ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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Les végétaux et leurs moyens de décontamination L'ionisation des aliments et autres méthodes de décontamination |
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Les épices, herbes et plantes aromatiques |
Date: Mon, 17 Aug 1998 18:51:48 +0000
En France nous disons souvent "tous les chemins mènent à Rome". Par contre, dans la recherche à propos des alcaloïdes, tous les chemins internet mènent au FDA/CFSAN Bad Bug Book Pyrrolizidine Alkaloids http://vm.cfsan.fda.gov/~mow/chap42.html
J'ai trouvé également The WHO Environmental Health Criteria Series
No. 80: Pyrrolizidine Alkaloids
http://www.who.int/dsa/cat97/zehc.htm#i
1988, 345 pages
ISBN 92 4 154280 2
Sw.fr. 54.-/US $48.60; in developing countries: Sw.fr. 37.80
Order no. 1160080
Alerts the medical and public health professions to the severe risks of morbidity and mortality posed by human consumption of plants, including cereals and herbal medicines, containing pyrrolizidine alkaloids. Citing well over 500 published studies, the book draws together the evidence documenting acute and often fatal organ damage arising from both accidental consumption via contaminated crops and the deliberate consumption, in developed and developing countries alike, of medicinal herbs containing these alkaloids. Risks to farm animals are also fully documented.
The opening sections stress the need to recognize the extent of human poisoning and to develop appropriate preventive measures. The most extensive sections consider effects on animals and man. Data from clinical studies and case reports are used to detail the clinical and pathological features of veno-occlusive disease in children and adults, the link between intoxication with pyrrolizidine alkaloids and the development of cirrhosis, and the relationship between dose level and toxic effects. The book concludes with tables listing plant sources of these alkaloids.
"... highly authoritative... thoroughly scientific but written in a very accessible and readable style..."
- Catering and Health
Plus généralement :
L'université de CORNELL propose une page index TOXIC AGENTS IN PLANTS
http://www.ansci.cornell.edu/plants/toxicagents/toxagent.html
Un lien intéressant francophone, mais qui ne traite pas à fond d'alcaloïdes : Le Monde des Végétaux - Didacticiel de Biologie Végétale http://www.lenet.fr/vegetal/
Cordialement
B.P
JCHG12@aol.com JCHG12@aol.com lundi 18 décembre 2000 18:03
Quels procédés
fiables, autres que le recours à des produits ionisés,
permettent de décontaminer
des plantes aromatiques ou des baies de genièvre entrant
dans la composition de charcuteries de pays, tout en n'altérant
pas leur caractère naturellement bio?
C'est une question
que me pose un artisan avec qui j'ai collaboré il y a quelque
temps pour la réalisation d'un mémoire sur la mise en
place de bonnes pratiques d'hygiène (DUS de diététique
et de génie alimentaire)
Merci de vos
réponses,
Amicalement
jean-claude
garrigou
JCHG12@aol.com
OR o.rondouin@asept.fr lundi 18 décembre 2000 18:48
L'ionisation est sûrement une voie à explorer
TR6 - Nicolas CHIARELLI lundi 18 décembre 2000 19:01
Il
existe des méthode chimiques permettant de décontaminer
les épices : il s'agit de fumigation à l'oxyde
d'éthylène ou au bromure de méthyle, procédés
chimiques qui se sont révélés malheureusement
cancérigène et qui sont aujourd'hui interdit en France
(bien que pratiqués de nombreuses années...).
Il
me semble donc que l'ionisation est un procédé qui
présente de nombreux avantages dans le cas
présent.
Cordialement.
_________________________________________
Nicolas
CHIARELLI - Consultant Hygiène/Qualité
TR6 -
Techniques de Restauration et SYStèmes
http://www.tr6.fr.fm
- tr6@fr.fm
DFromentier dfromentier@ctcpa.org mardi 19 décembre 2000 08:59
Je viens de voir passer une
demande de renseignements concernant la décontamination
d'herbes aromatiques et baies. J'ai malheureusement effacé ce
message.
Pour tout de même tenter de vous répondre,
il y a déjà un point essentiel qu'il faut déterminer
: voulez vous un produit "stérile" ou simplement
diminuer la charge bactérienne?
Si vous voulez diminuer
de manière significative la charge bactérienne sans
forcement rendre le produit stérile, plusieurs technologies
existent, avec cependant certains inconvénients. Parmi ces
technologies vous pourrez trouver les micro-ondes, les rayonnement
infrarouge, les tubes à passage de courant et récemment
la société Barriquant (je ne sais plus l'orthographe) a
présenté à IPA un système de
décontamination par vapeur qui semble très
prometteur.
Voilà, bonne journée à
tous.
Didier FROMENTIER
JCHG12@aol.com JCHG12@aol.com mardi 19 décembre 2000 07:30
Bonjour, merci de votre
réponse
Pour le moment les variétés locales
de plantes aromatiques et de baies de genièvre sont
effectivement écartées de la production de charcuteries
par crainte de contamination.
Existe-t-il dans le domaine de
l'ionisation des équipements adaptés à des
traitements de quantités relativement restreintes , faut-il
pour cela posséder des qualifications spéciales, ou
bien doit-on nécessairement s'adresser à un prestataire
de service?
Bien amicalement
jean-claude garrigou
Vivia Isabelle isabelle.vivia@skw.com mardi 19 décembre 2000 12:19
Attention, en vertu de la
directive européenne 1999/2/CE, tous les produits alimentaires
ayant été ionisés ou contenant un ingrédient
qui l'a été (sans % minimum) devra être étiqueté
"traité par ionisation" ou "traité par
rayonnement ionisant" à partir du 20 mars 2001. Cet
intitulé n'est pas à proprement parlé très
"vendeur"...
Il existe des techniques
alternatives à l'ionisation : les micro ondes, et surtout la
débactérisation à la vapeur sèche. Des
sociétés comme Colin et Ducros maîtrisent cette
technologie en France pour les herbes et épices. A ma
connaissance, les produits débactérisés vapeur
peuvent garder le label "bio".
Marc
PHILIPPE
Responsable Assurance Qualité
SKW
Biosystems Grasse
ANONYME mardi 19 décembre 2000 14:28
Les equipement pour effectuer
l'ionisation de quantité restreintes n'existent pas. Par
contre, certains prestataires d'ionisation travaillent très
facilement sur des petits lots de produits. C'est le cas notamment de
RADIENT Ouest dont je fais partie qui travail avec une source
electrique de rayonnements qui est un accelerateur d'electrons. Le
traitement ne necessite pas d'avoir des palettes completes de
produits, mais il peut permettre de ne traiter que quelques unités
de conditionnements.
En outre, pour essayer
de palier a l'effet "peu vendeur" indique par M. Philippe
de SKW Biosystem de la mention obligatoire, nous preconisons
l'utilisation lorsque c'est le cas de la mention "traité
par ionisation" complétée par un renvoi indiquant
"ionisation par Source Electrique", en rapport avec le type
d'installation utilisé. Cette inscription considérée
comme information complementaire peut etre ajoutée en bas
d'etiquette.
mardi 19 décembre 2000 18:43
Conseil National de Recherches
Canada - revue canadienne de microbiologie
````Response to
trisodium phosphate treatment of Salmonella Chester attached to
fresh-cut green pepper slices
: Nous avons développé
une modèle de laboratoire en utilisant des disques de poivrons
verts afin
(...)
http://www.nrc.ca/cgi-bin/cisti/journals/rp/rp2_abst_f?cjm_w00-116_47_ns_nf_cjm1-01
mardi 6 février 2001 07:59
INTELIHEALTH
02-02 Some Chinese Herb Remedies Called
Toxic
http://www.intelihealth.com/IH/ihtIH/WSIHW000/333/8009/310455.html
vendredi 2 mars 2001 08:39
BBC 01-03 Garlic tackles child
infections
http://news.bbc.co.uk/hi/english/health/newsid_1194000/1194985.stm
mardi 10 juillet 2001 20:23
UNISCI
10-07 Spices Were Originally Used To Kill Foodborne
Microbes
http://unisci.com/stories/20013/0710016.htm
mardi 27 novembre 2001 00:18
Questions
parlementaires QUESTION ÉCRITE E-1522/01 posée par
Luciano Caveri (ELDR) à la Commission (07 mai 2001) Objet:
Préparation à base d'herbes nocives utilisées
dans les
régimes
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM-Europarl?PROG=WQ&L=FR&PUBREF=-//EP//TEXT+WQ+E-2001-1522+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=3
Valerie Larra vlarra@ok-sa.com jeudi 24 janvier 2002 11:42
Je mène une étude
HACCP sur une préparation dans laquelle nous utilisons des
épices NON ionisées. Quels sont les dangers associés
aux épices (microbio?, toxines, corps étrangers?)
