plus trouver ce produit, sauf à se rendre à l'autre bout du monde dans des pays moins évolués que nos sociétés occidentales.

  Un petit sourire tout de même Marianne lorsque je vous lis, vous ne consommez jamais de viandes de Nouvelle Zélande ni d'Australie, pourtant Greenpeace est en grande partie responsable du fait que ces viandes ont conquis notre marché français et constitue une grande part de nos importations. Certe, cette responsabilité est bien involontaire..Depuis l'affaire du Rainbow Varrior, à chaque fois que des services officiels (fraudes, DGAL ) ont voulu démontrer l'utilisation massive d'hormones de croissances, d'antibiotiques, etc...dans l'élevage des animaux de ces pays, les ambassdeurs de ces pays ont gentiment rappelé la dette de la France envers eux née dans le port d'Auckland....Les éleveurs de l'autre bout du monde, nous envoient ce qu'ils veulent.

  Bonne journée à tous,
  Christian, industriel de la viande, qui aime les bonnes viandes, mais produit celles que le consommateur demande



muriel.bagni  mardi 15 janvier 2002 12:08

Notre fournisseur nous fait part de sa difficulté à s'approvisionner actuellement en viande d'agneau, en France, en Import et nous livre actuellement de la viande en provenance de Nouvelle Zelande. La conséquence en est que nous recevons des pièces très irrégulières en taille, ce qui nous pose des soucis de respect des cc mais aussi
d'utilisation en cuisine.

Ce discours est il une réalité nationale ?

je vous remercie d'avance de vos réponses

bertrand carlier mercredi 16 janvier 2002 09:23

Vous abordez une filière qui me semble avoir été lamentablement démonter dans l'indifférence générale. Mais ce qui m'interresse plus particulièrement, c'est la description de vos besoins.

    En effet on dispose de races lourdes mais on nous raconte que le consommateur veut un gigot de petite taille pour satisfaire les besoins de la "famille " actuelle.

    Pourriez vous indiquer ce que désire une restauration collective qui elle va piècer pour un grand nombre.

muriel.bagni  mercredi 16 janvier 2002 09:37

Pour le gigot désossé, nous n'avons pas de minimum, mais un maximum de 2,7 kg, ce qui me semble raisonnable. En fait, j'imagine que ce qui dérage les cuisines, c'est d'avoir des pièces irrégulières qui ne cuisent
pas de manière homogène

 jeudi 17 janvier 2002 23:54

OFIVAL 17-01 Fiche technique : Constitution d'une banque de données objectives sur les caractéristiques des carcasses et des viandes ovines françaises
http://www.office-elevage.fr/dei/f471.htm

OFIVAL 17-01 Amélioration de la qualité hygiénique des carcasses de bovins au travers d'un traitement préalable du cuir (phase 1)
http://www.office-elevage.fr/dei/f547.htm

OFIVAL 17-01 Etat des lieux des niveaux de contamination des produits (viandes et abats) aux stades de la production et de la distribution (2000-2001)
http://www.office-elevage.fr/dei/f544.htm

Le message suivant suit un échange concernant les tests ESB.

F.P. Verpillot  mercredi 23 janvier 2002 12:34

Je ne suis pas spécialiste de cette question mais elle m'intéresse également. La polémique avait enflé autour du test esb appliqué en France et son insuffisante sensibilité pour dépister les cas précoces.
Un article dans Science du mois d'août 2001 de Manfred Eigen et un autre spécialiste allemand mettait en lumière cette faible sensibilité. On apprenait plus tard que des tests cent fois plus sensibles seraient bientôt disponibles. Il faut ajouter que le test utilisé en france n'est pas le plus sensible du marché.


Ces informations avaient conduit des associations de parents d'élèves à demander plus de garanties sur la viande bovine. Ainsi une viande de boeuf charolaise certifiée.
L'idée fait son chemin mais au lieu de viande certifiée on nous promet de la viande issue de groupement d'éleveurs certifié.

Merci à toute personne  qui me donnera des renseignements sur la  certification d'une entreprise tel un groupement d'éleveurs. Quelles sont les contraintes ?

bertrand carlier mercredi 23 janvier 2002 19:33

Une des manières de répondre sur la sensibilité du test pourrait être: que même avec des tests bien plus sensibles au niveau du système nerveux central cela garantira-t-il de tous les risques ?

Je n'en suis pas sûr car la certitude ne pourra venir que de certitudes sur les pathogénies de ces maladies et nous sommes loin d'avoir tout expliqué.

Le facteur le plus rassurant est, il me semble, le type de population testé et avec quel taux.

Sur la certification des groupements, je suis très intéressé par les textes des uns et des autres car les groupements  sont au niveau sanitaire par principe un risque.

Les marchands de bestiaux aussi, mais parfois on souhaite tuer les uns au profit des autres, sans vraiment aborder  les vraies questions.

Il y a eu historiquement x conflits notamment entre vétérinaire et groupements. Un certains nombre de conflits ont porté sur des irrégularités au niveau sanitaire, et les suites qui ont été données à ses affaires ne peuvent permettre une confiance aveugle.

Delphine Hernot" Thu Jan 24, 2002  7:07 pm

En réponse à votre question sur les groupements : 3 possibilités existent :
1 - le groupement de producteurs est certifié ISO 9002 (ou 9001 -2000) pour une de ces activités ou sa totalité. Cela existe déjà dans qq groupements et peut concerner l'activité de négoce, les relations commerciales, les
relations avec les adhérents ... Dans ce cas le "produit" à savoir les bovins livrés ne sont pas certifiés et vous devrez rédiger un cahier des charges définissant vos souhaits en la matière.
2 - le groupement est certifié dans le cadre du référentiel agri-confiance : destiné à l'origine à définir les relations entre producteurs et utilisateurs des produits au sein d'une coopérative il peut dans certains cas avoir été élargi et comprendre des éléments relatifs aux produits livrés. dans ce cas il peut probable qu'il s'agisse d'un groupement au sens strict.
3 - le groupement est déjà dans le cadre d'une démarche de certification de produit (label ou certif de conformité) mais il n'y a pas suffisamment de bovins produits dans le cadre de cette démarche pour pouvoir vous livrer.
C'est tout à fait possible qu'il s'agisse de ce cas car un groupement est en fait un "super négociant" en bestiaux qui peut tout à fait avoir une partie de son activité en certifié et une autre partie en standard.

dans les 3 cas il est intéressant de s'adresser à ce genre de groupements car cela signifie que des procédures d'organisation, de suivi des producteurs ... sont déjà en place. En fait il serait souhaitable que vous demandiez précisément de quelle certification il s'agit (avec preuves !) ainsi que le référentiel servant de base.
cordialement

bertrand carlier  vendredi 25 janvier 2002 10:47

Une idée du H.A.C.C.P, une ou des associations de parents d'élèves pourraient inclure dans le cahier des charges pour les produits d'élevage, un guide de sélection, qui à mon sens donne du sens.

Il me semble que cela serait d'une efficacité très grande. L'idée vient du monde bio, mais il me semble que cela pourrait être transposable au durable.

    exemple:

Suite à l'adresse suivante :

http://groups.yahoo.com/group/hygiene/message/8124

 

bertrand carlier  lundi 18 février 2002 12:40

une nouvelle réglementation ou plutôt un plus grand respect de l'esprit des textes?

jnigeon  lundi 18 février 2002 14:28

Il s'agit de la directive 2001/101/CE du 26 novembre 2001 publiée au JOCE L310 du 28.11.2001 p19, modifiant la directive 2000/13/CE du Parlement européen et du Conseil relative au rapprochement des Etats membres concernant l'étiquetage et la présentation des denrées alimentaires ainsi que la publicité faite à leur égard.

En résumé, cette directive restreint la définition de la viande aux muscles rattachés au squelette. Les autres parties comme les abats ou la matière grasse devront être étiquetées en tant que telles et non plus comme étant de la viande. Il est admis toutefois qu'une partie de la matière grasse adhérente aux muscles, soit assimilée à la viande, dans le respect des limites maximales prévues dans la définition.

La directive prévoit aussi l'indication systématique de l'espèce animale dont est issue la viande.

Les états doivent transposer cette directive en droit national au plus tard le 31 décembre 2002.