Les
épices ont une DLUO je crois; quelqu'un peut il me dire de
quelle durée en moyenne; quels sont les dangers (moisissures)
en cas de dépassement de DLUO
Le produit ne subit pas
de traitement thermique.
ANONYME jeudi 24 janvier 2002 13:02
Essentiellement les spores de Clostridies.
bertrand carlier bertrand.carlier@wanadoo.fr jeudi 24 janvier 2002 13:40
La réponse me semble partielle car le propre des "épices " ( une définition s.v.p, associée à celle de condiments) est d'être des produits complexes qui peuvent donc évoluer.
Jean-Yves François jy.francois@quality-partner.be jeudi 24 janvier 2002 13:40
Sans oublier Bacillus cereus (surtout) et Salmonella.
From: "H de Rocquigny"
<radient@cofrar.com>
Friday, January 25, 2002 10:22 AM
Je
reponds donc au message de Valerie Larra concernant les épices
NON Ionisés
Quels sont les dangers associés aux
épices (microbio?, toxines, corps étrangers?)
Ils
sont donc pour le moins importants puisqu'il s'agit suivant :Hugues
PLAIDEUX et Jean-Yves François
"Essentiellement
les spores de Clostridies. Sans oublier Bacillus cereus (surtout) et
Salmonella."
Valérie ajoute qu'ils ne sont pas
traités thermiquement, et cela se comprends car une épice
chauffée ( traitement à environ 200°C nouvellement
dénomée "Thermisée") doit perdre une
trés grande partie de sa valeur gustative. Un utilisteur
industriel me dit être obliger de multiplier par 2 ou plus la
quantité d'épices "thermisés" pour
retrouver le goût.
Pourquoi NON ionisé:
L'ionisation
peut être assurée par une source électrique qui
assure l'élimination des micro-organismes sans pour autant
dégrader ou transformer un produit comme par exemple la perte
de saveur par effet thermique.
Ce traitement à froid, met
en oeuvre une source électrique ( type fil de tungstène),
un équipement électrique qui accélère des
électrons au but de transferer leur énergie dans les
produits défilant à grande vitesse (metre/minute) sous
le faisceau d'électrons ainsi créé. Il n'y
pratiquement pas d'augmentation de température et les
microorganisme sont instantanément détruits.
Cette
technologie existe depuis plus de 30 ans, est parfaitement saine et
même encouragée par l'OMS.
Peu connu dans l'agro
alimentaire, cette technologie est de plus en plus utilisée
pour la stérilisation des produits médicaux et
paramédicaux: elle est en effet mesurable, precise et
respectueuse de l'environnement.
Elle est hélas encore
classée administrativement comme "ionisation" et
donc contrainte aux mêmes règlements que ceux régissant
l'ionisation par source radio active type Cobalt, à savoir :
obligation d'apposition sur les produits de la mention" produits
ionisé" ou "traité par ionisation"..
Nous
nous engageons dans l'explication publique et claire de notre
technologie afin de la particulariser, la DCCRF nous autorise, sous
la réserve de notre engagement de n'utiliser que les sources
électrique, à
informer nos clients de la possibilité
d'ajouter la mention "* Ionisation par Source Electrique"
Nous
pensons que la technologie "ionisation par source électrique"
est une solution sure contre les risques agro alimentaires :
salmonelle, listeria, spores etc. Electrique elle est respectueuse de
l'environnement, rapide elle
n'entraine aucun échauffement,
et beaucoup de producteur nous demande de la promouvoir et de
l'expliciter car elle permet d'apporter une solution biologique à
leur problèmes.
Et vous en tant que responsable de
l'hygiène et de la sécurité qu'en pensez vous?
je serais très heureux de pouvoir entretenir le dialogue
ouvert et transparent à ce sujet car je pense que cette
énergie, sans être la panacée, est l'une des
solutions à la sécurité alimentaire.
Hugues
de Rocquigny
Société COFRAR
www.cofrar.com
Valerie Larra vlarra@ok-sa.com jeudi 13 juin 2002 18:49
je suis à la recherche des différents procesus (et grand principes) du séchage des épices pour assurer leur conservation surtout lorsqu'elles ne sont pas ionisées
bertrand carlier bertrand.carlier@wanadoo.fr jeudi 13 juin 2002 19:39
vous avez dit épices:
-un concept flou pour un objet incertain.
le mot épice est à lui seul un programme car il
recouvre une réalité extrémement complexe où
l'imaginaire a tenu et tient toujours un rôle important.
Aujourd'hui par convention et peut être aussi par manque
d'imagination, le mot désigne des substances aromatiques,
généralement exotiques, servant à relever les
mets. C'est à la fois peu et beaucoup dire. que signifient en
effet "substance", "aromatique ", "exotique"
et "relever les mets", pris séparément puis
regroupés.
on s'aperçoit bien
vite qand on les confronte , de l'impuissance des distionnaires à
en donner une définition cohérente. De même ,
poser la question à un échantillon de personnes ne
résoudra rien ; on vous parlera
indifféremment
d'herbes, d'aromates, voire de condiments. le caractère
exotique bénéficiant d'une presuqe unanimité, on
vous citera Marco polo , le bazar d'istambul ou la route des "indes"
. la dimesion culinaire emportant l'adhésion quasi générale,
on donnera aux épices le même rôle qu'au sel ou
même à l'ail ! Sans oublier enfin l'affirmation -idée
reçue parmis tant d'autres-qu'elles servaient autrefois à
couvrir le fumet des viandes trop avancées.
Voyons donc du coté des botanistes. l'épice est-elle un
végétal? Oui répondront-ils, citant la canelle
(écorce), la muscade ( noix) le gingembre (racine ) le poivre
et la vanille( fruit) le girofle ( fleur) ou le safran (stigmate) ...
Mais l'ambre et le musc, demanderez-vous? embarras de vos
interlocuteurs car nous voilà dans le règne
animal!
Or en citant l'ambre et le musc, on
parle bien d'épices ou plutôt ...on en parlait: on
les retrouve à Rome au IIème siècle , sous la
rubrique " épices " d'une liste de denrées
commerciales, avaec la myrrhe, l'ivoire, les
perles, les pierres
précieuses et même les eunuques!
puis je
connaître la définition retenue du mot épice.
?
amicalement
bertrand
CARLIER
source :
saveurs de paradis,
les routes des epices
27mars-14 juin 1992
galerie CGER
Valerie Larra vlarra@ok-sa.com vendredi 14 juin 2002 10:56
par épice, j'entends, herbes de provence, baies rouge, clous de girofle....
bertrand carlier bertrand.carlier@wanadoo.fr vendredi 14 juin 2002 12:41
ok, donc vous considérez
que seule la part végétale, par convention doit être
considérée comme une épice, soit mais il reste
encore quelques questions.
la pharmacie
du paradis
le concept
Avant d'entrer dans l'alimentation, ce que nous appelons aujourd'hui
"épice " a été un remède. On a
employé les épices dans la pharmacopée depuis
les premières recettes de Mésopotamie jusqu'au
remplacement graduel des préparations magistrales galéniques
par les spécialités pharmaceutiques nées de la
synthèse chimique et de la recherche biologique. Aujourd'hui
encore beaucoup de spécialités utilisent des principes
actifs des plantes tandis que les herboristes en perpétuent
l'usage traditionnel.
Si chacun sait que le
français "épice " dérive du latin
species, l'évolution sémantique du mot latin n'est pas
évidente, puisqu'il désigne d'abord l'"espèce"
. En fait le concept s'est progressivement spécialisé
dans la terminologie grecque d'abord, laitine ensuite, du commerce et
de la pharmacie.
..
c"est un extrait du
livre déjà cité, qui indique que même à
l'époque ancienne, ( exemple Hippocrate) on se
préoccupait de la diététique, et que la
diététique cela pouvait être un repas.
Personnellement je trouve cela plus sympathique que bien des
préparations diététiques actuelles.
H de Rocquigny hdr@cofrar.com vendredi 14 juin 2002 19:23
Vous avez dit "épices
non ionisés", et il est vrai qu'à ce jour, les
épices "en tout genre" ne sont plus ionisés
pour raison d'étiquettage.
Alors que, et tous les avis
convergent, l'ionisation est la technologie la plus approriée
pour assurer l'élimination des moississures qui existent de
facto dans tous épices tout en gardant la valeur olfactive qui
reste l'élément essentiel d'une épice avec leur
coté pharmaceutique.
La variante trouvée par les
industriels est le "traitement à la vapeur sèche"
que vous dénommez " séchage" n'y a t il pas
d'ailleurs confusion entre le mot séchage et la vapeur séche
synonyme de montée sous pression à une température
supérieure à 100°C on parle même de
300°C.
Un étiquettage clair de ce procédé
ferait mentir tous les livres de cuisine qui insistent sur la
precaution de ne placer les épices qu'en fin de cuisson afin
d'éviter leur mise en température qui réduit la
valeur olfactive et gustative de l'épice!
Il m'a été
même precisé qu'il fallait plus que doubler les
quantités d'"épices séchés"
pour obtenir les saveurs d'hier!
Et ne parlons pas d'estragon,
thin et guarigue, safran, baies sauvages et herbes de provence à
100 ou 300°C adieu le parfum; adieu l'acent!
Pour
faire court, Radient Ouest et Radient Nord mettent en oeuvre
"l'ionisation par Source Electrique" tant pour l'agro
alimentaire que pour la stérilisation médicale ou
paramédicale..
Cette technologie propre transfere l'énergie
d'électrons en profondeur dans la matière sans
augmentation de températue ( environ +1°C) au but de
détruire les moississures et germes pathogènes et sans
création de déchets, comme les UV pour les traitements
de surface.
La mise en oeuvre de cette technologie n'a aucun
rapport avec l'utilisation de sources radioactives pour
ioniser.
L'idée serait donc maintenant de lancer
pour un début et à titre expérimental et
comparatif envers les consommateurs une marque d'épices
clairement dénomée
"épices au naturel"
Ionisés par Source Electrique et non chauffés.
Est
-il un organsime, société ou personne interessée
par ce challenge avec nous. Il donnera au consommateur le droit de
choisir sur la base d'explications claires qu'il est en droit
d'obtenir, notre devoir étant de les lui donner.
Je
suis donc clairement favorable à l'étiquettage.
Restant
à la disposition de toute personne interesée,
H
de Rocquigny
COFRAR
email : radient@cofrar.com
site
:www.cofrar.com
H de Rocquigny hdr@cofrar.com vendredi 14 juin 2002 23:22
Je vous remercie de votre réponse
et l'apprecie car elle démontre que l"ionisation par
Source Electrique" peut être discutée
ouvertement.
Comme vous le soulevez, Il est certain que
l'ionisation ne doit pas être un pis aller mais bien au
contraire devenir un signe de qualité.
Pour cela, bien
entendu, il faut prouver que cette technologie
- ne sert pas à
"relever un produit", aussi: nous mettons au point un moyen
technique permettant, aprés traitement, de compter le nombre
de germes ou moisissures existantes et mortes et donc preexistantes
avant traitement prouvant ainsi que l'ionisation n'a eu que le but
d'assainir comme necessaire un produit épices ou autre.
-
est controlée : nous tenons, comme on nous l'impose et avec
raison, un registre vérifié périodiquement
par la DCCRF, des produits agro alimentaires traités par
nos soins.
- être détecytée : Il existe
des methodes permettant de vérifier, si nécessaire,
l'utilisation de l'ionisation de produits. Ces méthodes
peuvent en effet être utilisées dans des "pays
exotiques" qui n'ont pas le même soucil d'étiquettage
comme en France ou en Europe.
Pour parfaire le développement
de cette technologie qui est, je crois, la plus règlementée
et controlée en Europe, nous envisageons de créer une
"qualification" de service qui permettra d'assurer ou
rassurer l'ensemble de la chaine alimentaire du producteur au
consommateur de l'utilisation à bon escient de la technologe
"Ionisation par Source Electrique"
Enfin les unités
Radient, qui ne mettent en oeuvre que l'"Ionisation par Source
Electrique" certifient à leurs clients l'utilisation de
cette énergie qui s'étiquette:
"traité
par ionisation*"
* Ionisation par Source Electrique
Nous
mettons ainsi tout en oeuvre pour que cette technologie, toujours
développée sous le manteau, vienne au grand jour pour
apporter, sans que cela soit la panacée,
de grands services
au bénéfice du consommateur ( destruction de
salmonelle, E coli, moississsures helas pas encore le prion!)
Mais
nous ne sommes pas indépendants.
C'est la raison de mes
érits, nous recherchons des avis tiers, independants et
acceptants ce role d'arbitre qui sont indispensables aux industriels
que nous sommes et surtout aux consommateurs que nous sommes
tous.
Monsieur Bertrand Carlier: êtes vous de ceux là
? et y en a t ils d'autres?
H.P. samedi 15 juin 2002 01:14
Je trouve personnellement cette méthode très intéressante et fort élégante.
dimanche 16 juin 2002 08:51
Un message de Jean-Pierre Henri
MOREAU :
Bonjour
En consultant mes vieux
bouquins...
...voici le résultat :
Je n'ai pas
trouvé de restriction "produits d'origine végétale",
bien que les exemples leur soient réservés.
**********
L'agronome
- édition de l'an VII (1799)
(tome 1, page 169)
épices
= On appelle ainsi toute sorte de fruit d'arbre ou de plante
aromatique, et qui a des qualités chaudes et piquantes, comme
le poivre, la muscade, la cannelle, le clou de girofle, le gingembre;
on appelle aussi de
ce nom tout ce qui est pour l'assaisonnement
des sausses et ragoûts.
Donc "fruit d'arbre ou de
plante"...et par extension "tout ce qui est pour
l'assaisonnement"
**********
Le petit Littré de
1879
(page 289)
épice = Toute drogue aromatique ou
piquante dont on se sert pour l'assaisonnement (il n'y a donc plus la
réstriction (relative) au végétal)
et
aussi
épicerie = Toutes sortes d'épices //
Commerce des épices, sucre, café, etc. (d'où
probablement l'amalgame avec les produits étrangers, d'outre
mer...)
Je me réfère souvent à
l'Agronome ou Dictionnaire portatif du cultivateur, dont l'auteur est
Pons Auguste ALLETZ
Je possède l'édition de
1799, corrigée et augmentée (chez les Libraires
Associés, Paris)
La première édition
remonterait aux années 1760.
C'est un mélange
équilibré entre "remèdes de bonne fame -
c'est à dire de bonne réputation - à base de
bave de crapaud, cloportes écrasés et autres, pour la
médecine, et de conseils pratiques et peu contestables pour
l'art
vétérinaire.
Ce serait intéressant
de disposer de tels ouvrages par Internet, qui se limite dans le
temps à 10 ou 15 années maximum.
Ma citation
"épices" de l'Agronome est complète.
Par
contre, je n'ai pas donné in extenso la rubrique "épice"
du petit Littré
La voici
épice, sf.