Véronique Grandjacques  lundi 29 avril 2002 21:10

je suis en train de finaliser un travail de recherche d'informations concernant la viande bovine ; destiné aux parents d'élèves d'écoles maternelles et élémentaires , aux parents d'enfants en crèche et aux élus de ma commune et de mon département...et j'ai encore besoin de certaines infos...
  j'ai lu que la viande hâchée "label rouge" n'avait pas le droit d'être congelée : est-ce vrai ? apparemment , ce serait la raison qui empêcherait les grandes sociétés de restauration collective de se fournir en viande
bovine de qualité (il y a bien la viande "bio" qui a le droit d'être congelée mais elle n'est pas disponible encore en quantité suffisante pour les grosses structures ) .
  Et si c'est vrai, ne pourrait-il pas y avoir une dérogation officielle à ce sujet ???..... Viande hâchée ou pas , d'ailleurs.
  Ce serait faire la part trop belle à la viande bovine qui n'a pas de signe officiel de qualité ( non , le logo "vbf" n'est pas un signe officiel de qualité et ne garantit pas de bonnes conditions d'élevage ).
  Je voudrais aussi savoir s'il existe des machines adaptées pour faire des steacks hâchés ayant le grammage recommandé par la dernière circulaire pour les enfants de crèche et d'écoles maternelle et élémentaire ....Notre
gestionnaire achète actuellement des 100 grammes pour les enfants d'élémentaire (de 6 à 10 ans...) .

tr6.conseil  lundi 29 avril 2002 18:54

Vous pouvez consulter les sites suivant :

http://www.civ-viande.org/ebn.ebn?pid=125

www.interbev.asso.fr
Ce dernier offre en ligne le "contrat de transparence
viande bovine en restauration hors domicile"
Salutations
Michel PARISOT
TR6
Techniques de Restauration et SYStèmes
13080   LUYNES
Tel / Fax : 04 42 24 03 94

 samedi 18 mai 2002 11:23

INRA Mai 2002 Stratégies de démarcation par la qualité : quelle place pour les viandes bovines limousines dans les linéaires de la grande distribution ?
http://www.inra.fr/Internet/Produits/PA/an2002/num222/sans/ps222.htm

 lundi 17 juin 2002 07:34

Un article traduit par Maurice LEGOY :
Suivez le boeuf Par Sally Fallon* et Maria Enig**
Traduit de "Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts",
le magazine trimestriel de la Weston A Price Foundation, numéro printemps 2000
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/files/ARTICLES/Suivezleboeuf.htm

Véronique Grandjacques  vendredi 21 juin 2002 21:38

Je me décide à vous faire part de l'essai de synthèse (très difficile à réaliser) de mon travail de recherche d'infos concernant l'élevage bovin et destiné aux parents d'élèves et aux élus de ma commune et de mon département.... ( travail personnel et partisan ,sûrement incomplet , parfois maladroit....qui ne demande qu'à être approfondi , amélioré , rectifié si besoin est....) afin de solliciter vos commentaires éventuels qui m'aideraient à le compléter. Le débat reste ouvert...

Suite du message à l’adresse suivante : http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/message/9797

maurice legoy  samedi 22 juin 2002 05:43

Il est vrai que les importations posent un grave problème. Pas celles provenant de Grande-Bretagne : elles ne risquent pas de vous contaminer avec le variant de la MCJ, cette maladie qui n'a existé que dans l'imagination de ceux qui l'ont inventée (Will, Ironside et al)

Mais la viande d'origine française, même s'il vaudrait mieux qu'elle fût toujours engraissée à l'herbe (grass-fed), ne doit pas être chargée de tous les péchés du monde. Et croyez-en un vieux routard de la nutrition en général, et animale en prticulier, le boeuf apportera à vos enfants une source de protéines excellente, des matières grasses indispensables (les fameux CLA spécifiques des viandes de ruminants), du fer, pas d'hormones de croissance, interdites à juste titre en Europe.

Alors, il vaut mieux leur donner le goût du boeuf que l'absence de goût de l'escalope de dinde ou de celui du blanc de poulet industriel dépecé ! Sans intérêt nutritionnel d'ailleurs puisque ce ne sont pas les carences en acides aminés indispensables qui guettent nos chers têtes blondes...

Et je vous conseille la relecture de la traduction de l'article suivant

Suivez le boeuf

Par Sally Fallon* et Maria Enig**

Traduit de "Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts",

le magazine trimestriel de la Weston A Price Foundation, numéro printemps 2000

 lundi 1 juillet 2002 23:01

QUESTION ÉCRITE E-1444/02 posée par Emilia Müller (PPE-DE) à la Commission (08 mai 2002) Objet: Importations de viande bovine en provenance d'Argentine
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2002-1444+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=1&NAV=S

 lundi 8 juillet 2002 21:38

PRODUCTIONS ANIMALES JUILLET 2002 Caractérisation de la qualité de la viande bovine
dans 3 systèmes français : Salers, Aubrac et Gascon 
http://www.inra.fr/Internet/Produits/PA/an2002/num223/renand/gr223.htm

 samedi 17 août 2002 10:15

OFIVAL 16/08/02 Mise à jour des fiches techniques et nouvelles fiches : (Certaines de ces fiches comprennent des annexes en .pdf)
- Mise à jour de la Fiche technique N° 600 : " EFFET DE LA SUSPENSION PELVIENNE SUR LA TENDRETE DE LA VIANDE BOVINE : Quantification du gain de tendreté procuré par cette technique et contraintes pratiques de mise en ouvre ".
http://www.office-elevage.fr/dei/f600.htm
- Mise à jour de la Fiche technique N° 602 : "  Etude de validation de la détermination de la tendreté de la viande bovine par une méthode rapide non destructive, la spectroscopie de fluorescence frontale " .
http://www.office-elevage.fr/dei/f602.htm

- Nouvelle fiche N° 534 : " Stabilité bactériologique des abats : état des lieux du niveau de contamination en début de stockage et étude multifactorielle du vieillissement des langues de bovins ".
http://www.office-elevage.fr/dei/f534.htm

Nouvelle fiche N° 596 : " Mise en place d'un " observatoire " de la couleur de viande des jeunes bovins ".
http://www.office-elevage.fr/dei/f596.htm

 mardi 20 août 2002 08:12

Guide des bonnes pratiques hygiéniques Rayon viandes en grandes et moyennes surfaces (359280000 - Prix : 4,00  >>)

http://www.lavoisier.fr/notice/frFWOLA2AALOWRR3.html



 vendredi 23 août 2002 08:26

LANDLINE 18/08/02 Paddock to plate approach betters beef
http://www.abc.net.au/landline/stories/s648176.htm

 

bertrand carlier mercredi 9 octobre 2002 09:14

j'ai reçu ce message, ce matin, avant de répondre je souhaiterai lire les avis des uns et des autres:

>Pourquoi les étiquettes de viande vendues au détail portent-elle la mention
>«viande de b¦uf» alors qu'il s'agit en réalité - mais écrit en petites
>lettres - de viande de vache, qui n'est pas pour autant de moins bonne
>qualité.
>Mais il est irritant de se rendre compte que l'on joue sur un malentendu.
>Surtout, en ce qui concerne plus particulièrement le b¦uf dit «charolais» et
>là, cela frise l'escroquerie. Que dire si l'on mettait à la vente sous
>l'appellation «chapon» un vulgaire poulet ?

>Si les producteurs français prétendent avoir la première place en Europe
>quant à la qualité de leur production, encore faudrait-il ne pas tromper le
>consommateur; sinon voyez ce qu'a donné l'incident de la «vache folle».

>Existe-t-il d'ailleurs encore du véritable b¦uf charolais ? un séjour dans
>la région m'a permis de voir qu'il n'y avait guère de b¦ufs dans les prés et
>surtout m'a laissé perplexe quant à la nourriture qui était apportée par
>certains paysans au bétail à l'enclos.

>Merci de votre réponse et des précisions que vous pourriez m'apporter pour me
>rassurer.


   Pour éclairer ce message, il pourrait être fait une enquète: pour le consommateur la dénomination boeuf de chalosse cela correspond à quoi ?

 

Christian Giraud  mercredi 9 octobre 2002 09:38

le probleme souleve est general et lie a une (ou des) puissances financieres.
On retrouve le meme soucis avec les crevettes, gambas, coquille st jacques, palourde, coques, ... ou il faut lire en tout petit ou alors etre cale en latin pour lire le nom original de l'animal en question et pas le nom commercial

 

H.P. mercredi 9 octobre 2002 13:16

Cela fait bien longtemps (fin XIIe siècle, d'après le "Robert historique") que la viande de bovin adulte est appelée génériquement viande de "boeuf", sans préjuger du sexe de l'animal, ni de la présence ou de l'absence de ses gonades.
Il revient à l'étiquetage du morceau de préciser ces indications de manière détaillée.

 

bertrand carlier  mercredi 9 octobre 2002 13:28

Réponse détaillée à l'adresse suivante :

http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/message/10819

 

formaconseil  mercredi 9 octobre 2002 14:34

suite au message de B CARLIER
je pose une question doit on écrire:  VIANDE DE VACHE ou VIANDE DE VACHES?

 

bertrand carlier mercredi 9 octobre 2002 15:31

en fait il vaudrait mieux au pluriel, le singulier pourrait qualifier un type racial, clairement défini

    exemple viandes de vache de race limousine

     en fait l'étiquettage me semble prévoir que les précisions sont portées en dessous par le code du type racial.

Institut de l'Elevage code de race n° 34
AVMA: dénomination vétérinaire: L-80145

    Le document institut de l'élevage se nomme état civil bovin:

    on y découvre par exemple que le buffle a pour code race le numéro: 20, le bison lui a pour code le 10.