= Toute drogue aromatique ou piquante dont on se sert pour
l'assaisonnement // Pain d'épice, pain qui se fait avec de la
farine de seigle, du miel et des épices // De pain d'épice,
de couleur de pain d'épice. // Sf. pl. Ce qui était du
aux juges pour le jugement d'un procès par écrit.
On
trouve dans le petit Hachette encyclopédique illustré
(1997) page 646 épice n. f. = I - Substance aromatique ou
piquante d'origine végétale, utilisée pour
assaisonner les mets. La cannelle, le clou de girofle, sont des
épices.. Pain d'épices : gâteau sucré au
miel et parfumé de diverses épices. . II Plur. -
1 Confitures, dragées orientales. 2 Cadeaux en nature (épices,
à l'origine) que les plaideurs offraient aux juges pour se
concilier leur bienveillance sous l'Ancien Régime.
Moralité
En
un siècle, on est revenu à la définition
primitive en la radicalisant ("origine végétale")
Sur
le sens figuré on est passé de "ce qui était
du" à "cadeaux pour se concilier la bienveillance",
sorte de bakchich...
Verba volent !
Il faudrait se référer
uniquement à l'Académie !
Myriam ROUVES m.rouves.creysse@wanadoo.fr lundi 17 juin 2002 09:13
A ma connaissance, les différents
procédés utilisés pour le séchage et la
décontamination des produits secs dont les épices sont
les suivants :
- décontamination par
vapeur sèche additionnée de CO2 ou vapeur sèche
seule (renseignements possibles auprès de l'INRA de Montfavet
et le CTCPA d'Avignon qui ont travaillé sur le sujet)
- micro-ondes
- infra-rouge, plutôt pour
un traitement de surface
- Tube à
Passage de courant vibré : utilisé par l'usine de
transformation DUCROS à Carpentras. Renseignement auprès
du fabricant REVTECH 04 75 60 16 26
-
Spirajoule : traitement thermique en continu par vis à passage
de courant (acier inoxydable parcouru par un courant basse tension
générant une intensité et un échauffement
de la vis par effet Joule). le produit circule par entraînement
mécanique de la vis en rotation et est chauffé par
conduction / convection par la vis chaude . Renseignement auprès
du fabricant : Olivier LEPEZ - ETIA - 03 44 86 44 20
- DIC (détente instantannée contrôlée sous
vide) qui consiste à chauffer le produit par injection de
vapeur après une brève mise sous vide suivi d'une
détente brusque assurant une vaporisation rapide de l'eau
condensée
sur le produit. Renseignement auprès de
l'unité LMTAI de La Rochelle : M.ALLAF 05 46 45 87 66
- les hautes pressions hydrostatiques Renseignements auprès de
l'ERAP,M. El Moueffak : 05 53 35 42 64
- la
lumière pulsée, peu utilisée je pense pour les
épices.
Renseignements CTCPA Auch.
Je possède pas
mal de documentation sur le sujet. Vous pouvez me contacter
au 05
65 32 22 22 si cela vous intéresse.
En espérant
avoir répondu en partie à votre
demande...
Cordialement.
Emmanuel TREUIL etreuil@cana.fr mercredi 8 janvier 2003 16:03
Il y a t-il une réglementation concernant le contact d'herbes aromatiques (type romarin, thym...) avec de la viande crue (interdiction, conditions particulières, etc) ?
Lionel Grosjean lionel.grosjean@tria.fr jeudi 9 janvier 2003 10:06
Des précisions sur ces catégories ont été données dans la note de service DGAL/SDHA/N 8056 du 24 mars 1997
mardi 25 mars 2003 22:29
SCIENCE DAILY
25/03/03 The Spice Of Life: Antibody Cocktail Targets Deadly
Foodborne
Germs
http://www.sciencedaily.com/releases/2003/03/030325072426.htm
lundi 7 avril 2003 22:40
Internet
Journal of Food Safety V.2, 6-8 - ANTIMICROBIAL ACTIVITY OF
BIFIDOBACTERIUM LONGUM (NCFB 2259) AS INFLUENCED BY
SPICES
http://www.foodhaccp.com/internetjournal/ijfsv2-2.pdf
Roselyne DE LA HOGUE lundi 16
juin 2003 11:15
Est-ce
que quelqu'un aurait des informations quant à l'origine d'une
décoloration d'une pâte de piment rouge (décoloration
en marron-orange).
Olivier RANDOIN mardi 17 juin 2003 08:54
Non, la décoloration peut-être due à une exposition à la lumière (ou à la chaleur).
jeudi 19 juin 2003 21:37
AFSSA 19/06/03 Complément
à l'avis du 9 mai 2003 - Approche d'une évaluation des
risques liés à la présence de soudan I dans du
piment de cayenne :
Cliquez
sur le lien ci-dessous pour afficher le document :
http://www.afssa.fr/ftp/afssa/actu/Complement_a_lavis_du_9_mai_2003.pdf
DG SANCO 19/06/03 Emergency
measures approved to stop import of carcinogenic hot
chilli,
http://europa.eu.int/comm/dgs/health_consumer/library/press/press292_en.pdf
mardi 24 juin 2003 21:20
MINISTERE DE LA SANTE - Piment et colorant
http://www.sante.gouv.fr/htm/actu/secu-sanit_03/sommaire.htm
mardi 8 juillet 2003 22:02
FAO 08/07/03 Quand le poivre nourrit son homme
Les
planteurs de poivre de l'Etat indien du Kerala misent sur les
technologies modernes et les normes du Codex Alimentarius pour gagner
des parts de
marché
http://www.fao.org/french/newsroom/news/2003/20224-fr.html
mercredi 17 décembre 2003 09:16
The effect in vitro of ground
black pepper on contamination with Salmonella
Rubislaw
http://regionais.ial.sp.gov.br/publicacao/revista/2002/n2/929.pdf
jeudi 25 décembre 2003 00:24
BBC 24/12/03 Garlic 'beats hospital
superbug'
http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3344325.stm
vendredi 9 janvier 2004 09:27
INTERNET
JOURNAL OF FOOD SAFETY (articles
complets)
http://www.foodhaccp.com/journal1.html
Au
sommaire :
Vol. 2, 6-8
Antimicrobial Activity of
Bifidobacteria as Influenced by
Spices
http://www.foodhaccp.com/internetjournal/ijfsv2-2.pdf
vendredi 23 janvier 2004 09:36
DG SANCO 22/01/04 New measures to
stop imports of chilli and chilli products with carcinogenic red
dye
http://europa.eu.int/comm/dgs/health_consumer/library/press/press326_en.pdf
samedi 24 janvier 2004 10:43
FOOD NAVIGATOR 26/01/04 Basil and
thyme oils combat foodborne
bacteria
http://www.foodnavigator.com/news/news-NG.asp?id=49337
Valérie vendredi 16 avril 2004 11:56
Je suis toute nouvelle ici et je tiens déjà
à remercier tous ceux qui permettent de faire vivre ce forum
de discussion et d'aider les personnes qui ont besoin
d'informations...
Pour ma part, je travaille au sein du
service Qualité d'un laboratoire d'analyses
agro-alimentaires.
Je recherche actuellement des informations
pour connaitre les types de tests à effectuer sur les produits
suivants:
- vinaigre
- moutarde
- sauce rouille
- purée
de piments
- confit d'oignons
La moutarde, sauce rouille et
purée de piments sont mis en pot et encapsulés avec
mise sous vide à la vapeur.
Le confit d'oignons lui est
stérilisé par autoclavage.
La réglementation
n'est pas toujours trés facile à appréhender et
ce client nous demande un devis en fonction des tests à
effectuer sur ces produits.
Actuellement, nous nous fixons à
la stabilité pour le confits d'oignons puisqu'il s'agit d'une
conserve.
Mais doit-on la pratiquer également sur les
autres produits (assimilées à des
conserves???).
D'autre part, doit -on s'arréter à la
stabilité?
Le fournisseur en moutarde de base de ce client
lui fournit une fiche technique avec des critères
microbiologiques analysés et des normes fixées.