     Donc, pour l'institut, un buffle ou un bison sont des races, il me semble que ces termes qualifient des expèces qui ne sont pas des bos ?

  samedi 12 octobre 2002 12:33

AGRISALON 11/10/02 " Les éleveurs de Bretagne", signent et garantissent la qualité de leur viande.
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-8214.php

AGRESTE - Depuis la crise de l'ESB de 2000, les Français consomment davantage de viande de jeune bovin (octobre 2002

http://agreste.agriculture.gouv.fr/eQ_conjoncture_all_news.php3?page=2&id_rubrique=47

(lien indiqué par Yves LE PAPE dans la liste ESB)

 

  dimanche 13 octobre 2002 10:03

AGRISALON 12/10/02 La filière viande bovine en Pologne, un dossier Institut de l'Elevage - GEB
http://www.agrisalon.com/19-actusites/index.php?id=293

 

 mardi 15 octobre 2002 23:01

Institut de l'Elevage - Institut Technique du Porc - Institut Technique Avicole   - Dossier : Une photographie des rayons de la grande distribution avant la crise

http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/IMG/pdf/D303-2.pdf

Au sommaire pour le secteur bovin viande :
Viande bovine. Etiquetage et segmentation dans la grande distribution

http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/spip.php?article970



 samedi 4 janvier 2003 14:29

OFIVAL 03/01/03 Actes des 9 èmes Journées des Sciences du Muscle et Technologies de la Viande
http://www.ofival..fr/vpc/9jsmtv/ind9jsmtv.htm

 samedi 25 janvier 2003 09:05

OFIVAL 24/01/03 Mise à jour de la fiche N° 371 : " Produits nouveaux pour la viande bovine et ovine " ( avec le rapport final, version .pdf, 2,7 Mo, 305 pages , imprimable).
http://www.office-elevage.fr/dei/f371.htm

 

  lundi 24 février 2003 22:25

DGCCRF - Produits à base de viande : étiquetage et définition de la "viande"

http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/02_actualite/breves/brv0203g.htm?ru=02



mardi 1 avril 2003 22:30

ARS USDA 01/04/03 Ultrasound Used to Detect Quality Beef
http://www.ars.usda.gov/is/pr/2003/030401.htm

samedi 14 juin 2003 21:25

ACCORDS INTERBEV EN LIGNE - Au sommaire :
Etiquetage de la catégorie "veau"
Accord interprofessionnel du 16/10/02
http://www.interbev.asso.fr/interbev/homepage.nsf/wPage/ADD11D3B0A321D61C1256CB6003B399A/$File/9_etiquetage_veau_161002.pdf
Lettre d'agrément de la DGCCRF du 17/12/02
http://www.interbev.asso.fr/interbev/homepage.nsf/wPage/ADD11D3B0A321D61C1256CB6003B399A/$File/9_veau_dgccrf_171202.doc

samedi 21 juin 2003 10:12

VIANDES ET PRODUITS CARNES MAI/JUIN 2001 Au sommaire :
- Vaches de réforme :
" Un impact de l'âge sur la qualité des carcasses "
- Qualité de la viande :
" Vers des mesures d'évaluation non destructives "
http://www.office-elevage.fr/vpc/223/svpc223.htm

 

mercredi 23 juillet 2003 23:05

JO ASSEMBLEE NATIONALE 21/07/03
Question N° : 12774 viandes : définition. directive européenne. transposition en droit français
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-12774QE.htm

vendredi 15 août 2003 23:07

OFIVAL 13/08/03 Nouvelles Fiches :
- Fiche technique N°660 : " La Vente Directe de viande bovine : éléments d'information et de réflexion", ( + rapport complet = 0,8 Mo / 114 P)
http://www.office-elevage.fr/dei/f660.htm

 

ahmed kechad jeudi 18 septembre 2003 14:10

Je suis à la recherche de documents sur tous ce qui concerne le 100% muscle (viandes des animaux de
boucherie)

 

haccp.normandie jeudi 18 septembre 2003 15:12

Exemple, une viande hachée est 100% muscle lorsqu'elle ne contient que du muscle et le gras qui lui est attachée. L'ajout de graisse fait que le produit ne peut plus être mis dans cette catégorie du 100% muscle.

 

Patrick RIETMEYER jeudi 18 septembre 2003 16:36

Une autre réponse serait qu'une viande hachée 100% muscle est produite dans le respect du cahier des charges 100% muscle d'Interbev, accessible sur le site Internet d'Interbev, et par conséquent dans le respect du Code des Usages pour les Viandes hachées et les préparations de viandes hachées préparées à l'avance. Ce dernier document prévoit - entre autres - des spécifications relatives aux matières premières, notablement en matière de parage.

 

mercredi 1 octobre 2003 21:48

JO ASSEMBLEE NATIONALE 29/09/03 Au sommaire :
Question N° : 21145 commerce extracommunautaire - viandes bovines. importations. réglementation
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-21145QE.htm

 

jeudi 18 décembre 2003 13:51

LE PAYSAN BRETON 19/12/03 Viande bovine : Bouchers et éleveurs se fédèrent autour de la qualité
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=3443

samedi 10 janvier 2004 13:41

LE PAYSAN BRETON 09/01/04 Qualités des viandes : Tendreté, texture, jutosité et saveurs caractérisent une viande
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=3488

 

Philippe GOULOIS jeudi 4 mars 2004 12:01

Je souhaiterai connaître si un texte réglementaire fixe un age "butoir"d'abattage de bovins pour la consommation humaine existe.
Pour préciser ma question, je suis confronté à une livraison de viande d'un animal né en 1988...

Sylvie Pierrard jeudi 4 mars 2004 15:17

Non, il n'existe aucune limite d'âge. La viande est tout aussi consommable.

Guillaume Bonfils jeudi 4 mars 2004 16:54

A priori pas d'âge limite, d'autant plus que les vétos ne l'aurait pas laissé passer au niveau de l'abattoir. Vous avez entre les mains une bonne "vieille vache de réforme", ceci dit aprés maturation ça fait de la trés bonne viande...

 

A-L.Poinsot mardi 6 avril 2004 10:46

Je recherche toutes informations sur la grille EUROPA,car je ne sais
pas du tout à quoi cela correspond.
Est-ce qu'une classification R3 selon cette grille est toujours d'actualité et à quoi cela correspond-il ?

Merci pour les renseignements que vous pourrez m'apporter.

Françoise Maden mardi 6 avril 2004 11:00

Oui, cette grille est toujours d'actualité puisque le classement des carcasses des gros bovins s'effectue en appréciant successivement :

   - la conformation : E. U. R. O. P.

E: excellente
U: très bonne
R: bonne
O: assez bonne
P: médiocre

   - l'état d'engraissement : 1.2.3.4.5.

1: très faible
2: faible
3: moyen
4: fort
5: très fort

Donc, R3 signifie que la carcasse  a une conformation de type R donc, bonne, avec un état d'engraissement moyen (classement rencontré la plupart du temps).

 

Michel FEDERIGHI mardi 6 avril 2004 11:44

On peut éventuellement (animaux culards en particulier) trouver une catégorie supplémentaire S (pour Supérieure...) la classification EUROP devient alors la classification SEUROP...

 

Marc Kieny mardi 6 avril 2004 11:47

S'agissant des grilles de classement des carcasses, vous trouverez également des informations sur le site de l'OFIVAL, partie Cotations", recherchez sous "Classement des carcasses";
http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm

La réglementation communautaire en vigueur depuis 1991 est: Règlement (CEE) n° 1026/91 du Conseil du 22 avril 1991 modifiant le règlement (CEE) n° 1208/81 établissant la grille communautaire de classement des carcasses de gros bovins
Journal officiel n° L 106 du 26/04/1991 p. 0002 - 0003

Dimitri LAMURE mardi 6 avril 2004 11:49

La grille (avec les photos correspondant aux critères de classification) peut être commandée sur le site de l'ofival
(http://www.office-elevage.fr/publications/bon_commande.htm)

TR6 - Michel PARISOT mercredi 9 juin 2004 08:38

Un colistier aurait-il déjà mesurer l'impact du couple temps/température (et éventuellement humidité) sur le noircissement superficiel des carcasses de boeufs en chambre froide de maturation.

Valérie Bridoux mercredi 9 juin 2004 10:14

Je ne sais pas si cela peut vous aider : un document technique sur la réfrigération des carcasses est disponible sur le site d'INTERBEV
(interprofession) : "Le point sur la réfrigération", 2002

"Ce document présente une série de 18 fiches sur les divers aspects de la réfrigération dans la filière viande. Réglementation, incidence sur
la bactériologie, la tendreté et la perte de poids, techniques de ressuage et fluides frigorigènes."
Mais attention : pour consulter ce document, il faut avoir installé le plug-in DjVu (une sorte de visionneuse) au préalable. Pour ce faire,
allez sur :
www.lizardtech.com/download/dl_download.php?detail=doc_djvu_plugin&platform=win

et installez le « DjVu Browser Plug-in AutoInstaller »

Puis allez sur le site web : www.interbev.asso.fr
 
Puis rubrique R&D / Synthèses thématiques / Synthèses
Ensuite chercher le rapport « Réfrigération ».
Ou bien, cliquez directement sur ce lien :
http://www.interbev.asso.fr/interbev/homepage.nsf/7BC4357C414814BAC1256D2E006C2798/$file/refrigeration.djvu

D'autre part,
L'ADIV et l'INSTITUT de L'ELEVAGE ont travaillé sur les conditions de conservations des viandes, notamment l'Adic a étudié l'aéraulique dans les chambres froides. Vous pouvez les contacter : www.adiv.fr
et www.inst-elevage.asso.fr

LUNDI 06 DECEMBRE 2004

ANNALES DE MEDECINE VETERINAIRE - 2002 - Composition de la carcasse, qualité de la viande et exploitation du Piétrain stress négatif, Ann. Med. Vet., 2002, 146 (6), pages 329 - 338
http://www.facmv.ulg.ac.be/amv/resultsearch.php?type=index&num=12

ANNALES DE MEDECINE VETERINAIRE 2001 Appréciation de la qualité microbiologique des carcasses de bovins fraîchement abattus., Ann. Med. Vet., 2001, 145 (4), pages 270 - 274
http://www.facmv.ulg.ac.be/amv/articles/2001_145_4_05.pdf

Autres informations:
Présentation de l'Unité hygine et qualité des produits avicoles et porcins de l'AFSSA Ploufragn
http://www.ploufragan.afssa.fr/organisation/uhqpap.htm

Liste des travaux soutenus par l'OFIVAL
http://www.office-elevage.fr/dei/liste3.htm

 

Bertrand CARLIER Wed, 12 Jan 2005 09:43:48 +0100


vu:

RÈGLEMENT (CE) No 29/2005 DE LA COMMISSION du 10 janvier 2005 concernant la délivrance de certificats d'importation pour les viandes bovines
de haute qualité, fraîches, réfrigérées ou congelées

http://europa.eu.int/eur-lex/lex/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2005:007:0003:0003:FR:PDF

je me pose trois questions:

_ la viande bovine de très haute qualité , c'est quoi, on retrouve ce typede viande sous quelle dénomination dans nos assiettes ?

_ les limites d'importation sont dus à quoi, est_on capable en France de produire de la viande de très haute qualité et on trouve ce type de produit sous quelle dénomination où?

amicalement
bertrand CARLIER

je n'ai pas trouvé ce type de réponse sur le site du C.I.V, je me demandepourquoi?



Marc Kieny Wed, 12 Jan 2005 11:07:37 +0100

La notion de "très haute qualité (...)" utilisée ici est à l'évidence d'ordre strictement commercial. Le texte cité est un acte de gestion courante de la Commission, pour l'application d'un règlement concernant des contingents tarifaires.
Il s'agit de mettre en oeuvre une concession de la Communauté dans les négociations du GATT où elle s'est engagée à ouvrir de tels contingents tarifaires (le droit de douane ad valorem y est réduit à 20 %). (j'ouvre une rapide parenthèse : l'inventivité des négociateurs dans ce type d'enceinte est assez extraordinaire, pour définir des marchandises bénéficiant d'un régime de faveur et en limiter ainsi strictement l'usage à des cas extrèmement spécifiques... j'ai en tête, par exemple, les contingents d'orge pour faire du malt pour faire du whisky dans des futs de chêne vieillis d'une région déterminée - ou quelque chose d'approchant...)

Ce qui vous intéresse est la définition d'une telle viande.
On trouve ceci dans le règlement (CE) n° 936/97 de la Commission du 27 mai 1997 portant ouverture et mode de gestion des contingents tarifaires pour les viandes bovines de haute qualité, fraîches, réfrigérées ou congelées et pour la viande de buffle congelée, à son article 2 f) - qui est la disposition visée par le texte cité :
"f) 11500 tonnes, en poids du produit, de viandes des codes NC 0201, 0202, 0206 10 95 et 0206 29 91, répondant à la définition suivante: 'Carcasses ou toutes découpes provenant de bovins de moins de trente mois élevés pendant au moins cent jours avec une nourriture équilibrée, à haute concentration énergétique contenant au moins 70 % de grains, d'un poids total minimal de 20 livres par jour. La viande marquée choice ou prime selon les normes du United States Department of Agriculture (USDA) entre automatiquement dans la définition donnée ci-dessus. Les viandes classées en Canada A, Canada AA, Canada AAA, Canada Choice et Canada Prime, A1, A2 et A3, selon les normes de l'Agence Canadienne d'inspection des aliments du gouvernement du Canada, correspondent à cette définition.'" (dans sa version modifiée, sur ce point, en dernier lieu par le règlement (CE) n° 1524/2002)
Par ailleurs, ces contingents sont généralement désignés sous le vocable "Hilton beef": ce qui peut aider à présumer de l'usage du produit....

Amicalement,
Marc Kieny
EMCA Editions & Conseil
http://www.emcastore.com

 

Bertrand CARLIER Wed, 12 Jan 2005 11:41:12 +0100

le concept de "hilton beef" prête effectivement à confusion. Il me semble qu'il correspond en fait à une mode de qualification des techniques de production primaires et de transformations monitoré par une université américaine du même nom.

http://www.ams.usda.gov/lsg/certprog/speccomp.pdf

Ce point me semble important car ceci me semble correspondre à un produit qualifié de la fourche à la fourchette.

Ce point me semble primordial dans le contexte actuel car cela aurait dusignifier depuis longtemps des accords sur les modes d'évaluation des productions primaires.


En fait, c'est un des problèmes de L'O.M.C car ni en Europe , ni ailleurs les critères de qualifications de la fourche à la fourchette ne sont en pratique vraiment accessibles.

maintenant la question qui pourrait être posée est:

place de cette expression viande de trés haute qualité ( il me semble qu'il s'agit de broutards élevé en feed lot) par rapport par exemple à boeuf de chalosse


en terme plus clair :

un restaurateur peut -il utiliser l'expression viande de trés haute qualité lors du service, et si non pourquoi, car cela est un dénomination présente sur sa facture d'achat.

 

Bertrand CARLIER Wed, 12 Jan 2005 15:47:44 +0100

en fait le concept de hilton beef est prévu par la commission:

http://europa.eu.int/smartapi/cgi/sga_doc?smartapi!celexapi!prod!CELEXnumdoc&lg=en&numdoc=31997R0936&model=guichett

Il correspond à celui de HQB, high quality beef.

http://www.useu.be/agri/hqb.html

Le HQB est défini par un programme de qualification:

http://www.fsis.usda.gov/OFO/export/euroreqs.pdf

accessible par le site:

FOREIGN AGRICULTURAL SERVICEU.S. MISSION TO THE EUROPEAN UNION

http://www.useu.be/agri/usda.html

le programme prévoit un échantillonage de vérification de l'absenced'hormones, associé à la recherche de cadmium et de plomb: 35 prélévements.

http://www.fsis.usda.gov/ofo/export/euresidu.pdf

il s'agit donc bien d'une viande qualifié de haute qualité par la commision,d'où ma question:

le consommateur final a _t_il droit d'avoir accés à ces informations?

 

MERCREDI 19 JANVIER 2005

JO ASSEMBLEE NATIONALE 18/01/05 Question N° : 50358 viandes emballées. pratiques commerciales
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-50358QE.htm



JEUDI 24 FEVRIER 2005

ITP - Étude parue dans Techniporc - Maturation de la viande de porc
http://www.itp.asso.fr/qual/etutec.htm

ITP - Article de TECHNIPORC en ligne - Viandes déstructurées : Facteurs de risque ; Caractérisation colorimétrique, biochimique et histologique.
http://www.itp.asso.fr/lirfor/techpor/article/tp2001/tp4minvie01.pdf

ITP - Articles de TECHNIPORC en ligne :
Influence des découpes à tiède et à froid sur la qualité bactériologique et les pertes de poids des pièces
Intérêt de la réalisation d’une désinfection par voie aérienne dans les ateliers de découpe et chambres froides
Traitement spécifique des carcasses de porc par double flambage
http://www.itp.asso.fr/lirfor/techpor/intro/qhyge/abattoir.htm

 


JEUDI 26 MAI 2005

ARRÊT DE LA COUR (première chambre) 26 mai 2005 «Restitutions à l'exportation - Viande bovine - Abattage spécial d'urgence - Règlement (CEE) n° 3665/87 - Article 13 - Qualité saine, loyale et marchande - Caractère commercialisable dans des conditions normales»
Dans l'affaire C-409/03, ayant pour objet une demande de décision préjudicielle au titre de l'article 234 CE, introduite par le Bundesfinanzhof (Allemagne), par décision du 15 juillet 2003, parvenue à la Cour le 1er octobre 2003, dans la procédure Société d'exportation de produits agricoles SA (SEPA) contre Hauptzollamt Hamburg-Jonas, la Cour (première chambre) dit pour droit:

L'article 13 du règlement (CEE) n° 3665/87 de la Commission, du 27 novembre 1987, portant modalités communes d'application du régime des restitutions à l'exportation pour les produits agricoles, doit être interprété en ce sens qu'une viande, satisfaisant aux critères de salubrité, dont la commercialisation en vue de la consommation humaine dans la Communauté européenne est limitée par la réglementation communautaire au marché local en raison du fait qu'elle provient d'animaux ayant fait l'objet d'un abattage spécial d'urgence, ne peut pas être considérée comme étant de «qualité saine, loyale et marchande», condition nécessaire à l'octroi de restitutions à l'exportation
http://www.curia.eu.int/jurisp/cgi-bin/form.pl?lang=fr&Submit=Rechercher&docrequire=alldocs&numaff=&datefs=&datefe=&nomusuel=&domaine=&mots=C-904/03&resmax=100

(source Jean-Pierre GALLACIER)

 

qualite\.viande Mardi 24, Mai 2005 14:21

je suis nouvellement RQ dans un abattoir de volaille dans le sud ouest.

nous avons un pb récemment apparu de produit découpé qui ne tiennent pas la DLC (alors que les entiers la tiennent). Ce phénomène est apparu chez un seul de nos client, ce qui est très embettant, d'autant + que c'est arrivé plusieurs fois en 15j (toujours chez le même client).

j'ai donc analysé ma chaîne du froid.
* abattage à J0 et emballage à J+1, donc refroidissement des carcasses conforme
* T° des salles de stockage, et découpe conforme
* T° du camion transporteur, conforme

D'où vient le pb??