Mais
existe-til d'autres obligations réglementaires en terme de
critères microbiologiques ou bien se sont-ils fixées
des critères en interne?
Qu'en est-il en ce qui
concerne le vinaigre? Des obligations?
Pour finir, la norme V
08-401 sur le contrôle des produits appertisées
mentionne un ouvrage AFNOR-CNERNA nommé "expertise des
conserves appertisées – aspects techniques et
microbiologiques" où figure un classement des produits
par catégories en fonction de leur pH qui
m'interresse.
Quelqu'un aurait-il ça en stock?
Georges Op de Beeck vendredi 16 avril 2004 14:20
Les produits énumérés, à
l'exclusion peut-être du confit d'oignon, ont un pH proche de 3
qui les rend bactériologiquement stables.
Il n'est donc pas
opportun de réaliser des analyses microbiologiques sur ces
produits.
Eric Fresneau
Je suis en train de faire un tour d'horizon sur les
bases legales applicables aux fabricants d'epices (bacterio,
chimie, test de duree de vie, etiquetage, allergene, OGM
...).
Quelqu'un pourrait-il m'aider ?
La moindre de piste est
la bienvenue.
Lppam lundi 7 juin 2004 15:34
Avez vous essayé http://www.phytoreviews.com ?
Eric RUELLET jeudi 1 juillet 2004 15:27
je suis à la recherche de normes microbio pour les épices (poivre, coriandre,cumin, girofles etc...)
Vinciane Barbet jeudi 1 juillet 2004 15:40
Concernant les normes microbio des épices , les renseignements peuvent se trouver directement à la DDASS de votre département ou en consultant les référentiels Lamy de hove commandables sur internet.
HOSSENLOPP Timothé samedi 11 septembre 2004 14:38
Je recherche le moyen de concerver dans les
meilleurs conditions et le plus longtemps possible des herbes
arômatiques telles que l'aneth, le basilic, la
menthe...
Avez-vous des techniques à me conseiller ?
Louis Le Borgne samedi 11 septembre 2004 23:45
une solution, laver, désinfecter (solution
d'eau de javel???), rincer à l'eau glaçée,
sècher surgeler
une seconde: laver, désinfecter,
sècher, et conserver dans un bain d'huile (de préférence
sans arôme).
une troisième, laver, désinfecter,
sècher, broyer et "émulsionner" avec un corps
gras.....
A vous d'évaluer la durée de vie....
Timothé HOSSENLOPP mardi 14 septembre 2004 13:19
La solution eau de Javel avec les points d'interrogation signifie qu'il faut faire l'expérience ou bien qu'il y a danger pour les herbes ?
Louis Le Borgne mardi 14 septembre 2004 17:11
Les points d'interrogation, signifiaient que je n'avais pas le dosage précis;
alaoui lalla chrif Thu, 6
Jan 2005 16:25:43 +0100 (CET)
Eric RUELLET
<eruellet@royalbourbon.com> wrote:
Je reviens sur une
demande d'info formulée à pluisieurs reprises en 2004
sur le forum
je n'ai malheureusement eu aucune réponse
...
Je cherche des normes et référentiels
(France & CEE) sur la qualité microbio des épices
merci
d'avance pour votre collaboration
je suis également à
la recherche de ces normes.
Si vous arrivez à les avoir
pouvez-vous me les communiquer?
Martin Camus Thu, 6 Jan 2005 22:22:33 -0800
(PST)
Nous avons les normes suivantes au Luxembourg pour
les mélanges d'épices:
-clostridium
sulfito-réducteurs: m = 10 000 UFC/g ; M = 100 000 UFC/g
-S.
aureus: m = 100 UFC/g; M = 1000 UFC/g
-E. coli: M = 10 000
UFC/g
-Salmonella sp.: Abs/25g
-Moisissures: m = 100 000 UFC/g;
M = 1 000 000 UFC/g
Ces normes sont tirées de l'ouvrage
"Mikrobiologische Untersuschung vonLebensmitteln" de J.
Baumgart, un de nos ouvrages de référence avec celui de
J.
L. Jouve.
genatio Thu, 13 Jan 2005 09:20:56 -0000
Vous
cherchez les normes CE mais dans l'attente de les trouver il existe
au moins deux codes d'usage proposés par la FAO / Codex aux
états membres du Codex FAO/OMS.
L'un est sur les épices
en générale l'autre et sur l'utilisation de ces même
épices sur des produits a base de viande.
Enfin il y a
plusieur texte sur l'utilisation des épices sur certain
produits de charcuterie.
VENDREDI 13 MAI 2005
DG
SANCO 13/05/05 Chemical Safety of Food - Fraudulent Practices -
Contamination of spices by an industrial dye (Para
Red)
http://europa.eu.int/comm/food/food/chemicalsafety/fraudulent/index_en.htm
Gilles TIXIER Wed, 03 Aug 2005 10:41:23
+0200
Le 2/08/05 11:12, «
alaoui lalla chrif » <dralaouilc> a écrit :
>
Bonjour chers colistiers,
>
> pouvez-vous me renseigner
sur l'existence d'une réglementation microbiologique
>
française, européenne ou relevant du codex alimentarius
au sujer des épices et
> notamment le piment doux, le
cumin moulu, le curcuma moulu, le gingembre
> moulu.
>
>
merci d'avance
Je suis intervenu dans ce secteur d¹activité
et concernant la microbiologie des épices et herbes
aromatiques, la réglementation en France serait la suivante
:
- Arrêté du 28 mai 1997 relatif aux régles
d'hygiène applicables à certains aliments et
préparations alimentaires destinés à la
consommation humaine", s'applique aux denrées d'origine
végétales donc à nos poivres, herbes &
épices.
- Arrêté du 30 juillet 1999, modifiant
cet arrêté du 28 mai 1997 (J..O. numéro 183 du 10
août 1999)
Attention, l'Arrêté du 28 mai 1997 indiqué ci-dessus a été abrogé par l' Arrêté du 21 décembre 2009 relatif aux règles sanitaires applicables aux activités de commerce de détail, d'entreposage et de transport de produits d'origine animale et denrées alimentaires en contenant
Ils stipulent que :
- pour être
reconnus propres à la consommation, les denrées,
produits ou boissons mentionnés ne doivent pas contenir de
corps étrangers, de substances toxiques, de parasites, de
micro-organismes pathogènes ou de toxines à des niveaux
susceptibles d'entraîner un risque pour la santé (Arrêté
28 mai 1997, art. 7 bis, JO 1er juin, p. 8785 modifié par
Arr.. 30 juill. 1999, JO 10 août, p. 12064).
- Il appartient
au professionnel (en l'absence de critères microbiologiques
fixés par la réglementation) de déterminer les
critères microbiologiques pertinents suivant l'analyse des
risques prévue (HACCP).
--------
je me suis basé
sur les
³RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 19 décembre
2003 relative à un programme coordonné de contrôle
officiel des denrées alimentaires pour
2004²
http://europa.eu.int/eur-lex/pri/fr/oj/dat/2004/l_006/l_00620040110fr00290037.pdf
Je vous adresse par courrier séparé :
-
Microbiology of Dehydrated Vegetables, Herbs, and Spices par Melissa
L. Calicchia dont le lien semble avoir disparu
- d'autres
documents
Dr Lalla Chrif ALAOUI Wed, 3 Aug 2005
12:09:54 +0200 (CEST)
je vous
remercie encore une fois pour votre réponse.
Mon problème
est que nous avons effectué des analyses pour un producteur
marocain qui souhaiterai exporté vers la CE . Si ses épices
sont conformes aux normes canadiennes, vu l'absence de normes aussi
bien françaises que europeennes, pourra-t-il les exporter?
MARDI 08 NOVEMBRE 2005
DGCCRF
08/11/05 Sécurité sanitaire et toxicologique des épices
VENDREDI 12 MAI 2006
CUISINE
COLLECTIVE MAI 2006 Le forum du Professeur Rozier. Au
sommaire:
Herbes aromatiques.