Merci de votre aide précieuse

 

Myriam BENISSAD Mardi 24, Mai 2005 17:30


Sa chambre froide ?

Quelle est la nature de la dégradation ? couleur ? odeur ? bactério ...

A partir de quel moment les produits livrés chez lui commencent t-ils à se dégrader ?

Ils arrivent déjà dégradés ?

Dès la livraison ?

Quelques jours après ?

hblmg78 Mardi 24, Mai 2005 17:28

faites un audit chez le client
pourquoi chez un seul?

 

qualite\.viande Mardi 24, Mai 2005 18:49

en fait ce client est un grosse enseigne donc difficile de l'auditer...

les produits périment à qq jours de la DLC (1 à 2 j) Ils prennent une couleur foncé et ont une odeur nauséabonde (selon leurs dires).

ce qui nous posent question c'et que c'est uniquement chez eux, et sur un seul type de produit. Pourquoi tous les produits livrés ne subissent-ils pas le même sort? Pourquoi le même type de produit, livré à d'autres clients ne virent-ils pas?

le transporteur m'a fourni ses disques de T°, tout est bon!! et chez nous, tout est bon!!

Je n'y comprend rien. En + 2 fois en 15j, c'est vraiement trop!!

J'ai pensé mettre une sonde mouchard, mais celle ci ne validerait que le transporteur et pas le frigo du client...

 

RDominike56 Mardi 24, Mai 2005 23:06

le contrôle des températures est une chose
l'hygiène de découpe est aussi très importante; à mon avis le problème doit se situer à ce niveau ; je travaillerai dans ce sens il faut revérifier tout
les éléments jouant sur la contamination et le développement en découpe et conditionnement ; une caractérisation de la flore contaminante serait un plus

Christina Mercredi 25, Mai 2005 8:47

Connaissez-vous les conditions de réception et de stockage (notamment de température de quai, durée entre arrivage et stockage en chambre froide, températures de stockage...) chez le client où se pose se problème ?

 

Bertrand CARLIER Mercredi 25, Mai 2005 8:31

je comprends mal. Il a été dit:
"en fait ce client est un grosse enseigne donc difficile de l'auditer...
les produits périment à qq jours de la DLC (1 à 2 j) Ils prennent une couleur
foncé et ont une odeur nauséabonde (selon leurs dires)."

ceci suggère t-il qu'une grosse enseigne, lorsque des produits "périment " avant la date ( couleur mais surtout odeur), ne fait qu'une chose: tel au fournisseur ?

en d'autres termes:

dans le cadre d'une grande surface que fait-on en cas de problème ?

je pose cette question après avoir été voir :
http://www.liste-hygiene.org/arcdistribution.html



LUNDI 28 NOVEMBRE 2005


REVUE DE MEDECINE VETERINAIRE JUILLET 2002 Facteurs et mécanismes responsables de la maturation de la viande

http://revmedvet.com/2002/article_fr_153_499_509.html


JEUDI 02 FEVRIER 2006


PARLEMENT EUROPEEN 18/10/05 QUESTION ÉCRITE E-3750/05 Objet: Fonds en faveur d'un projet de filière de viandes de qualité
http://www.europarl.eu.int/omk/sipade3?PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2005-3750+0+DOC+XML+V0//FR&L=FR&LEVEL=2&NAV=S&LSTDOC=Y



MARDI 14 FEVRIER 2006


Pôle Technologique Agro-alimentaire asbl JUIN 2004 Newsletter n°2. Au
sommaire:
Compte-rendu de la journée d'étude du BAMST (Belgian Association for Meat Science and Technology): Oxydations en production de viande et de produits
carnés: (in)désirables? (26 novembre 2003 à Melle)

http://www.ptaa.be/newsletter1et2/Newsletter2.htm

 


VENDREDI 26 MAI 2006

FNICGV 15/02/06 Révision de certains cahiers des charges d’Interbev : VBF – JBE et BFE
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?prov=g&Id_doc=1721



MERCREDI 02 AOUT 2006


TERRE-NET 02/08/06 Journée d'action viande bovine - Le Modef à l'assaut des Buffalo Grill
Dénonçant les importations de viandes bovines d'Amérique du Sud, le Modef mène aujourd'hui une journée d'action en direction de la chaîne de restauration Buffalo Grill.
http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article-205-33054.html


VENDREDI 11 AOUT 2006


PC 09/08/06 La viande de chien très appréciée des Nord-Coréennes voulant garder une jolie peau
http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20060809130014


Jean-Philippe COTON Thu, 21 Sep 2006 15:10:41 -0000


--- Dans hygiene@yahoogroupes.fr, "Duez Christine"
<christineduez@y...> a écrit
>
> COncernant les ajouts de différents produits dans les préparations
de
> viande, existe t il un texte, ou autre code pour définir les
> pourcentages autorisés? Je sais que pour les rôtis bardés, le
> pourcentage de barde ne doit pas excéder 10% par exemple, mais
pour
> les pr^parations en général, qui sont mises en vente directement
au
> consomateur?



Dans le code des usages de CERTIVIANDE, il existe différentes quantités pour les différents ingrédients (viande musculaire, sels, protéines végétales texturées, épices...) en fonction de la dénomination de vente.

Par exemple la dénomination "préparation de viande hachée" (qui couvre de nombreux produits) peut corespondre à : "mélange de plusieurs espèces, produit contenant de 51% à 99% de viande et de viande ayant subi un traitement insufisant pour modifier à coeur sa structure cellulaire"

Ce qui signifie que les produits corespondant à cette dénomination peuvent :
- contenir jusqu'à 49% d'ingrédients étrangers à la viande musculaire de type protéines de soja texturées, protéines de blé, épices, tomate...
- peuvent faire l'objet d'un mélange d'èspèces considérées comme pouvant produire des viandes hachées (bovines, ovines, caprine ou porcines).
- ne peuvent pas contenir d'ingrédient ayant un pouvoir déstructurateur en forte quantité (ex : sel, citron...) ou avoir un subit un traitement qu'il soit mécanique (broyage excessif) ou termique (cuisson)... qui en ait altéré la structure cellulaire.

Egalement :
- " si le produit contient des proteines végétales, la teneur en protéines végétales ne doit pas dépasser 30% du poids total des matières premières premières et celle-ci doivent être issues de graines non-OGM
- "les préparations contenant des viandes hachées de volailles, de lapin, de gibier, sont des préparations de viandes et n'entrent pas dans la catégorie des préparations de viandes hachées.
- les préparations de viandes hachées ne peuvent pas contenir plus de 15 g de sel par KG

le code décrit ensuite une série de règles à respecter pour ces préparations de viandes hachées concernant l'étiquetage.

En résumé, il est préférable pour vous de vous procurer dans un premier temps ce texte qui, malheureusement n'est pas disponible sur internet.

j'èspère que ces informations vous auront permis d'obtenir les réponses à vos question.

Jean-Philippe COTON
www.histalim.com


qualibreizh Vendredi, 22. Septembre 2006 19:13

Pour cela, vous pouvez, si ma mémoire est bonne, vous référer au Code des usages de la charcuterie ( ex : merguez, chipolatas etc..). Ceci vous sera d'une très grande aide si vous travaillez en tant que Responsable qualité en gms.
De plus, demandez également l'aquisition du Lamy Dehove : http://lamy.fr/modules/produits/publications/fiche_produit.php?id=292&from=gamme&fromId=6

Ces deux outils vous aideront quotidiennement et vous feront gagner du temps!


LUNDI 23 OCTOBRE 2006


QUALITIONNAIRE - Définitions officielles de VIANDE
http://qualitionnaire.net/index.php?title=Viande


Audrey MORISETTI Tuesday, December 05, 2006 9:00 AM

savez vous comment faire apparaitre l'ingrédient "viande de veau reconstituée" sur une etiquette de paupiettes de veau? Le process consiste a utiliser un boyau uniquement pour former la farce, avec des petits morceaux de viande de veau à l'intérieur. On retire le boyau une fois des paupiettes ainsi formées.

Merci d'avance pour votre aide, je n'arrive pas à trouver l'info

Corinne Holley Mardi 5. Décembre 2006  10:31

Je vais essayer de vous aider.
Le Code des Usages de la charcuterie ne définit pas la paupiette mais seulement la paupiette traditionnelle qui se fait uniquement avec une escalope de veau et de la chair à saucisse pur porc de qualité supérieure.
Est-ce que la viande de veau est tout de même séparée de la farce, est-ce qu'elle entoure la farce?
Dans votre cas je ne suis pas certaine que vous puissiez utiliser cette dénomination. N'est-ce pas plutôt une crépinette?
Vous pouvez poser la question au CTSCCV.


Audrey MORISETTI Mardi 5. Décembre 2006  15:28

pour vous repondre , la paupiette est bien entourée d'une escalope de dinde, ficelée, et il y a du porc dedans.
Cela se rapproche plus de la paupiette traditionnelle.

La viande de veau reconstituée est en fait un constituant supplémentaire qui permet un meilleur formage de la paupiette.
Elle est constituée de petits morceaux de viandes de veau agglomérées, et de plasma.
Je voulais simplement savoir ce que cela impliquait au niveau de l'étiquetage.




LUNDI 28 MAI 2007


BIBLIOTHEQUE FUSAGX - 2003 - La qualité différenciée de la viande bovine. La nécessaire stratégie d'innovation
http://www.bib.fsagx.ac.be/library/base/content/v7n3-4.html


SAMEDI 23 JUIN 2007


FARM AND RANCH 22/06/07 Beef Quality Audit demonstrates important life lesson
http://www.farmandranchguide.com/articles/2007/06/22/ag_news/letters_and_editorial/edit01.txt



JEUDI 19 JUILLET 2007

OFFICE DE L ELEVAGE - 10 èmes Journées des Sciences du Muscle et Technologies de la Viandes - 25-26/10/2004 // Rennes
Au sommaire:

La place de la viande bovine dans le modèle alimentaire français : bilan et perspectives.
http://www.office-elevage.fr/vpc/10jsmtv/com-03-03.pdf

Maîtrise de l'hygiène des viandes bovines
http://www.office-elevage.fr/vpc/10jsmtv/conf-05-02.pdf


JEUDI 19 JUILLET 2007

OFFICE DE L ELEVAGE - Acte des 11èmes journées "sciences du muscle et technologie des viandes" - 2006
LES ECOSYSTEMES MICROBIENS DANS LES PRODUITS CARNES
http://www.office-elevage.fr/vpc/11jsmtv/11JSMTV-H-CONF1.pdf

VENDREDI 17 AOUT 2007

COLOMBIE

LATINPYME 16/08/07 Mercado de la carne se abre a Colombia
http://www.latinpyme.com.co/asp_noticia.asp?ite_id=16996&pla_id=2&cat_id=2439


LUNDI 10 SEPTEMBRE 2007

OFFICE DE L ELEVAGE SEPT 2007 Chiffres clés 2006
http://www.office-elevage.fr/statistiques/chiffres-06/chiffrescle06.htm


MARDI 09 OCTOBRE 2007

INTERBEV JUILLET 2006 La couleur de la viande bovine (dossier de 113 pages)
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinsboucherie/documents/couleur_viande_bovine1.pdf

INSTITUT DE L ELEVAGE 08/01/07 Mise en place d'un test opérationnel de systèmes de mesures de la couleur de la viande de veau en routine sur la chaîne d'abattage
http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/spip.php?page=article_espace&id_espace=55&id_article=10857

INSTITUT DE L ELEVAGE 04/01/07 Evolution de la couleur des carcasses de veaux
http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/spip.php?page=article_espace&id_espace=55&id_article=8678

INSTITUT DE L ELEVAGE - Fiche technologie et qualité des viandes
http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/IMG/pdf_24_techo_qual.viande.pdf

NSTITUT DE L ELEVAGE - Laboratoire d'analyses et de technologie des viandes
http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/IMG/pdf_11_labo_analyse_techno.pdf


INSTITUT DE L ELEVAGE 17/11/04 La vente directe de viande bovine : éléments d'information et de réflexion
http://www.inst-elevage.asso.fr/html1/spip.php?page=article_espace&id_espace=55&id_article=5700



MERCREDI 10 OCTOBRE 2007

FNICGV 05/10/07 Au sommaire:
Structure de la production de viande bovine en France
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=3169





MARDI 23 OCTOBRE 2007

AGRI HEBDO SEMAINE 42/2007 Marché mondial de la viande bovine
http://193.247.189.70/agrihebdo/journal/vtArtikel.cfm?id=20602&b1=March%C3%A9%20mondial%20de%20la%20viande%20bovine&o1=&b2=&o2=&b3=&re=&ra=AM&da=&startrow=1



MERCREDI 24 OCTOBRE 2007

FNICGV 19/10/07 LE FLASH N°2007-41 Au sommaire:
Viandes ovines conditionnées sous-atmosphère : critères d'hygiène des procédés et validation des durées de vie microbiologique
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=3192





VENDREDI 02 NOVEMBRE 2007

CUISINE COLLECTIVE NOV 2007 Le forum de l'HACCP
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=140
Couper la viande pour les enfants

Viandes rouges

MERCREDI 21 NOVEMBRE 2007

NATIONAL CATTLEMEN'S BEEF ASSOCIATION - INDUSTRY GUIDE FOR BEEF AGING -
Document anglais ayant beaucoup de tableau qui considère tous les détails du viellissement de viande de boeuf. Document PDF de 2.5 MO
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinsboucherie/documents/Industry%20Guide%20for%20Beef%20Aging%20pp.pdf



JEUDI 13 DECEMBRE 2007

SNIV 12/12/07 Coup de tonnerre dans l'industrie mondiale de la viande bovine
http://www.sniv.fr/sniv/homepage.nsf/caba072bdc935faec125707e003326cb/9390c880015a3208c12573af005a7620?OpenDocument
ACIA - MANUEL DES COUPES DE VIANDE
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinsboucherie/documents/beeboe[1].pdf


LUNDI 17 DECEMBRE 2007

FNICGV 23/11/07 LE FLASH N°2007-46. Au sommaire:
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=3223
La cartographie de la maturation de la viande bovine : Comparaison de 5 muscles de jeunes bovins et de vaches de réforme


MERCREDI 19 DECEMBRE 2007

SCHOOL OF VETERINARY SCIENCE LANGFORD 18-19 MAY 2005 THE SCIENCE OF BEEF QUALITY
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinsboucherie/documents/BQ_May05p.pdf


JEUDI 03 JANVIER 2008

WEB AGRI 02/01/08 Tendreté des viandes - Des gènes déjà identifiés
http://www.web-agri.fr/conduite-elevage/genetique-race/article-g%C3%A9nomique-tendret%C3%A9-viande-1175-44287.html


JEUDI 17 JANVIER 2008

SNIV 16/01/08 Dénomination des viandes : entrons dans le vif du sujet ! http://www.sniv.fr/sniv/homepage.nsf/caba072bdc935faec125707e003326cb/afe3a8dc4a5942f8c12573d20050d196?OpenDocument

VENDREDI 08 FEVRIER 2008
FRANCE
LE TELEGRAMME 07/02/08 Viande bovine. Manque de vaches de réforme
http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/economie/inter/viande-bovine-manque-de-vaches-de-reforme-20080207-2481896_1211930.php


JEUDI 14 FEVRIER 2008

PROCESS 21/01/08 90 minutes pour contrôler les viandes avec AES Chemunex
http://www.editionsduboisbaudry.fr/bi/article.php?action=pa&id=35989
PROCESS 11/02/08 Au sommaire:
Des absorbeurs conservent la viande fraîche dans les sacs de regroupement
http://www.editionsduboisbaudry.fr/bi/article.php?action=pa&id=36197

MERCREDI 19 MARS 2008

EUROPE

AGRIRESEAU 07/03/08 Les facteurs influençant les qualités physiques,
chimiques et organoleptiques de la viande d'agneau
http://www.agrireseau.qc.ca/ovins/documents/Dransfield_Eric.pdf

JEUDI 26 MARS 2008

FRANCE

PAYSAN BRETON 21/03/08 VIANDE BOVINE / Face aux concurrents d'Amérique du
Sud - La voie de la qualité s'impose
http://www.paysan-breton.fr/article/8221/viande-bovine--face-aux-concurrents-d%27amerique-du-sud.html


LUNDI 31 MARS 2008

FNICGV - FLASH, Le bulletin hebdomadaire du 28/03/08 Au sommaire notamment:
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=3496

Garantir la tendreté de la viande bovine auprès des consommateurs : le système australien peut-il débarquer en France ?