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=97
bouhanch ibrahim Mardi 14. Novembre 2006
20:23
Dans le cadre de mon
projet de fin d'étude, j'aibesoin de quelques informations sur
les câpres(variètés et espèces, mode
cuturales, diagrammes defabrication, critères de qualité,
traçabilité ...etc.)
Merci de votre
collaboration
coordialement.
Ibrahim BOUHANCH
BP 75
Ait Melloul 80150 Agadir Maroc
Tel: (+212) 061 78 30
06
Complément de BP:
Cette question a été
lancée l'an dernier, mais sans réponse via la
liste
voir message
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/message/28620)
Références trouvées
aujourd'hui
:
http://www.toildepices.com/index.php?url=/fr/plantes/angio_dic/capparacee/capparis/spinosa.php
http://en.wikipedia.org/wiki/Caper
Définition
dans un dictionnaire encore jamais cité dans la
liste:
http://www.thefreedictionary.com/caper
Le dico des
épices
La
Câpre
http://stephkup.nexenservices.com/epices/affichage/affiche.php3?nom_espece=Capre
atelierduvieuxpuits Mardi 14. Novembre 2006
23:06
Merci du renvoi vers Toil'
d'épices.
Je viens d'ouvrir le sujet sur le forum
:
http://toildepices.com/forum/viewtopic.php?p=1120#1120
Nous allons regarder ça.
Un autre site
et ami, en anglais :
http://www.uni-graz.at/~katzer/engl/
http://search.freefind.com/find.html?id=9047905&pid=r&t=s&query=caper
http://www.uni-graz.at/~katzer/engl/Capp_spi.html
VENDREDI 12
JANVIER 2007
UNIVERSITE LAVAL
11/01/07 Viande longue durée - Linda Saucier tente de
prolonger la durée de conservation des viandes à l'aide
d'épices et de fines
herbes
http://www.aufil.ulaval.ca/articles/viande-longue-duree-248.html
je suis apprentie bac+5 en management de la qualité
dans une entreprise d'épices et aromates qui réalisent
des mélanges technologiques.
je suis a la de valeurs
microbiologiques car je suis un peu dans le flou.
J'ai sorti
toutes les directives et réglements qui me semblaient
intérressantes mais j'ai un peu de mal.
j'aimerais
savoir clairement qu'elles sont les analyses obligatoires etant
parfois premier importateur d'un pays extracommunautaire.
je
voudrais savoir de maniere générale qu'elles sont
celles obligatoires et aussi en particulier, comme la coumarine dans
la cannelle.
pour l'instant notre plan de contrôle est
très bancal, les analyses sont faites plus en fonction de
"tiens qu'est ce qu'on pourrait faire" et on m'a toujours
dit en arrivant ici "de toute façon il n'y a pas de
réglementation pour les épices".
je viens
de relire le reglement 2073/2005 qui donne des critères
microbiologiques pour certaines denrées mais pas les épices.
j'ai trouvé des valeurs dans les recommandations du 19
decembre 2003.
je me suis egalement appuyée sur l'ESA
european spice association qui donne certaines valeurs mais ces
valeurs n'ont rien de légales.
et je ne sais pas
quelles sont les analyses vraiment obligatoires a réaliser à
chaque reception.
je suis a la recherche de la petite lumière
qui pourrait m'aider.merci à vous
mariette
vous parlez de ceci :
http://www.esa-spices.org/
et donc
ASSOCIATION EUROPEENNE DES EPICES
Spécifications minimales de
qualité
http://www.esa-spices.org/content/pdfs/ESAQualityMinimaDocument191104_versionFR.pdf
Spécifications minimales de qualité,
c'est bien, mais visiblement ce n'est pas un B P H et de très
très très loin.
il y a donc beaucoup de travail
à faire et vous devriez demander à l'association citée
comment participer à cette démarche nécessaire.
Bonjour,
Là, franchement, je n'aurais pas
pu souhaité mieux que le message de Mme Gozard, merci !
Tout
est là, et tout le travail, restant à faire, que nous
avons lancé y est résumé.
Merci Bertrand
d'avoir rappelé le "Qualityminima" de l'ESA.
A
noter que, parmi les adhérents de l'ESA, figure l'association
française de même objectif, mais, parce qu'il y a
toujours un mais, impossible de trouver un mail !
J'aurais bien
voulu les contacter pourtant...
Et, encore une fois, cela me
fatigue de constater sans cesse que beaucoup, et trop, d'entreprises
françaises ne savent pas communiquer et surtout donne
l'impression qu'elle ne veulent pas communiquer, laissant, de facto,
en permanence planer le doute que le consommateur ou le chercheur est
suspect ou niais, voire qu'elles ont un truc à
cacher.
Excusez-moi, c'est rare que je pousse un coup de gueule,
mais on perd un temps fou.
Cordialement,
Bernard Pichetto --
Toil' d'épices
- Ressources - Veille - R&D -
-
Histoire & gastronomie
-
http://www.toildepices.com
http://forum.toildepices.com
Je ne suis pas sûr de comprendre votre
remarque, les coordonnées de l’association française
adhérente à l’ESA figurant sur le site de l’ESA
France
SYNDICAT NATIONAL DES TRANSFORMATEURS DE POIVRES, EPICES,
AROMATES ET
VANILLE
8 Rue de l’Isly
F - 75008 Paris
J'ai dû avoir un petit bug lorsque j'ai accédé
au site de l'ESA, n'apparaissaient que les adresses.
Mais ma
remarque reste entière autant pour le SNPE qui ne dispose pas
de site que pour d'autres structures importantes qui, à
l'inverse,
ont de jolis sites, mais pas de contact !
Il me
semble, mais peut-être n'ai-je pas bien compris les règles
du jeu, que quand on pèse un certain poids économique,
que l'on touche à l'essentiel humain (l'alimentation), que la
communication paraît, devrait, être une préoccupation
majeure face aux interrogations des consommateurs (que l'on dit
irraisonnés et impulsifs, peut-être justement par manque
de communication et trop de mauvais exemples !), le minimum est
d'être à l'écoute et de développer une
aptitude à la formation.
Certes, il n'y a aucun caractère
d'obligation, mais force est de constater que lorsque l'on effectue
une recherche, se heurter à des murs dans la sphère
française et souvent trouver l'info chez nos amis
anglo-saxons, finit par être pesant.
Ce débat est
récurrant sur la Liste et nous sommes un petit nombre de
chercheurs, ici, à commencer par l'anglais, à le
regretter et à le signaler, c'est ballot, tout de même
!!!
Puisque vous êtes établi en Suisse, estimez-vous
que la communication y est différente et l'information plus
facilement accessible ?
MARDI 27 FEVRIER 2007
INDE
26/02/07 MANUALS OF METHODS OF ANALYSIS OF FOOD COMPILED BY
THE
DIRECTORATE GENERAL OF HEALTH
SERVICES
http://www.mohfw.nic.in/manmethod.htm
Au sommaire:
11. ANALYSIS OF FOOD (SPICES AND
CONDIMENTS)
VENDREDI 30 MARS 2007
JO
ASSEMBLEE NATIONALE 27/03/07 Au sommaire:
QE N°
116416;agroalimentaire - condiments et épices - sel.
alimentarité.
réglementation
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-116416QE.htm
Bertrand CARLIER Dimanche 22. Avril 2007 8:31
- ANTIMICROBIAL EFFECTS OF SPICES AND
HERBS
http://www.hi-tm.com/Documents/Spices.html
Le document
> SPICES AND HERBS
> A
SURVEY OF THE NETHERLANDS
> AND OTHER MAJOR MARKETS IN
>
THE EUROPEAN UNION
> Compiled for CBI by:
> Searce
March
>
>
http://www.upbusiness.net/upbusiness/docs/mercados/2.pdf
Bernard Pichetto Jeudi 10. Mai 2007 20:02
"épices naturelles"
J'ai
trouvé cette étonnante indication dans la liste
d'ingrédients d'une "saucisse fraîche sicilienne",
émanant d'un fabricant toulousain.