MARDI 08 AVRIL 2008

SNIV 08/04/08 L'actualité du SNIV n°2008-15 Viande bovine : tension sur le
marché mondial et européen / Communication : signature unique « qui mange du
bœuf, mange du bœuf »
http://www.sniv.fr/sniv/homepage.nsf/caba072bdc935faec125707e003326cb/af6b460c18c26ecbc12574250044495f?OpenDocument


Constant Depièreux Jeudi 31. Juillet 2008 13:55
Toujours occupé à rechercher mes définitions, j'ai trouvé ceci ce matin :
* Viandes : http://www.unece.org/trade/agr/standard/meat/meat_e.htm


JEUDI 15 MAI 2008

INRA 14/05/08 Capteur de mesure de l'état de maturation de la viande
http://www.inra.fr/les_partenariats/collaborations_et_partenaires/entreprises/en_direct_des_labos/capteur_de_mesure_de_l_etat_de_maturation_de_la_viande


MARDI 27 MAI 2008

PROCESS 26/05/08 La consommation mondiale de viande progresse plus vite que
prévue
http://www.editionsduboisbaudry.fr/bi/article.php?action=pa&id=38521


VENDREDI 04 JUILLET 2008

PAYSAN BRETON 04/07/08 Canard / Une production en hausse de 5 % - La dynamique de l'autre viande rouge
http://www.paysan-breton.fr/article/8578/canard--une-production-en-hausse-de-5-%25.html


MERCREDI 09 JUILLET 2008

SUISSE

AGRI HEBDO SEMAINE 27/2008 nouvelle brochure - Le marché de la viande en
2007
Une nouvelle mouture de la brochure Le marché du bétail de boucherie et de
la viande 2007 peut être obtenue auprès de l'USP.
http://193.247.189.70/agrihebdo/journal/vtArtikel.cfm?id=23038&b1=brochure&o1=&b2=&o2=&b3=&re=&ra=AM&da=&startrow=1


LUNDI 28 JUILLET 2008

AGRIRESEAU 25/07/08 La qualité des carcasses et des viandes de gros bovins
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinsboucherie/documents/qualite_carcasse_viande_bovin_2008%20%20p.pdf


MERCREDI 20 AOUT 2008

EUROPE - Total food chain
http://ec.europa.eu/research/biosociety/food_quality/theme1_en.html
9. PROSAFEBEEF - Improving the safety of beef and beef products for the
consumer in production and processing

  1. Q-PORKCHAINS - Improving the quality of pork and pork products for the
    consumer: development of an innovative, integrated, and sustainable food
    production chain of high quality pork products matching consumer demand



MARDI 26 AOUT 2008

ALLIANCES n° 37, juin 2008. À la une : "Sécurité sanitaire des aliments: la
filière bovine en fait-elle trop ou trop peu?…"
http://www.alliances.coop/info/viewtopic.php?t=1414
Au sommaire:
Des règles toujours plus exigeantes, pour un produit toujours plus différent
[Philippe Dumas, président de Sicarev]


DÉBAT. La sécurité sanitaire des aliments
– Entre risques sanitaires et dérives médiatiques, la filière bovine en
fait-elle trop ou trop peu?…



FRANCE

ALLIANCES MAI 2007 RHD. La moitié de la viande bovine consommée hors
domicile est importée
http://www.alliances.coop/doc/all/arch/alliances34.pdf

ROYAUME UNI

FARMERS GUARDIAN 26/08/08 Chinese market boosts English pig meat industry
http://www.farmersguardian.com/story.asp?sectioncode=1&storycode=20860




MARDI 09 SEPTEMBRE 2008

CAMBODGE

CAMBODGE SOIR 08/09/08 Entre 450 et 500 chiens seraient consommés chaque jour à Phnom Penh

http://www.cambodgesoir.info/index.php?option=com_content&view=article&id=34638:entre-450-et-500-chiens-seraient-consommes-chaque-jour-a-phnom-penh&catid=19:societe&Itemid=38


Vendredi 12.Septembre 2008 14:26


La FSA met en ligne un certain nombre d'études, dont voici celles traitant
d'HACCP et page d'accès au classement thématique de ces études

FSA SEPT 2004 FACTORS AFFECTING THE PRESENCE AND SPREAD OF HUMAN BACTERIAL PATHOGENS IN SHEEP
http://www.food.gov.uk/science/research/researchinfo/foodborneillness/meathygieneresearch/m01prog/m01list/m01015/


MARDI 23 SEPTEMBRE 2008

REVUE DE MEDECINE VETERINAIRE JUILLET 2002 Facteurs et mécanismes
responsables de la maturation de la viande
http://revmedvet.com/affiche.php?id=2002&vol=7



VENDREDI 31 OCTOBRE 2008

CUISINE COLLECTIVE NOV 2008 Le forum de l'HACCP
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=162
Viande de lapin.



VENDREDI 30 JANVIER 2009

JO ASSEMBLEE NATIONALE 27/01/09 Au sommaire:
QE 34859 consommation - sécurité alimentaire - commercialisation. viande des
taureaux de corrida. interdiction
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-34859QE.htm



VENDREDI 06 FEVRIER 2009

MAP 04/02/09 Assemblée Générale de la FNB. Intervention de Michel Barnier.
Ministre de l'agriculture et de la pêche.
http://agriculture.gouv.fr/sections/presse/discours/assemblee-generale-fnb



Constant Depièreux Samedi 14. Février 2009 18:19

Suite à la mise à disposition sur le site d'INTERBEV du CAHIER DES CLAUSES PARTICULIÈRES (CCP*)

http://www.interbev.fr/francais/la_filiere_viande/rhd/cahier_des_clauses_particulieres/index.html

permettez-moi de partager mon questionnement sur quelques points particuliers (liste non exhaustive, l'analyse étant toujours en cours)

1. Au point 3.1 Réglementation

"Ils doivent être en tous points conformes à la réglementation en vigueur les concernant et prévue par les différents textes prévus à l'annexe 4 (Code de la consommation, règlement européen, directives européennes, loi française, code des usages, normes AFNOR)"

En tant qu'ancien président d'une association de parents d'élèves (Ecole Saint Vincent de Paul à Enghien mais il y prescription), je serai intéressé de connaître

- la légitimité de ce type d'association prévue par la loi pour accéder aux codes d'usages dont l'accès est - pour l'essentiel - réservé à la profession

- le budget nécessaire à ce type d'association pour prendre connaissance des documents à accès payant (normes AFNOR, codes de bonnes pratiques, ...)

- les moyens disponibles pour s'assurer que toutes les parties disposent au minimum de versions légales des dits documents

- les procédures de vérification de leur maîtrise par les intervenants, y compris les sociétés de certification

2. Au point 4.2

"Conformément à la réglementation et aux accords interprofessionels en vigueur àla date de livraison, les taxes et cotisations diverses, telles que :

... cotisation INTERBEV et autres selon espèces ..."



En quoi la cotisation à une organisation professionnelle doit-elle incorporée obligatoirement dans la structure des prix puisqu'elle doit être entièrement supportée par les éleveurs et perçue systèmatiquement par les exploitants d'abattoir

("Article 2

La cotisation est perçue auprès des personnes physiques ou morales propriétaires ou copropriétaires des animaux des espèces bovine et ovine abattus en France. Elle est assise sur le poids de viande fraîche net tel qu'il est défini à l'article 111 quater LA de l'annexe III du CGI, déduction faite du poids des viandes saisies à l'abattage.

Les exploitants d'abattoirs sont habilités à percevoir cette cotisation auprès des redevables et la reversent mensuellement à INTERBEV. "

http://www.interbev.fr/fileadmin/docs/18_fonds_elevage_151204.pdf

S'agirait-il dès lors d'une méthode indirecte de vérification quant à la nature indigène des produits contractuels et dès lors d'un certain protectionnisme des marchés?

8.3 Non-conformité

* Si la quantité ou la qualité de la marchandise livrée n'est pas conforme aux stipulations du marché ou de la commande, elle sera refusée et remplacée sur demande de la personne responsable de la commande ou son représentant. Ue déclaration d'anomalie sera systématiquement établie. la marchandise pourra être éventuellement acceptée moyennant une réfaction de prix.

Vu l'importance contractuelle du document proposé, je m'étonne d'y voir utilisé - sans définition ni référence aux textes susceptibles de les fournir - des concepts de

* déclaration d'anomalie

* réfaction de prix

pour lesquels je n'ai pas - à cette date - encore identifié de définitions dans les textes européens, qui notamment pour le dernier, les emploient pourtant fréquemment.

4. Dans l'édito, au paragraphe 2 :

"Elle représente un changement de modèle basé sur les vrais critères de la qualité de la viande, notamment la tendreté ..."

Si la tendreté est un critère important, pourquoi

- n'y en a t'il aucune définition?

- aucune méthode d'évaluation n'est elle référencée?

Le point 8.2 étant à ce titre particulièrement sybillin, l'annexe 1n'étant pas plus explicite.

Au plaisir de vous lire,

Amicalement

Constant Depièreux

Managing Director

Applied Quality Technologies Europe sprl

Rue des Déportés 123, B-4800 Verviers

Courriel : constant.depiereux@aqte-consulting.eu

Web: http://www.aqte-consulting.eu - http://www.qualitionnaire.eu

* Abréviation à recommander puisqu'elle n'introduit aucune forme d'ambiguïté avec d'autres en vigueur en IAA et permet dès lors de clarifier les contrats ;-)

ps:

comme la méthode HACCP est obligatoire pour les structures utilisatrices, peut-on accéder au % moyen du budget affecté par ces structures, à la part vérification de la conformité du cahier des charges et des résultats donc du lieu de centralisation des données ?