Cela sous-entend, me
semble, que l'on peut trouver des "épices artificielles"
!
Est-ce prévu dans la législation, comme pour les
arômes ?
Je veux bien lire...
Cordialement,
Bernard
Pichetto -- Toil' d'épices
Constant Depièreux Jeudi 10. Mai 2007 20:11
Les épices artificielles sont reconnues par la
FDA :
TITLE 21--FOOD AND DRUGS
CHAPTER I--FOOD AND DRUG
ADMINISTRATION, DEPARTMENT OF HEALTH AND HUMAN
SERVICES
(CONTINUED)
PART 170--FOOD ADDITIVES--Table of
Contents
http://www.cfsan.fda.gov/~lrd/cf170-3.html
"(n)
The following general food categories are established to group
specific related foods together for the purpose of establishing
tolerances or limitations for the use of direct human food
ingredients. Individual food products will be included within these
categories according to the detailed classifications lists contained
in Exhibit 33B of the report of the National Academy of
Sciences/National Research Council report, ``A Comprehensive Survey
of Industry on the Use of Food Chemicals Generally Recognized as
Safe'' (September 1972), which is incorporated by reference. Copies
are available from the National Technical Information Service (NTIS),
5285 Port Royal Rd., Springfield,
VA 22161, or available for
inspection at the Office of the Federal Register, 800 North Capitol
Street, NW., suite 700, Washington, DC 20408:"
"(26)
Herbs, seeds, spices, seasonings, blends, extracts, and flavorings,
including all natural and artificial spices, blends, and flavors."
Mardi 5. Juin 2007 17:58
Food
Guidance
http://www.food.gov.uk/foodindustry/guidancenotes/foodguid/
Non-permitted colours in spices: Guidance
note
Guidance notes intended to help food companies that use
spices to minimise the risk of products adulterated with
non-permitted colours entering the food chain.
DIMANCHE 21 OCTOBRE 2007
SteamLab débuts in
South Africa
Cape Town-based spice company, Exim International,
has dug deep into its pockets to invest in state-of-the-art steam
pasteurisation/sterilisation technology. Brenda Neall
reports.
http://www.foodreview.co.za/index.php?option=3&id=9&com_task=2&x=429
Benjamin BOULANGER Mardi 30. Octobre 2007 5:29
Je suis à la recherche de littérature concernant les normes bactério applicables aux épices (piment, gingembre, combava,...).
Merci d'avance pour toutes infos.
AMAL BARMAKI Vendredi 2. Novembre 2007 15:17
bonjour voir l'adresse suivante :
page 15
Bernard Pichetto Vendredi 2. Novembre 2007 17:19
Une autre piste :
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/site/fr/oj/2006/l_364/l_36420061220fr00050024.pdf
Pour ceux qui ont un peu de temps ce week-end ! :
http://www.whitetimberwolfranch.com/images/Warning_of_herb_and_drug_interactions.pdf
Quelques cadres...
http://www.rivm.nl/bibliotheek/rapporten/601516009.pdf
DIMANCHE 02 MARS 2008
Sélection d'articles issus
du Brazilian Journal of Microbiology (année
2006-2007)
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issues&pid=1517-8382&lng=en&nrm=iso
Brazilian
Journal of Microbiology
Braz. J. Microbiol. vol.37 no.2 São
Paulo Apr./June
2006
http://www.scielo.br/scielo.php?script=sci_issuetoc&pid=1517-838220060002&lng=en&nrm=iso
Antimicrobial
activity of some of the south-Indian spices against serotypes of
Escherichia coli, Salmonella, Listeria monocytogenes and Aeromonas
hydrophila
Louise Blanchet Vendredi 18. Avril 2008 17:46
J'aimerais connaître la quantité de coumarine présente dans la cannelle et particulièrement celle provenant de Chine (qui en contiendrait davantage).Existe-t-il un seuil où la quantité présente peut porter préjudice à la santé,notamment dû à son effet anticoagulant?
Le Codex prescrit une quantité de coumarine dans les caramels spéciaux et les boissons alcooliques.
Quelle serait la meilleure méthodologie d'analyse pour évaluer la quantité de coumarine dans la cannelle?
Je vous remercie.
serge dalmas Vendredi 18. Avril 2008 20:58
La coumarine est un arôme (substance) présent à l’état naturel dans de nombreuses plantes. On la trouve dans les deux sortes de cannelle commercialisées, il existe deux grands groupes de cannelle qui se distinguent au niveau de la teneur en coumarine. La cannelle de Ceylan (cinnamomum zeylanicum) contient peu de coumarine, est donc d'une qualité supérieure et coûte plus chère. L'autre catégorie est la cannelle de Chine (cinnamomum cassia) la cannelle de Chine affichant toutefois une concentration de coumarine supérieure à la cannelle de Ceylan.La cannelle de Chine peut contenir approximativement 3g/kg de coumarine mais cette teneur reste très variable.
En 2004, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a réévalué la coumarine. Sur ce, des contrôles de la cannelle et des biscuits à la cannelle effectués en Allemagne ont révélé, au début de cette année, des quantités parfois élevées de coumarine. . EFSA a ré évalué la Coumarine et a trouvé que la coumarine n'était pas un agent genotoxique in vivo et par conséquent fixait la TDI à 1 mg/kg .
La coumarine ne peut provenir que de sources naturelles et est limitée à 2 mg/kg dans les denrées alimentaires et les boissons telles que consommées (10mg/kg dans les confiseries au caramel et les boissons alcooliques, 50 mg/kg enChewing Gum)
Le dosage peut se faire après extraction alcoolique par HPLC.faut il préciser ?
en espérant avoir répondu à votre attente
Bernard PICHETTO Vendredi 18. Avril 2008 21:14
Il ne me semble pas que la teneur en coumarine soit le principal déterminant du différentiel de coût en C. zeylanicum et C. cassia.
Nous sommes plus sur une longue histoire, coloniale et commerciale, ayant orienté des goûts et des marchés, que sur une appréciation des risques, postérieure aux habitudes de consommation.
Quelques pistes complémentaires :
"De la coumarine dans la cannelle : pas de risque pour la pâtisserie maison" :
http://www.bag.admin.ch/dokumentation/medieninformationen/01217/index.html?lang=fr&msg-id=8007
"Biological Screening of Plant Coumarins" :
https://oa.doria.fi/dspace/bitstream/10024/2520/1/biologic.pdf
"Furanocoumarins in vegetables: influence of farming system and other factors on levels of toxicants" (abstract) :
http://www3.interscience.wiley.com/cgi-bin/abstract/116322265/ABSTRACT?CRETRY=1&SRETRY=0
Un avis de la FDA (concerne surtout 'Tonka') :
Un des derniers avis passés sur le sujet :
"Cumarin: Frühstücksprodukte von Nestlé und Dr. Oetker kaum noch mit Cumarin belastet / Milchreis Apfel-Zimt von Dr. Oetker jedoch über gesetzlichem Höchstwert" :
http://www.food-monitor.de/test/sonstige/foodwatch-fruehstuecksprodukte-cumarin.html
---
L'aspect 'arômes & coumarine' :
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CONSLEG:1999D0217:20050521:FR:PDF
MERCREDI 01 OCTOBRE 2008
CUISINE COLLECTIVE OCT 2008 Le
forum de
l'HACCP
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=160
Au
sommaire:
Herbes aromatiques du jardin en cuisine collective.
nicolas.milowski Dimanche 11. Janvier 2009 23:19
Je recherche les critères chimiques et microbiologiques de contrôle sur les épices.
Nicolas MILOWSKI
Complément de BP:
ASSOCIATION EUROPEENNE DES EPICES
Spécifications minimales de qualité de l'Association européenne des épices pour les plantes aromatiques et les épices
Adopté le 19 Novembre 2004 (Business and Technical Meeting )
http://www.esa-spices.org/content/pdfs/ESAQualityMinimaDocument191104_versionFR.pdf
Un certain nombre de références ont été données concernant les critères microbiologiques à l'adresse suivante:
http://www.liste-hygiene.org/arcepices.html
Bruno Peiffer Lundi 12. Janvier 2009 0:06
Quelques références complémentaires concernant la qualité sanitaire des épices:
Quelques références complémentaires
concernant la qualité sanitaire des épices:
Nouveau
moteur traitant des
épices:
http://www.google.fr/coop/cse?cx=016326893149703400244:uh7wrgpmqmu
Y
sont inclus les nouvelles références
suivantes:
Mycopathologia (2005)159: 291–298 Fungal
contamination of some imported spices
(Bahrein)
http://www.springerlink.com/content/v258154n6q443351/fulltext.pdf
Bot.
Bull. Acad. Sion. - 1998 - Contamination of some common medicinal
plant samples and spices by fungi and their mycotoxins
(Egypte)
http://ejournal.sinica.edu.tw/bbas/content/1998/4/bot94-09.pdf
Global
Veterinaria 2 (4): 175-181, 2008 Microbiological Quality and
Aflatoxinogenesis of Egyptian Spices and Medicinal
Plants
http://www.idosi.org/gv/gv2(4)08/6.pdf
THE
AMERICAN SPICE TRADE ASSOCIATION (ASTA) - 2000 - CLEAN SPICES –
A GUIDEBOOK FOR SHIPPERS OF PRODUCTS TO THE U.S. SPICE
TRADE
http://www.intracen.org/mds/spices_clean.pdf
ASTA
October 2007 White Paper - Importing Spices from China and Other
Countries
http://www.astaspice.org/files/public/ChinaWhitePaper.pdf
ASTA
Safety Guidelines for Spices Sold in the United
States
http://www.astaspice.org/files/public/FoodSafetyGuidelines.pdf
Recalls
of Spices Due to Bacterial Contamination Monitored by the U.S. Food
and Drug Administration: The Predominance of
Salmonellae
http://www.cdc.gov/enterics/publications/380_vij_2005.pdf
Innovations
in Food Technology | November 2004 Contaminants of medicinal and food
herbs with a view to EU
regulations
http://www.phytolab.de/phytolab/service/publikationen/Phy_INFT.pdf
G.U.
Journal of Science 21(3): 79-85 (2008) Enumeration of Microorganisms
and Detection of Some Pathogens in Commonly Used Spices Sold Openly
from Retail Stores in
Kars
http://www.fbe.gazi.edu.tr/dergi/tr/dergi/tam/21(3)/1.pdf
Handbook
of Herbs and
Spices
ftp://166.111.30.161/incoming/new_book/Food%20Science/Handbook%20of%20Herbs%20and%20Spices/
Quality
specifications for herbs and
spices
ftp://166.111.30.161/incoming/new_book/Food%20Science/Handbook%20of%20Herbs%20and%20Spices/35628_02.pdf
UPBUSINESS
- 1999 - Spices and Herbs - A SURVEY OF THE NETHERLANDS AND OTHER
MAJOR MARKETS IN THE EUROPEAN
UNION
http://www.upbusiness.net/Upbusiness/docs/mercados/2.pdf
JEUDI
09 JUILLET 2009
BLOG
D'ALBERT AMGAR:
- Pourquoi viens-tu si tard
?
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=44
SAMEDI
19 SEPTEMBRE 2009
AMERICAN
SPICE TRADE ASSOCIATION - Microbial Safety in Spices white
paper
http://www.astaspice.org/i4a/pages/Index.cfm?pageID=3901
Bertrand CARLIER Mercredi 4. Novembre 2009 9:53
Le piment inhibe l'agrégation plaquettaire
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/61062.htm
"Des études de l'effet de la consommation de piments sur l'hémostase chez l'homme devraient permettre l'évaluation des capsaicinoïdes en tant qu'agent de prévention et de traitement des maladies cardiovasculaires."
vu la masse de produits vendus en France sur ce sujet, ce ne serait pas plus simple et rentable de donner des cours de cuisine?
LUNDI 10
MAI 2010
FSANZ - MAI 2010 - Food Surveillance News Autumn
edition -
2010
http://www.foodstandards.gov.au/scienceandeducation/monitoringandsurveillance/foodsurveillancenewsletter/autumn2010.cfm
Microbiological
quality of spices -A coordinated survey conducted by food regulatory
agencies in Australia
SAMEDI 15 MAI 2010
JO
ASSEMBLEE NATIONALE 11/05/10 Au sommaire:
QE 2850 consommation -
information des consommateurs - cannelle
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-2850QE.htm
JO ASSEMBLEE NATIONALE 11/05/10 QE 2850
consommation - information des consommateurs - cannelle
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-2850QE.htm
EUROPE
20/06/06 SCIENTIFIC COMMITTEE ON CONSUMER PRODUCTS - Opinion on
Coumarin (sensitisation
only)
http://ec.europa.eu/health/ph_risk/committees/04_sccp/docs/sccp_o_061.pdf
SOCIETE
FRANCAISE DE TOXICOLOGIE - ENV TOULOUSE - 2007 - Présentation
: Coumarine et exposition par la
cannelle...
http://www.sftox.com/congres/sft2007/conf/SFT2007_M_Kolf_Clauw.pdf
WIKIPEDIA
- Coumarine
http://fr.wikipedia.org/wiki/Coumarine
WIKIPEDIA
- COUMARIN
http://en.wikipedia.org/wiki/Coumarin
THE
AROMA CONNECTION - JANV 2008 - Coumarin: The Real Story (Updated Jan.
2008).
http://www.aromaconnection.org/2008/02/coumarin-the-re.html
Bernard PICHETTO Samedi 15. Mai 2010 22:23
Suite aux info du jour
http://fr.groups.yahoo.com/group/hygiene/message/60641
sur
"coumarine", il semble que le débat soit récurrent
; régulièrement on voit
réapparaître le
dossier "cannelle = coumarine", sans que les différences
entre
chacune soient abordées, ni les autres plantes à
coumarines :
Fiche ICSC
:
http://www.cdc.gov/niosh/ipcsneng/neng1105.html
"Biological
Screening of Plant Coumarins"
:
https://oa.doria.fi/dspace/bitstream/10024/2520/1/biologic.pdf
Un
peu d'histoire :
"Historical Data Regarding the Experiences
with Coumarin Anticoagulants at the
University of Wisconsin
Medical School"
:
http://circ.ahajournals.org/cgi/reprint/19/1/114.pdf
Le
Codex alimentarius n'est pas très explicite, quelqu'un nous
expliquera
peut-être un jour pourquoi et comment un tel
organisme n'est pas capable
d'offrir une simple fenêtre de
recherche (oui, je sais, ça énerve tout le monde,
il
faut bien qu'il y ait quelqu'un qui le dise !), mais le moteur de
recherche
de l'OMS donne quelques docs
:
http://search.who.int/search?ie=utf8&client=WHO&proxystylesheet=WHO&output=xml_n\
o_dtd&oe=utf8&q=coumarin&btnG.x=0&btnG.y=0
sur
le site de l'IPFSAPH,
deux...
http://www.ipfsaph.org/servlet/CDSServlet?status=Mj1vcmcuZmFvLndhaWNlbnQuY2RzLkt\
PU2VhcmNoUmVzdWx0cyY2PWVuJm9yZy5mYW8ud2FpY2VudC5jZHMuS09TZWFyY2hSZXN1bHRzLjAucXV\
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jZHNfa29faW5kZXgmc3VibWl0YnV0dG9uPVNlYXJjaA~~
Plus
largement sur les 'toxiques' :
"EFSA Compendium of botanicals
that have been reported to contain toxic,
addictive, psychotropic
or other substances of concern"
:
http://repositorio.lneg.pt/bitstream/10400.9/613/1/esco_compendium_en.pdf
VENDREDI 23 JUILLET 2010
JO ASSEMBLEE NATIONALE 20/07/10 Au
sommaire:
QE
73259 agroalimentaire - condiments et épices
- sel. utilisation. limitation
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