à moins que les seules vérifications faites soient les températures et l'étiquettage, ce qui signifierait, pour moi, que la méthode HACCP n'existe pas...



Bernard PICHETTO Samedi 14. Février 2009 22:36

Franchement, je ne sais pas pourquoi, mais la lecture de ceci :

"Le problème, c'est que ce chapitre, si important soit-il, est établi sur la base de dires d'experts, mais pas sur celle d'éléments objectifs."

issu de http://www.office-elevage.fr/vpc/244/119-DENOYELLE.PDF

me semble liée aux réflexions de Constant...

Sans vouloir préjuger du caractère pour le moins paradoxal de cette phrase, j'aimerai bien avoir l'avis des dits experts présents sur la Liste.



gregoire_car Jeudi 23. Avril 2009 15:20

Je suis actuellement à la recherche d'un site où il y aurait la description des morceaux de viandes (bovins, ovins, caprins.

Je ne cherche pas seulement leurs localisation sur la bête, mais aussi leurs caractérisiques "fibreuses", bref, à quoi elles ressemble.

exemple, comment différencier un morceau de collier de boeuf d'un morceau de poitrine ou autre ?

Je vous remercie par avance de vos réponse.



dtommasino Jeudi 23. Avril 2009 18:03

bjr...quelques liens:

http://bovine.unl.edu/bovine3D/eng/nIntro.jsp

en anglais...

https://unp.un.org/Search.aspx?keyword=meat

doc télécharchable en pdf, avec photos et détails de découpe..par contre ça à l'air d'être payant, j'avais souvenir de les avoir télécharger gratuitement...



Bertrand CARLIER Jeudi 23. Avril 2009 19:08

de mémoire au niveau de l'office, il y a eu des choses, mais ce n'est pas dans la fonction des syndicats de faire des choses ?

"Un *syndicat* est une association qui regroupe des personnes physiques ou morales pour la défense ou la gestion d'intérêts communs"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndicat



f.boussaroque Jeudi 23. Avril 2009 22:09

Vous trouverez des infos sur le site suivants :

http://chelsea.free.fr/



Bernard PICHETTO Jeudi 23. Avril 2009 22:10

Il est vrai qu'un petit effort des acteurs français serait le bien venu, pour arriver au niveau de http://bovine.unl.edu/bovine3D/eng/nIntro.jsp , qui reste LA référence...

- "Manuel de coupes de viande", pas de photos non plus :

http://www.inspection.gc.ca/francais/fssa/labeti/mcmancv/mcmancvf.shtml

Bonus :



O. Cerf Vendredi 24. Avril 2009 11:33

Allez voir : http://www.civ-viande.org/documentation.html

et pour le bœuf :

http://www.succesboeuf.com/morceaux_accueil.php



Bertrand CARLIER Vendredi 24. Avril 2009 12:47

merci,



mais c'est du C.I.V, donc de la communication de bas niveau, de la vulgarisation, pas de l'information, parce que si, à partir de ce site, vous arrivez à reconnaitre les morceaux ( la question initiale), c'est que vous êtes très, très, fort.

Mais il faudrait, peut être, un jour, penser aux autres, donc aux consommateurs, comme aux professionnels qui veulent du concret validé et donc, enfin, se mettre au niveau des sites canadiens, par exemple.

Cela est impossible pour le C.I.V ?



amicalement

Bertrand

ps

heureux de vous revoir là.



jph.moreau Vendredi 24. Avril 2009 19:47

Je n'ai pas suivi toute la discussion sur la reconnaissance et la connaissance des morceaux...mais il me semble qu'il s'agit plutôt, si j'ose dire, de "morceaux entiers" ou de muscles identifiables. Si le consommateur a dans son assiette des fragments de morceaux, voire un morceau haché ou reconditionné, ce n'est que par des techniques histologiques ou et biochimiques qu'il pourra se faire une idée relative de l'identité du morceau et de sa provenance.



jph.moreau Vendredi 24. Avril 2009 20:39

Je m'aperçois que le "r" a raté! C'est incoyable! Ce n'est pas la évolution de l'inténet, mais seulement un gain de poussié dans le clavié!

**********

Bref il s'agit bien de morceaux et non de moceaux.. Moralité : Toujours se relire deux fois avant d'envoyer.

A propos d'évolution, j'ai un commentaire à faire sur les échanges au sujet de l'interview du Dr Lecerf. "Nous consommons énormément d'aliments que les (autres) animaux ne consomment pas, etc...". Il y a beaucoup de phrases incohérentes car incomplètes dans l'article...A commencer par "l'homme préhistorique ne consommait pas de lait". Même pas celui de sa mère ?

Il manque évidemment "de vache". Pour la louve, il a fallu attendre Romulus et Remus. Bien de jeunes mammifères peuvent être alimentés occasionnellement par une femelle d'une autre espèce.

Il faudrait demander au Dr Lecerf de faire une explication de texte sur les propos qui ont été retenus.

Ce serait l'occasion de dire qu'une intolérance acquise et non innée mais avec prédisposition génétique ou non, est une vraie maladie. etc..etc..

Et si l'homme, contrairement aux animaux, mange n'importe quoi, ce qui reste à démontrer, c'est peut-être ce qui lui a permis de proliférer globalement, malgré les aléas qui ont frappé par le passé les ancêtres ou les cousins de l'Homo sapiens sapiens.



Pascal Rudeaux Vendredi 24. Avril 2009 21:12

Et encore faut-il reussir a prouver que l'Homme descend de l'homo sapiens sapiens ou est en son cousin......

J'aime l'expression "les élements manquants" dans la Théorie de l'évolution

Pauvre Lucie......

Lorsque l'on souhaite démontrer quelque chose alors que la base même n'est pas fondée, solide, il n'est pas étonnant de trouver une suite d'inconsistances.



MERCREDI 03 JUIN 2009

SNIV 25/05/09 Délivrance des premiers labels de la prestation de service dans le domaine du travail à façon des viandes
http://www.sniv.fr/sniv/homepage.nsf/caba072bdc935faec125707e003326cb/25f33003a0d65b19c12575c1005d7437/$FILE/communiqu%C3%A9%20de%20presse%20Label%20sous-traitance%20250509.pdf






MARDI 15 SEPTEMBRE 2009

INRA 14/09/09 Marqueurs génétiques pour la coloration de la viande
http://www.inra.fr/les_partenariats/collaborations_et_partenaires/entreprises/en_direct_des_labos/marqueurs_genetiques_coloration_viande



VENDREDI 25 SEPTEMBRE 2009

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Privés de viande ?, 
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=2039


MARDI 10 NOVEMBRE 2009

FNICGV 06/11/09 LE FLASH N°2009.44. Au sommaire:
Tendreté de la viande bovine : les français sont réellement satisfaits
http://www.fnicgv.com/visu/document_visu.php?rub=6&prov=g&Id_doc=4849


VENDREDI 20 NOVEMBRE 2009

AGRAINFORMATION 19/11/09 Hygiène/Viande de porc - Une information optimisée
sur la chaîne alimentaire
http://www.agraalimentation.fr/une-information-optimisee-sur-la-chaine-alimentaire-art254914-1.html


LUNDI 14 DECEMBRE 2009

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Viande or not viande, est-ce bien la question ?,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=4325


SAMEDI 02 JANVIER 2010

IOWA STATE UNIVERSITY - MEAT PROCESSORS WORKING GROUP APRIL 2009 BEEF AND
PORK - Whole animal buying guide
http://www.extension.iastate.edu/Publications/PM2076.pdf



LUNDI 10 MAI 2010

PARLEMENT EUROPEEN 28/04/10 Les députés s'orientent vers un veto concernant la "viande agglomérée"
http://www.europarl.europa.eu/news/expert/infopress_page/067-73517-116-04-18-911-20100426IPR73477-26-04-2010-2010-false/default_fr.htm




JEUDI 24 JUIN 2010

STEAK EXPERT - JUIN 2010 - Claude Guillaumot , directeur hygiène et qualité de Soviba. « Notre but : aucun steak en rayon sans feu vert de l’analyse »
http://www.steakexpert.fr/Claude-Guillaumot-directeur.html



MERCREDI 11 AOUT 2010

BMC Public Health 2010, 10:342doi:10.1186/1471-2458-10-342 Consumer perceptions of beef healthiness: results from a qualitative study in four European countries

Department of Agricultural Economics, Ghent University, Coupure Links 653, B-9000 Ghent, Belgium

MAPP Centre for Research on Customer Relations in the Food Sector, Aarhus University, Haslegaardsvej 10, 8210 Aarhus, Denmark

Post Graduate Programme in Business Administration (PPGAd), Pontifical Catholic University of Rio Grande do Sul (PUCRS), Av. Ipiranga 6681, Building 50, 1102, 90619-900, Porto Alegre, RS, Brazil



MERCREDI 25 AOUT 2010


Current Agriculture, Food & Resource Issues (n° 9). pp. 1-8. - 2008 - The beef industry in France: Gearing up to demand ?




ENVT - 2008 - Thèses en ligne :

Acquisition des qualités organoleptiques de la viande bovine : adaptation à la demande du consommateur

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